Eloïse, ma belle-mère octogénaire 2

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Eloïse, ma belle-mère octogénaire 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Eloïse, ma belle-mère octogénaire 2
Je m’échappe plus que je ne prends congé en marmonnant je ne sais trop quoi. En bas de la résidence, je retrouve Rachid. Il rigole en me voyant.
« Alors, convaincu ?
Je... Oui…Je pense…Je sais, c’est surprenant. Passe nous voir demain ! Nous pourrons parler un peu plus et je te montrerai quelque chose d’intéressant » me lance Rachid au moment où je repars.
C’est dans une sorte de brouillard que je rentre à la maison. Fort heureusement il n’y a personne. Je prends conscience que j'ai le visage rouge et barbouillé de la jute d'Éloïse en me trouvant face à une glace. Je vais vite me passer de l'eau. Je vais au jardin pour travailler et me vider la tête. C’est là que me trouve ma femme en rentrant.
« Tu as passé une bonne journée ?
Oui, pas mal !
Tu as fais quoi ?
Bof ! J’ai rangé le garage, travaillé un peu sur mon ordinateur. Là, je jardine un peu. Ah oui ! J’ai été voir ta mère cet après-midi !
Ah bon ? Comment ça se fait ?
Ben… J’étais parti faire un tour, j’ai acheté du pain et en passant devant chez elle j’ai eu l’idée de lui dire bonjour.
Elle va bien ?
Oui… Elle était seule ?
Oui. On a pris le thé. Tous les deux. Ah ! Rachid est passé aussi.
Rachid ?
Tu ne te rappelles pas ? Le gars avec qui elle est venue l’autre jour ?
Ah oui ! Il est sympa ce garçon !
Oui ! Ils ont l'air de bien s'entendre et il est très serviable avec elle. ça lui fait du bien.
Je trouve aussi. »J'abrège ce dialogue pour ne pas me trahir, mais durant la soirée, j'ai l'image de ma belle-mère nue dans son salon, dans une position humiliante et obscène qui ne semble pas la gêner, au contraire. J’ai encore la sensation de son corps nu contre le mien ! L'odeur de sa chatte plein les narines. J'ai même l'impression de la sentir dans ma bouche.
La vision de son corps me hante … et je bande ! Je bande pour ma belle-mère qui a quatre-vingts ans et que j'ai léchée pour la faire jouir ! Le soir dans la chambre, quand je fais l'amour à ma femme, elle me trouve ardent. J'invoque les vacances, mais quand je la prends en levrette, position qu'elle affectionne, c'est le cul de sa mère que je vois devant mes yeux !
En me réveillant au cours de la nuit, je bande encore en y pensant.
Le matin, je travaille dans la maison, mais ma tête est ailleurs. Je ne cesse de penser à ma belle-mère et à son amant-maître.
Vers neuf heures, n’y tenant plus, j’appelle Éloïse. Je lui déclare que j’ai du temps de libre et que je lui propose d’apporter des croissants pour le petit déjeuner et du pain si nécessaire.
« Oh c’est gentil ! Pouvez-vous apporter un pain aux raisins pour Rachid ?
Ah parce que …Petit coquin que vous êtes ! Bien sûr qu’il est là…. Depuis hier soir !
C’est vous qui êtes une coquine, belle-maman !
C’est la première fois que vous m’appelez comme ça !
Vous préférez Éloïse ? ou Lisa ?
Décidément ! Vous êtes vraiment un coquin mon gendre ! Dans l’intimité, enfin… ici avec Rachid, appelez-moi Éloïse… Vous me faites dire n’importe quoi !
A tout de suite ! »Je change vite de vêtement. En fait, je travaille toujours nu sous ma cotte, je n’ai qu’à m’habiller correctement. J’enfourche mon vélo, passe à la boulangerie et je me rends chez ma belle-mère.
C’est elle qui me reçoit, toujours vêtue d’une robe d’intérieur qui est jaune aujourd’hui. Elle était bleue ciel hier. Pas assez de contre jour ce matin pour apercevoir sa silhouette. Rachid est lui aussi habillé de la même manière. Il me sourit et me remercie de ma livraison.
« Vous êtes matinal !
Oui, en vacances, j’aime me lever tôt et travailler à la fraîche. Ma femme est partie travailler de bonne heure. J’ai bricolé pendant deux heures, mais ça suffit. Nous déjeunons tous les trois autour de la table en buvant du café.
Alors qu’avez-vous pensé de notre entrevue d’hier ? Me demande RachidJe… Disons que j’ai été surpris, mais je pense avoir compris qu’il y a une entente entre vous deux. C’est ce qui importe. Je voulais aussi vous assurer de ma discrétion envers votre famille… Éloïse et envers les autres. Si vous désirez garder votre relation secrète, aucun problème. Je ne vous importunerai plus avec ça et si ça venait à se savoir, je vous soutiendrai. C'est surtout pour ça que je tenais à vous parler aujourd'hui.
Il faut tout de même savoir que si nous recevons ici des hommes qui viennent se satisfaire avec Éloïse, c'est toujours en ma présence, bien sûr. La première fois, c'est moi qui les amène et les fait entrer. La concierge est une vieille connaissance de ma famille. Je lui présente l’homme et lui précise qu’il reviendra sûrement. Dans tous les cas, je suis là. Éloïse ne reçoit jamais seule. Chacun y trouve son plaisir. D’ailleurs, si ça vous dit, restez un peu avec nous, un « ami » doit venir.
Je… Non... je ne crois pas que....
Je suis sûr ! Que le spectacle vous plaira. J'ai remarqué votre... intérêt hier et si vous êtes revenu, c’est que cela vous excite aussi, n’est-ce pas ?
Je… » Je ne sais plus où me mettre et j'évite de regarder ma belle-mère ! Je ne sais pas si elle a parlé de notre « aparté » à son amant« Attendez ! Continue-t-il. Justement on m’appelle, ce doit être lui ! »Éloïse apporte le téléphone tout en me jetant un regard qui signifie : « Puisqu’il le veut… »Rachid parle en arabe avec son interlocuteur, puis s’adresse à ma belle-mère : - « Il arrive ! Va lui ouvrir ! »Éloïse, va à la porte et déclenche l’ouverture de la porte d’entrée au pied de l’immeuble. Elle attend à côté de la porte et lorsque la sonnette de l'appartement retentit, elle ouvre.
L’homme qui entre, paraît surpris de voir un étranger – moi –, mais Rachid le rassure tout de suite en me présentant comme un ami curieux.
Éloïse n'a pas attendu. Sans hésitation, elle vient se positionner à genoux au pied de son maître. Elle relève la djellaba faisant apparaître la queue bandée de Rachid qu’elle avale aussitôt.
Derrière elle, l’homme d’une cinquantaine d’années, bien typé, a l’air habitué de l’affaire. Il relève à son tour sa djellaba, enfile une capote sur un membre noueux et déjà imposant malgré sa semi-rigidité. Il s’agenouille derrière ma belle-mère, relève sa robe d’intérieur sur son dos, dévoilant ainsi ses grosses fesses. Il se branle un peu pour finir de bander et sans préparation, il embroche la vieille d'un coup .
La main de Rachid sur la tête d’Éloïse a empêché qu’elle ne lâche la bite enfoncée dans sa gorge. Elle ne peut que grogner sous l’impact. L'homme derrière elle ne la ménage pas. Il la « tire » sans se soucier d'elle, uniquement sensible à son propre plaisir. Après tout, ce n'est qu'une pute ! Les grognements d'Éloïse s’intensifient durant le coït de l’arabe accroché à ses hanches. Celui-ci éructe, transpire, puis d’un coup se lâche au fond du vagin accueillant. En même temps, Rachid se vide dans la bouche de ma belle-mère, qui déglutit comme elle le peut. Le sperme de son amant-maître est abondant et déborde de ses lèvres. Elle se dépêche de nettoyer son ventre en récupérant la « crème » avec la langue.
Pendant ce temps, l’homme se retire, enlève sa capote qu’il jette dans une corbeille placée à côté de là, puis sort un billet de vingt euros qu’il tend à Rachid par-dessus le corps d’Éloïse qui n'a pas bougé. En souriant, ce dernier me montre le billet. Il prostitue bien ma belle-mère ! C’est donc bien vrai ce que m’a dit ma belle-mère hier !
Je n’en reviens pas ! C'est bien vrai ! Elle fait donc la pute pour son amant ! Je bande comme un fou dans mon pantalon. Je ne vois que le cul d’Éloïse et je me retiens de ne pas prendre la place de l’arabe derrière elle.
Le visiteur est reparti. Rachid montre le billet à Éloïse :« C’est bien, femme ! Tu as bien gagné ton pain ! » Puis s’adressant à moi. « ça l’excite de faire la pute pour son homme ! N’est-ce pas Éloïse ?
Oui ! J’ai honte ! Mais savoir que ces hommes payent pour me … tirer, ça me fait jouir chaque fois ! »Je dois avoir une tête hallucinée ! Rachid sourit. Éloïse se relève, rabaisse sa robe et se dirige vers la salle d’eau où elle va sûrement faire toilette. Hier, j'ai vu ma belle-mère octogénaire, se mettre nue devant moi à la demande de son amant. Ensuite je l'ai embrassée et je lui ai bouffé la chatte. Aujourd’hui je l’ai regardée se faire baiser par un arabe alors que pendant ce temps elle taillait une pipe à son homme. En plus elle se fait payer ! Ou plutôt, son amant encaisse le prix de sa passe, étant ainsi son maquereau ! J’ai besoin de boire quelque chose !
Rachid doit s’en rendre compte et me propose un rafraîchissement. Il demande à Éloïse de nous apporter des verres et du coca.
Elle revient et s’assoit, ou plutôt se love contre son seigneur et maître. Elle a pris le temps de se remaquiller et personne ne saurait en la voyant, qu’elle vient de se faire baiser et d’avaler du sperme il y a trois minutes.
Toujours souriant, Rachid, sûr de lui, passe un bras autour de ses épaules, se retourne et l’embrasse.
« Je te félicite ! Tu as assuré malgré la présence de ton gendre !
Je… C’est vous qui décidez mon chéri ! Vous savez bien que j’accepte tout de vous, sauf si ma famille doit le savoir !
Justement c’est votre gendre !
Je pensais à mes enfants et ma petite fille ! Je sais que Jean ne dira rien ! N’est-ce pas Jean ? » Je comprends aussi le sous entendu quand à notre « rapport » de la veilleBien sûr, que je saurai me taire. Même si tout ça me surprend et m’estomaque.
Je suis sûr que ça t’excite aussi ! Rajoute Rachid. Je pense même que tu la tirerais bien !
Vous n’y pensez pas !
Si, si ! Je pense que oui ! Et toi Éloïse, qu’en penses-tu ? Tu te laisserais baiser par lui ?
Je… Je ne pense rien ! Si vous l’exigez, je le ferai, mais…Je n'exige rien mais…
Le téléphone sonne alors et interrompt notre conversation scabreuse. Ni Éloïse, ni moi n’osons nous regarder pendant que Rachid parle en arabe au téléphone. Quand il raccroche il annonce à ma belle-mère :- « Tu as un nouvel admirateur qui arrive. Va lui ouvrir ! J’espère que ça te fera plaisir ! »L’homme qui entre quelques instants plus tard, je devrais dire le garçon, car il ne doit pas avoir vingt cinq ans, est assez intimidé. C’est la première fois qu’il vient. Celui qui l’a précédé était son père. Il lui paye une passe pour se dépuceler. Que ce soit avec une vieille, peu importe « un trou est un trou » et puis, il n verra que le cul d’Éloïse. Innocemment il tend le billet alors que ma belle-mère est encore debout face à lui. Celle-ci, a l’air très surprise de la jeunesse de son « client » Elle ne dit rien, se contentant de regarder Rachid fixement.
Ce dernier prend le billet en souriant, et de la tête, ordonne à sa soumise de venir se mettre en position. Il relève lui-même le bas de la robe exposant le gros cul au regard avide du jeune homme… et accessoirement au mien, qui ne loupe rien.
Docile, Éloïse reprend son œuvre et avale le pieu de Rachid un peu ramolli pour l’instant. Le jeune ne sait trop quelle attitude prendre, aussi Rachid le guide. Il tombe son jean, sous lequel il ne porte rien, s’agenouille, attrape le préservatif que lui tend Rachid et là, ne se pose plus de question, le réflexe ancestral du mâle, il embroche la femelle devant lui.
Le seul souci, si l’on peut dire, est que le jeune homme est particulièrement bien membré ! De ma position, j’avais bien vu cela, mais pas Rachid, occupé à le guider. Éloïse gueule alors, n’ayant pas de main sur la tête pour la bloquer.
Son bourreau n’en a cure et il continue à la labourer. Très vite, Rachid a ré-enfoncé son braquemart dans la bouche accueillante, et Éloïse qui après la première surprise, semblait apprécier les hommes bien montés, a changé ses grognements de douleur en grognements de plaisir.
Malheureusement pour elle, elle n’en profite pas longtemps. Le jeune homme déchaîné, se vide rapidement dans la gaine plastique, au grand dam de la salope qui aurait aimé profiter un peu plus de sa grosse queue.
Alors qu’il se rhabille déjà, Rachid lui conseille de se montrer moins brutal à l’avenir avec ses partenaires, car son gros manche pourrait faire des ravages à une chatte moins élastique, surtout si elle est jeune.
Il lui rend même son billet « Cadeau pour ton dépucelage ! N’hésite pas à revenir, si le cœur t’en dit »Lorsque le garçon est sorti, il me lance « C’est un investissement ! Je suis sûr qu’il va revenir goûter à la chatte d’Éloïse ! »Celle-ci ne dit mot car elle pompe toujours le dard de son homme. Elle n’a même pas rabaissé sa robe, trop occupée à sa tâche. Je me dis que Rachid se fait sucer uniquement pour le plaisir de sentir la bouche de ma belle-mère et me faire bénéficier du spectacle. Il est assez fier de son sexe et de montrer sa domination sur ma belle-mère, mais tout à coup, il se lâche à nouveau. Éloïse avale tout sans rechigner. Elle attendait cela et savait qu'elle devait terminer son ouvrage. Quand elle se relève, elle passe sa langue gourmande sur ses lèvres avec le sourire du travail bien accompli ! Elle tourne sa tête vers moi comme pour me dire « Si tu le veux, je te ferai la même chose ! »Je dois partir ! Je dois aller me branler à la maison !
« Si vous le pouvez, passez demain en début d’après-midi ! Vous ne le regretterez pas ! » Lance Rachid alors que je me dirige vers la porte,« Euh... Oui… A demain ! »De retour à la maison, je ne me branle finalement pas. Lorsqu’elle rentre du travail, je reçois ma femme vêtu de ma cotte de travail. La coquine sait que dessous je n’ai rien. C’est elle qui vient se frotter, qui baisse la fermeture éclair et à genoux, entreprend une belle fellation qui, elle le sait, va déboucher sur un coït.
Ce n’est pas ma femme que je vois dans la glace face à laquelle nous sommes, mais la bouche de sa mère sur le sexe de Rachid. C’est le cul de sa mère que je défonce ensuite sans ménagement pour son plus grand bonheur. Elle me remercie d’ailleurs de mes ardeurs à la baiser. Si elle savait quelle doit cela à sa mère !
Le lendemain matin, je travaille toute la matinée dans la salle de bain que je refais entièrement. Cette occupation qui prend tout mon esprit, m’a permis d’oublier ma belle-mère et son amant. Ce n’est qu’en mangeant seul à midi que j’y repense. Après une bonne douche je pars chez Éloïse.
Nous prenons le thé tranquillement, puis Rachid m’explique que deux amis à lui devraient arriver. Que c’est une première pour Éloïse, qui aura trois hommes à satisfaire en même temps. Si je veux, je peux y assister.
Ma belle-mère a un air paniqué, mais résigné. Je ne sais quelle attitude prendre, même si dans mon for intérieur, j’ai très envie de rester. Le coup de sonnette met un terme à mes réflexions et mes atermoiements. Le sort en est jeté ! Je reste ! Où plutôt, je ne bouge pas.
Les deux hommes qui entrent sont sensiblement de l’âge de Rachid qui les présente.
- « Bachir, mon cousin et Ahmed, un copain. »Bachir est trapu, semble très musclé, la peau presque noire, quant à Ahmed, il a un visage émacié avec des yeux enfoncés dans leurs orbites, un grand nez et une petite moustache.
- « Voilà la pute dont je vous ai parlé, reprend Rachid. Elle est à vous ! »Il amène Eloïse face aux deux hommes, se baisse, attrape le bas de la robe et dépouille ma belle-mère en passant le vêtement par la tête, la laissant nue face aux deux hommes.
« Fais-moi honneur femme ! Montre leur que tu es une bonne pute ! Dit-il à Éloïse en la tenant aux épaules par derrière pour la présenter aux deux hommes.
Oh la salope ! lance Bachir. Mate cette paire de loches ! Putain, elle est vachement fournie la vieille ! »Éloïse est stoïque et ne bronche pas sous l’insulte du maghrébin, preuve de sa soumission. J’ai même l’impression qu’elle bombe un peu plus sa poitrine. Fière du compliment. Les deux hommes l’encadrent aussitôt et prennent chacun un sein dans une main pour le porter à leur bouche. Ils sucent le téton dardé alors que de l’autre main ils palpent les fesses de la femme.
Bachir se recule. Retire son tee-shirt. Ton torse musclé apparaît. Sans attendre, il tombe le pantalon de jogging et le boxer. Son sexe, à moitié bandé est déjà impressionnant. Une « bite d’âne ». Très noire. Quand elle se dresse enfin, elle doit avoisiner les vingt cinq centimètres et surtout cinq ou six de diamètre ! L’autre homme se déshabille à son tour . Sa bite est moins épaisse mais bien longue, dure et droite. Tous deux pèsent sur les épaules d'Eloïse qui a genoux, se retrouve « nez à queue». Docilement, elle les saisit et ses lèvres cherchent d’abord celle toute noire de Bachir.
Malgré ses efforts, elle ne peut absorber que le gland qui lui déforme la bouche. Elle le lèche comme une bonne gagneuse. Le spectacle est obscène ! Une vieille femme à genoux devant ses deux arabes nus, s’occupant alternativement de chaque sexe, dont un énorme, noir et menaçant.
Rachid, à son tour, se déshabille. Je me rends compte alors que c’est la première fois que je le vois nu. Sa queue est aussi de belle dimension, sans atteindre celle du noir. Le tableau est aussi très excitant. C’est vrai que pour la première fois, les « clients » d’Éloïse sont nus et qu’elle-même l’est aussi.
Bachir s’étend alors, le dos sur une banquette. Son sexe immense dressé au plafond. Il interpelle Éloïse pour qu’elle vienne sur lui. Rachid et Ahmed la soutiennent et l’amènent au-dessus de l’homme couché. Bachir guide lui-même sa queue vers la chatte de ma belle-mère, qui se laisse descendre sur l’énormité.
Sans peine apparemment, elle absorbe le « monstre » qui disparaît entièrement dans sa chatte. Les grosses cuisses d’Éloïse sont posées sur celles de l’arabe. Bachir imprime un mouvement de son bassin qui secoue Éloïse, faisant ballotter ses énormes loches. Il la soutient sous les fesses, les deux autres sous les bras facilitent la chevauchée de l’octogénaire.
Ils la lâchent enfin et ma belle-mère, toujours empalée sur l'énorme sexe, se penche sur Bachir. Sa lourde poitrine s’écrase sur le torse puissant de l’homme. Celui-ci la prend dans ses bras et lui roule une pelle baveuse. Sa langue est aussi très grande et on a l’impression qu’il pénètre la bouche de sa partenaire avec un autre sexe très flexible.
Pendant ce temps, l’autre arabe enduit de gel l’entre-fesse d’Éloïse. Bachir immobilise la femme pour que son compère investisse l'anus de la vieille. La pratique semble habituelle car Ahmed n’a pas beaucoup de difficulté pour l’enculer.
Les deux hommes baisent ma belle-mère de concert et celle-ci n’a pas l’air de s’en plaindre. Bachir a abandonné sa bouche et Éloïse cherche de l’air. Cela ne dure pas longtemps car Rachid, qui attendait devant elle, enfonce sa bite dans le troisième orifice maintenant disponible.
Je n’en peux plus ! A mon tour j’ouvre mon pantalon, je sors ma queue et je me branle. Rachid me regarde en souriant. Il me fait signe d’approcher. Nous sommes maintenant quatre, sur et autour de ma belle-mère. Ça sent le fauve, le sexe. La pièce résonne de grognements plus ou moins étouffés. Les trois arabes se déchaînent, chacun dans un trou alors que je m’astique frénétiquement devant ce spectacle obscène, d’une vieille femme « niquée » par trois jeunes maghrébins. Alors que je suis prêt de jouir, Rachid se retire de la bouche d’Éloïse, il lui tourne la tête qu’il tient par les cheveux et l’approche de ma bite. Elle n’a aucun recul ! A peine dans la bouche de ma belle-mère j’éjacule en grognant. Eloïse me pompe et lèche ma bite pour tout nettoyer.
Aussitôt que je me retire, Rachid reprend sa place dans la bouche de sa soumise et à son tour « lâche la purée ». Un volume plus conséquent que le mien, que Éloïse a du mal à avaler. Elle est obligée de s’y reprendre en léchant les couilles et le ventre sur lequel une partie s’est collée. Son maître n’apprécierait sûrement pas qu’elle en perde en route.
C’est incroyable ! Je viens de me branler en regardant ma belle-mère se faire tirer par trois arabes ! Et en plus j’ai joui dans sa bouche ! Je suis estomaqué ! Sidéré ! Vidé !
Pendant ce temps les deux autres se sont lâchés ! Bachir en grognant fort, expulse des salves de sperme au fond de la chatte de la vieille et Ahmed qui a commencé de jouir dans le cul, se finit sur le dos d’Éloïse.
Il fait très chaud dans la pièce. Tous transpirent. Éloïse n’est pas mieux. Son visage est marqué. Elle a pris dix ans d’un coup !
Pourtant ce n’est pas tout à fait fini pour elle. Ils l’ont assise sur la banquette et chacun de ses amants vient se faire nettoyer la bite dans la bouche de la femme. La bite noire encore impressionnante, est couverte de sperme qu’elle lèche sur toute la colonne sans oublier les boules. Elle n’oublie pas bien sûr le gland rose qu’elle suce comme un gros bonbon. Rien ne reste après le passage de la langue et Eloïse avale tout servilement.
Sans hésiter elle nettoie de la même manière la queue légèrement brunie d’Ahmed, qui a elle investi son cul et procède là aussi au nettoyage complet.
Éloïse est bien secouée malgré tout et son âge marque maintenant son visage. Elle évite de me regarder et je dois dire que moi aussi je suis plutôt honteux de m’être vidé dans la bouche de ma belle-mère.
Plutôt penaud, d’ailleurs, je quitte l’appartement, après voir remercié Rachid alors que Éloïse s’est éclipsée à la salle d’eau.
Quelques semaines passent et j’aperçois de temps en temps des silhouettes entrer dans la résidence d'Eloïse. La discrétion est assurée par la concierge à qui Rachid, il me le confiera plus tard, « graisse la patte » Dans cette résidence huppée se trouvent donc une prostituée, un souteneur et une tenancière de bordel !
De temps en temps, je rends visite à ma belle-mère. Elle vient également chez nous en compagnie de Rachid. Seule ma femme est dans l’ignorance totale !
Quand je passe chez elle, je me comporte comme un gendre normal. Je n’assiste plus à ses « passes », ni ne profite des ses « largesses ». Quelques regards entre nous ou avec Rachid, lors de discussions, nous rappellent nos rapports un peu étranges mais cela en reste là.
Les mois ont passé et c’est l’été. Je suis en vacances. Dans deux semaines, nous partons en voyage avec ma femme, qui doit encore travailler. Ce lundi matin, ma belle-mère m’appelle au téléphone et me demande si je peux passer dans la journée. Elle a un service à me demander mais préfère m’en parler de vive voix. En fin de matinée, je sonne en bas de chez elle. Alors que je rentre, je croise un homme qui sort. Son type maghrébin, me rappelle les épisodes précédents et je me dis en souriant que Éloïse vient de « faire une passe ».
Elle me reçoit en compagnie de Rachid. Tout en buvant un thé à la menthe, c’est ce dernier qui parle.
« Je dois partir demain pour quelques jours dans ma famille au Maroc. Je voudrais vous demander un service. Je pourrais le demander à un « cousin », mais je n’ai pas confiance. Je préférerais que ce soit vous qui vous occupiez de ça.
Si je peux, ce sera avec plaisir, mais de quoi s’agit-il ?
Tout d’abord, sachez que si vous dites non, ce ne sera pas un problème. Cela ne changera rien entre nous.
D’accord, d’accord mais…Voilà ! Vous savez donc que Éloïse reçoit ici des hommes.
Je… Oui. Je trouve d’ailleurs que vous prenez et vous lui faites prendre des risques…Ces hommes, je les connais tous. Ils ne viennent jamais le soir, ni le week-end et la concierge ne dira rien. Dans tous les cas, je suis systématiquement présent – je me dis, oui, pour encaisser – J’en ai parlé avec Éloïse et nous sommes d’accord.
Comme elle l’a dit. Elle a des envies de sexe et ces rencontres lui permettent d’assouvir ses fantasmes de soumission, de prostitution et de se faire tirer par des arabes.
Je… Ils ne sont pas tous comme Bachir, mais Éloïse aime ce côté bestial de l’acte. Elle m’a même raconté que ça l’excitait quand elle rencontrait un de ses « clients » dans la rue ou au supermarché. Bref, elle a aussi besoin de ces rapports. Je peux vous dire que souvent après une visite, nous faisons l’amour tendrement tous les deux.
Pendant mon absence, elle voudrait continuer. D’une part parce que ses… « clients » viennent une ou deux fois par semaine et donc aussi, parce qu’elle aime ça.
Je suis présent, d’une part, parce que je la protège, que je suis son maître et que je l’empêche de crier trop fort et d’ameuter les voisins. » Il passe alors au tutoiement.
« C’est là que tu interviens. Tu es le mieux placé pour me remplacer !
Non ! Je ne crois pas….
Nous croyions au contraire que oui ! Tu as su garder le secret et finalement ça t’excite de voir ta belle-mère à poil et se faire tirer comme une pute ! En plus, Tu n’as pas hésité à te faire juter dans sa bouche !
C’était une erreur ! Je n’aurais pas dû ! Excusez-moi... Éloïse.
Ne vous excusez pas me répond-elle. J’adore faire la pute, me faire tirer par des arabes et sucer une bite ! Je suis sûre mon cher gendre que vous bandez en ce moment dans votre pantalon. J’ai bien compris que vous êtes un vicieux. Cela ne me gêne pas. C’est d’ailleurs moi qui ai proposé à Rachid que vous le remplaciez.
Mais … que… Comment ?
Vous voyez que vous n’êtes pas contre ! Vous vous demandez déjà comment !
Ce n'est pas ça ! Non… Mais... Je… Je suis le mari de votre fille !
Justement ! ça ne sortira pas de la famille ! Je ne vous demande pas de me tirer, si vous me trouvez trop vieille !
Ce n’est pas ça !
Je veux juste vous sucer !
Juste ça !
Il y a tout de même des choses plus pénibles !
Tout de même ! Cela n’est pas banal !
Vous allez voir ! C’est simple ! Mon amour – dit-elle à Rachid- Vous allez me tirer comme font ces hommes. Mon gendre va prendre votre place. On va bien voir comment ça marche !
Je crois que comme ça il va bander ! » Rachid enlève la robe d’Éloïse. Il a remarqué que la vue de ma belle-mère à poil, m’excitait. A genoux devant moi, celle-ci ouvre mon pantalon, plonge sa main dans mon boxer et en souriant, sort ma queue tendue. - «Je crois que ça marche ! » Dit-elle en riant. Elle plonge sur ma bite et l’avale aussitôt. Rachid, lui à genoux derrière sa maîtresse-soumise, l’empale sans coup férir.
Par réflexe, j’avais posé une main sur sa tête et je l’empêche de reculer. Rachid ne la ménage pas. C’est d’ailleurs ce qu’elle aime. Il la bourre à fond et jouit. Ma belle-mère aussi grogne son plaisir. Quand elle se reprend et veut continuer sa pipe, je l’interromps.
« Vous ne voulez pas jouir dans ma bouche ?
Ce n’est pas ça. Mais je ne suis pas à répétition et j’aime faire durer.
Vous voyez bien que vous voulez recommencer ! En plus j’aime bien votre queue rasée ! Si vous voulez me tirer, ne vous gênez pas non plus.
Non ! Je... Il ne faut pas...
Je crois que l’affaire est entendue ! Ajoute Rachid. Je suis sûr que tout va bien se passer. Les « clients d'Éloïse seront avertis. Par contre, pour eux, Éloïse ne se déshabille pas ! Ce n’est que pour moi… et pour toi si tu veux la tirer !
Je… Je ne sais pas si… Mais c’est vrai que je l’aime bien à poil. Elle est mieux que…Voyez-vous ce vicieux ! Il préfère sa belle-mère à poil ! » Je suis un peu gêné devant eux, mais le sourire de Rachid me revigore. – « Fais comme tu veux, mais n’oublie pas que c’est une pute, alors tu prends l’argent. Elle me le donnera à mon retour ! »Il ne perd pas le nord ! Lorsque je ferai brièvement les comptes à la fin de la semaine. Je me rendrai compte que ce salaud, n’est pas aussi désintéressé qu’il en a l’air ! A cinq cent euros par semaine, Éloïse est une bonne « gagneuse pour lui, d’autant qu’elle paye les sorties et la nourriture.
Eh oui ! Éloïse reçoit entre quatre et six « visites » par jour. A la fin du mois, Rachid donne deux cent euros à la concierge – d’où la « bonne volonté » de cette dernière. Son « amour » pour ma belle-mère est plutôt rentable.
Ceci étant, mis à part l’aspect complètement amoral de cette histoire, cette situation réussit plutôt à Éloïse, qui est plus en forme qu’à son arrivée, physiquement et moralement. Sa fille est toute heureuse de la voir ainsi.
Le soir même j’ai inventé auprès de ma femme, une histoire d’aménagement secret de l’appartement d’Éloïse pendant l’absence de Rachid. Ma femme n’a jamais vu le nouveau décor « oriental » chez sa mère. Nous avons donc monté cette histoire qui me permet de rester chez Eloïse. Elle justifie elle-même ce changement sous le prétexte de faire plaisir à son homme. Je dois transporter les meubles dans un garage et installer les nouveaux.
Le lendemain, je retrouve Éloïse à neuf heures et demie. Son premier «client » devant arriver vers dix heures. Nous sommes un peu stressés malgré tout, Rachid n’est plus là entre nous. Pour le moment, je suis le gendre qui rend visite à sa belle-mère, mais nous savons tous les deux que dans quelques minutes, la situation va changer. Nous n’osons pas nous regarder, ni parler. La tension est extrême ! Allons-nous franchir le pas ?
Jusque là nous avions plus ou moins « subi » la situation. C’est Rachid qui avait dépouillé Éloïse devant moi. C’est encore lui qui l’avait prostituée à cet homme et à son fils devant moi. Toujours Rachid qui l’avait donnée à son cousin et à l’autre homme pour la tirer à trois et qu’elle m’avait bu ! Aujourd’hui, nous sommes seuls responsables. Nous ne pouvons plus nous cacher. Il s’agit d’un acte volontaire entre une belle-mère et son gendre !
« Je voudrais vous demander quelque chose Éloïse..
Dites-moiVous n'avez pas raconté à Rachid notre.... discussion ?
Drôle de discussion ! Enfin, vous avez surtout fait marcher votre langue.... Et plutôt bien ajoute-t-elle alors que je veux l'interrompre. Non, je ne lui ai pas dit. Je ne sais pas s'il s'en doute, mais cela n'est pas un problème. Pour ma part, j'ai beaucoup aimé et j'espère que vous recommencerez... puisque vous ne voulez pas me baiser, ce sera notre petit secret et... quand cela vous dit.... N'hésitez pas ! J'adore votre langue !
Vous êtes....
Une cochonne, oui ! Voyez-moi comme ça ! Oubliez que vous êtes mon gendre et donnez-moi du plaisir. Si un jour, vous n'y tenez plus, sachez que ma chatte est aussi à vous !
La sonnette met fin à cette conversation hallucinante. Le sort en est jeté. Désormais, plus rien ne sera pareil. L’homme a été prévenu et ne s’étonne pas de ma présence à la place de Rachid. Il me tend le billet pendant que Éloïse se positionne.
Avant l’arrivée du visiteur, j’avais revêtu une cotte de travail, sans rien dessous, qui permettait de justifier mon intervention présumée et d’ouvrir rapidement le vêtement pour dégager mon sexe.
Pour cette première, Éloïse découvre une bite ramollie par le stress. Elle lève les yeux vers moi en souriant alors que l’homme, déjà équipé de sa capote, soulève le bas de sa robe sur ses reins. Elle plonge aussitôt sur ma queue qu’elle avale entièrement vu la dimension modeste. Son travail et la situation me font rapidement dresser et quand ma belle-mère relève à nouveau les yeux vers moi, je peux y lire toute la satisfaction de la fellatrice qui a bien fait son travail.
Ni elle, ni moi ne nous occupons du maghrébin qui la baise. Il fait son affaire, plutôt vite, se retire, enlève le préservatif usagé qu’il jette dans la corbeille prévue, se relève et marmonne un au revoir en quittant l’appartement.
Éloïse n’interrompt pas sa pipe. Maintenant que je suis bien raide, elle reste cul nu et s’applique à lécher, à sucer à branler.
Je l’arrête.
« J’ai envie de continuer ! J’aime ! Dit-elleOui, moi aussi, mais on se déshabille ! »Elle se redresse sur les genoux et fait passer la robe par-dessus sa tête pendant que je défais le zip et en deux mouvements, me retrouve aussi nu qu’elle.
Éloïse reprend son ouvrage entre mes jambes. Je les écarte d’ailleurs pour qu’elle puisse « être à l’aise » Dans cette position, ma belle-mère masse mes bourses tout en continuant sa pipe. Elle les fait rouler entre ses doigts puis glisse entre mes fesses. La cochonne comprend vite qu’un doigt dans mon cul m’apporte plus de plaisir et elle ne se gêne pas longtemps avant de me l’enfoncer.
Je change de position pour passer un pied entre ses jambes et avec mes orteils je pénètre sa chatte gluante.
Ma belle-mère est devenue une « pro » de la pipe ! Je sens bientôt monter le jus de mes couilles qu’elle malaxe d’une main. J’éclate alors dans sa gorge en grognant. Tous les orteils de mon pied sont entrés dans sa chatte et Éloïse jouit en se branlant dessus !
A midi, après la venue d'un deuxième « client » Éloïse me demande si je veux boire l'apéritif.
« Pourquoi pas ! Qu'avez-vous à me proposer ?
Je n'en bois pas... enfin... j'ai en quelque sorte.... déjà pris le mien... celui que vous m'avez... donné dans la bouche.... mais j'ai pensé que celui-ci vous plairez bien »Elle enlève sa djellaba et s'assoit dans le divan et ouvre ses cuisses. Des deux mains, elle écarte les lèvres de son sexe déjà bien humide « viens me faire du bien ! » Aujourd'hui je suis nu et je rebande déjà fort alors que je viens de jouir. Éloïse attrape ma queue en me caressant les couilles « elle est belle ! Allez ! Viens !
A genoux entre ses jambes, ma bite est proche de sa chatte. Il suffirait que j'avance pour l'embrocher sans qu'elle ne s'y oppose. Elle me tient toujours et me tire vers elle. Mon gland touche son clito et elle le frotte avec. Je suis à deux doigts de la pénétrer, mais je parviens à me reculer pour plonger à nouveau ma figure dans sa chatte. « Méchant que tu es ! Puisque tu y tiens, bouffe-moi! Fais moi jouir avec ta langue ! » Elle a quatre-vingt ans, mais peu importe ! Comme un petit chien, le lèche toute la surface de son sexe en insistant sur son clitoris sensible. Éloïse monte vite vers son plaisir et appuie fortement ma tête contre son sexe. Je me régale de ses senteurs et de sa mouille. Par moment je me recule pour regarder la femelle qui se pâme, puis je replonge en elle. Elle est obscène ! Les grosses cuisses écartées les seins étalés de part et d'autre de sa poitrine comme deux grosses outres flasques . D'une main elle tient les lèvres de son sexe écartées et de l'autre se triture un téton. Je fais durer le moment. D'une main, je me branle pendant que de l'autre j’investis sa chatte de deux doigts. Je cherche son point G pour le frotter et lui apporter encore plus de plaisir. Elle se répand dans ma bouche m'offrant ainsi un apéro très particulier. Je la laisse se reprendre. Elle ouvre ses yeux en souriant.
« Merci ! Mais attend ! Viens sur moi. Je veux te sucer pendant que tu me lèches !
Tu es une coquine belle-maman !
Tu peux dire une cochonne tant que tu y es ! Ou une salope !
Oui ! Tu es une sacrée cochonne ! Si les gens savaient ça !
Ne t'occupe pas des gens! Allez, viens me donner ta belle bite à sucer et bouffe-moi encore la chatte espèce de sale gendre vicieux !
ça t'excite de dire ça n'est-ce pas ?
Oh oui ! Si j'avais pensé qu'un jour on serait comme ça !
Pour être plus à l'aise, j'étale une couverture sur le sol. Éloïse s'y couche sur le dos e

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Texte coquin : Eloïse, ma belle-mère octogénaire 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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