Emilie grosse salope 2

Récit érotique écrit par XASS23 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Emilie grosse salope 2
Le week-end passé, je reprends mes cours à la Fac.
A 17h, nous avons un réunion de profs avec la Directrice des Services. A la fin de la réunion, madame Aline Jeandaine me demande de rester quelques instants.
- « Emilie, (nous nous appelons tous par nos prénoms), depuis la rentrée, à part votre entretien d’embauche, nous n’avons pas eu l’occasion de faire le point. Comment vous trouvez-vous dans notre établissement. »
- « Très bien madame, il y a une bonne ambiance et les étudiants ne sont pas très indisciplinés contrairement à ce qu’il se passe actuellement si l’on en croit les médias. »
- « Je n’ai jamais eu l’occasion de vous parler de votre tenue, même si cela est très personnel mais reconnaissez qu’elle est un peu provoquante, nos jeunes étudiants ne doivent pas se priver de commentaires et peut être aussi vos collègues qui ont des tenues plus strictes correspondant mieux à l’image que nous souhaitons donner. »
- « Je comprends madame mais j’ai toujours été comme cela dans ma jeunesse sans que cela me pose des problèmes. Si c’est un reproche, j’en tiendrai compte à l’avenir et vous demande de m’excuser. »
-« Emilie, ce n’est pas un reproche mais plutôt une remarque dont j’aimerais effectivement que vous teniez compte même si je trouve que vous êtes une belle femme et que vous devez être désirable. »
- « Désirable, avez-vous dit. »
- « Oui, c’est le mot qui me vient en vous regardant. Votre corsage presque transparent indique que vous n’avez probablement pas de soutien-gorge. »
- « C’est la cas madame mais là vous devenez indiscrète. »
- « Ce n’était pas mon intention. Le tissus de ce vêtement doit être très agréable au toucher. »
Sur ces paroles, la Directrice s’approche de moi et passe sa main sur ma poitrine.
- « Effectivement, c’est très doux et ce doit être très agréable à porter. »
- « Votre constatation m’a fait l’effet d’une caresse madame la Directrice était-ce involontaire ? »
- « Euh… Oui. Je vous ai choquée ? »
- « Non, c’était surprenant mais agréable.
- « Votre poitrine est tellement excitante que j’ai dû m’égarer. Vous dites que vous avez trouvé agréable ? »
- « Je ne m’attendais pas à un tel échange avec vous mais je vous retourne le compliment, vous aussi vous êtes une belle femme. M’autoriseriez-vous à dire également que vous êtes désirable ?»
- « Qu’est-ce que cette expression évoque en vous ? »
- « Le mot « désirable » s’appliquait à votre corps qui ne me laisse pas indifférente. »
La directrice s’approche près de moi et passe sa main sur ma cuisse et sur mes fesses sans que je ne réagisse.
- « Là Emilie c’est une caresse et vous ne l’avez pas refusé. »
- « C’est peut-être votre position hiérarchique qui m’a freinée dans ma réaction mais je n’avais pas envie de repousser votre caresse et j’attendais la suite. »
- « Quelle suite souhaiteriez-vous ? »
- « Que vos mains reviennent sur mes seins. »
- « Si vous m’y autorisiez, j’aimerais dégrafer votre corsage. »
- « Je vous y autorise, venez plus près de moi. »
C’est alors qu’elle me prend par les épaules et plaque sa bouche sur la mienne. Je ne refuse pas ce baiser qui l’encourage à faire glisser mon corsage. Ses lèvres quittent ma bouche, parcourent mon cou et viennent se refermer sur un de mes tétons qu’elle mordille légèrement. Je l’attrape par la taille et descends mes mains sur ses fesses en l’attirant très fort contre moi.
- « C’est bon ce que vous me faites madame. À mon tour, m’autorisez-vous à défaire votre jupe. »
- « Oui, je n’ai pas de culotte, vous pourrez me caresser la chatte si vous me donnez la vôtre. J’aimerais vous lécher la fente. Appelez-moi Aline, ce sera plus sympa et moins condescendant que « madame ». »
- « Aline, je pense que nous sommes partis dans un petit jeu dont nous ne mesurons pas les conséquences. »
- « Vous avez probablement raison Emilie mais vous avez contribué à m’exciter. Je sens que ma chatte est très mouillée. Elle appelle vos doigts. Faites-moi jouir et donnez-moi la vôtre. »
- « Moi aussi je mouille à votre contact. »
Effectivement, sa chatte très touffue est passablement humide. Je m’amuse avec ses poils et cherche son clito que je masturbe comme une petite bite. L’orgasme ne tarde pas à l’envahir qui la fait se cabrer en libérant mes mains. J’écarte alors mes cuisses en relevant ma jupe.
« Maintenant Aline c’est à toi petite salope de me sucer et de boire mon jus. En ce moment tu n’es plus ma Directrice et je prends cette liberté de langage.»
- « Emilie j’adore ce tutoiement et cette insulte je vais te bouffer le cul à te faire crier. »
- « Oui mets moi deux doigts dans le cul, j’adore me faire fister. »
Je me mets en position et lui présente bien ma rosette qu’elle s’empresse de mouiller avec sa salive, introduire sa langue puis ses doigts comme je l’ai souhaité.
- « C’est bon Aline, vas profond entre ta main entière, j’ai l’habitude avec de gros godes tu vas me faire jouir du cul, c’est merveilleux ! ça y est, je monte continue. »
- « Moi aussi, je sens que je monte tellement tu m’excites. »
Nous partons toutes deux dans une extase commune qui transit nos deux corps.
- « Eh bien madame Emilie, si votre tenue provoquante pouvait faire imaginer un certain désir de sexe je n’aurais jamais cru que vous pouviez être aussi salope. »
- « Je vous retourne le compliment madame la Directrice. Ce septième ciel était envoutant. Pourquoi m’avoir choisi pour cet intermède ?»
- « Tout simplement parce que, comme je vous l’ai dit, votre tenue m’excitait.
Bon, maintenant reprenons nos esprits. Que rien ne paraisse vis-à-vis de vos collègues et surtout pas de tutoiement intempestif. Je vous remercie pour ce moment on ne peut plus agréable. Nous pouvons nous quitter sereinement. »
C’est avec un léger baiser sur la bouche accompagné de caresses que nous prenons congé.
Le surlendemain, au détour d’un couloir, je croise madame Jeandaine. Nous sommes seules.
- « Bonjour Emilie Vous allez bien depuis avant-hier ? Je vois que vous avez retenu ma remarque sur votre tenue. Cette robe vous va à merveille. »
- « Bonjour madame Jeandaine j’essaie de ne pas être provoquante comme vous dites mais je ne mets toujours pas de culotte et de soutien-gorge. Ça ne se voit pas. Et vous comment allez-vous ? »
- « Depuis avant-hier, je vais bien. C’est vrai que le fait que vous ne portiez pas de sous vêtement ne se voit pas mais sans soutien-gorge, votre adorable poitrine fait danser vos seins quand vous marchez. Pour moi, c’est très excitant. »
Elle s’approche de moi et me chuchote à l’oreille :
- « Si tu as envie de baiser, petite salope, viens dans mon bureau à 17h 30 après la fin des cours, je te réserve une surprise. »
- « Ok j’irai avec plaisir »
A 17h, nous avons un réunion de profs avec la Directrice des Services. A la fin de la réunion, madame Aline Jeandaine me demande de rester quelques instants.
- « Emilie, (nous nous appelons tous par nos prénoms), depuis la rentrée, à part votre entretien d’embauche, nous n’avons pas eu l’occasion de faire le point. Comment vous trouvez-vous dans notre établissement. »
- « Très bien madame, il y a une bonne ambiance et les étudiants ne sont pas très indisciplinés contrairement à ce qu’il se passe actuellement si l’on en croit les médias. »
- « Je n’ai jamais eu l’occasion de vous parler de votre tenue, même si cela est très personnel mais reconnaissez qu’elle est un peu provoquante, nos jeunes étudiants ne doivent pas se priver de commentaires et peut être aussi vos collègues qui ont des tenues plus strictes correspondant mieux à l’image que nous souhaitons donner. »
- « Je comprends madame mais j’ai toujours été comme cela dans ma jeunesse sans que cela me pose des problèmes. Si c’est un reproche, j’en tiendrai compte à l’avenir et vous demande de m’excuser. »
-« Emilie, ce n’est pas un reproche mais plutôt une remarque dont j’aimerais effectivement que vous teniez compte même si je trouve que vous êtes une belle femme et que vous devez être désirable. »
- « Désirable, avez-vous dit. »
- « Oui, c’est le mot qui me vient en vous regardant. Votre corsage presque transparent indique que vous n’avez probablement pas de soutien-gorge. »
- « C’est la cas madame mais là vous devenez indiscrète. »
- « Ce n’était pas mon intention. Le tissus de ce vêtement doit être très agréable au toucher. »
Sur ces paroles, la Directrice s’approche de moi et passe sa main sur ma poitrine.
- « Effectivement, c’est très doux et ce doit être très agréable à porter. »
- « Votre constatation m’a fait l’effet d’une caresse madame la Directrice était-ce involontaire ? »
- « Euh… Oui. Je vous ai choquée ? »
- « Non, c’était surprenant mais agréable.
- « Votre poitrine est tellement excitante que j’ai dû m’égarer. Vous dites que vous avez trouvé agréable ? »
- « Je ne m’attendais pas à un tel échange avec vous mais je vous retourne le compliment, vous aussi vous êtes une belle femme. M’autoriseriez-vous à dire également que vous êtes désirable ?»
- « Qu’est-ce que cette expression évoque en vous ? »
- « Le mot « désirable » s’appliquait à votre corps qui ne me laisse pas indifférente. »
La directrice s’approche près de moi et passe sa main sur ma cuisse et sur mes fesses sans que je ne réagisse.
- « Là Emilie c’est une caresse et vous ne l’avez pas refusé. »
- « C’est peut-être votre position hiérarchique qui m’a freinée dans ma réaction mais je n’avais pas envie de repousser votre caresse et j’attendais la suite. »
- « Quelle suite souhaiteriez-vous ? »
- « Que vos mains reviennent sur mes seins. »
- « Si vous m’y autorisiez, j’aimerais dégrafer votre corsage. »
- « Je vous y autorise, venez plus près de moi. »
C’est alors qu’elle me prend par les épaules et plaque sa bouche sur la mienne. Je ne refuse pas ce baiser qui l’encourage à faire glisser mon corsage. Ses lèvres quittent ma bouche, parcourent mon cou et viennent se refermer sur un de mes tétons qu’elle mordille légèrement. Je l’attrape par la taille et descends mes mains sur ses fesses en l’attirant très fort contre moi.
- « C’est bon ce que vous me faites madame. À mon tour, m’autorisez-vous à défaire votre jupe. »
- « Oui, je n’ai pas de culotte, vous pourrez me caresser la chatte si vous me donnez la vôtre. J’aimerais vous lécher la fente. Appelez-moi Aline, ce sera plus sympa et moins condescendant que « madame ». »
- « Aline, je pense que nous sommes partis dans un petit jeu dont nous ne mesurons pas les conséquences. »
- « Vous avez probablement raison Emilie mais vous avez contribué à m’exciter. Je sens que ma chatte est très mouillée. Elle appelle vos doigts. Faites-moi jouir et donnez-moi la vôtre. »
- « Moi aussi je mouille à votre contact. »
Effectivement, sa chatte très touffue est passablement humide. Je m’amuse avec ses poils et cherche son clito que je masturbe comme une petite bite. L’orgasme ne tarde pas à l’envahir qui la fait se cabrer en libérant mes mains. J’écarte alors mes cuisses en relevant ma jupe.
« Maintenant Aline c’est à toi petite salope de me sucer et de boire mon jus. En ce moment tu n’es plus ma Directrice et je prends cette liberté de langage.»
- « Emilie j’adore ce tutoiement et cette insulte je vais te bouffer le cul à te faire crier. »
- « Oui mets moi deux doigts dans le cul, j’adore me faire fister. »
Je me mets en position et lui présente bien ma rosette qu’elle s’empresse de mouiller avec sa salive, introduire sa langue puis ses doigts comme je l’ai souhaité.
- « C’est bon Aline, vas profond entre ta main entière, j’ai l’habitude avec de gros godes tu vas me faire jouir du cul, c’est merveilleux ! ça y est, je monte continue. »
- « Moi aussi, je sens que je monte tellement tu m’excites. »
Nous partons toutes deux dans une extase commune qui transit nos deux corps.
- « Eh bien madame Emilie, si votre tenue provoquante pouvait faire imaginer un certain désir de sexe je n’aurais jamais cru que vous pouviez être aussi salope. »
- « Je vous retourne le compliment madame la Directrice. Ce septième ciel était envoutant. Pourquoi m’avoir choisi pour cet intermède ?»
- « Tout simplement parce que, comme je vous l’ai dit, votre tenue m’excitait.
Bon, maintenant reprenons nos esprits. Que rien ne paraisse vis-à-vis de vos collègues et surtout pas de tutoiement intempestif. Je vous remercie pour ce moment on ne peut plus agréable. Nous pouvons nous quitter sereinement. »
C’est avec un léger baiser sur la bouche accompagné de caresses que nous prenons congé.
Le surlendemain, au détour d’un couloir, je croise madame Jeandaine. Nous sommes seules.
- « Bonjour Emilie Vous allez bien depuis avant-hier ? Je vois que vous avez retenu ma remarque sur votre tenue. Cette robe vous va à merveille. »
- « Bonjour madame Jeandaine j’essaie de ne pas être provoquante comme vous dites mais je ne mets toujours pas de culotte et de soutien-gorge. Ça ne se voit pas. Et vous comment allez-vous ? »
- « Depuis avant-hier, je vais bien. C’est vrai que le fait que vous ne portiez pas de sous vêtement ne se voit pas mais sans soutien-gorge, votre adorable poitrine fait danser vos seins quand vous marchez. Pour moi, c’est très excitant. »
Elle s’approche de moi et me chuchote à l’oreille :
- « Si tu as envie de baiser, petite salope, viens dans mon bureau à 17h 30 après la fin des cours, je te réserve une surprise. »
- « Ok j’irai avec plaisir »
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