Emilie grosse salope 4 - histoire érotique

Arès cette mémorable mais courte expérience, je rentre chez moi couverte de plein d’odeurs que je ne souhaite pas faire disparaître sous une douche. Ma nuit est très mouvementée, je revois en rêve nos ébats avec la Directrice et dans mon rêve apparait derrière une porte la jeune étudiante dont m’a parlé Annie. Je la vois assez floue avec une énorme poitrine démesurée aux tétons bandés comme des petites bites qu’elle balance avec ses mains. Elle s’approche très près de moi, c’est alors que je me réveille. J’ai la chatte trempée, j’ai bien mouillé les draps. Plus tard, en prenant mon petit déjeuner, je repense à la brève vue de l’étudiante. Et me vient un désir subit. Contrairement à Annie qui m’a dit « rester à sa place », j’imagine provoquer cette Cloé et voir sa réaction.

Cet après-midi, dans la classe de terminale, je surveille un devoir de SVT sur le corps humain et la santé. La jeune Cloé est bien là, même au premier rang au bord de l’allée. En distribuant les copies, incidemment, je fais tomber une feuille à côté d’elle et en la ramassant, j’effleure sa jambe en esquissant une légère caresse. Elle retire sa jambe et me regarde d’un air interrogatif. Je reprends ma surveillance depuis mon bureau sur l’estrade et jette de temps en temps des regards ver Cloé. La jeune fille est absorbée par son travail et dès qu’elle a terminé, se campe sur ses coudes et me regarde fixement. Ma jupe est bien relevée sous le bureau, les jambes légèrement écartées et je surprends le regard de Cloé intéressé par mes jeux de jambes. Je fais mine de me caresser sous la table et, surprise : Cloé me regarde fixement en passant sa langue sur ses lèvres. A la fin du devoir, les étudiants viennent me remettre leur copie. Cloé est la dernière, ce qui me permets d’engager la conversation.
- « Qu’est-ce qui vous arrive Cloé, j’ai l’impression que vous flashé sur votre prof ? »
- « Oui madame, j’aime vos jeux de jambes et tout à l’heure, j’ai eu l’impression que vos me caressiez la jambe était ce volontaire ? »
- « Non, c’est bien une impression que vous avez eue. Je ne peux pas me permettrais pas d’avoir des gestes déplacés envers une étudiante aussi excitante soit elle. Je me permets de vous dire que vous avez une jolie poitrine que vous mettez bien en valeur. Elle doit faire rêver vos copains. »
- « Vous avez dit excitante, vous, me trouvez-vous excitante ? L’avis de mes copains, comme vous dites, m’importe peu. Je n’aime pas les garçons. »
- « Mais vous aimez les filles ? »
- « Oui, et je préfère les femmes matures. »
- « Seriez-vous lesbienne ? »
- « C’est comme cela qu’on dit. C’est pour cela que l’illusion de votre caresse et votre jeu de jambes m’ont fait rêver à me donner envie de vous approcher.
- « Eh bien quel aveu ma chère Cloé. Imaginez-vous des caresses réciproques «
- « J’en ai vraiment envie madame. »
- « Venez à côté de moi comme si je vous expliquais quelque chose sur votre devoir. »

C’est moi qui prends l’initiative. Je promène une main le long de ses jambes en remontant sous sa jupe.

- « Vous n’avez pas de culotte Cloé ? »
- « Non, j’en mets rarement, j’aime être libre entre mes cuisses. »

En progressant dans ma caresse, j’atteins une zone très touffue passablement humide.

- « Vous êtes déjà mouillée jeune fille, je n’ai fait que vous caresser la jambe. »
- « Tout à l’heure vous m’avez excitée avec votre jeu de jambes et votre regard, je me suis touchée en cachette. »
- « As-tu en vie que j’aille plus loin ? »
- « Oui, allez dans ma chatte avec vos doigts, mais j’aimerais tant me faire lécher la fente. »
- « En fait tu as envie d’une mature comme tu dis et tu voudrais qu’on baise ensemble ? »
- « J’aimerais aussi voir votre entrecuisses et le faire mouiller à son tour. »
- « Ici c’est trop risqué. Va dans la bibliothèque, j’irai t’y retrouver. Il n’y a plus personne à cette heure-ci.

Cette petite m’a chauffée à block. J’ai hâte de lui bouffer le cul et ses gros seins. En rangeant les copies, j’ai envie de me branler. Je récupère un de mes Stabilo Boss et me l’introduit dans le con. J’attendrai ses doigts et sa langue.
En entrant dans la bibliothèque, au détour d’un rayon, Cloé m’attend la jupe baissée et un sein sorti de son corsage.

- « Tu vois madame Emilie, j’ai faim de toi, viens me bouffer en commençant par me lécher la fente. »
- « Toi aussi petite salope tu vas prendre mon corps et t’amuser avec. Je peux te dire que j’en ai rêvé. »
- « Vous ne me connaissiez pas comme une salope ? »
- « Je t’expliquerai mon rêve. Baisons. Couche toi par terre, on va se mettre en 69. »

Nos deux chattes sont archi trempes et chacune se délecte du jus de l’autre.

- « Emilie mets moi un doigt, plusieurs, une main si tu peux dans le cul et fais-moi jouir du cul. »
- « Pareil Cloé j’adore ça. »

A ce petit jeu, les orgasmes ne tardent pas raidissant les deux corps. En entendant du bruit dans la bibliothèque, les deux amantes se ressaisissent rapidement en remettant de l’ordre dans leurs habits et se dirigent vers la sortie.

- « Ce fut court Cloé. Le rêve dont je t’ai parlé, a été provoqué par Annie la prof de Français qui m’a dit flasher sur ta poitrine. Elle te trouve particulièrement séduisante pour ne pas dire excitante mais elle m’a dit refuser d’avoir une attitude équivoque avec une étudiante de l‘établissement. Je sais qu’elle est lesbienne. Tu m’as provoquée et j’ai craqué.
- « Effectivement, je n’ai jamais remarqué d’attitude équivoque de la part de mademoiselle Annie, je crois qu’elle est célibataire. Comment savez-vous qu’elle est lesbienne ? »
- « Devine. »
- « J’ai deviné ! Pensez-vous que je peux essayer de la séduire !»
- « Je ne sais pas, c’est ton problème, à toi de voir. »