Emois féminins épisode 1
Récit érotique écrit par Salvatore [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Emois féminins épisode 1
<p>Une chaleur étouffante, lourde et orageuse enveloppait Lyon et ses alentours depuis quelques jours, comme c'était souvent le cas le mois de juillet. Claire, son cabas rempli des courses qu'elle venait de faire au marché, se hâtait de rentrer chez elle. Malgré sa légère robe d'été décolletée en carré qui la couvrait, elle sentait la sueur lui humecter le front et les aisselles, couler dans son dos et dans le sillon de ses seins moites. Elle hâta le pas, pressée de rentrer chez elle afin de prendre une douche qui la débarrasserait de toute cette transpiration qui lui couvrait le corps. Passant devant la maison des parents de Guillaume elle jeta un regard scrutateur dans l'espoir d'apercevoir l'adolescent qui depuis un mois hantait ses songes. ***
Pénétrant enfin chez elle, elle passa directement par la cuisine ou elle posa son cabas sur la table, avant de se diriger vivement en direction de la salle d'eau. Là, face au grand miroir mural elle fit glisser les bretelles de sa robe d'été qui tomba à ses pieds. Puis tout en contemplant sa silhouette dans l'immense glace qui lui faisait face, elle lança ses deux mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge de dentelle blanc, libérant ainsi sa lourde poitrine moite de sueur. Fixant dans le miroir ses deux seins charnus luisant de transpiration et qui ballottaient doucement au grès de ses mouvements, elle ne pût s’empêcher de les trouver encore très désirables. Elle glissa ses doigts sous l'élastique de son slip, blanc également, qu'elle repoussa le long de ses cuisses fuselées. La fine lingerie chuta d'elle-même jusqu'au sol, rejoignant la robe chiffonnée.
Entièrement nue, Claire fixa son reflet dans le miroir d'un oeil critique. Malgré ses quarante-deux ans et ses deux grossesses, suivies d'allaitement, elle était fière de sa poitrine, serte d’une certaine lourdeur, mais encore suffisamment ferme. Sans être énormes, ses seins avaient un certain volume qui attirait le regard des hommes qu'elle croisait, lui procurant toujours un certain plaisir. D'une blancheur laiteuse, ils se terminaient par une large aréole brune et granuleuse, au centre de laquelle se dressait fièrement un téton d'une incroyable longueur. Continuant son inspection intime par le biais du miroir, elle laissa son regard descendre sur son ventre légèrement bombé suite à ses deux grossesses et au bas duquel moussait une abondante toison faite d'une multitude de bouclettes tirant sur le roux ; et formant un triangle parfait dont la base se démarrait à quelques centimètres de son nombril et la pointe se perdant entre ses longues cuisses ferme et d’une douceur sensuelle. Satisfaite par son examen, elle pivota légèrement sur elle-même, afin que l'immense glace lui renvoie la vision de sa croupe large, forte et excessivement cambrée qui tendait d’une manière terriblement érotique ses jupes étroites. Une véritable croupe de jument ! comme aimait lui lancer Jacques son époux, lorsque au milieu de leurs ébats amoureux il la forçait à s'agenouiller pour la prendre par derrière dans la position de la levrette ou plus particulièrement lorsqu'il l'enculait, les doigts crochetés dans ses fesses écartelées.
Ravie de son inspection, Claire décida de se glisser sous la douche dont elle régla la température. Là, les yeux clos, elle laissa l'eau s'écouler sur son corps moite, éprouvant une intense satisfaction et un bien être presque sensuel à sentir l'eau ruisseler de ses épaules à sa poitrine avant de se répandre sur son ventre frémissant en empruntant l'étroit sillon séparant ses seins gonflés, faisant mousser sa toison intime. Tout en savourant l'étrange plaisir que la douche lui procurait, elle laissa son imagination vagabonder ; ce qui l'amena naturellement à penser, comme cela lui arrivait couramment depuis quelques temps, à Guillaume, qu'elle avait en quelque sorte initié aux jeux amoureux un après-midi d'orage, et à l'immense plaisir qu'elle en avait éprouvé alors. Mais à se rappeler ces affolants souvenirs Claire ne tarda pas à ressentir une intense bouffée de désir, comme cela lui arrivait régulièrement depuis quelques jours.
Depuis son aventure extra conjugale, la première en vingt ans de mariage, avec cet adolescent au corps si délicat et si harmonieux et à l'intense plaisir qu'elle en avait éprouvé, quelque chose s'était éveillé en elle ; un besoin permanent et impérieux de rapport sexuel, un besoin inépuisable de jouissance que Jacques, trop pris par son travail était loin de lui procurer. Aussi souvent le soir, lorsque le désir devenait par trop pressant et qu'elle ne pouvait faire appel à son mari profondément endormi à ses cotés pour calmer le brasier qui lui consumait les entrailles, elle n'avait que la ressource de glisser une main impatiente entre ses cuisses moites ou elle s'acharnait sur son clitoris dardé et émergent à la commissure des grandes lèvres humides de sa chatte affolée. En général, elle réussissait très vite à se procurer un spasme libérateur, qui sans atteindre la puissance d'une réelle jouissance que seule une véritable verge raide et gonflée peux procurer, la libérait pour quelques heures de ses envies sexuelles.
Sentant sa vulve s'humidifier lentement sans que l'eau de la douche n'y soit pour quelque chose, Claire se laissa emporter par ses sens en émoi.
Décrochant le pommeau de la douche de sa colonne elle le plaça entre ses cuisses largement écartées, le jet dirigé en direction de sa chatte bouleversée. Puis de ses doigts de la main gauche, elle écarta délicatement les grandes lèvres de sa vulve, forçant son clitoris à émerger de ses chairs protectrices. Sous le crépitement du jet dru le fouettant durement son minuscule bouton se gonfla aussitôt, tandis qu'une vague sensuelle lui parcourait le bas-ventre la faisant frissonner voluptueusement. Alors, dans un mouvement méthodique, elle imprima un mouvement de va-et-vient au pommeau de la douche, l'éloignant et le rapprochant de son sexe béant, variant ainsi la rudesse du crépitement du jet sur son clitoris érigé. Le fouettement de l'eau sur son bouton de chair irrité, lui procurait un étrange et enivrant plaisir, faisant naître de longs frissons voluptueux depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre. Bien campée sur ses jambes largement écartées, Claire plaquait par moment le pommeau de la douche contre sa chatte qu'elle maintenait largement ouverte à l'aide de ses doigts. L'eau tiède s'engouffrant avec force à l'intérieur de sa vulve lui procurait une incroyable félicité qui la faisait se cambrer toute, le corps tendu vers un plaisir attendu. Félicité qui se transformait en une formidable extase, lorsque reculant le pommeau de sa chatte inondée celle-ci laissait échapper l'eau qui s'était engouffrée en elle en une furieuse cataracte. Un jet puissant jaillissait de sa fente écartée, son vagin se vidant dans une impétueuse miction.
Longtemps Claire renouvela son manège érotique, emplissant ses entrailles d'eau tiède, éprouvant un plaisir de plus en plus intense chaque fois que celles-ci se vidaient avec force dans un jet impétueux. Sous la volupté qui peu à peu la gagnait, les mamelons de ses seins s'étaient gonflés tandis que ses tétons s'étaient durcis et se dressaient telles deux minuscules verges, dans l'attente d'un attouchement plus précis.
La gorge nouée, Claire se laissa lentement emporter par une douce euphorie voluptueuse, tandis que son esprit visionnait le jeune corps d'éphèbe de Guillaume qui avait sans s'en douter éveillé en elle un appétit sexuel dont elle n'avait jamais eu conscience.
Soudain dans le silence de la maison, la sonnerie du téléphone retentit, faisant violemment sursauter la jeune femme, la ramenant brutalement à la réalité. Songeant que l'appel pouvait venir de Jacques ou de l'un de ses enfants, Claire ferma rapidement l'eau, avant de s'élancer nue et ruisselante, jusqu'au salon pour décrocher le combiné téléphonique.
-- Allo ? Demanda-t-elle intriguée.
-- Claire ? Répondit une voix féminine. C'est Fulvia ! Excuse-moi de te déranger, je voulais te demander si tu pouvais me prêter un peu de farine. Je viens de m'apercevoir que je n'en ai plus.
-- Bien sur, répliqua Claire quelque peu furieuse d'avoir été dérangée pour un sac de farine, au moment ou elle allait atteindre une jouissance libératrice.
Reposant le combiné elle retourna dans la salle d'eau pour se sécher à l'aide d'une grande serviette éponge, puis afin d'accueillir l'intruse, elle enfila une blouse qu'elle boutonna sur son corps nu et encore humide. Et c'est ainsi vêtue qu'elle alla ouvrir à la quémandeuse lorsque cette dernière se présenta à la porte d'entrée. Sans être des amis intime, Fulvia et elle entretenaient d'excellentes relations de voisinage.
Fulvia était un bout de femme de vingt-deux ans, mesurant un mètre soixante, ce qui faisait son désespoir ; fille d'immigrés italiens elle avait hérité de ses parents transalpins, de son teint mat, d’une longue et abondante chevelure d'un noir brillant, de deux merveilleux yeux verts irisés ; d’une grande bouche aux lèvres épaisses et sensuelles ; d’une bouche parfaite pour faire des pipes, comme aimait la taquiner son mari, et qui s'ouvrait sur une rangée de dents petites et brillantes. Et surtout, ce qui affligeait également la jeune femme, c'est que malgré sa petite taille, la nature l'avait gratifié d'une paire de seins aux mensurations imposantes ; un quatre-vingt-quinze C de tour de poitrine ne passe pas inaperçu, et rare étaient les hommes qu'elle croisait qui ne louchaient pas avec concupiscence sur les volumineuses figures de proue qui déformaient le devant de ses corsages. Dotée d'une taille assez fine, elle possédait par contre des hanches rondes, évasées, qui donnaient naissance à une croupe bien dessinée, nerveuse, bombée, extrêmement arquée : une croupe qui comme sa poitrine attirait irrésistiblement le regard des mâles.
Après les embrassades de bienvenue et quelques mots échangés, Claire précéda sa quémandeuse jusqu'à la cuisine pour lui donner ce qu'elle était venue chercher. Laissant son amie fouiller dans les blocs accrochés au mur à la recherche du paquet de farine désiré, Fulvia jeta un regard curieux autour d'elle, et demeura soudain saisit en apercevant le tas de légume qui s'amoncelait sur la table de la cuisine. Ceux-ci en s'échappant du cabas renversé s'étaient placés les uns sur les autres, et le hasard avait fait qu'une des courgettes était venue se nicher entre deux pommes de terre de bonne grosseur. Immédiatement Fulvia dont l'esprit était continuellement attiré par le sexe et tout ce qui s'y rapportait, ne put s'empêcher de comparer ce groupe de légumes à un formidable membre masculin en érection, fièrement dressé au-dessus de ses bourses séminales excessivement volumineuses.
-- Mon Dieu, quel morceau ! S'exclama-t-elle.
Surprise par cette exclamation soudaine, Claire abandonna sa recherche pour se retourner étonnée vers sa voisine qui fixait d'un air amusé ses courses étalées sur la table. Curieuse de connaître ce qui pouvait égayer ainsi sa voisine, elle s'approcha de la table. Lui montrant les légumes et plus particulièrement la courgette surmontant les deux pommes de terre, Fulvia s’exclama :
-- Quel organe !
Comprenant subitement à quoi la jeune femme faisait allusion, Claire sentit ses joues s'empourprer, tandis qu’elle restait sans voix à fixer comme hypnotisée la courgette et les deux pommes de terre, sidérée par la ressemblance des légumes avec un phallus phénoménal surmontant ses deux testicules d'une taille impressionnante. Devant le silence de Claire, Fulvia referma sa main droite sur le légume et lentement la fit coulisser de bas en haut, mimant avec beaucoup de réalisme une lente masturbation. La gorge soudainement nouée, Claire fixa la main de la perverse italienne s'activer verticalement, suivant avec émotion ses va-et-vient le long du légume luisant.
--Il paraît que les Noirs ont une queue aussi longue que ça, continua Fulvia, prenant plaisir à parler de sexe. Tu t'imagines ce que l'on doit ressentir quand on a un engin de cette taille dans la chatte.
--Tu es folle ! Tenta de plaisanter Claire, dont le regard ne pouvait quitter la main refermée autour de la courgette, et qui s'agitait méthodiquement de bas en haut.
Avec émoi, elle sentit le trouble sexuel qui la travaillait depuis quelques jours, reprendre possession de son bas-ventre. Les mouvements libertins de Fulvia, joints aux allusions crues que la jeune Italienne proféraient, avaient réussi à faire renaître entre ses cuisses une source qu'elle croyait tarie. Affolée, elle sentit sa vulve s'humecter de nouveau avec abondance. Songeant avec effroi qu'elle n'avait pas jugé utile d'enfiler de culotte sous sa blouse enfilée à la hâte, elle resserra frénétiquement les jambes, comprimant sa longue fente afin de tenter de freiner cette fontaine qui inexorablement s'écoulait d'entre les lèvres écartées de sa chatte et venait lui poisser l'intérieur des cuisses.
Ne se doutant pas de l'émoi sexuel dont était l'objet sa compagne, Fulvia continua son jeu érotique. Saisissant la courgette elle en approcha l’une de ses extrémités de sa bouche. Arrondissant ses lèvres pulpeuses elle entreprit alors de mimer une lente fellation sous le regard affolé de Claire. Fixant avec amusement sa complice de voisinage, elle agita lentement sa tête de haut en bas, faisant coulisser ses lèvres le long du légume comme elle l’aurait fait s’il s’était agi d’une véritable verge en érection. Puis se prenant à son propre jeux érotique, elle recracha le légume luisant de sa salive pour en coincer l'une des extrémités entre ses cuisses moulées par le Jean étroit, qu'elle resserra, maintenant ainsi la longue courgette à l'horizontal, telle une monstrueuse virilité brillante.
-- Tu veux goûter à ma grosse queue, ma chérie, lança-t-elle à Claire d’une voix mâle… Profites en, car tu n'es pas prêt d'en rencontrer une aussi longue.
Affolée par les plaisanteries érotiques de l'Italienne, le bas-ventre crispé par le désir qui se faisait de plus en plus insistant et qui lui irradiait le vagin, Claire osa alors un geste que seul ses sens embrasés pouvaient lui faire exécuter. Timidement, presque malgré elle, elle avança une main en direction du membre factice que lui présentait la perverse italienne et l'empoignant fermement elle agita ses doigts refermés le long du légume, comme si elle avait voulu le branler. Devant ses yeux exaltés, Fulvia s'était dissipée, pour laisser la place à Guillaume au corps si sensuel, et s'était sa verge si chaude, si douce et si dure en même temps qu'elle pressait entre ses doigts, qu'elle branlait voluptueusement, décalottant avec ivresse le merveilleux gland rose et boursouflé.
Inconsciente de l'émotion sexuelle qui étreignait sa compagne, Fulvia pensa que cette dernière la suivait dans son jeu pervers, aussi décida-t-elle d'en rajouter, tout heureuse de diriger les opérations :
-- Tu sens comme elle est dure ! Lança-t-elle mimant le macho parfait.
Mais comme son regard se posait sur le visage de Claire elle fut surprise par ce qu'elle y découvrit. Cette dernière fixait d'un air extatique sa main refermée autour du légume, comme si elle voyait autre chose que la longue courgette luisante, la bouche légèrement entrouverte sur un souffle saccadée. Comprenant qu'il se passait quelque chose d'insolite chez sa compagne, Fulvia se sentit soudainement troublée et c'est d'une voix changée qu'elle tenta encore de plaisanter :
-- Alors elle te plaît ma queue ? Lança-t-elle mimant à nouveau le mâle prétentieux fier d'exhiber sa virilité. L'essayer c'est l'adopter.
Prise par le jeu érotique qu’elle dirigeait, Fulvia, serrant fermement les jambes enfin de maintenir le légume transformé en godemiché végétal, saisit Claire par les hanches pour l’attirer à elle. Surprise par le geste de sa perverse voisine auquel elle ne s’attendait pas, Claire pour ne pas perdre l’équilibre écarta vivement ses jambes. Immédiatement elle sentit la courgette dure et rigide s’infiltrer entre ses cuisses disjointes et écraser les grandes lèvres juteuses de sa vulve affolée. Un long frisson voluptueux la secoua toute tandis qu’un gémissement s’échappait de sa gorge. Mais le carillon de la pendule fixée au mur de la cuisine résonna égrenant lentement ses onze coups, masquant son gémissement de plaisir aux oreilles de Fulvia.
-- Mon Dieu, onze heures déjà, s'affola Fulvia. Il faut que j'aille faire à manger. Sinon lorsque Robert va rentrer, ça va être ma fête s'il ne trouve rien dans son assiette.
Posant précipitamment la courgette avec laquelle elle s’était amusée sur la table, comme si le légume qui avait contribué à extérioriser ses fantasmes érotiques lui avait soudainement brûlé les mains, la jeune Italienne s'empressa de quitter la cuisine, son sac de farine à la main.
-- Je te le rends demain, précisa-t-elle avant de franchir la porte d'entré et de s'élancer en courant en direction de sa demeure.
Une fois seule, Claire, encore toute étourdie par ce que sa voisine lui avait fait vivre, s'en retourna dans la cuisine avec une idée bien arrêtée : calmer le brasier que la perverse Italienne avait allumé dans ses entrailles. Elle s'approcha de la table ou reposait la courgette dont Fulvia s'était servie pour enflammer ses sens, que le temps orageux excitait sournoisement depuis quelques jours déjà. Là, elle saisit d'une main tremblante de désir le long légume pour le glisser entre ses cuisses moites qu'elle écarta largement. Lentement d'abord, elle frotta le bout arrondi de la courgette contre sa chatte trempée par les sécrétions que Fulvia avait fait naître. Ses grandes lèvres sexuelles gonflées de désir s'écartèrent aussitôt sous le va-et-vient du légume, humectant peu à peu celui-ci. Longuement elle fit coulisser le cucurbitacée à la forme de pénis contre sa longue fente, éprouvant un indicible plaisir à ce frottement sensuel.
Comme pour accompagner la montée de l'euphorie qu'elle se procurait, elle agita ses hanches, ondulant doucement du bas-ventre, au rythme des ondes voluptueuses qui la parcouraient toute et qui allaient mourir dans ses seins gonflés. De sa vulve ainsi frottée une source brûlante s'échappait, trempant copieusement le légume qui coulissait contre. Jugeant alors qu’elle mouillait suffisamment pour tenter ce que les gestes pervers de Fulvia avaient fait naître dans son esprit troublé, elle attira une chaise à elle sur laquelle elle s'assit confortablement. Puis relevant ses jambes qu’elle écarta largement, elle posa ses pieds sur la table. Et afin d'être libre de ses mouvements, elle déboutonna entièrement sa blouse qui s'ouvrit d'elle même, dénudant son corps aux courbes terriblement sensuelles et frissonnant d'un désir ardent.
Alors, ainsi installée, dans une posture réellement obscène pour tout visiteur qui serait entré à ce moment, elle présenta de nouveau l'énorme fruit entre ses cuisses moites de ses liqueur amoureuse. Là, dans un frisson de tout son être, elle présenta le bout arrondi et gluant de ses sécrétions intimes à l'entrée de sa chatte copieusement imbibée et assouplie par l'intense désir qui l'habitait. Appréhendant quelque peu ce qu'elle avait décidé de tenter, elle poussa doucement l'énorme légume à l'intérieur de sa vulve ruisselante. A sa surprise et pour sa plus grande joie la courgette, d'une taille plutôt imposante s'enfonça sans difficulté dans sa chatte grande ouverte. Ses chairs intimes s'ouvrirent d'elles même pour livrer passage à ce pal végétal sur lequel elles se refermèrent aussitôt, l'enserrant de leur moiteur enivrante. Claire éprouva alors un plaisir mêlé d'étonnement quand à la facilité avec laquelle son sexe s'était dilaté sous cette colossale pénétration. Quand le légume se trouva bloqué au plus profond de son vagin, dans l'impossibilité d'aller plus loin, elle demeura ainsi, immobile, profondément empalée, afin de s'habituer à cette énormité fichée au plus intime de sa féminité. Puis au bout de quelques minutes, impatiente de connaître de nouvelles sensations sexuelles, elle entreprit de faire coulisser le colossal légume entre les lèvres écartelées de sa vulve investie, éprouvant une sorte de bien-être charnel.
Sous cette délicieuse félicité que lui procurait la courgette en glissant lentement dans sa chatte gluante de ses humeurs vaginales, elle accéléra peu à peu le mouvements de son poignet, se pistonnant le vagin de plus en plus rapidement. Chaque choc de l'extrémité durci du légume contre le fond de son sexe la faisait sursauter de plaisir sur sa chaise. Jamais encore elle n'avait ressenti un tel ravissement sexuel, que se soit avec Jacques, son mari ou avec Guillaume son jeune amant, qui possédait pourtant une verge d'une longueur supérieur à celle de son époux. Le gland des organes masculins faisant office d'amortisseur lorsqu'il venait frapper le col de l'utérus de la femme, ce que ne faisait pas le légume rigide, lui causant ainsi un plaisir étrange qui se répercutait au plus profond de ses entrailles. Les fesses bien calées sur sa chaise, les jambes largement écartées et les pieds posés sur le rebord de la table, Claire s'activa frénétiquement dans son entrecuisse trempé, faisant coulisser à l'intérieur de sa chatte débordante d'un jus chaud et onctueux, avec une sorte de rage sexuelle, l'énorme phallus végétal. Chaque violente pénétration lui arrachait un gémissement de plaisir, tandis que chaque retrait du légume s'accompagnait d'un véritable déluge, d'un liquide tiède ; qui s'échappant de sa longue fente dilatée, lui poissait l'intérieur des cuisses, s'infiltrait dans la profonde raie séparant ses fesses pour venir lui engluer l'anus.
Tout en enfonçant passionnément la courgette trempée dans les replis moites de sa vulve, recherchant impérieusement l'orgasme qui la libérerait de ses fantasmes, Claire empoigna ses seins de sa main libre pour les presser fiévreusement, pinçant sauvagement ses tétons raidis ; les étirant cruellement en les roulant entre le pouce et l'index, les pressant douloureusement. Puis les relâchant brusquement, laissant ses seins retomber mollement, elle les ressaisissait aussitôt pour de nouveau les triturer sauvagement. Depuis qu'elle avait été en âge de fréquenter des garçons, Claire s'était vite aperçue, lors de flirts un peu poussés, qu'il suffisait que son partenaire lui pince le bout des seins pour qu'elle en éprouve un plaisir intense. Il lui était même arrivé, quelque fois, d'avoir un orgasme aussi violent que fulgurant, lorsque son amoureux du moment, ivre de désir lui pinçait ou lui mordait les tétons un peu plus durement.
Cependant, sous ces différentes caresses, Claire, dans le silence de sa cuisine ne tarda pas à sentir la jouissance prendre possession de son corps. Une douce chaleur grimpa le long de ses reins, tandis que son bas-ventre se crispait par spasmes nerveux. Dans sa vulve investie, la source qui avait pris naissance s'était transformée en un véritable torrent bouillonnant. Abandonnant alors sa poitrine douloureuse, elle posa sa main en haut de sa longue fente sexuelle dilatée par l’énorme légume, et là elle alla dénicher son bouton d'amour tapi entre les grandes lèvres humides de sa chatte distendue, qu’elle entreprit de titiller d’un doigt alerte, le pinçant délicatement ou le griffant doucement de son ongle. Alors tout se passa rapidement, une houle interne lui irradia les entrailles et dans un spasme violent, elle connut un violent orgasme qui la fit se cambrer sur sa chaise trempée par ses sécrétions vaginales.
à suivre...
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Pénétrant enfin chez elle, elle passa directement par la cuisine ou elle posa son cabas sur la table, avant de se diriger vivement en direction de la salle d'eau. Là, face au grand miroir mural elle fit glisser les bretelles de sa robe d'été qui tomba à ses pieds. Puis tout en contemplant sa silhouette dans l'immense glace qui lui faisait face, elle lança ses deux mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge de dentelle blanc, libérant ainsi sa lourde poitrine moite de sueur. Fixant dans le miroir ses deux seins charnus luisant de transpiration et qui ballottaient doucement au grès de ses mouvements, elle ne pût s’empêcher de les trouver encore très désirables. Elle glissa ses doigts sous l'élastique de son slip, blanc également, qu'elle repoussa le long de ses cuisses fuselées. La fine lingerie chuta d'elle-même jusqu'au sol, rejoignant la robe chiffonnée.
Entièrement nue, Claire fixa son reflet dans le miroir d'un oeil critique. Malgré ses quarante-deux ans et ses deux grossesses, suivies d'allaitement, elle était fière de sa poitrine, serte d’une certaine lourdeur, mais encore suffisamment ferme. Sans être énormes, ses seins avaient un certain volume qui attirait le regard des hommes qu'elle croisait, lui procurant toujours un certain plaisir. D'une blancheur laiteuse, ils se terminaient par une large aréole brune et granuleuse, au centre de laquelle se dressait fièrement un téton d'une incroyable longueur. Continuant son inspection intime par le biais du miroir, elle laissa son regard descendre sur son ventre légèrement bombé suite à ses deux grossesses et au bas duquel moussait une abondante toison faite d'une multitude de bouclettes tirant sur le roux ; et formant un triangle parfait dont la base se démarrait à quelques centimètres de son nombril et la pointe se perdant entre ses longues cuisses ferme et d’une douceur sensuelle. Satisfaite par son examen, elle pivota légèrement sur elle-même, afin que l'immense glace lui renvoie la vision de sa croupe large, forte et excessivement cambrée qui tendait d’une manière terriblement érotique ses jupes étroites. Une véritable croupe de jument ! comme aimait lui lancer Jacques son époux, lorsque au milieu de leurs ébats amoureux il la forçait à s'agenouiller pour la prendre par derrière dans la position de la levrette ou plus particulièrement lorsqu'il l'enculait, les doigts crochetés dans ses fesses écartelées.
Ravie de son inspection, Claire décida de se glisser sous la douche dont elle régla la température. Là, les yeux clos, elle laissa l'eau s'écouler sur son corps moite, éprouvant une intense satisfaction et un bien être presque sensuel à sentir l'eau ruisseler de ses épaules à sa poitrine avant de se répandre sur son ventre frémissant en empruntant l'étroit sillon séparant ses seins gonflés, faisant mousser sa toison intime. Tout en savourant l'étrange plaisir que la douche lui procurait, elle laissa son imagination vagabonder ; ce qui l'amena naturellement à penser, comme cela lui arrivait couramment depuis quelques temps, à Guillaume, qu'elle avait en quelque sorte initié aux jeux amoureux un après-midi d'orage, et à l'immense plaisir qu'elle en avait éprouvé alors. Mais à se rappeler ces affolants souvenirs Claire ne tarda pas à ressentir une intense bouffée de désir, comme cela lui arrivait régulièrement depuis quelques jours.
Depuis son aventure extra conjugale, la première en vingt ans de mariage, avec cet adolescent au corps si délicat et si harmonieux et à l'intense plaisir qu'elle en avait éprouvé, quelque chose s'était éveillé en elle ; un besoin permanent et impérieux de rapport sexuel, un besoin inépuisable de jouissance que Jacques, trop pris par son travail était loin de lui procurer. Aussi souvent le soir, lorsque le désir devenait par trop pressant et qu'elle ne pouvait faire appel à son mari profondément endormi à ses cotés pour calmer le brasier qui lui consumait les entrailles, elle n'avait que la ressource de glisser une main impatiente entre ses cuisses moites ou elle s'acharnait sur son clitoris dardé et émergent à la commissure des grandes lèvres humides de sa chatte affolée. En général, elle réussissait très vite à se procurer un spasme libérateur, qui sans atteindre la puissance d'une réelle jouissance que seule une véritable verge raide et gonflée peux procurer, la libérait pour quelques heures de ses envies sexuelles.
Sentant sa vulve s'humidifier lentement sans que l'eau de la douche n'y soit pour quelque chose, Claire se laissa emporter par ses sens en émoi.
Décrochant le pommeau de la douche de sa colonne elle le plaça entre ses cuisses largement écartées, le jet dirigé en direction de sa chatte bouleversée. Puis de ses doigts de la main gauche, elle écarta délicatement les grandes lèvres de sa vulve, forçant son clitoris à émerger de ses chairs protectrices. Sous le crépitement du jet dru le fouettant durement son minuscule bouton se gonfla aussitôt, tandis qu'une vague sensuelle lui parcourait le bas-ventre la faisant frissonner voluptueusement. Alors, dans un mouvement méthodique, elle imprima un mouvement de va-et-vient au pommeau de la douche, l'éloignant et le rapprochant de son sexe béant, variant ainsi la rudesse du crépitement du jet sur son clitoris érigé. Le fouettement de l'eau sur son bouton de chair irrité, lui procurait un étrange et enivrant plaisir, faisant naître de longs frissons voluptueux depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre. Bien campée sur ses jambes largement écartées, Claire plaquait par moment le pommeau de la douche contre sa chatte qu'elle maintenait largement ouverte à l'aide de ses doigts. L'eau tiède s'engouffrant avec force à l'intérieur de sa vulve lui procurait une incroyable félicité qui la faisait se cambrer toute, le corps tendu vers un plaisir attendu. Félicité qui se transformait en une formidable extase, lorsque reculant le pommeau de sa chatte inondée celle-ci laissait échapper l'eau qui s'était engouffrée en elle en une furieuse cataracte. Un jet puissant jaillissait de sa fente écartée, son vagin se vidant dans une impétueuse miction.
Longtemps Claire renouvela son manège érotique, emplissant ses entrailles d'eau tiède, éprouvant un plaisir de plus en plus intense chaque fois que celles-ci se vidaient avec force dans un jet impétueux. Sous la volupté qui peu à peu la gagnait, les mamelons de ses seins s'étaient gonflés tandis que ses tétons s'étaient durcis et se dressaient telles deux minuscules verges, dans l'attente d'un attouchement plus précis.
La gorge nouée, Claire se laissa lentement emporter par une douce euphorie voluptueuse, tandis que son esprit visionnait le jeune corps d'éphèbe de Guillaume qui avait sans s'en douter éveillé en elle un appétit sexuel dont elle n'avait jamais eu conscience.
Soudain dans le silence de la maison, la sonnerie du téléphone retentit, faisant violemment sursauter la jeune femme, la ramenant brutalement à la réalité. Songeant que l'appel pouvait venir de Jacques ou de l'un de ses enfants, Claire ferma rapidement l'eau, avant de s'élancer nue et ruisselante, jusqu'au salon pour décrocher le combiné téléphonique.
-- Allo ? Demanda-t-elle intriguée.
-- Claire ? Répondit une voix féminine. C'est Fulvia ! Excuse-moi de te déranger, je voulais te demander si tu pouvais me prêter un peu de farine. Je viens de m'apercevoir que je n'en ai plus.
-- Bien sur, répliqua Claire quelque peu furieuse d'avoir été dérangée pour un sac de farine, au moment ou elle allait atteindre une jouissance libératrice.
Reposant le combiné elle retourna dans la salle d'eau pour se sécher à l'aide d'une grande serviette éponge, puis afin d'accueillir l'intruse, elle enfila une blouse qu'elle boutonna sur son corps nu et encore humide. Et c'est ainsi vêtue qu'elle alla ouvrir à la quémandeuse lorsque cette dernière se présenta à la porte d'entrée. Sans être des amis intime, Fulvia et elle entretenaient d'excellentes relations de voisinage.
Fulvia était un bout de femme de vingt-deux ans, mesurant un mètre soixante, ce qui faisait son désespoir ; fille d'immigrés italiens elle avait hérité de ses parents transalpins, de son teint mat, d’une longue et abondante chevelure d'un noir brillant, de deux merveilleux yeux verts irisés ; d’une grande bouche aux lèvres épaisses et sensuelles ; d’une bouche parfaite pour faire des pipes, comme aimait la taquiner son mari, et qui s'ouvrait sur une rangée de dents petites et brillantes. Et surtout, ce qui affligeait également la jeune femme, c'est que malgré sa petite taille, la nature l'avait gratifié d'une paire de seins aux mensurations imposantes ; un quatre-vingt-quinze C de tour de poitrine ne passe pas inaperçu, et rare étaient les hommes qu'elle croisait qui ne louchaient pas avec concupiscence sur les volumineuses figures de proue qui déformaient le devant de ses corsages. Dotée d'une taille assez fine, elle possédait par contre des hanches rondes, évasées, qui donnaient naissance à une croupe bien dessinée, nerveuse, bombée, extrêmement arquée : une croupe qui comme sa poitrine attirait irrésistiblement le regard des mâles.
Après les embrassades de bienvenue et quelques mots échangés, Claire précéda sa quémandeuse jusqu'à la cuisine pour lui donner ce qu'elle était venue chercher. Laissant son amie fouiller dans les blocs accrochés au mur à la recherche du paquet de farine désiré, Fulvia jeta un regard curieux autour d'elle, et demeura soudain saisit en apercevant le tas de légume qui s'amoncelait sur la table de la cuisine. Ceux-ci en s'échappant du cabas renversé s'étaient placés les uns sur les autres, et le hasard avait fait qu'une des courgettes était venue se nicher entre deux pommes de terre de bonne grosseur. Immédiatement Fulvia dont l'esprit était continuellement attiré par le sexe et tout ce qui s'y rapportait, ne put s'empêcher de comparer ce groupe de légumes à un formidable membre masculin en érection, fièrement dressé au-dessus de ses bourses séminales excessivement volumineuses.
-- Mon Dieu, quel morceau ! S'exclama-t-elle.
Surprise par cette exclamation soudaine, Claire abandonna sa recherche pour se retourner étonnée vers sa voisine qui fixait d'un air amusé ses courses étalées sur la table. Curieuse de connaître ce qui pouvait égayer ainsi sa voisine, elle s'approcha de la table. Lui montrant les légumes et plus particulièrement la courgette surmontant les deux pommes de terre, Fulvia s’exclama :
-- Quel organe !
Comprenant subitement à quoi la jeune femme faisait allusion, Claire sentit ses joues s'empourprer, tandis qu’elle restait sans voix à fixer comme hypnotisée la courgette et les deux pommes de terre, sidérée par la ressemblance des légumes avec un phallus phénoménal surmontant ses deux testicules d'une taille impressionnante. Devant le silence de Claire, Fulvia referma sa main droite sur le légume et lentement la fit coulisser de bas en haut, mimant avec beaucoup de réalisme une lente masturbation. La gorge soudainement nouée, Claire fixa la main de la perverse italienne s'activer verticalement, suivant avec émotion ses va-et-vient le long du légume luisant.
--Il paraît que les Noirs ont une queue aussi longue que ça, continua Fulvia, prenant plaisir à parler de sexe. Tu t'imagines ce que l'on doit ressentir quand on a un engin de cette taille dans la chatte.
--Tu es folle ! Tenta de plaisanter Claire, dont le regard ne pouvait quitter la main refermée autour de la courgette, et qui s'agitait méthodiquement de bas en haut.
Avec émoi, elle sentit le trouble sexuel qui la travaillait depuis quelques jours, reprendre possession de son bas-ventre. Les mouvements libertins de Fulvia, joints aux allusions crues que la jeune Italienne proféraient, avaient réussi à faire renaître entre ses cuisses une source qu'elle croyait tarie. Affolée, elle sentit sa vulve s'humecter de nouveau avec abondance. Songeant avec effroi qu'elle n'avait pas jugé utile d'enfiler de culotte sous sa blouse enfilée à la hâte, elle resserra frénétiquement les jambes, comprimant sa longue fente afin de tenter de freiner cette fontaine qui inexorablement s'écoulait d'entre les lèvres écartées de sa chatte et venait lui poisser l'intérieur des cuisses.
Ne se doutant pas de l'émoi sexuel dont était l'objet sa compagne, Fulvia continua son jeu érotique. Saisissant la courgette elle en approcha l’une de ses extrémités de sa bouche. Arrondissant ses lèvres pulpeuses elle entreprit alors de mimer une lente fellation sous le regard affolé de Claire. Fixant avec amusement sa complice de voisinage, elle agita lentement sa tête de haut en bas, faisant coulisser ses lèvres le long du légume comme elle l’aurait fait s’il s’était agi d’une véritable verge en érection. Puis se prenant à son propre jeux érotique, elle recracha le légume luisant de sa salive pour en coincer l'une des extrémités entre ses cuisses moulées par le Jean étroit, qu'elle resserra, maintenant ainsi la longue courgette à l'horizontal, telle une monstrueuse virilité brillante.
-- Tu veux goûter à ma grosse queue, ma chérie, lança-t-elle à Claire d’une voix mâle… Profites en, car tu n'es pas prêt d'en rencontrer une aussi longue.
Affolée par les plaisanteries érotiques de l'Italienne, le bas-ventre crispé par le désir qui se faisait de plus en plus insistant et qui lui irradiait le vagin, Claire osa alors un geste que seul ses sens embrasés pouvaient lui faire exécuter. Timidement, presque malgré elle, elle avança une main en direction du membre factice que lui présentait la perverse italienne et l'empoignant fermement elle agita ses doigts refermés le long du légume, comme si elle avait voulu le branler. Devant ses yeux exaltés, Fulvia s'était dissipée, pour laisser la place à Guillaume au corps si sensuel, et s'était sa verge si chaude, si douce et si dure en même temps qu'elle pressait entre ses doigts, qu'elle branlait voluptueusement, décalottant avec ivresse le merveilleux gland rose et boursouflé.
Inconsciente de l'émotion sexuelle qui étreignait sa compagne, Fulvia pensa que cette dernière la suivait dans son jeu pervers, aussi décida-t-elle d'en rajouter, tout heureuse de diriger les opérations :
-- Tu sens comme elle est dure ! Lança-t-elle mimant le macho parfait.
Mais comme son regard se posait sur le visage de Claire elle fut surprise par ce qu'elle y découvrit. Cette dernière fixait d'un air extatique sa main refermée autour du légume, comme si elle voyait autre chose que la longue courgette luisante, la bouche légèrement entrouverte sur un souffle saccadée. Comprenant qu'il se passait quelque chose d'insolite chez sa compagne, Fulvia se sentit soudainement troublée et c'est d'une voix changée qu'elle tenta encore de plaisanter :
-- Alors elle te plaît ma queue ? Lança-t-elle mimant à nouveau le mâle prétentieux fier d'exhiber sa virilité. L'essayer c'est l'adopter.
Prise par le jeu érotique qu’elle dirigeait, Fulvia, serrant fermement les jambes enfin de maintenir le légume transformé en godemiché végétal, saisit Claire par les hanches pour l’attirer à elle. Surprise par le geste de sa perverse voisine auquel elle ne s’attendait pas, Claire pour ne pas perdre l’équilibre écarta vivement ses jambes. Immédiatement elle sentit la courgette dure et rigide s’infiltrer entre ses cuisses disjointes et écraser les grandes lèvres juteuses de sa vulve affolée. Un long frisson voluptueux la secoua toute tandis qu’un gémissement s’échappait de sa gorge. Mais le carillon de la pendule fixée au mur de la cuisine résonna égrenant lentement ses onze coups, masquant son gémissement de plaisir aux oreilles de Fulvia.
-- Mon Dieu, onze heures déjà, s'affola Fulvia. Il faut que j'aille faire à manger. Sinon lorsque Robert va rentrer, ça va être ma fête s'il ne trouve rien dans son assiette.
Posant précipitamment la courgette avec laquelle elle s’était amusée sur la table, comme si le légume qui avait contribué à extérioriser ses fantasmes érotiques lui avait soudainement brûlé les mains, la jeune Italienne s'empressa de quitter la cuisine, son sac de farine à la main.
-- Je te le rends demain, précisa-t-elle avant de franchir la porte d'entré et de s'élancer en courant en direction de sa demeure.
Une fois seule, Claire, encore toute étourdie par ce que sa voisine lui avait fait vivre, s'en retourna dans la cuisine avec une idée bien arrêtée : calmer le brasier que la perverse Italienne avait allumé dans ses entrailles. Elle s'approcha de la table ou reposait la courgette dont Fulvia s'était servie pour enflammer ses sens, que le temps orageux excitait sournoisement depuis quelques jours déjà. Là, elle saisit d'une main tremblante de désir le long légume pour le glisser entre ses cuisses moites qu'elle écarta largement. Lentement d'abord, elle frotta le bout arrondi de la courgette contre sa chatte trempée par les sécrétions que Fulvia avait fait naître. Ses grandes lèvres sexuelles gonflées de désir s'écartèrent aussitôt sous le va-et-vient du légume, humectant peu à peu celui-ci. Longuement elle fit coulisser le cucurbitacée à la forme de pénis contre sa longue fente, éprouvant un indicible plaisir à ce frottement sensuel.
Comme pour accompagner la montée de l'euphorie qu'elle se procurait, elle agita ses hanches, ondulant doucement du bas-ventre, au rythme des ondes voluptueuses qui la parcouraient toute et qui allaient mourir dans ses seins gonflés. De sa vulve ainsi frottée une source brûlante s'échappait, trempant copieusement le légume qui coulissait contre. Jugeant alors qu’elle mouillait suffisamment pour tenter ce que les gestes pervers de Fulvia avaient fait naître dans son esprit troublé, elle attira une chaise à elle sur laquelle elle s'assit confortablement. Puis relevant ses jambes qu’elle écarta largement, elle posa ses pieds sur la table. Et afin d'être libre de ses mouvements, elle déboutonna entièrement sa blouse qui s'ouvrit d'elle même, dénudant son corps aux courbes terriblement sensuelles et frissonnant d'un désir ardent.
Alors, ainsi installée, dans une posture réellement obscène pour tout visiteur qui serait entré à ce moment, elle présenta de nouveau l'énorme fruit entre ses cuisses moites de ses liqueur amoureuse. Là, dans un frisson de tout son être, elle présenta le bout arrondi et gluant de ses sécrétions intimes à l'entrée de sa chatte copieusement imbibée et assouplie par l'intense désir qui l'habitait. Appréhendant quelque peu ce qu'elle avait décidé de tenter, elle poussa doucement l'énorme légume à l'intérieur de sa vulve ruisselante. A sa surprise et pour sa plus grande joie la courgette, d'une taille plutôt imposante s'enfonça sans difficulté dans sa chatte grande ouverte. Ses chairs intimes s'ouvrirent d'elles même pour livrer passage à ce pal végétal sur lequel elles se refermèrent aussitôt, l'enserrant de leur moiteur enivrante. Claire éprouva alors un plaisir mêlé d'étonnement quand à la facilité avec laquelle son sexe s'était dilaté sous cette colossale pénétration. Quand le légume se trouva bloqué au plus profond de son vagin, dans l'impossibilité d'aller plus loin, elle demeura ainsi, immobile, profondément empalée, afin de s'habituer à cette énormité fichée au plus intime de sa féminité. Puis au bout de quelques minutes, impatiente de connaître de nouvelles sensations sexuelles, elle entreprit de faire coulisser le colossal légume entre les lèvres écartelées de sa vulve investie, éprouvant une sorte de bien-être charnel.
Sous cette délicieuse félicité que lui procurait la courgette en glissant lentement dans sa chatte gluante de ses humeurs vaginales, elle accéléra peu à peu le mouvements de son poignet, se pistonnant le vagin de plus en plus rapidement. Chaque choc de l'extrémité durci du légume contre le fond de son sexe la faisait sursauter de plaisir sur sa chaise. Jamais encore elle n'avait ressenti un tel ravissement sexuel, que se soit avec Jacques, son mari ou avec Guillaume son jeune amant, qui possédait pourtant une verge d'une longueur supérieur à celle de son époux. Le gland des organes masculins faisant office d'amortisseur lorsqu'il venait frapper le col de l'utérus de la femme, ce que ne faisait pas le légume rigide, lui causant ainsi un plaisir étrange qui se répercutait au plus profond de ses entrailles. Les fesses bien calées sur sa chaise, les jambes largement écartées et les pieds posés sur le rebord de la table, Claire s'activa frénétiquement dans son entrecuisse trempé, faisant coulisser à l'intérieur de sa chatte débordante d'un jus chaud et onctueux, avec une sorte de rage sexuelle, l'énorme phallus végétal. Chaque violente pénétration lui arrachait un gémissement de plaisir, tandis que chaque retrait du légume s'accompagnait d'un véritable déluge, d'un liquide tiède ; qui s'échappant de sa longue fente dilatée, lui poissait l'intérieur des cuisses, s'infiltrait dans la profonde raie séparant ses fesses pour venir lui engluer l'anus.
Tout en enfonçant passionnément la courgette trempée dans les replis moites de sa vulve, recherchant impérieusement l'orgasme qui la libérerait de ses fantasmes, Claire empoigna ses seins de sa main libre pour les presser fiévreusement, pinçant sauvagement ses tétons raidis ; les étirant cruellement en les roulant entre le pouce et l'index, les pressant douloureusement. Puis les relâchant brusquement, laissant ses seins retomber mollement, elle les ressaisissait aussitôt pour de nouveau les triturer sauvagement. Depuis qu'elle avait été en âge de fréquenter des garçons, Claire s'était vite aperçue, lors de flirts un peu poussés, qu'il suffisait que son partenaire lui pince le bout des seins pour qu'elle en éprouve un plaisir intense. Il lui était même arrivé, quelque fois, d'avoir un orgasme aussi violent que fulgurant, lorsque son amoureux du moment, ivre de désir lui pinçait ou lui mordait les tétons un peu plus durement.
Cependant, sous ces différentes caresses, Claire, dans le silence de sa cuisine ne tarda pas à sentir la jouissance prendre possession de son corps. Une douce chaleur grimpa le long de ses reins, tandis que son bas-ventre se crispait par spasmes nerveux. Dans sa vulve investie, la source qui avait pris naissance s'était transformée en un véritable torrent bouillonnant. Abandonnant alors sa poitrine douloureuse, elle posa sa main en haut de sa longue fente sexuelle dilatée par l’énorme légume, et là elle alla dénicher son bouton d'amour tapi entre les grandes lèvres humides de sa chatte distendue, qu’elle entreprit de titiller d’un doigt alerte, le pinçant délicatement ou le griffant doucement de son ongle. Alors tout se passa rapidement, une houle interne lui irradia les entrailles et dans un spasme violent, elle connut un violent orgasme qui la fit se cambrer sur sa chaise trempée par ses sécrétions vaginales.
à suivre...
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