Le voyeur du chantier...2
Récit érotique écrit par Salvatore [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Salvatore ont reçu un total de 41 992 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2004 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 4 126 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le voyeur du chantier...2
Arrivée chez elle, Claire eut droit à un concert de protestations de la part de son mari et de ses enfants :
-- Ah, te voilà enfin !
-- On se faisait du souci !
-- Moi j'ai faim !
Afin de mettre fin à ces agressions verbales, elle dut rapidement inventer une excuse valable pour son retard ; elle leur expliqua alors, qu'il y avait eu un accident sur la route et que celui-ci avait occasionné un bouchon. Puis la faim étant la plus forte, tout le monde prit place autour de la table de la salle à manger, où tout en s'alimentant, chacun y alla de son anecdote sur les dangers de la circulation.
Très vite Claire se désintéressa des propos échangés autour d'elle, pour se remémorer les enivrants moments qu'elle avait vécus sur ce chantier désert. Mais si les échanges amoureux partagés avec son jeune amant dans l'intimité de la « Clio » lui remontèrent tendrement en mémoire, ils furent vite chassés par la vision de cet homme qui les avait espionnés pendant tout le temps qu’avaient duré leurs ébats. L'image de ce gland crachant sa semence laiteuse contre la vitre de la voiture la bouleversait à tel point, que les moments, pourtant affolants passés avec Guillaume s'estompèrent au profit du souvenir de cet inconnu se masturbant furieusement en la regardant oeuvrer. Sous ces images qui défilaient dans son esprit, un étrange désir se propagea au plus intime de sa féminité, la faisant mouiller doucement sur sa chaise. Avec émoi, elle songea à sa culotte encore tout humide de sa jouissance récente.
-- ...... Maman !
-- Oui ?... Qu'est-ce que tu disais ? S'inquiéta Claire revenant brutalement à la réalité du repas.
-- Je te demandais, lui répéta Isabelle, si tu voulais bien me prêter ta voiture cet après-midi. J'ai promis à Jacqueline de passer la voir.
-- Si tu veux ma chérie. A la condition que tu m'aides à faire la vaisselle, accepta Claire.
-- Tu pourras me déposer à la vogue ? S'empressa de demander René à sa sœur aînée.
-- D'accord, à condition que tu nous aides à faire la vaisselle, accepta celle-ci en reprenant les conditions de sa mère.
Le repas dominical terminé, Jacques, laissant les membres de sa famille s'occuper à la cuisine, alla s'installer dans un fauteuil face au poste de télévision, afin de suivre les dernières informations...
La vaisselle lavée et rangée, Isabelle entraînant son jeune frère, s'empressa de s'installer avec un plaisir évident derrière le volant de la « Clio », sous le regard attendri de Claire qui leur fit un signe de la main. Une fois la voiture disparue, Claire regagna le salon où Jacques, confortablement installé regardait une émission de variété. Connaissant les habitudes de son mari, elle se dirigea vers le bahut où était rangé les alcools, afin de lui servir son verre de Cognac hebdomadaire.
Regardant d'un oeil distrait ce qui se passait sur le petit écran, Jacques suivit les déplacements de sa femme, et lorsque celle-ci se pencha en avant pour aller récupérer la bouteille de Cognac dans le bas du meuble, il ne put s'empêcher de poser un regard gourmand sur la croupe ronde, qui du fait de la position de sa propriétaire, se tendait dans sa direction, plaquant le tissu de la courte jupe sur les fesses fermes et au volume affolant. Sous le léger vêtement épousant le contour du postérieur évasé de son épouse, Jacques put discerner avec émoi le contour en relief de la culotte qui enserrait le derrière rebondi. Sous cette vision terriblement érotique, il ressentit un incontestable désir lui envahir le bas-ventre et donner vie à son membre viril. Aussi lorsque Claire s'approcha de son fauteuil lui offrant avec un sourire le verre ballon à demi plein de Cognac, il ne put s’empêcher de lancer sa main gauche en direction des jambes largement découvertes par la courte jupe.
Comme elle se penchait innocemment pour offrir le verre d'alcool à son époux, Claire sentit une main curieuse se poser derrière son genou, puis remonter lentement le long de sa jambe, atteindre sa cuisse frémissante dans une approche terriblement sensuelle. Surprise par cet attouchement, auquel elle ne s'attendait pas, elle s'immobilisa la respiration soudain accélérée, attendant troublée la suite de la progression :
-- Eh bien ! Tu as perdu quelque chose ? Tenta-t-elle de plaisanter, songeant amusée que son époux allait être fort surpris lorsqu’il allait découvrir combien sa vulve était mouillée.
Avec émoi, Jacques sentit sous ses doigts la peau douce, moelleuse et si soyeuse de l'intérieur des cuisses de sa sensuelle épouse. Laissant sa main remonter encore entre les deux colonnes de chair chaudes et frémissantes il ne tarda pas à venir buter sur le fin rempart de nylon de la culotte. L’abondante humidité qui poissait l’entrejambe de celle-ci l’étonna fortement.
Sous cet attouchement affolant, qui accentua encore le trouble qui l'habitait depuis sa rencontre avec le voyeur du chantier, Claire, ne se souciant pas de savoir si son mari allait être surpris de constater combien elle était mouillée, écarta largement les jambes afin de permettre à la main masculine d’œuvrer à son aise dans son entrecuisse. Avec émotion elle sentit les doigts de son époux, écarter l'entrejambe de son slip, fourrager dans sa toison intime, pour bientôt atteindre sa longue faille sexuelle qui permettait l'entrée de son sanctuaire secret. Avec un gémissement d’impatience et de contentement elle ploya des genoux lorsqu'un doigt s'enfonce lentement entre les lèvres humides de sa chatte qui n'avait cessé de ruisseler depuis le matin :
-- Mon Dieu, comme tu es mouillée s'exclama Jacques en découvrant l'abondante moiteur qui lui enserrait le majeur.
-- J'ai envie de faire l'amour, répliqua Claire d’une voix rauque.
-- En effet, je m'en rends compte. Qu'est-ce qu'il t'arrive ?... C'est parce que les enfants ne sont pas là ?
Pour toute réponse, Claire poussa un long gémissement car un deuxième doigt venait de s'enfoncer dans sa vulve trempée, s'accouplant au premier pour ramoner habilement son conduit sexuel gorgé de sucs vaginaux, tandis qu'un troisième venait lui écraser le clitoris. Vacillant sur ses jambes, elle préféra poser le verre ballon qu'elle tenait toujours dans sa main, sur un guéridon proche du fauteuil où Jacques était installé. Puis les yeux fermés sur son plaisir elle s'abandonna complètement aux caresses terriblement voluptueuses que lui prodiguait son époux, ployant encore un peu plus les genoux, afin de mieux se prêter à cette pénétration digitale. Dans sa chatte poisseuse les deux doigts accolés coulissaient avec une lenteur qui exacerbait ses sens en fusion, la faisant littéralement ruisseler.
-- Plus vite, gémit-elle. Va plus vite, c'est tellement bon.
Jacques qui éprouvait lui-même un énorme plaisir à explorer la grotte intime de sa sensuelle épouse, continua de fouiller à son rythme la large galerie sexuelle chaude et sirupeuse, sans se soucier des doléances de sa compagne sexuellement affolée, qui l'incitait à accélérer ses va-et-vient. Longuement il explora ainsi la vulve dégoulinante, frottant avec délectation les parois spongieuses. Une chaude liqueur s'échappait d'entre les grandes lèvres sexuelles et venait lui engluer la main... Ployant de plus en plus sous le plaisir qui lui irradiait le bas-ventre, Claire gémissait doucement, encourageant son mari :
-- Ooohhh ouuii. C'est merveilleux… Continue !... Huummm…
Mais l'incandescence qui se propageait dans ses entrailles, déclencha en elle un accès de fièvre lubrique. Sexuellement perturbée depuis le matin, ivre de désir, elle lança ses mains en direction de la ceinture du pantalon de son époux, qu'elle entreprit de dégrafer fébrilement. La braguette ne résista pas longtemps à ses doigts énervés, pas plus que le slip qu'elle repoussa impérativement, impatiente de mettre à jour l'objet de ses envies. Libérée de son emprisonnement, la verge bandée se redressa au garde à vous, présentant à la femme bouleversée, son champignon violacé et gonflé au centre duquel le méat s'ouvrait comme une minuscule bouche appelant le baiser. Refermant ses doigts autour du pieu de chair raidi, Claire entreprit alors de le branler d'une manière vigoureuse.
-- Doucement, s'écria Jacques surprit par cette furieuse masturbation. Calme-toi, tu vas me l’arracher !…
Mais à sentir cette colonne de chair, ferme et dure, à la peau si veloutée contre sa paume lui rappela celle de ce voyeur qui avait éjaculé sa semence contre la « Clio ». Le souvenir de tout ce sperme dégoulinant contre la vitre de la voiture acheva de bouleverser Claire, qui sentant le plaisir l'envahir peu à peu, se recula précipitamment, échappant dans un gémissement douloureux, aux doigts qui la fouillaient intimement. Fixant d'un air goulu la verge dressée de son époux, elle retroussa vivement sa courte jupe, en se contorsionnant pour lui faire passer les rondeurs de ses hanches évasées ; puis elle repoussa sa culotte, à l'entrejambe complètement trempé, le long de ses jambes.
-- Qu'est-ce que tu fais ? Interrogea Jacques que ce spectacle excitait au plus haut point.
-- Je veux que tu me fasses l'amour !... Je veux sentir ta grosse queue dans ma chatte ! Râla Claire impatiente.
Pressée de sentir la puissante virilité de son époux la pénétrer intimement, la jeune femme se plaça face à son mari toujours assis dans son fauteuil et pivota sur elle-même, présentant ainsi à son compagnon ses fesses rondes et fermes, sachant combien ce dernier appréciait son cul opulent. Pliant les genoux elle tendit sa large croupe en arrière afin de venir s'asseoir sur le membre viril dressé. Habilement elle plaça ses longues lèvres sexuelles gorgées de sucs mielleux au-dessus du gland congestionné, et lentement elle s'assit sur les cuisses de son compagnon, ravi. La puissante colonne de chair énormément gonflée s'enfonça alors lentement dans le corridor onctueux menant à son vagin en combustion, le champignon turgide refoulant ses chairs intimes, lui procurant un indicible plaisir.
-- Huummm, comme c'est bon, grogna-t-elle à l'intention de son mari… Je te sens bien dans ma chatte !
Voluptueusement fichée sur la volumineuse verge qui lui emplissait la vulve, Claire s'immobilisa un instant afin de s'habituer à cette charnelle intrusion au sein de son intimité.
Jacques, le membre enfoui dans la fournaise humide de son épouse s'abandonna au bien être de se sentir enfoncé au plus profond du sexe de sa compagne. Mais désirant sentir le fourreau torride coulisser le long de sa queue tendue, il empoigna les fesses compactes de sa femme, qu'il força à se soulever pour aussitôt la laisser retomber de tout son poids sur son membre épais, lui arrachant un râle de bonheur.
Tirée de sa torpeur sensuelle, Claire commença alors à s'agiter. Les mains reposant sur ses genoux, elle souleva son bassin faisant ainsi glisser de bas en haut sa chatte trempée, le long de la virilité gonflée ; jusqu'au moment où sentant le gland sur le point de s'échapper de sa fente rendue glissante du fait de ses sécrétions vaginales, elle se laissa retomber sur les cuisses de son compagnon, sa chatte exécutant le trajet inverse le long de la verge qui la perforait. Poussant des petits gémissements de plaisir, elle s'empala ainsi une dizaine de fois, se procurant un plaisir de plus en plus intense, s'aidant en cela de la vision de cet homme, qui dans ce chantier désert s'était branlé pour elle, en la fixant, jusqu'à ce faire jouir à longs jets blanchâtres. De sa vulve barattée par un solide pilon de chair, un flot tiède s'échappait, poissant le tissu du pantalon de Jacques.
Immobile, celui-ci laissait oeuvrer sa sensuelle épouse, éprouvant un plaisir double. A celui, terriblement voluptueux procuré par le va-et-vient de la chatte liquéfié le long de sa queue congestionnée, se joignait celui suscité par la vue de la croupe dodue s'agitant follement sur son dard. Ayant empoigné depuis le début de la danse érotique de sa femme, les fesses fermes et potelées, il les avait largement écartées l'une de l'autre, afin de s'enivrer sexuellement du spectacle de l'anus brun et plissé qui s'entrouvrait convulsivement à chaque pénétration de sa verge dans le vagin bouillonnant.
Mais à se démener ainsi, à coulisser éperdument sur la queue raide et gonflée de son mari, Claire ne tarda pas à sentir la jouissance l'envahir, la submerger, lui irradier les reins, le bas-ventre et les seins. Une explosion soudaine au plus intime de ses entrailles la tétanisa toute. Dans un long cri inhumain, elle jouit avec fureur, longuement, en se renversant contre la poitrine de son époux qui l'encercla tendrement de ses bras.
La main gauche posée sur le ventre haletant de son épouse, à l'intérieur duquel palpitait sa verge toujours aussi bandée, Jacques laissa sa compagne reprendre peu à peu ses esprits en caressant doucement la chair moite et frémissante :
-- C'était merveilleux, murmura Claire au bout d'un instant en revenant à elle. J’en avais tellement envie, tu ne peux pas savoir...
-- En effet, je m’en suis rendu compte lui répliqua Jacques… Il y a longtemps que tu n’avais joui aussi fort… Je suis trempé…
-- Ça n’a pas d’importance, tu te changeras avant que les enfants ne rentrent… Mais toi, tu n'as pas joui ? S'inquiéta-t-elle en sentant dans sa chatte la raideur toujours présente du désir de son mari.
-- Tu ne m'en as pas laissé le temps !
-- Mon pauvre chéri, laisse-moi faire.
Alors en épouse consommée, désireuse d'apporter à son compagnon, le plaisir qu'il était en droit d'attendre, elle reprit sa position d'amazone pour entamer une nouvelle chevauchée érotique, plus lente, plus voluptueuse, attentionnée à amener son époux à la jouissance finale. De sa chatte liquéfiée par sa précédente jouissance, un clapotis s'élevait sous les va-et-vient du membre viril qui la pourfendait, excitant un peu plus ses sens et ceux de son époux. Mais comme elle amorçait un mouvement de retrait de son bassin, la verge engluée de ses sucs intimes s'échappa de sa vulve devenue extrêmement glissante de par l'abondance de ses sécrétions vaginales.
-- Ohh ! S'exclama-t-elle. Ça devient glissant.
Passant vivement une main entre ses cuisses elle saisit la queue gluante de ses déjections amoureuses et la maintenant fermement elle se réinstalla correctement au-dessus. Mais, prise d'une tentation nouvelle et sachant combien son époux, comme tout homme, appréciait le fait d’enfoncer sa virilité dans le minuscule orifice qui se cachait entre ses fesses, elle se plaça de façon à approcher l'ouverture secrète de ses reins face au gland dilaté. Puis sentant le bourgeon de chair gonflé contre sa frêle corolle anale, elle appuya fermement son anus resserré sur le nœud dur et volumineux. Grimaçant sous l'effort, elle poussa de toutes ses forces, forçant son petit trou à accepter l'introduction de ce pal de chair énorme.
-- Oh comme tu es gros ! Grogna-t-elle.
Comprenant les intentions de son épouse, Jacques s'empressa de la saisir par les hanches et follement excité à l'idée d'enfoncer sa queue dans ce cul étroit, qui à chaque fois lui donnait un plaisir inouï, il l'attira vigoureusement à lui, lui arrachant un long râle où se mêlaient douleur et plaisir. Sous la furieuse poussée exercée par son compagnon, Claire sentit son orifice anal s'ouvrir, s'écarter, se distendre sous la formidable contrainte du gland volumineux. Celui-ci s'enfonça alors lentement dans le conduit réduit de ses reins, lui procurant une légère douleur, vite effacée par une exquise félicité. Une fois que l'énorme bourgeon de chair eut franchi le passage resserré de la collerette distendue de son anus, tout le reste de la verge s'enfonça sans problème dans son cul dilaté, lui procurant un extraordinaire plaisir, comme à chaque fois qu'elle se faisait sodomiser ; un plaisir plus fort, plus consistant, plus vigoureux que lorsqu'elle se faisait baiser normalement. Comme à chaque fois elle éprouva la sensation étrange d'être si profondément empalée, qu'elle eut l'impression que l'énorme gland la pénétrait jusqu'au milieu du ventre et qu'au moindre mouvement, le pieu qui la pourfendait allait encore s'enfoncer plus loin dans ses entrailles, pour lui remonter jusqu'au gosier.
Inconscient des impressions que ressentait son épouse, Jacques remua son bassin, impatient de sentir l'étroit manchon de chair qui l'étranglait voluptueusement, coulisser le long de son membre avide d'émotions. Le cul élargi, Claire reprit sa pose initiale, les mains posées sur ses genoux, elle entreprit alors une nouvelle chevauchée, plus lente, moins fougueuse du fait de l'écartèlement de son orifice anal, chaque retombée de sa croupe sur le pal de chair affreusement gonflé lui arrachait un grognement de satisfaction.
Confortablement installé au sein de son fauteuil, Jacques, les yeux fixés sur la croupe ronde qui s'agitait de bas en haut sur ses cuisses, sentait l'extase monter doucement le long de sa virilité comprimée par le cul resserré de sa compagne. Laissant le plaisir l'envahir graduellement, il s'empara du verre de Cognac que Claire avait déposé sur le guéridon, et attendit le corps crispé la venue de l'orgasme qu'il sentait imminente. Lorsque celle-ci le saisit, il eut l'impression que sa verge trop resserrée pour exploser normalement, demeurait figée, mais lâchait sa semence avec plus de force. Portant vivement le verre ballon à ses lèvres, il absorba goulûment le Cognac ambré, tandis que de son méat dilaté, son sperme jaillissait par saccades violentes et rapprochées, inondant copieusement les intestins de sa femme, qui percevant l'abondant lavement dont ses entrailles étaient l'objet, se mit à jouir pour la seconde fois, le corps arqué.
-- Ah, te voilà enfin !
-- On se faisait du souci !
-- Moi j'ai faim !
Afin de mettre fin à ces agressions verbales, elle dut rapidement inventer une excuse valable pour son retard ; elle leur expliqua alors, qu'il y avait eu un accident sur la route et que celui-ci avait occasionné un bouchon. Puis la faim étant la plus forte, tout le monde prit place autour de la table de la salle à manger, où tout en s'alimentant, chacun y alla de son anecdote sur les dangers de la circulation.
Très vite Claire se désintéressa des propos échangés autour d'elle, pour se remémorer les enivrants moments qu'elle avait vécus sur ce chantier désert. Mais si les échanges amoureux partagés avec son jeune amant dans l'intimité de la « Clio » lui remontèrent tendrement en mémoire, ils furent vite chassés par la vision de cet homme qui les avait espionnés pendant tout le temps qu’avaient duré leurs ébats. L'image de ce gland crachant sa semence laiteuse contre la vitre de la voiture la bouleversait à tel point, que les moments, pourtant affolants passés avec Guillaume s'estompèrent au profit du souvenir de cet inconnu se masturbant furieusement en la regardant oeuvrer. Sous ces images qui défilaient dans son esprit, un étrange désir se propagea au plus intime de sa féminité, la faisant mouiller doucement sur sa chaise. Avec émoi, elle songea à sa culotte encore tout humide de sa jouissance récente.
-- ...... Maman !
-- Oui ?... Qu'est-ce que tu disais ? S'inquiéta Claire revenant brutalement à la réalité du repas.
-- Je te demandais, lui répéta Isabelle, si tu voulais bien me prêter ta voiture cet après-midi. J'ai promis à Jacqueline de passer la voir.
-- Si tu veux ma chérie. A la condition que tu m'aides à faire la vaisselle, accepta Claire.
-- Tu pourras me déposer à la vogue ? S'empressa de demander René à sa sœur aînée.
-- D'accord, à condition que tu nous aides à faire la vaisselle, accepta celle-ci en reprenant les conditions de sa mère.
Le repas dominical terminé, Jacques, laissant les membres de sa famille s'occuper à la cuisine, alla s'installer dans un fauteuil face au poste de télévision, afin de suivre les dernières informations...
La vaisselle lavée et rangée, Isabelle entraînant son jeune frère, s'empressa de s'installer avec un plaisir évident derrière le volant de la « Clio », sous le regard attendri de Claire qui leur fit un signe de la main. Une fois la voiture disparue, Claire regagna le salon où Jacques, confortablement installé regardait une émission de variété. Connaissant les habitudes de son mari, elle se dirigea vers le bahut où était rangé les alcools, afin de lui servir son verre de Cognac hebdomadaire.
Regardant d'un oeil distrait ce qui se passait sur le petit écran, Jacques suivit les déplacements de sa femme, et lorsque celle-ci se pencha en avant pour aller récupérer la bouteille de Cognac dans le bas du meuble, il ne put s'empêcher de poser un regard gourmand sur la croupe ronde, qui du fait de la position de sa propriétaire, se tendait dans sa direction, plaquant le tissu de la courte jupe sur les fesses fermes et au volume affolant. Sous le léger vêtement épousant le contour du postérieur évasé de son épouse, Jacques put discerner avec émoi le contour en relief de la culotte qui enserrait le derrière rebondi. Sous cette vision terriblement érotique, il ressentit un incontestable désir lui envahir le bas-ventre et donner vie à son membre viril. Aussi lorsque Claire s'approcha de son fauteuil lui offrant avec un sourire le verre ballon à demi plein de Cognac, il ne put s’empêcher de lancer sa main gauche en direction des jambes largement découvertes par la courte jupe.
Comme elle se penchait innocemment pour offrir le verre d'alcool à son époux, Claire sentit une main curieuse se poser derrière son genou, puis remonter lentement le long de sa jambe, atteindre sa cuisse frémissante dans une approche terriblement sensuelle. Surprise par cet attouchement, auquel elle ne s'attendait pas, elle s'immobilisa la respiration soudain accélérée, attendant troublée la suite de la progression :
-- Eh bien ! Tu as perdu quelque chose ? Tenta-t-elle de plaisanter, songeant amusée que son époux allait être fort surpris lorsqu’il allait découvrir combien sa vulve était mouillée.
Avec émoi, Jacques sentit sous ses doigts la peau douce, moelleuse et si soyeuse de l'intérieur des cuisses de sa sensuelle épouse. Laissant sa main remonter encore entre les deux colonnes de chair chaudes et frémissantes il ne tarda pas à venir buter sur le fin rempart de nylon de la culotte. L’abondante humidité qui poissait l’entrejambe de celle-ci l’étonna fortement.
Sous cet attouchement affolant, qui accentua encore le trouble qui l'habitait depuis sa rencontre avec le voyeur du chantier, Claire, ne se souciant pas de savoir si son mari allait être surpris de constater combien elle était mouillée, écarta largement les jambes afin de permettre à la main masculine d’œuvrer à son aise dans son entrecuisse. Avec émotion elle sentit les doigts de son époux, écarter l'entrejambe de son slip, fourrager dans sa toison intime, pour bientôt atteindre sa longue faille sexuelle qui permettait l'entrée de son sanctuaire secret. Avec un gémissement d’impatience et de contentement elle ploya des genoux lorsqu'un doigt s'enfonce lentement entre les lèvres humides de sa chatte qui n'avait cessé de ruisseler depuis le matin :
-- Mon Dieu, comme tu es mouillée s'exclama Jacques en découvrant l'abondante moiteur qui lui enserrait le majeur.
-- J'ai envie de faire l'amour, répliqua Claire d’une voix rauque.
-- En effet, je m'en rends compte. Qu'est-ce qu'il t'arrive ?... C'est parce que les enfants ne sont pas là ?
Pour toute réponse, Claire poussa un long gémissement car un deuxième doigt venait de s'enfoncer dans sa vulve trempée, s'accouplant au premier pour ramoner habilement son conduit sexuel gorgé de sucs vaginaux, tandis qu'un troisième venait lui écraser le clitoris. Vacillant sur ses jambes, elle préféra poser le verre ballon qu'elle tenait toujours dans sa main, sur un guéridon proche du fauteuil où Jacques était installé. Puis les yeux fermés sur son plaisir elle s'abandonna complètement aux caresses terriblement voluptueuses que lui prodiguait son époux, ployant encore un peu plus les genoux, afin de mieux se prêter à cette pénétration digitale. Dans sa chatte poisseuse les deux doigts accolés coulissaient avec une lenteur qui exacerbait ses sens en fusion, la faisant littéralement ruisseler.
-- Plus vite, gémit-elle. Va plus vite, c'est tellement bon.
Jacques qui éprouvait lui-même un énorme plaisir à explorer la grotte intime de sa sensuelle épouse, continua de fouiller à son rythme la large galerie sexuelle chaude et sirupeuse, sans se soucier des doléances de sa compagne sexuellement affolée, qui l'incitait à accélérer ses va-et-vient. Longuement il explora ainsi la vulve dégoulinante, frottant avec délectation les parois spongieuses. Une chaude liqueur s'échappait d'entre les grandes lèvres sexuelles et venait lui engluer la main... Ployant de plus en plus sous le plaisir qui lui irradiait le bas-ventre, Claire gémissait doucement, encourageant son mari :
-- Ooohhh ouuii. C'est merveilleux… Continue !... Huummm…
Mais l'incandescence qui se propageait dans ses entrailles, déclencha en elle un accès de fièvre lubrique. Sexuellement perturbée depuis le matin, ivre de désir, elle lança ses mains en direction de la ceinture du pantalon de son époux, qu'elle entreprit de dégrafer fébrilement. La braguette ne résista pas longtemps à ses doigts énervés, pas plus que le slip qu'elle repoussa impérativement, impatiente de mettre à jour l'objet de ses envies. Libérée de son emprisonnement, la verge bandée se redressa au garde à vous, présentant à la femme bouleversée, son champignon violacé et gonflé au centre duquel le méat s'ouvrait comme une minuscule bouche appelant le baiser. Refermant ses doigts autour du pieu de chair raidi, Claire entreprit alors de le branler d'une manière vigoureuse.
-- Doucement, s'écria Jacques surprit par cette furieuse masturbation. Calme-toi, tu vas me l’arracher !…
Mais à sentir cette colonne de chair, ferme et dure, à la peau si veloutée contre sa paume lui rappela celle de ce voyeur qui avait éjaculé sa semence contre la « Clio ». Le souvenir de tout ce sperme dégoulinant contre la vitre de la voiture acheva de bouleverser Claire, qui sentant le plaisir l'envahir peu à peu, se recula précipitamment, échappant dans un gémissement douloureux, aux doigts qui la fouillaient intimement. Fixant d'un air goulu la verge dressée de son époux, elle retroussa vivement sa courte jupe, en se contorsionnant pour lui faire passer les rondeurs de ses hanches évasées ; puis elle repoussa sa culotte, à l'entrejambe complètement trempé, le long de ses jambes.
-- Qu'est-ce que tu fais ? Interrogea Jacques que ce spectacle excitait au plus haut point.
-- Je veux que tu me fasses l'amour !... Je veux sentir ta grosse queue dans ma chatte ! Râla Claire impatiente.
Pressée de sentir la puissante virilité de son époux la pénétrer intimement, la jeune femme se plaça face à son mari toujours assis dans son fauteuil et pivota sur elle-même, présentant ainsi à son compagnon ses fesses rondes et fermes, sachant combien ce dernier appréciait son cul opulent. Pliant les genoux elle tendit sa large croupe en arrière afin de venir s'asseoir sur le membre viril dressé. Habilement elle plaça ses longues lèvres sexuelles gorgées de sucs mielleux au-dessus du gland congestionné, et lentement elle s'assit sur les cuisses de son compagnon, ravi. La puissante colonne de chair énormément gonflée s'enfonça alors lentement dans le corridor onctueux menant à son vagin en combustion, le champignon turgide refoulant ses chairs intimes, lui procurant un indicible plaisir.
-- Huummm, comme c'est bon, grogna-t-elle à l'intention de son mari… Je te sens bien dans ma chatte !
Voluptueusement fichée sur la volumineuse verge qui lui emplissait la vulve, Claire s'immobilisa un instant afin de s'habituer à cette charnelle intrusion au sein de son intimité.
Jacques, le membre enfoui dans la fournaise humide de son épouse s'abandonna au bien être de se sentir enfoncé au plus profond du sexe de sa compagne. Mais désirant sentir le fourreau torride coulisser le long de sa queue tendue, il empoigna les fesses compactes de sa femme, qu'il força à se soulever pour aussitôt la laisser retomber de tout son poids sur son membre épais, lui arrachant un râle de bonheur.
Tirée de sa torpeur sensuelle, Claire commença alors à s'agiter. Les mains reposant sur ses genoux, elle souleva son bassin faisant ainsi glisser de bas en haut sa chatte trempée, le long de la virilité gonflée ; jusqu'au moment où sentant le gland sur le point de s'échapper de sa fente rendue glissante du fait de ses sécrétions vaginales, elle se laissa retomber sur les cuisses de son compagnon, sa chatte exécutant le trajet inverse le long de la verge qui la perforait. Poussant des petits gémissements de plaisir, elle s'empala ainsi une dizaine de fois, se procurant un plaisir de plus en plus intense, s'aidant en cela de la vision de cet homme, qui dans ce chantier désert s'était branlé pour elle, en la fixant, jusqu'à ce faire jouir à longs jets blanchâtres. De sa vulve barattée par un solide pilon de chair, un flot tiède s'échappait, poissant le tissu du pantalon de Jacques.
Immobile, celui-ci laissait oeuvrer sa sensuelle épouse, éprouvant un plaisir double. A celui, terriblement voluptueux procuré par le va-et-vient de la chatte liquéfié le long de sa queue congestionnée, se joignait celui suscité par la vue de la croupe dodue s'agitant follement sur son dard. Ayant empoigné depuis le début de la danse érotique de sa femme, les fesses fermes et potelées, il les avait largement écartées l'une de l'autre, afin de s'enivrer sexuellement du spectacle de l'anus brun et plissé qui s'entrouvrait convulsivement à chaque pénétration de sa verge dans le vagin bouillonnant.
Mais à se démener ainsi, à coulisser éperdument sur la queue raide et gonflée de son mari, Claire ne tarda pas à sentir la jouissance l'envahir, la submerger, lui irradier les reins, le bas-ventre et les seins. Une explosion soudaine au plus intime de ses entrailles la tétanisa toute. Dans un long cri inhumain, elle jouit avec fureur, longuement, en se renversant contre la poitrine de son époux qui l'encercla tendrement de ses bras.
La main gauche posée sur le ventre haletant de son épouse, à l'intérieur duquel palpitait sa verge toujours aussi bandée, Jacques laissa sa compagne reprendre peu à peu ses esprits en caressant doucement la chair moite et frémissante :
-- C'était merveilleux, murmura Claire au bout d'un instant en revenant à elle. J’en avais tellement envie, tu ne peux pas savoir...
-- En effet, je m’en suis rendu compte lui répliqua Jacques… Il y a longtemps que tu n’avais joui aussi fort… Je suis trempé…
-- Ça n’a pas d’importance, tu te changeras avant que les enfants ne rentrent… Mais toi, tu n'as pas joui ? S'inquiéta-t-elle en sentant dans sa chatte la raideur toujours présente du désir de son mari.
-- Tu ne m'en as pas laissé le temps !
-- Mon pauvre chéri, laisse-moi faire.
Alors en épouse consommée, désireuse d'apporter à son compagnon, le plaisir qu'il était en droit d'attendre, elle reprit sa position d'amazone pour entamer une nouvelle chevauchée érotique, plus lente, plus voluptueuse, attentionnée à amener son époux à la jouissance finale. De sa chatte liquéfiée par sa précédente jouissance, un clapotis s'élevait sous les va-et-vient du membre viril qui la pourfendait, excitant un peu plus ses sens et ceux de son époux. Mais comme elle amorçait un mouvement de retrait de son bassin, la verge engluée de ses sucs intimes s'échappa de sa vulve devenue extrêmement glissante de par l'abondance de ses sécrétions vaginales.
-- Ohh ! S'exclama-t-elle. Ça devient glissant.
Passant vivement une main entre ses cuisses elle saisit la queue gluante de ses déjections amoureuses et la maintenant fermement elle se réinstalla correctement au-dessus. Mais, prise d'une tentation nouvelle et sachant combien son époux, comme tout homme, appréciait le fait d’enfoncer sa virilité dans le minuscule orifice qui se cachait entre ses fesses, elle se plaça de façon à approcher l'ouverture secrète de ses reins face au gland dilaté. Puis sentant le bourgeon de chair gonflé contre sa frêle corolle anale, elle appuya fermement son anus resserré sur le nœud dur et volumineux. Grimaçant sous l'effort, elle poussa de toutes ses forces, forçant son petit trou à accepter l'introduction de ce pal de chair énorme.
-- Oh comme tu es gros ! Grogna-t-elle.
Comprenant les intentions de son épouse, Jacques s'empressa de la saisir par les hanches et follement excité à l'idée d'enfoncer sa queue dans ce cul étroit, qui à chaque fois lui donnait un plaisir inouï, il l'attira vigoureusement à lui, lui arrachant un long râle où se mêlaient douleur et plaisir. Sous la furieuse poussée exercée par son compagnon, Claire sentit son orifice anal s'ouvrir, s'écarter, se distendre sous la formidable contrainte du gland volumineux. Celui-ci s'enfonça alors lentement dans le conduit réduit de ses reins, lui procurant une légère douleur, vite effacée par une exquise félicité. Une fois que l'énorme bourgeon de chair eut franchi le passage resserré de la collerette distendue de son anus, tout le reste de la verge s'enfonça sans problème dans son cul dilaté, lui procurant un extraordinaire plaisir, comme à chaque fois qu'elle se faisait sodomiser ; un plaisir plus fort, plus consistant, plus vigoureux que lorsqu'elle se faisait baiser normalement. Comme à chaque fois elle éprouva la sensation étrange d'être si profondément empalée, qu'elle eut l'impression que l'énorme gland la pénétrait jusqu'au milieu du ventre et qu'au moindre mouvement, le pieu qui la pourfendait allait encore s'enfoncer plus loin dans ses entrailles, pour lui remonter jusqu'au gosier.
Inconscient des impressions que ressentait son épouse, Jacques remua son bassin, impatient de sentir l'étroit manchon de chair qui l'étranglait voluptueusement, coulisser le long de son membre avide d'émotions. Le cul élargi, Claire reprit sa pose initiale, les mains posées sur ses genoux, elle entreprit alors une nouvelle chevauchée, plus lente, moins fougueuse du fait de l'écartèlement de son orifice anal, chaque retombée de sa croupe sur le pal de chair affreusement gonflé lui arrachait un grognement de satisfaction.
Confortablement installé au sein de son fauteuil, Jacques, les yeux fixés sur la croupe ronde qui s'agitait de bas en haut sur ses cuisses, sentait l'extase monter doucement le long de sa virilité comprimée par le cul resserré de sa compagne. Laissant le plaisir l'envahir graduellement, il s'empara du verre de Cognac que Claire avait déposé sur le guéridon, et attendit le corps crispé la venue de l'orgasme qu'il sentait imminente. Lorsque celle-ci le saisit, il eut l'impression que sa verge trop resserrée pour exploser normalement, demeurait figée, mais lâchait sa semence avec plus de force. Portant vivement le verre ballon à ses lèvres, il absorba goulûment le Cognac ambré, tandis que de son méat dilaté, son sperme jaillissait par saccades violentes et rapprochées, inondant copieusement les intestins de sa femme, qui percevant l'abondant lavement dont ses entrailles étaient l'objet, se mit à jouir pour la seconde fois, le corps arqué.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Salvatore
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vraiment tres agreable à lire
plein de sensualité , rien de vulgaire , c'et parfait
plein de sensualité , rien de vulgaire , c'et parfait