Empty Nesters 3

- Par l'auteur HDS Ethelrede -
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Empty Nesters 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Agathe est une véritable sportive. Elle nage comme un poisson ! Depuis son enfance. Alors, au collège, elle participait à des compétitions au niveau de la ville, du département, régionales parfois. Repérée par la fédération, elle a commencé à pratiquer un entrainement suivi, le genre sérieux, très sérieux. Maintenant, à son entrée à l’université de Nanterre, elle est entre de bonnes mains, c’est au national qu’elle va s’attaquer.

C’est une grande, Agathe, une vraie. Un mètre quatre-vingt pour soixante-cinq kilos, pas un poil de gras. Au dessus de très jolis pieds fins, étroits presque, elle a des jambes musclées, inutile de dire à quel point, mais fines, fuselées, surmontées par et des fesses du même modèle, adorables. Son torse est lui aussi sportif, larges épaules, bras fins mais vigoureux, il y a du muscle serré sous ses seins qui sont fort jolis, au demeurant. Cou gracile mais puissant, soutenant une tête toute ronde aux cheveux courts, noirs aile de corbeau. Ses yeux brun foncé virent noisette sous l’émotion, ou noir dans la colère. Petit nez encore presque enfantin et sourire brise-cœur. Sa peau mate, halée en toute saison fait pâlir de jalousie ses copines depuis toujours.

Souvent quand elle rentre, le soir, elle est rincée, sans jeu de mot ! Elle se met au travail, potasse les cours qu’elle a parfois suivis, parfois loupés. C’est dur… Elle se couche souvent tard, du coup après ses rattrapages et autres travaux maison. Fatigue…

Elle a un petit copain, Benoit, avec lequel elle a fait connaissance dans les tout premiers jours après la rentrée. Mignon, très gentil, surtout, prévenant. Il l’aide autant qu’il le peut. Parfois, elle va chez lui pour travailler un peu. Travailler ou… Petits bisous, petites caresses, mains baladeuses et langues coquines… Mais c’est compliqué, sa maman est toujours là, le silence s’impose et la stratégie est d’être toujours prêt à pouvoir, l’air de rien, faire comme si on travaillait…
Parfois, elle sort pour les courses. Alors c’est le rush. Déshabillage express, préliminaires Speedy Gonzales, boum-boum et gros câlin à mach 2… Puis rhabillage accéléré… Rires : on ne s’est pas lavé après, ça va coller ! Et puis on a des souvenirs olfactifs qu’on garde au fond de soi… Même en y mettant quelques gouttes d’after shave aux cols des T-shirts… Mais que c’est bon de s’aimer…
Impossible de prendre plus de risques : il est arrivé que la maman revienne juste au moment où ils terminent de se vêtir… Les chaussures sont encore en vrac sous le bureau quand elle passe la tête par la porte pour murmurer.
- Je suis rentrée, tout s’est bien passé ?
- Impec, M’man…
Impec, tu parles, Charles, tu nous as juste cassé notre coup !

Pourtant, jamais Agathe ne le ramène chez elle, c’est le contrat passé avec Serge. Cet après midi, elle revient donc chez elle pour bosser, mais avec une copine de fac, Joëlle. Rigolote, elle est toute petite, pas même un mètre soixante, rouquine aux longs cheveux bouclés, au sourire perpétuel et avec une frimousse dont on dirait qu’elle a bronzé sous une écumoire… Jolie donc, surtout avec ses yeux bleus d’une profondeur insondable.

Dans la chambrette, porte fermée, les deux nanas se mettent au boulot. Les pages se tournent, commentaires, explications, recherches sur internet… Agathe se demande si la cuisse de Joëlle est contre la sienne juste de façon conjoncturelle ou si c’est un peu voulu. Cela appuie de plus en plus, il lui semble. Avec une chaleur qui diffuse à travers les tissus… C’est quoi, cette main que Joëlle, après s’être frotté le ventre, laisse sur sa cuisse, innocemment ? Mais… ladite main ne serait-elle pas un peu en train d’effleurer la mienne, de cuisse ? De monter dessus ?

Agathe interdite, tétanisée, ne bouge pas. Incapable du moindre geste. Tout son esprit lui hurle : repousse-moi ça, vire-la, fous-la à la porte. Mais le corps reste impassible, pétrifié. La main en profite et s’enhardit, glissant sur le tissu du jean. Sur le bureau, un doigt continue à suivre le texte étudié. Joëlle le lit à voix basse. Pause : elle regarde Agathe :
- Qu’est-ce que ça veut dire, à ton avis ?

Sans rire ! Ça veut dire que tu es en train de me peloter… Mais Agathe s’entend répondre ce que signifie réellement la phrase incriminée. En bas de son ventre, ça picote et il lui faut une volonté d’acier pour ne pas entrouvrir ses cuisses. Lecture et doigt qui court sous les lignes du livre, échanges d’avis… le bouton du jean vient de céder. La main remonte, cherche l’entrée. Agathe se sent rentrer son ventre…

Mais qu’est-ce que tu fous, merde, tu l’aides, là ! La petite main descend, entre dans le doux coton de la culotte, très humide, déjà… Les cuisses s’ouvrent en grand, le dos s’arcboute en arrière, les fesses avancent sur l'extrême bord de la chaise… Vas-y Jojo, lâche-toi, je ne contrôle plus rien… Agathe a les yeux fermés sur la honte qu’elle ressent à laisser sa copine lui donner ce plaisir. Les doigts maintenant s’insinuent, écartent, fouillent, cherchent et trouvent. Le temple du plaisir avec son omphalos de chair tendre et gorgée de sang au dessus de l’entrée, pas le temps de faire la visite du propriétaire : la cérémonie s’achève déjà… Agathe, tendue comme un arc réprime un soubresaut trop violent, bloque un cri qui ne demandait qu’à fuser, se rassoit en soufflant. Regarde avec étonnement Joëlle et son sourire qui, tout de même, prend un petit air gêné, l’air de dire "j’ai pas fait exprès"… Joëlle qui se lève, sans aucun bruit et vient coller les lèvres à celles d’Agathe, la faisant se lever aussi. Baiser silencieux tandis que Joëlle baisse le jean de sa copine jusqu’à ses chevilles et lui fait signe de se rasseoir.
À genoux devant elle Joëlle ouvre délicatement les belles cuisses fuselées, glisse un doigt vers la culotte, maintenant trempée, l’écarte et plonge son visage dans le fruit défendu, objet de sa convoitise. Elle lèche avec douceur, lape le miel de plaisir qui s’écoule, se délecte du bonheur d’Agathe. Oui, c’est vrai, elle lui a un peu forcé la main… Mais elle s’y retrouve, non ? Deux de ses doigts montent en renfort et pistonnent au rythme de sa respiration tandis que ses lèvres se resserrent sur la perle de plaisir qu’elle aspire de toutes ses forces en la léchant suavement. Agathe part en apnée, bloquant tout, pour laisser ce deuxième orgasme la transpercer de part en part…
Reprend son souffle, écarlate. Gros yeux, Murmures au creux des oreilles :
- Qu’est-ce qui t’a prise ? Je te croyais hétéro… comme moi…
- Je le suis… Je ne sais pas, j’ai eu envie de toi… Ta chaleur, sans doute…

Baisers tout de même, Agathe se rajuste. Yeux de chien battu de Joëlle… Ah, non ! Tu ne vas pas me demander… Si ? Baiser encore, jupe de Joëlle qui se soulève, culotte qui descend, tombe au sol, longuement humée par Agathe puis donnée à humer à Joëlle…
- Punaise ! tu mouilles toujours comme ça devant les filles ?

Agathe s’est penchée, à genoux, sur la jolie fourche offerte et cueille d’un baiser le minou hurlant à l’amour. Le pénètre d’une langue incertaine de ce quelle doit faire… L’appétit vient en mangeant, dit-on, les idées affluent. Doigt sur le petit capuchon, autre doigt humide sur la petite rosette, à peine plus loin, ballet effréné de la langue tout autour de la grotte sacrée… Joëlle se tend, mord dans sa culotte en pinçant son nez pour étouffer le gémissement qu’elle ne peut tout à fait retenir, s’effondre sur sa chaise, la jupe retombant à sa place. Le doit a repris son cours, suivant le texte, à nouveau murmuré.

Serge, après un coup discret à la porte est entré : tout va bien là dedans ? Regards, tout va bien… Il est ressorti en refermant la porte : il n’est pas dupe.

Joëlle est repartie. Fini de bosser pour ce soir. Serge regarde sa sœur, goguenard… Agathe, sereine, le regarde droit dans les yeux. Pas question de culpabiliser devant mon frangin ! Une très légère rougeur aux joues.
- Je ne te croyais pas comme ça, tu sais !
- Tu me croyais comment ?
- Hé bien… hétéro…
- Mais je suis hétéro… hétéro, ça veut dire différent… Moi, je prends mon plaisir avec différents sexes…

Ouais… Il reste mi-figue mi-raisin, le frangin… Il reste plus ou moins convaincu que sa chère petite sœur a viré sa cuti, a tourné goudou… Il se dit en lui-même, "quel gâchis"…

Quelques jours plus tard, c’est une Agathe raidie par une vilaine douleur qui revient à la maison. À la voir ainsi, se traîner, avec ses yeux noirs, Serge comprend, regarde, analyse en silence. Il voit d’où vient le problème : une vilaine contracture près d’une lombaire, L3 ou L4 sans doute, peut-être aussi le psoas…
- Agathe, ça va ?
- Nan. Je me suis bloquée. Un connard qui m’a bousculée. Il l’a fait exprès, en plus. J’ai fait le mauvais geste, et voilà.
- Viens sur ma table, je vais tâcher de t’arranger ça. Va te mettre un maillot de bain.
Agathe va dans sa chambre. Il crie "deux pièces" ! Petit bruit du moteur de la table de soins, respiration calme, doigts qui longent la colonne, l’effleurant à peine… Oui, c’est là. On y va, allonge-toi comme ça, sur le dos. La tête d’Agathe entre ses mains qui bougent à peine… dix ou quinze minutes, apparemment sans rien faire ou presque… Le pied gauche d’Agathe qui bascule soudain, s’ouvre. Étonnement d’Agathe qui sent le soulagement instantané. Palpation du ventre : attends, il faut débloquer celui-là…
Doigts qui plongent dans la masse de l’abdomen, grimace de Serge : "dis, donc, c’est bien bloqué, ça… C’est possible que ça fasse un peu mal"… Doigts qui longent le muscle endolori, l’apprivoisent petit à petit, l’assouplissent, grimace du praticien, "non" de la tête, puis, sourire, c’est passé.
Serge soulève doucement d’une main la cuisse gauche, fémur à la verticale, l’autre main replonge dans l’abdomen, lisse le psoas, revient, recommence à plusieurs reprises. Puis l’autre cuisse, mains qui massent doucement les bords du ventre, allant jusqu’à mi-cuisse, qui remontent en les massant profondément, intérieur et extérieur, retour au ventre. Une dizaine de fois, et à chaque retour, les deux pouces qui effleurent le pubis protubérant. Le maillot jaune poussin présente maintenant une zone bien plus sombre… juste au milieu.
Serge se retourne après s’être recomposé un masque professionnel, autant que faire se peut. Cette fois, c’est Agathe qui le regarde d’un air goguenard…
- Voilà, c’est bon, tu devrais te sentir mieux, maintenant.
- Hm, tout dépend de quoi tu parles. Pour les contractures, c’est sûr, elles vont bien mieux, je ne sens presque plus rien. Mais le reste…
- Quel reste ?
- C’est ça, fais l’innocent !
Lever tout en douceur d’Agathe qui descend de la table et, une fois debout, prend son frère par la main et le tire vers sa chambre, fait voler la couette de son lit :
- Tu es un vrai salopard, toi ! Tu m’as allumée comme un cierge, tu l’as fait exprès. Et tu crois que tu vas t’en tirer comme ça, en me laissant en plan ? Je vais te montrer que moi, quand on m’allume, il faut assumer, après. Et puis…
- Et puis quoi ?
Serge est un peu inquiet, soudain… Peut-être est-il allé un peu trop loin, en cherchant à vérifier si elle était encore sensible à des mains d’homme ?
- J’ai bien envie de te montrer à quel point je suis en effet devenue une véritable goudou bien exclusive !
- Mais, Agathe, je ne peux rien pour toi… je…
- Mais oui, mais oui. Et la bosse, devant ton jogging, c’est un sac de farine que tu as oublié de ranger en revenant des courses, j’imagine ?

Jogging qui descend d’un coup sec en même temps que son slip, établissant qu’en effet, Serge est bien "ému"… Pieds entravés, une poussée le fait tomber sur le lit, Agathe se jette à son tour dessus. "Allez, au boulot"…
Serge passe une jambe par-dessus les cuisses d’Agathe, vient directement gober ses tétons tout durcis.
- Tu sais, en termes de préliminaires, tu n’es pas en retard…
- J’en ai trop envie… Depuis que tu es devenue ado, je fantasme, je rêve de tes seins, pour une fois qu’ils me sont offerts…

Agathe le repousse, sur le dos, l’enjambe et, d’une main habile, le guide en elle avant de se laisser descendre le long du mât de chair palpitante. Tout en bas, pubis contre pubis, lents basculement, ondulation des hanches, supplice du garçon. Elle remonte et reprend le même manège une dizaine de fois, laissant ses doigts glisser dans la fourrure pectorale du garçon.
- Je n’avais jamais remarqué à quel point tu es un beau mec, Serge ! C’est vrai que tu es baraqué… Je comprends que tu fasse craquer la gent féminine !

Lorsqu’elle se penche pour aller donner un baiser sur les lèvres de son partenaire, il se dérobe, tourne la tête. Deux fois, en arborant un visage tourmenté…
Attends ! Agathe se dégage complètement, enjambe à nouveau le garçon en lui tournant le dos et le guide une nouvelle fois en elle, reprenant son petit jeu.

Puis arrêt soudain, Agathe semble réfléchir, comme si elle cherchait une suite logique à leur activité… Se dégage encore, extrait la dague entièrement de son fourreau et au moment où elle entreprend de redescendre, la pousse légèrement des quelques centimètres qui lui permettent de se présenter à son ouverture la plus secrète. Elle laisse le temps à son petit œillet rose de faire plus ample connaissance avec son invité, de s’effacer avec politesse devant lui, "entrez-donc, je vous en prie", puis redescend tout doucement le long de la verge tremblante.
Dans son dos, petit hoquet "mais que fais-tu ? "… "Chutttt". Reprise des ondulations lascives de ses hanches, intercalées avec de longs et suaves coulissements. Gémissements de plaisir : à chaque passage tout en bas, c’est un petit sanglot de joie charnelle qui sort de sa gorge.
Agathe a maintenant besoin d’en finir, elle veut jouir enfin. Sa main descend à la recherche de sa perle d’amour qu’elle agace un moment, elle accélère ses allers et retours le long du sexe en feu de Serge, sa respiration devient haletante. Derrière elle, les mêmes râles lui annoncent que la fin est proche. Sprint final, elle franchit la ligne en vainqueur dans un cri de délivrance, sentant aussitôt les longs jets crémeux et les saccades du plaisir de Serge entre ses reins… Elle attend un petit instant que cessent les déferlantes de l’orgasme phénoménal qu’elle vient de vivre, puis se dégage doucement. Recule un peu, juste assez pour venir cueillir l’instrument de sa jouissance entre ses lèvres. Et longuement le flatter, le remercier de ses efforts, de la langue et des lèvres. Retournement, la voilà allongée sur le ventre de Serge. Plus moyen d’échapper à ses baisers, maintenant ! Elle en profite…
- Alors, Serge, tu la trouves comment, ta goudou ?

Sourire énigmatique du garçon… Il n’a que trop clairement vu que sa sœur était au mieux devenue bi, rien d’exclusif dans ses rapprochements.
- Tu sais, Serge, je pense que nous devrions ajouter une clause à notre contrat de cohabitation. Nous avions déjà le point essentiel : personne ne vient faire l’amour ici. Mais je propose, qu’à des fins d’hygiène, toi et moi, on puisse baiser quand c’est nécessaire. Tu veux bien ?

Un check signe le pacte et Agathe retourne au travail, parfaitement détendue, toutes ses contractures ayant disparu… C’est chouette d’avoir un ostéo à demeure sous la main !

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