En attendant nos chéries + tard
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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En attendant nos chéries + tard
Reprise des négociations
Voilà déjà six mois que les deux couples de Patrick et Isabelle Toulois et Robert et Aline Martin ont sauté le pas et sont devenus des amants sexuellement libérés. Depuis, il est clair que leurs envies vont bon train et ne restent jamais bien longtemps inassouvies, compte tenu du large champ de possibilités qu’ils s’autorisent !
Pour simplifier les choses, ils ont déménagé et se sont regroupés dans une très grande maison, à la campagne, en Normandie. Ainsi, ils sont relativement près de la capitale, de leurs employeurs, et peuvent télétravailler facilement.
La maison est immense, elle court sur une trentaine de mètres et comporte trois étages dont un sous combles. Elle est divisée en deux parties distinctes : Les Toulois sont dans l’aile est, les Martin ont l’aile ouest.
Un rez-de-jardin imposant comporte, de chaque côté, un immense salon, une salle à manger avec sa cuisine semi-ouverte dont elle est séparée par un bar, une chambre de passage et sa petite salle d’eau. Les deux salons communiquent par une double porte.
À l’étage se trouvent la chambre de chaque couple, dotée de son espace toilette salle de bain et d’un dressing, deux chambres d’enfants, une chambre d’amis et une grande salle de bain. Une double porte permet la communication entre les deux logements
L’espace sous comble est principalement dédié aux bureaux et à une salle de jeux, pour de futurs enfants. Les deux salles de jeux communiquent elles aussi par une double porte.
Un accord tacite a été trouvé : les portes de communication restent fermées en temps normal. Si, lorsqu’on l’ouvre, on trouve l’autre ouverte, c’est feu vert : on peut venir l’un chez l’autre, on y est bienvenu ! Si par contre ; l’autre est verrouillée, il convient de respecter l’intimité des voisins. C’est très simple !
Le plus souvent, les portes s’ouvrent, le soir, au moment du coucher… Ainsi que les weekends.
Dans la journée, souvent, Aline sort de son bureau et entrouvre la porte. Elle voit que la seconde est entrebâillée : c’est un code qui signifie qu’Isabelle ne voit pas d’inconvénient à ce qu’elle vienne la voir dans son bureau. Alors elle y va et la rejoint. Elles s’embrassent langoureusement, se caressent, pressent leurs seins les uns contre les autres et, immanquablement, font l’amour rapidement avant de se remettre au travail. Il leur arrive parfois de le faire quatre ou cinq fois dans la journée !
- Quelle santé !
S’exclame Robert quand sa belle revient, finalement repue ! Il faut dire que depuis quelques semaines, leurs ébats ont pris une tout autre tournure : Isabelle et Patrick ont décidé d’avoir un enfant. Alors, pour être bien certains de ne commettre aucun impair, seul Patrick fait l’amour à Isa… qui accepte toutefois Aline pour un petit surplus de tendresse.
Et ça y est, la greffe a pris, Isabelle a maintenant un gros bidon que les deux couples regardent s’arrondir avec émotion. Aline en souhaite ardemment un aussi mais les deux couples sont convenus qu’elle commencerait sa grossesse après la naissance du bébé d’Isa, de manière à pouvoir l’aider, l’assister au mieux.
Du coup, les portes restent assez souvent fermées… Une certaine tension s’installe, certains jours. Isabelle est un peu moins gourmande et Patrick se languit d’elle. Parfois, tout de même, elle se fait violence et s’offre à lui de bon cœur malgré les nausées provoquées par sa grossesse. Elle lui recommande souvent de prendre l’autre porte, pour ne pas trop "bousculer les choses", devant… Patrick en est plutôt content : c’est la fréquence réduite qui le chagrine.
Alors, là encore, Aline met les bouchées doubles et doit satisfaire son mari et son meilleur ami, parfois en même temps, et aussi Isabelle, beaucoup moins regardante pour des rapports femme-femme ! Aussi est-elle aussi fatiguée que son amie enceinte, voire davantage, certains soirs.
Ce weekend, les deux hommes sont partis faire une tournée à vélo et doivent rapporter du pain pour le déjeuner. Ils longent une petite rivière, bordée de pommiers quand Robert s’arrête et appuie son vélo contre une haie. Clairement, c’est une pause qu’il réclame. Patrick l’imite et attend la suite.
- Tu te souviens de notre tout premier weekend de folie, Patrick ?
- Tu penses, je ne suis pas près d’oublier comment le bonheur est entré dans ma vie !
- Alors tu te souviens sûrement aussi que tu me dois un orgasme !
Robert éclate de rire et regarde son vieil ami droit dans les yeux. Il n’y a pas besoin de traduction, le moment est venu de s’acquitter de cette dette. Bon joueur, Patrick regarde autour de lui, la haie les protège bien de la vue d’éventuels passants… Il s’agenouille devant son vieux pote et lui ouvre sa braguette pour sortir la verge impatiente de Robert.
- Miam ! je vais me régaler, je le sens…
Il embouche aussitôt le sexe palpitant de son ami qui se délecte de la caresse. Gorges profondes et léchouilles la tension monte vite. Mais Robert se retire soudain :
- Ce n’est pas comme ça que je veux jouir, vieux frère…
Patrick pâlit. Non ! Il ne va tout de même pas me demander de… tout son être exprime la négation mais, souriant, Robert fait des grands "oui" de la tête… Alors, vaincu, Patrick se résous à perdre sa virginité…
- Bon… de toute façon, je savais bien qu’il faudrait que j’y passe un jour ! Mais j’aurais préféré à la maison, avec du gel intime…
- Mais pour qui me prends-tu ? j’en ai !
- Ah, mon salaud, tu avais tout prémédité !
Robert sortit de sa poche, tout chaud, le tube de gel. Il s’en enduisit bien le membre ainsi que son gland turgescent, au comble de son excitation, tandis que Patrick posait soigneusement son pantalon sur son vélo. Puis, toujours en slip, il se retourna, posa ses deux mains sur le cadre du vélo, assez bas, s’offrant au fantasme de son ami, prêt à recevoir le coup de grâce.
Robert s’agenouilla pour quelques préliminaires. Il écarta le slip et travailla le petit anneau intime de son ami avec la langue, avec un doigt, qu’il fit pénétrer doucement, arrachant à Patrick un premier râle de plaisir. Il tenta deux doigts qui furent acceptés sans souci, puis trois…
- Bin dis-donc, vieux frère, ça rentre tout seul ! Tu es sûr d’être puceau ?
- Comme au jour de ma naissance, Bob ! Alors va-y molo…
Robert se releva et, tout en tenant toujours le slip de son ami bien écarté, présenta sa hampe au bout rougeoyant devant la porte étroite ; il commença à pousser doucement. Patrick envoyait gémissement sur gémissement et, en même temps, encourageait son ami.
- Vas-y, vieux frère, c’est super bon, pour le moment. Vas-y plus fort. Oui, encore, bourre-moi bien, vieux frère, entre à fond dans mes tripes… Ah ! La vache, qu’est-ce que c’est bon, vas-y, quoi ! défonce-moi !
Alors, excité au paroxysme, Robert pénétra d’une ultime ruade dans l’étroit conduit. Sitôt entré jusqu’à la garde, il commença à aller et venir, ressortant presque entièrement sa tige pour repartir tout au fond, le ventre en butée sur les fesses de son partenaire. L’extase se lisait sur son visage tandis que Patrick haletait son plaisir :
- Vas-y, vieux frère, c’est trop bon, remplis-moi, défonce-moi le cul, je vais jouir aussi, c’est gagné ! Oh, là là… Ouiii c’est trop bon !
Robert et Patrick jouirent ainsi à quelques secondes d’intervalle, le premier se vidant entre les reins du second qui, de son côté, secouait son membre en arrosant l’herbe de la pommeraie de longs jets crémeux et en soufflant le vent de sa jouissance.
Les deux garçons se regardèrent hilares.
- Purée… On est cons, hein ?
- Oui, je crois… Faire ça en pleine nature ! Mais sacré nom de Dieu, qu’est-ce que c’était bon !
- Oui, c’était un bon plan… Il y a juste un problème…
- Qu’y-a-t-il donc ?
- Hé bien… tu me devais un orgasme, mais comme tu viens de jouir toi aussi, tu en as pris un d’avance : tu m’en dois donc toujours un !
Robert remonta sur son vélo en vitesse sans attendre la réponse de son ami : une série de pommes lancées de toutes ses forces !
Voilà déjà six mois que les deux couples de Patrick et Isabelle Toulois et Robert et Aline Martin ont sauté le pas et sont devenus des amants sexuellement libérés. Depuis, il est clair que leurs envies vont bon train et ne restent jamais bien longtemps inassouvies, compte tenu du large champ de possibilités qu’ils s’autorisent !
Pour simplifier les choses, ils ont déménagé et se sont regroupés dans une très grande maison, à la campagne, en Normandie. Ainsi, ils sont relativement près de la capitale, de leurs employeurs, et peuvent télétravailler facilement.
La maison est immense, elle court sur une trentaine de mètres et comporte trois étages dont un sous combles. Elle est divisée en deux parties distinctes : Les Toulois sont dans l’aile est, les Martin ont l’aile ouest.
Un rez-de-jardin imposant comporte, de chaque côté, un immense salon, une salle à manger avec sa cuisine semi-ouverte dont elle est séparée par un bar, une chambre de passage et sa petite salle d’eau. Les deux salons communiquent par une double porte.
À l’étage se trouvent la chambre de chaque couple, dotée de son espace toilette salle de bain et d’un dressing, deux chambres d’enfants, une chambre d’amis et une grande salle de bain. Une double porte permet la communication entre les deux logements
L’espace sous comble est principalement dédié aux bureaux et à une salle de jeux, pour de futurs enfants. Les deux salles de jeux communiquent elles aussi par une double porte.
Un accord tacite a été trouvé : les portes de communication restent fermées en temps normal. Si, lorsqu’on l’ouvre, on trouve l’autre ouverte, c’est feu vert : on peut venir l’un chez l’autre, on y est bienvenu ! Si par contre ; l’autre est verrouillée, il convient de respecter l’intimité des voisins. C’est très simple !
Le plus souvent, les portes s’ouvrent, le soir, au moment du coucher… Ainsi que les weekends.
Dans la journée, souvent, Aline sort de son bureau et entrouvre la porte. Elle voit que la seconde est entrebâillée : c’est un code qui signifie qu’Isabelle ne voit pas d’inconvénient à ce qu’elle vienne la voir dans son bureau. Alors elle y va et la rejoint. Elles s’embrassent langoureusement, se caressent, pressent leurs seins les uns contre les autres et, immanquablement, font l’amour rapidement avant de se remettre au travail. Il leur arrive parfois de le faire quatre ou cinq fois dans la journée !
- Quelle santé !
S’exclame Robert quand sa belle revient, finalement repue ! Il faut dire que depuis quelques semaines, leurs ébats ont pris une tout autre tournure : Isabelle et Patrick ont décidé d’avoir un enfant. Alors, pour être bien certains de ne commettre aucun impair, seul Patrick fait l’amour à Isa… qui accepte toutefois Aline pour un petit surplus de tendresse.
Et ça y est, la greffe a pris, Isabelle a maintenant un gros bidon que les deux couples regardent s’arrondir avec émotion. Aline en souhaite ardemment un aussi mais les deux couples sont convenus qu’elle commencerait sa grossesse après la naissance du bébé d’Isa, de manière à pouvoir l’aider, l’assister au mieux.
Du coup, les portes restent assez souvent fermées… Une certaine tension s’installe, certains jours. Isabelle est un peu moins gourmande et Patrick se languit d’elle. Parfois, tout de même, elle se fait violence et s’offre à lui de bon cœur malgré les nausées provoquées par sa grossesse. Elle lui recommande souvent de prendre l’autre porte, pour ne pas trop "bousculer les choses", devant… Patrick en est plutôt content : c’est la fréquence réduite qui le chagrine.
Alors, là encore, Aline met les bouchées doubles et doit satisfaire son mari et son meilleur ami, parfois en même temps, et aussi Isabelle, beaucoup moins regardante pour des rapports femme-femme ! Aussi est-elle aussi fatiguée que son amie enceinte, voire davantage, certains soirs.
Ce weekend, les deux hommes sont partis faire une tournée à vélo et doivent rapporter du pain pour le déjeuner. Ils longent une petite rivière, bordée de pommiers quand Robert s’arrête et appuie son vélo contre une haie. Clairement, c’est une pause qu’il réclame. Patrick l’imite et attend la suite.
- Tu te souviens de notre tout premier weekend de folie, Patrick ?
- Tu penses, je ne suis pas près d’oublier comment le bonheur est entré dans ma vie !
- Alors tu te souviens sûrement aussi que tu me dois un orgasme !
Robert éclate de rire et regarde son vieil ami droit dans les yeux. Il n’y a pas besoin de traduction, le moment est venu de s’acquitter de cette dette. Bon joueur, Patrick regarde autour de lui, la haie les protège bien de la vue d’éventuels passants… Il s’agenouille devant son vieux pote et lui ouvre sa braguette pour sortir la verge impatiente de Robert.
- Miam ! je vais me régaler, je le sens…
Il embouche aussitôt le sexe palpitant de son ami qui se délecte de la caresse. Gorges profondes et léchouilles la tension monte vite. Mais Robert se retire soudain :
- Ce n’est pas comme ça que je veux jouir, vieux frère…
Patrick pâlit. Non ! Il ne va tout de même pas me demander de… tout son être exprime la négation mais, souriant, Robert fait des grands "oui" de la tête… Alors, vaincu, Patrick se résous à perdre sa virginité…
- Bon… de toute façon, je savais bien qu’il faudrait que j’y passe un jour ! Mais j’aurais préféré à la maison, avec du gel intime…
- Mais pour qui me prends-tu ? j’en ai !
- Ah, mon salaud, tu avais tout prémédité !
Robert sortit de sa poche, tout chaud, le tube de gel. Il s’en enduisit bien le membre ainsi que son gland turgescent, au comble de son excitation, tandis que Patrick posait soigneusement son pantalon sur son vélo. Puis, toujours en slip, il se retourna, posa ses deux mains sur le cadre du vélo, assez bas, s’offrant au fantasme de son ami, prêt à recevoir le coup de grâce.
Robert s’agenouilla pour quelques préliminaires. Il écarta le slip et travailla le petit anneau intime de son ami avec la langue, avec un doigt, qu’il fit pénétrer doucement, arrachant à Patrick un premier râle de plaisir. Il tenta deux doigts qui furent acceptés sans souci, puis trois…
- Bin dis-donc, vieux frère, ça rentre tout seul ! Tu es sûr d’être puceau ?
- Comme au jour de ma naissance, Bob ! Alors va-y molo…
Robert se releva et, tout en tenant toujours le slip de son ami bien écarté, présenta sa hampe au bout rougeoyant devant la porte étroite ; il commença à pousser doucement. Patrick envoyait gémissement sur gémissement et, en même temps, encourageait son ami.
- Vas-y, vieux frère, c’est super bon, pour le moment. Vas-y plus fort. Oui, encore, bourre-moi bien, vieux frère, entre à fond dans mes tripes… Ah ! La vache, qu’est-ce que c’est bon, vas-y, quoi ! défonce-moi !
Alors, excité au paroxysme, Robert pénétra d’une ultime ruade dans l’étroit conduit. Sitôt entré jusqu’à la garde, il commença à aller et venir, ressortant presque entièrement sa tige pour repartir tout au fond, le ventre en butée sur les fesses de son partenaire. L’extase se lisait sur son visage tandis que Patrick haletait son plaisir :
- Vas-y, vieux frère, c’est trop bon, remplis-moi, défonce-moi le cul, je vais jouir aussi, c’est gagné ! Oh, là là… Ouiii c’est trop bon !
Robert et Patrick jouirent ainsi à quelques secondes d’intervalle, le premier se vidant entre les reins du second qui, de son côté, secouait son membre en arrosant l’herbe de la pommeraie de longs jets crémeux et en soufflant le vent de sa jouissance.
Les deux garçons se regardèrent hilares.
- Purée… On est cons, hein ?
- Oui, je crois… Faire ça en pleine nature ! Mais sacré nom de Dieu, qu’est-ce que c’était bon !
- Oui, c’était un bon plan… Il y a juste un problème…
- Qu’y-a-t-il donc ?
- Hé bien… tu me devais un orgasme, mais comme tu viens de jouir toi aussi, tu en as pris un d’avance : tu m’en dois donc toujours un !
Robert remonta sur son vélo en vitesse sans attendre la réponse de son ami : une série de pommes lancées de toutes ses forces !
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