En coloc 2/2
Récit érotique écrit par Amyolo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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En coloc 2/2
Suite de la fiction inspirée de mon 1er amour avec A.
............................................
"-Mais c'est quoi ce bordel !
S'écrie le papy tenant le café.
-Messieurs, veuillez quitter les lieux je vais devoir appeler les forces de l'ordre, dit il en s'adressant aux clients.
L'air déçus, le pas traînant les 3 hommes partent en s'esclaffant à propos du spectacle.
Je suis assise par terre haletante comme après un marathon, le cul dans des sécrétions, je ne sais plus si il y'a de ma mouille ou de son sperme.
A se rince tranquillement la nouille au lavabo en sifflotant !
En rangeant popol il me jette un coup d'œil, je ne peux m'en empêcher, nous partons dans un fou rire incontrôlable !
-Alors t'étais consentente ! Pourquoi tu beuglais comme ça la jeune ??
Je voit que le barman n'a pas débandé, sa braguette est tendue comme un string, je couine en calmant ma joie, le rire s'estompe.
-Désolée mppfrr !... Monsieur. Ahem. Nous avons l'habitude de nous aimer comme ça.
Je baisse mon regard à sa braguette et cette fois il le remarque, A se crispe, je fixe l'homme avec défi et perversité..
-pff bah ça alors les jeunes de nos jour j' vous jure... Il part tout chamboulé derrière son bar.
A me relève par le bras doucement, m'approche du lavabo et entreprend de me debarbouiller, j'ai l'air béat et l'adoration se lit sur mon visage, ses gestes sont tendres et il me regarde avec fierté.
Je passe aux WC m'essuyer le derrière et je suis stupéfaite de la quantité de foutre que mon petit trou évacue sans aucune résistance, quand je sort il ne reste plus que mes cheveux qui sont témoins de la saillie bestiale passée, A se mord les lèvres dans un sourire et me plante finalement sa casquette nike sur la tête.
Sans un mot nous sortons du café, le vent frais fini de me calmée, et je vois à l'horloge sur l'église qu'il est midi moins le quart.
-C'est bon, tu te souvient maintenant ? Est ce que le reste du monde importe vraiment ? Tu te souviens qui tu es et qui je suis pour toi ?
A n'est pas très locace mais lorsque c'est le cas il est très pertinent.
Nous nous promenons sans but, comme j'ai peur de mes émotions je guide nos pas vers chez L ma coloc, et je me décide à lui répondre.
-Oui, tu es le seul à m'avoir faite découvrir ma place, ma nature profonde certe, et j'ai eu un mal de chien a me défaire de toi. C'était bon... Non c'était fantastique, pourtant c'est pas la vie que je veux je crois, et tu n'es pas capable d'être mon maître, mon protecteur, et en même temps mon avenir. On est pas compatibles sur ce point.
-Tu le regretteras. Je t'ai assez suppliée.
On se fait face à l'angle de la rue où je vit, le silence et notre long regard échangé est intense et éloquent.
C'est tout de même lui qui tourne vivement les talons, je me prends une goutte dans la figure et je lève les yeux, il ne pleut pourtant pas... Devant moi A à disparu, et tout de suite, comme une compresse de haine sur une hémorragie de chagrin, je me remémore nos disputes, sa brutalité bien qu'il ne m'aie jamais levé la main dessus, à quel point il détruisait mon monde pour devenir le miens...
Je ne sais toujours pas à ce jour si c'était si mal que ça.
J'entre dans ma coloc, je me déshabille en laissant mes fringues au sol et je voit une casquette nike tomber à mes pieds...
Je me vautre dans la baignoire j'ouvre l'eau, et je met une bonne dose de bain douche.
Je pense à ma famille, à ce que je veux être, à ce que je suis, je me demande ce que je vais bien devenir...
-Ben t'es pas à l'inventaire ?
Sur le pas de la porte de la salle de bain une fille de mon âge, toute menue et habillée de docks montantes, bas resille et pull elimé, me regarde avec inquiétude.
L rentre toujours à midi et demi de son taff le samedi.
Nous baissons les yeux toutes les deux sur la casquette restée au sol, les miens sont rougis de larmes.
-Tu veux en parler ?
Je lui fais ma tête de chien battu, elle soupire avec sa moue autoritaire, sort un joint éteint de sa poche, l'allume, me le met dans le bec et me tend une serviette.
Je me sèche les mains et je tire fort, ennivrée par le réconfort factice de l'herbe locale aux arômes de caves.
L se dessappe et me rejoint vite, elle me prend le joint des mains, le termine, le jette dans le lavabo.
-Panier !
Je fais un timide sourire.
Je me tourne et me blottis contre mon amie..
-Sois pas triste, ça pourrait être pire, tu pourrais être une bi refoulée qui gémit mon nom dans son sommeil...
Je me tétanise.
Merde. Je sais que L fait tout pour me chauffer depuis des années, en masquant ses actes par l'amitié et la confiance, mais la c'est plus qu'une perche que je lui ai tendu.
Je veux pas bousillé mon amitié avec elle...
-Tu sais, je peux être ta meilleure amie qui te réconforte en respectant tes choix, me susurre-t-elle en me caressant le bout des seins, mais tu n'es pas heureuse avec tes choix et tes barrières mentales. J'ai toujours raison tu le sais.
J'attrape ses poignets fermement et je plaque d'avantage ses petites mains aux doigts fins sur ma poitrine.
-J'en ai plus rien à foutre de mon intégrité t'en fais pas, je l'ai perdue dans des WC ce matin.
Comme je sent sa curiosité dans ma nuque je me retourne de nouveau, L à le nez droit, des yeux en amandes, une bouche étroite et pulpeuse, un visage en forme d'ovale, et le charisme ravageur. Je la trouve tellement belle. Je l'embrasse très doucement. Je lèche ses lèvres mouillées, elle ne bouge pas et ferme les yeux, je dépose pleins de petits baiser sur son visage, dans son cou fin, sur ses seins en forme de poire, que je finit par lécher goulument, ses tétons durcissent sous les caresses de ma langue, nos respirations s'accélèrent...
-Tu es tellement belle L....
Mes doigts frottent sa vulve visqueuse de désir et son clito dans l'eau, elle se déhanche sur ma main et me saisit les cheveux, bientôt elle est debout devant moi et pose un pied sur le bord de la baignoire, son corps fume de la chaleur du bain, et des fils de cyprine maculent son appétissante chatte rasée, elle a le clito bien en avant et un pubis plat, comme la plupart des domina...
Je ne tiens plus et déguste avec ardeur la douceur de son intimité, ma langue essuie la mouille de ses lèvres pour titiller son clito, je me délecte, et je pense à A, la douleur pointe son nez alors je saisit ses hanches et l'assieds sur mon visage, je me concentre sur mon devoir de soumise, je lèche, j'avale j'embrasse, je frotte ma face, son petit trou et son clito palpitent de joie, je sent le miens gonflée à bloc alors je me caresse de plus en plus fort et frénétiquement...
Et c'est dans un gémissement partagé que je jouit avec mon amie, juchée sur ma bouche, le corps tendu.
Elle est tellement bonne.
..........................................
Tout ceci était en partie fiction, A et moi avons en réalité rompu dans des circonstances dignes d'un roman d'action, mais pas érotiques. Et nous ne nous sommes pas déjà fait prendre lors de nos ebats dans des lieux publics.
L est toujours ma meilleure amie mais je vit loin d'elle maintenant (nul le jeu de mot hein) et nous n'avons jamais eu d'aventure en vrai. En fait L et moi avons faillit, un soir de beuverie adolescente, passer à l'acte, mais nous nous étions retenues. Plus moi que elle je crois, elle a toujours assumer qui elle est et ne s'est jamais encombrée des barrières que je me suis toujours mise.
Elle reconnaîtra certainement ma perversité et mon affection si elle me lit un jour, et de ce fait, je t'embrasse fort mon poussin. Et si A me lit un jour... Et bien je croit qu'on s'est tout dit il y'a 2 ans lors de ta dernière visite.
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"-Mais c'est quoi ce bordel !
S'écrie le papy tenant le café.
-Messieurs, veuillez quitter les lieux je vais devoir appeler les forces de l'ordre, dit il en s'adressant aux clients.
L'air déçus, le pas traînant les 3 hommes partent en s'esclaffant à propos du spectacle.
Je suis assise par terre haletante comme après un marathon, le cul dans des sécrétions, je ne sais plus si il y'a de ma mouille ou de son sperme.
A se rince tranquillement la nouille au lavabo en sifflotant !
En rangeant popol il me jette un coup d'œil, je ne peux m'en empêcher, nous partons dans un fou rire incontrôlable !
-Alors t'étais consentente ! Pourquoi tu beuglais comme ça la jeune ??
Je voit que le barman n'a pas débandé, sa braguette est tendue comme un string, je couine en calmant ma joie, le rire s'estompe.
-Désolée mppfrr !... Monsieur. Ahem. Nous avons l'habitude de nous aimer comme ça.
Je baisse mon regard à sa braguette et cette fois il le remarque, A se crispe, je fixe l'homme avec défi et perversité..
-pff bah ça alors les jeunes de nos jour j' vous jure... Il part tout chamboulé derrière son bar.
A me relève par le bras doucement, m'approche du lavabo et entreprend de me debarbouiller, j'ai l'air béat et l'adoration se lit sur mon visage, ses gestes sont tendres et il me regarde avec fierté.
Je passe aux WC m'essuyer le derrière et je suis stupéfaite de la quantité de foutre que mon petit trou évacue sans aucune résistance, quand je sort il ne reste plus que mes cheveux qui sont témoins de la saillie bestiale passée, A se mord les lèvres dans un sourire et me plante finalement sa casquette nike sur la tête.
Sans un mot nous sortons du café, le vent frais fini de me calmée, et je vois à l'horloge sur l'église qu'il est midi moins le quart.
-C'est bon, tu te souvient maintenant ? Est ce que le reste du monde importe vraiment ? Tu te souviens qui tu es et qui je suis pour toi ?
A n'est pas très locace mais lorsque c'est le cas il est très pertinent.
Nous nous promenons sans but, comme j'ai peur de mes émotions je guide nos pas vers chez L ma coloc, et je me décide à lui répondre.
-Oui, tu es le seul à m'avoir faite découvrir ma place, ma nature profonde certe, et j'ai eu un mal de chien a me défaire de toi. C'était bon... Non c'était fantastique, pourtant c'est pas la vie que je veux je crois, et tu n'es pas capable d'être mon maître, mon protecteur, et en même temps mon avenir. On est pas compatibles sur ce point.
-Tu le regretteras. Je t'ai assez suppliée.
On se fait face à l'angle de la rue où je vit, le silence et notre long regard échangé est intense et éloquent.
C'est tout de même lui qui tourne vivement les talons, je me prends une goutte dans la figure et je lève les yeux, il ne pleut pourtant pas... Devant moi A à disparu, et tout de suite, comme une compresse de haine sur une hémorragie de chagrin, je me remémore nos disputes, sa brutalité bien qu'il ne m'aie jamais levé la main dessus, à quel point il détruisait mon monde pour devenir le miens...
Je ne sais toujours pas à ce jour si c'était si mal que ça.
J'entre dans ma coloc, je me déshabille en laissant mes fringues au sol et je voit une casquette nike tomber à mes pieds...
Je me vautre dans la baignoire j'ouvre l'eau, et je met une bonne dose de bain douche.
Je pense à ma famille, à ce que je veux être, à ce que je suis, je me demande ce que je vais bien devenir...
-Ben t'es pas à l'inventaire ?
Sur le pas de la porte de la salle de bain une fille de mon âge, toute menue et habillée de docks montantes, bas resille et pull elimé, me regarde avec inquiétude.
L rentre toujours à midi et demi de son taff le samedi.
Nous baissons les yeux toutes les deux sur la casquette restée au sol, les miens sont rougis de larmes.
-Tu veux en parler ?
Je lui fais ma tête de chien battu, elle soupire avec sa moue autoritaire, sort un joint éteint de sa poche, l'allume, me le met dans le bec et me tend une serviette.
Je me sèche les mains et je tire fort, ennivrée par le réconfort factice de l'herbe locale aux arômes de caves.
L se dessappe et me rejoint vite, elle me prend le joint des mains, le termine, le jette dans le lavabo.
-Panier !
Je fais un timide sourire.
Je me tourne et me blottis contre mon amie..
-Sois pas triste, ça pourrait être pire, tu pourrais être une bi refoulée qui gémit mon nom dans son sommeil...
Je me tétanise.
Merde. Je sais que L fait tout pour me chauffer depuis des années, en masquant ses actes par l'amitié et la confiance, mais la c'est plus qu'une perche que je lui ai tendu.
Je veux pas bousillé mon amitié avec elle...
-Tu sais, je peux être ta meilleure amie qui te réconforte en respectant tes choix, me susurre-t-elle en me caressant le bout des seins, mais tu n'es pas heureuse avec tes choix et tes barrières mentales. J'ai toujours raison tu le sais.
J'attrape ses poignets fermement et je plaque d'avantage ses petites mains aux doigts fins sur ma poitrine.
-J'en ai plus rien à foutre de mon intégrité t'en fais pas, je l'ai perdue dans des WC ce matin.
Comme je sent sa curiosité dans ma nuque je me retourne de nouveau, L à le nez droit, des yeux en amandes, une bouche étroite et pulpeuse, un visage en forme d'ovale, et le charisme ravageur. Je la trouve tellement belle. Je l'embrasse très doucement. Je lèche ses lèvres mouillées, elle ne bouge pas et ferme les yeux, je dépose pleins de petits baiser sur son visage, dans son cou fin, sur ses seins en forme de poire, que je finit par lécher goulument, ses tétons durcissent sous les caresses de ma langue, nos respirations s'accélèrent...
-Tu es tellement belle L....
Mes doigts frottent sa vulve visqueuse de désir et son clito dans l'eau, elle se déhanche sur ma main et me saisit les cheveux, bientôt elle est debout devant moi et pose un pied sur le bord de la baignoire, son corps fume de la chaleur du bain, et des fils de cyprine maculent son appétissante chatte rasée, elle a le clito bien en avant et un pubis plat, comme la plupart des domina...
Je ne tiens plus et déguste avec ardeur la douceur de son intimité, ma langue essuie la mouille de ses lèvres pour titiller son clito, je me délecte, et je pense à A, la douleur pointe son nez alors je saisit ses hanches et l'assieds sur mon visage, je me concentre sur mon devoir de soumise, je lèche, j'avale j'embrasse, je frotte ma face, son petit trou et son clito palpitent de joie, je sent le miens gonflée à bloc alors je me caresse de plus en plus fort et frénétiquement...
Et c'est dans un gémissement partagé que je jouit avec mon amie, juchée sur ma bouche, le corps tendu.
Elle est tellement bonne.
..........................................
Tout ceci était en partie fiction, A et moi avons en réalité rompu dans des circonstances dignes d'un roman d'action, mais pas érotiques. Et nous ne nous sommes pas déjà fait prendre lors de nos ebats dans des lieux publics.
L est toujours ma meilleure amie mais je vit loin d'elle maintenant (nul le jeu de mot hein) et nous n'avons jamais eu d'aventure en vrai. En fait L et moi avons faillit, un soir de beuverie adolescente, passer à l'acte, mais nous nous étions retenues. Plus moi que elle je crois, elle a toujours assumer qui elle est et ne s'est jamais encombrée des barrières que je me suis toujours mise.
Elle reconnaîtra certainement ma perversité et mon affection si elle me lit un jour, et de ce fait, je t'embrasse fort mon poussin. Et si A me lit un jour... Et bien je croit qu'on s'est tout dit il y'a 2 ans lors de ta dernière visite.
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