Le meilleur c'est le désir.

- Par l'auteur HDS Amyolo -
Récit érotique écrit par Amyolo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
  • • 5 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
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Récit libertin : Le meilleur c'est le désir. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Le meilleur c'est le désir.
Mes chers lecteurs, j'ai reçu beaucoup de réactions par mail à mon premier récit, devant l'insistance je me doit de continuer à écrire ;)Simplement cette histoire était inspirée d'une de mes expériences sexuelle certes, mais avec beaucoup de fiction.
Et, vous m'avez beaucoup parlé de mon copain qui est cité sous le nom de A. mais cela fait des années que je ne le fréquente plus, nous avions rompu fin 2016.
Ce récit complètement réel va réunir mes expériences récentes avec mon homme, que j'aime et qui ne m'a jamais faite souffrir... Sauf quand je lui demande de me mettre ma laisse ^^°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Via un site de rencontre G avait répondu à mon like, en septembre 2021, sans pseudo, sans filtre.
Les cheveux châtains, courts, avec les côtés poivre-et-sel, une large bouche, des pommettes saillantes, un nez droit, de larges épaules, il est même taillé en V, ses mains sont anguleuses et robustes... Je ne suis pas adepte des sites de rencontres mais depuis peu je m'y suis mise, car je me suis renfermée sur moi même. Je continue à me caresser très souvent en rêvant qu'un mâle virile et joueur se délecte de mon corps, en use pour son bon plaisir...
J'ai tellement besoin d'affection aussi, alors quand j'ai vu G. en photo pour la première fois, avec ses yeux verts ambrés rieurs, dans la cuisine du resto où il bosse ou dans son blouson de cuir brun, j'ai craqué. Avant même de lui parler j'étais tellement chaude, je l'imaginais doux et passionné, généreux... Mais un vicieux au lit, sans limites, il est tellement magnifique...
Une notification ?

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Nous échangeons beaucoup avec G, je prends son numéro, et alors que lui et moi avons des conversations de plus en plus torrides, il ne se contente plus de m'écrire seulement la nuit, il m'sms sans arrêt, jem surprends à rêver de lui, éveillée, la nuit... On s'appelle presque tout les soirs maintenant, et la première fois que j'ai entendu sa voix ohlalaa... Je rêvais de l'entendre me dire des choses salaces...
Le temps passe, je lui envoie des sextos, des nudes... Je lui avoue que j'aime être dominée... Il adore ça aussi, il ne l'a jamais fait mais il en bande dur, il a voulu être certain que c'est ce que je désire avec lui alors je lui ai fait un snap où je caresse ma vulve toute mouillée qui dégouline et je me lèche les doigts, pour lui montrer à quel point je désire être sa chienne....
Quelques jours après il m'envoie l'unboxing d'une panoplie de chienne qu'il m'a achetée, il ya tout, le plug avec une queue touffue, un mords en forme de boule, une laisse avec un collier, des guêtres pour les poignets et les chevilles avec des attaches, un petit martinet... Le tout est rose et gris, avec de la fourrure par endroit, comme j'ai la peau claire et les cheveux noirs je suppose que ça m'ira à ravir... Il bande si dur sur tout ses snaps...
G habite en Bretagne, moi en Moselle.
L'aller coûte 280 euros environs.
Nous discutons beaucoup et il me dit qu'il à la voiture, qu'il me veut même si c'est puéril, et pas pour une nuit, il veut venir me "kidnapper", je rit et je jubile, il me dit que c'est plus que du cul pour lui, qu'il me veut pour lui, pour toujours, qu'il m'entretiendrais...
Il me raconte son vécu, je lui raconte le miens, nous discutons encore et encore... Octobre 2021.
G est tout ce dont une femme comme moi peut rêver, il est mon fantasme, il me fait vibrer. Je suis folle de lui.
Alors quand il me dit que son anniversaire est le 31 octobre qui vient, je prends une lourde décision. La veille au soir du 31 j'achète les billets en ligne, je passe la nuit à emballer mes bagages, je sais au fond que je ne voudrais pas de retour ici, j'en emporte donc le plus possible. (vie de famille, passé étouffant dans la ville ou je le situe à cet instant).
Je fais nuit blanche et à 7h je part à la gare chargée comme une mule, G est fou de joie et d'inquiétude quand je lui annonce son cadeau d'anniversaire, j'arrive à 20h à Quimper.
Toute la journée je trimballe ma valise et mes sacs de trains en trains, quand vers 17h j'arrive à Brest pour prendre le TER mon excitation est à son comble, je sort devant la gare pour vapoter durant ma correspondance et la ville est magnifique, il fait doux, le soleil se couche et tout est baigné dans une lueur orangée. Je voit mon reflet dans une vitre, je suis la même personne que d'habitude, mais j'embaume les féromones, je dégage un tel sex apeal avec toute cette excitation... Oops mes tétons pointent.
Je m'abstiens durant les 1h30 de route qu'il me reste de chauffer G par SMS, je lui parle de tout et de rien. En fait je suis au bord de la crise de nerfs. Pas à cause du risque que j'ai prit en quittant tout, j'ai déjà vécu à la rue plus d'une fois et c'est vraiment une très belle vie de ne pas être esclave d'un confort éphémère. Non j'ai peur de ne pas lui plaire...
Je l'appelle 10 minutes avant d'arriver, il m'attends déjà à la gare,J'ai déjà fait des trucs de dingues dans ma vie mais j'ai jamais ressenti autant d'adrénaline. Je suis comme en manque de lui sans jamais l'avoir rencontré, mes doigts idéalisent sa peau, mon nez son odeur, ma bouche son goût, mes cuisses sa chaleur... Je me dirige vers la sortie de la gare, en essayant de garder contenance... Mon cœur bat la chamade et ma culotte est inondée de désir, alors que l'air frais vient frapper mes joues je l'entends m'appeler, je me retourne...
Je veux le baiser sur place.
Nous faisons quelques pas en nous rapprochant et en sortant tout à fait de la gare, il me colle au mur et m'embrasse avec fougue, les passants sont gênés, amusés ou s'en fichent. Et moi je vit un rêve...
En fait, j'ai eu beaucoup de relations dans ma vie, et je n'avais pas déjà ressenti ça en embrassant quelqu'un... D'ailleurs avant de rencontrer G je n'aimait pas les baisers. Mais là j'ai ressenti la magie décrite dans les histoires à l'eau de rose, mêlée à une sévère envie de défaire sa braguette...
Je vous épargne les dialogues car même moi je parlais pour meubler.

Les mots n'avaient aucune importance, aucune valeur, la passion nous brûle, et l'impatience de sentir le corps de l'autre est forte.
Nous montons dans sa voiture, il nous a prit des burgers, je feint d'avoir faim, il m'a prit des roses, mais on les a écrasé sous ma valise, il ne démarre pas de suite, il m'embrasse, mon corps s'embrase un peu plus et je le sent très chaud, mes mains parcourent ses cheveux son cou, je me tortille sur place pour rester sage, mais je pourrais le faire là maintenant, je veux faire qu'un avec lui.
Il roule vite et me regarde souvent, je rit nerveusement et quand ça m'arrive je suis ridicule mais c'est plus fort que moi. Sa ville est petite, c'est la campagne à côté de la mer, c'est calme, et très beau. Nous arrivons chez lui, l'immeuble n'a que 2 étages et ressemble plutôt à une maison, chez lui il y'a trop d'affaires, c'est le boxon mais je remarque tout de suite qu'il a tenté de rangé. Il a faim, je met les roses dans un vase, il me fait visiter. On arrive ENFIN dans sa chambre, le lit n'est pas fait et je jette un plaid qui était plié par là sur le matelas, je l'embrasse et le pousse doucement vers le lit, nous enlevons frénétiquement notre haut, je défait sa ceinture sa braguette, il enlève caleçon et jeans en même temps, je descend pour lui retirer, et je remonte vite pour enfin goûter sa bite, en faisant courir mes mains sur ses cuisses et son bas ventre, et la il me dit, "ah non, chez moi on garde pas les chaussettes" je rit, je retourne à ses pieds pour lui retirer ses chaussettes, je le regarde dans les yeux et je lui baise les pieds, son regards est bestial sa queue est courbe, longue et si dure, et ses couilles sont très impressionnantes...

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