En panne 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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En panne 3
Après mon faux départ, je suis dans ma cave. On a sonné. Monique ouvre à Noël, un autre professeur des écoles, qui vient lui présenter la dernière édition de manuels scolaires qui suivront les instructions récentes du ministère. Noël est bien gentil, mais je le vois mal attenter à l’intégrité physique de sa collègue, ici plutôt que dans une salle de classe. Il me paraît d’âge canonique, inoffensif ! Le visiteur est délogé par un nouveau coup de sonnette. L’homme poli cède la place à plusieurs visiteurs :
- Entrez messieurs, je m’en allais.
Après un bref échange de salutations entre partant et arrivants, je suis fixé : j’ai reconnu une voix, sans erreur possible,celle de mon collègue René. Quand il salue Monique je comprends immédiatement ses intentions.
- Salut, ma chérie,on s’embrasse ? … Permets-moi de te présenter mon ami Rémi.
« Ma chérie » ! A-t-il dit. Me faut-il un dessin
Je me suis trompé, mais on ne va pas voir une maîtresse accompagné d’un ami. Ils sont deux, dont un que ma femme ne connaît pas puisque René passe aux présentations :
- Henri, voici cette très chère Monique dont je t’ai expliqué les difficultés de santé. Ma chérie, Henri est un ami infirmier. Quand tu m’as refoulé, il y a 8 jours, sous prétexte que je t’avais fait mal et que je t’avais de nouveau démonté le vagin, j’ai eu un doute. Bien sûr ce n’est pas ton mari qui pourrait te blesser, le bon à rien. Il faut avoir de quoi !
Que sait-il au fait de mon incapacité à combler les envies de ma femme? Monique se serait plainte à lui de défaillances conjugales ? Elle serait gonflée ! Avait-elle matière à aller raconter à René que je ne la satisfaisais pas sexuellement, avant de se plaindre à moi, le premier intéressé. Car si l’un de nous souffre de manque, n’est-ce pas moi, le malheureux époux, trop souvent prié d’attendre que passent les irritations vaginales avant de pouvoir exercer son devoir marital ?
Je ne suis pas au bout de mes surprises. René a donc été mis au courant des problèmes de ma femme, avant moi ou en même temps que moi. Il ne tient pas ses informations du laboratoire soumis au secret médical. C’est forcément Monique qui lui en a parlé. Avec moi elle avait attendu l’imminence d’une relation sexuelle pour me révéler le résultat de ses analyses; je m’étais montré très empressé, elle avait paniqué et avait été contrainte par la peur de violentes douceurs de me révéler l’état de son sexe meurtri. Alors elle se demandait comment cette malédiction féminine avait pu l’affecter. Pour ne pas m’effrayer elle avait fini par écarter l’hypothèse de maladie sexuellement transmissible, et cette fois m’avait montré le compte rendu du labo; mais elle ne comprenait pas pourquoi cette saleté tombait sur elle, femme fidèle et aimante. Pour quelle raison, cette épouse si discrète avec son mari, se serait-elle mise à parler de ce problème intime à mon collègue de bureau ?
La réponse est dans la phrase de René : « Quand tu m’as refoulé… sous prétexte que je t’avais démonté le vagin. » On ne peut pas être plus clair. Monique a une liaison avec René. On ne démonte pas un vagin comme un pneu ! Ces deux là couchent ensemble, moi, je suis cocu, le dindon de la farce. René baise ma femme et ne la ménage pas, frotte avec tant de force qu’elle est victime de toutes sortes d’ennuis après le passage de cette tornade.
J’ai entendu ces quelques paroles, sur le champ j’ai compris la situation. Monique a refoulé son amant, non par vertu, elle a dû expliquer son refus de relations par le mauvais état de ses organes génitaux et par crainte d’une nouvelle souffrance, par crainte d’une rechute aux conséquences plus graves et par crainte de mes réactions face à un mal devenu chronique. A force, il faudra bien mettre les choses au point. Je tends l’oreille, René tient à savoir aussi :
- J’ai donc pensé utile et nécessaire de vérifier ton état. Voilà pourquoi je me suis fait accompagner par un infirmier. Celui-ci sera discret, ne demandera pas d’argent, tu n’auras pas à te faire rembourser par la sécu, Paul ne trouvera pas de trace de cet examen fait en privé. Henri va t’examiner de façon tout à fait professionnelle.
- Mais tu es fou; j’ai vu mon médecin lundi. Je n’ai pas à subir un nouvel examen par un inconnu, fût-il infirmier. Mon sexe n’est pas à la disposition de tes amis, ça ne se visite pas comme un musée ou un phénomène de foire; même gratuitement !
Tiens Monique est capable de résistance. René n’admet pas le refus:
- Oh ! Tu veux la ramener ? Tu voudrais qu’il te paie peut-être ? Henri, montre lui ta carte professionnelle; ne t’inquiète pas, tu vas constater que nous avons à faire à une dame tout à fait consentante malgré ses éclats de voix. Bien, ma poule,conduis-nous au salon. Enlève ta petite culotte si tu en as une. Va t’asseoir sur ta table, cela facilitera l’examen gynécologique indispensable.
René parle avec autorité, Monique ne proteste que mollement mais devance les deux hommes et René en profite pour tranquilliser son compagnon.
- Je t’explique. Monique et moi étions amis, nous sommes devenus amants. Tantôt dans sa chambre d’étudiante, parfois dans la nature ou dans une chambre d’hôtel, rarement chez moi nous couchions ensemble. Je lui ai tout appris des choses du cul. J’ai été le premier à faire tomber sa culotte, le premier à lui imposer le string à la mode, à raser ses poils pubiens avec mon rasoir. Le premier j’ai lui ai mis la main au con; le premier je lui ai fourré un doigt dans la craquette. J’ai été le premier à vaincre la résistance de son hymen et à faire couler son sang de jeune vierge. J’ai caressé son corps avant tout autre, j’ai fait durcir ses tétons. Le premier j’ai titillé son clito, sucé les lèvres de sa vulve. Je l’ai tant et si bien excitée qu’elle a cédé à mes prières, s’est abandonnée et enfin j’ai été le premier à lui enfoncer ma bite dans la moule. Elle était à moi, un jour je te montrerai des photos de nos ébats.
- C’est bon, je te crois sur paroles, répond Henri.
Moi, dans ma cave j’apprends des informations que Monique a toujours tues.
- Non, écoute la suite. J’avais lutté pendant des jours contre ses préjugés, pied à pied et tout à coup j’investissais la forteresse. Le bonheur et la gloire ! Le sacrifice de sa virginité l’a rendue dépendante, à la télé ils disent « addicte au sexe. » Je ne sais pas si tu vois, je sifflais, elle se couchait sur le dos, écartait automatiquement les brancards et découvrait sa petite chatte chaude ou bien elle s’appuyait à un meuble, bras pliés, dos creusé, cul tendu pour m’offrir son berlingot affamé. Le bon temps quoi. Elle n’en avait jamais assez, réclamait sans cesse un coup de trique. Qu’elle était chaude, la garce. Que de folles parties de trou du cul dans ma mémoire ! Mais un jour elle m’a surpris en train de lutiner une autre fille.
- Toi, alors ! Elle ne te suffisait pas ?
René s’adresse à la femme muette. La demande n’est pas neutre, mais clairement orientée:
- Dis, ma biche, va te laver l’amusoire avant de le montrer. Vite sur ton bidet, au trot !
- Tu devrais être plus gentil. Tu la brusques, elle va se rebeller.
- J’aimerais voir ça. Les femmes, plus tu les secoues, plus elles te respectent. Et là , en début d’après-midi, son bijou doit charrier des remugles à chasser au plus vite. N’oublie pas que tu devras te pencher pour examiner la bête et qu’il ne serait pas poli de te pincer le nez.
- Bah ! Tu es horrible. Qu’est-ce que tu attends de cette Monique?
Ben, tu vois, en amour, c’est la conquête qui est importante. Tout le plaisir réside dans le progrès qui te conduit à sauter ta proie. La possession acquise, tu as envie de passer à autre chose. Tu vois passer une belle paire de fesses ou des nichons somptueux, tu te dis qu’il serait dommage de les laisser filer sans y goûter. Il faut mieux voir, toucher, palper, caresser, c’est instinctif. Pas toi ? En tout cas, moi je suis comme ça, d‘humeur plutôt polygame. Conquérir, posséder du nouveau, c’est mon idéal. C‘est pourquoi, un soir, sous un porche,Monique me surprend la main dans la culotte d’une copine que j’embrassais. L’autre miaule sous la chatouille de mes doigts, attire l’attention de ma morue. Elle ne veut pas comprendre que je puisse peloter une autre fille, et comme une merde elle me plaque.
- Toi, elle t’a quitté. Mais si j’ai compris, elle est mariée à un autre que tu as envoyé en promenade aujourd’hui et qui ne risque pas de te surprendre. Tu as été vexé!
- Oui, moi je tenais à ma baiseuse préférée et si douée. Dans mon cœur, elle passait pourtant avant les rencontres fortuites. Mon titre de premier béguin, de premier amant, mes talents amoureux reconnus, mes langues fourrées ou mes coups de bite légendaires avec mes attributs aux dimensions plus que respectables, tout le plaisir partagé, cette dingue a tout bazardé pour un tout petit écart.
- Tu n’ exagères pas un peu ?
-Mon nouveau challenge a été depuis de la regagner. J’y travaille depuis des mois. Ça ne marche pas mal, la victoire approche. Ma queue va encore remuer quelques fameux souvenirs, lui rappeler les jours heureux, les orgasmes fastueux de cette époque. Un jour elle quittera le mari épousé en hâte par dépit amoureux. Un jour elle me reviendra.
- Mais Rolande, ta femme? Il t’en faut deux? Tes couilles débordent ?Tu cherches les emmerdes, mon vieux.
- Quand Monique lâchera l’autre con pour moi, j’aurai la joie de la plaquer à mon tour. Œil pour œil, dent pour dent. En attendant nous allons nous amuser. Non, mais, me balancer par jalousie, me rejeter comme une furieuse pour une peccadille avant de se jeter sur le premier imbécile venu. Je vais lui apprendre à vivre. Allez viens, tu sais ce que tu dois faire et quel diagnostic tu dois prononcer. Tu seras récompensé c’est un morceau de choix.
René enchaîne tourné vers la salle de bain :
- Alors Monique, ça vient, n’use pas trop ton minou délicat à le frotter. Ah, te voilà enfin! Il t’en faut du temps pour un peu de toilette intime !Qu’est-ce que tu foutais, tu te branlottais la cramouille ? En avant, sur la table d’examen.
- Non, tu recommences avec ça. Si tu insistes je crie et j’appelle Paul.
- Ha ! Ha ! Sais-tu où il est actuellement, ce crétin de Paul ?
- Oui je sais où tu l’as envoyé, lâche ! Pas plus crétin que toi, mais tellement plus honnête, plus gentil et plus fidèle.
- Ça l’avance à quoi ? Il a suffi que je menace de lui montrer quelques lettres enflammées que tu m’avais écrites quand nous nous aimions, plus des photos de nous à poil, en train de jouer à papa et maman, photos assez explicites pour qu’il admire nos acrobaties sexuelles et aussitôt tu lui as ciselé les plus belles cornes de cocu. Chaque mercredi de l’année scolaire depuis tu connais le bonheur avec moi.
- Salaud, parce que tu me fais chanter. Lui je l’aime, toi je te subis.
- Bien sûr, mis à part tes cris de plaisir et tes orgasmes répétés. Si tu n’y prenais pas autant de plaisir, tu ne m’ouvrirais pas ta porte que je ne force pas. N’essaie pas d’apitoyer Henri en niant que tu es une salope, une vicieuse. Avoue que tu attends le mercredi et ses festivités sexuelles avec impatience. Maintenant tu pourras te plaindre à ton Paul demain; ça m’étonnerait. Il y a trop longtemps que tu es heureuse de te faire servir du rabiot de jouissance par moi; je suis ton jouet secret, ton doudou : tu ne le casseras pas.
- Méfie-toi ! Un jour Paul te casseras la gueule.
- Pas aujourd’hui, il est très occupé à chercher une entreprise qui reste à créer dans une contrée lointaine. Je tenais à te baiser sans me presser. Il y a des choses que je n’aime pas bâcler. Débarrassés de lui, nous allons pouvoir jouer tranquillement et jouir voluptueusement, longuement. Ça te convient ? Je te promets des plaisirs nouveaux, inédits pour toi. Nous te rassasierons de foutre pour une longue semaine.
- N’y compte pas, je souffre d’une vaginite à répétition. Tes fameux attributs ont fait des dégâts, tu baises comme une brute, tu ne sais pas aimer en douceur. Il y a deux mois tu m’as déchiré le vagin en me prenant comme une bête, il y a deux semaines ton engin énorme m’a de nouveau labouré et meurtri les parois et fait anormalement gonfler les grosses lèvres du sexe. Je t’en supplie, laisse-moi le temps de me remettre de mes blessures. Même quand je vais pisser je ressens des brûlures atroces. Ne me force pas à porter plainte.
Moi à la cave j’écoute. Ma pauvre femme, tu te défends et je devrais voler à ton secours. Ce qui me retient c’est ton long silence. Ce voyou se vante d’avoir amorcé ta reconquête depuis des mois. Des mois de silence ! Pourquoi ne m’as-tu pas dénoncé ses crimes. Je constate que tu essaies de lui échapper, que tu ne l’as pas appelé pour cet après-midi, mais ta passivité est coupable. Il aurait suffi d’un mot, tu ne l’as pas dit. Est-ce parce que tu ne voulais pas te priver des extras du mercredi ? Quel serait ton accueil si j’affrontais ces deux monstres ? Deux, c’est déjà beaucoup, mais si tu devais te ranger à leur côté, je serais doublement battu, physiquement et moralement.
Alors assume les conséquences de ta passivité durable et fautive et de ton manque de confiance en moi. Ta résistance est tardive à mes yeux et inefficace pour toi, ces deux salauds te soumettront et n’épargneront pas les parois endolories par les excès de René. Tu vas passer à la casserole, plutôt deux fois qu’une et qui sait si tu ne le souhaites pas, si ta protestation n’est pas destinée à les vexer pour les exciter. Tout au plus, pour sa bonne réputation, René sera-t-il moins brutal.
René s’est donné autant de mal pour t’isoler en m’éloignant, ce n’est pas maintenant qu’il va reculer et abandonner son projet de nous séparer avant de te laisser tomber. Sa vengeance est calculée, il se moque de tes possibles douleurs. Il le fait savoir :
- Porter plainte, laisse-moi rire. Tu te fous de moi, tu fais ta forte tête. J’ai trop bien préparé mon coup, j’ai payé de mes euros le carburant, le restaurant et même une nuit d’hôtel à ton mari pour pouvoir te faire l’amour et dormir avec toi, pendant que là-bas ton cocu sourira aux anges. Alors cesse tes jérémiades et fous-toi vite à poil avant de m’énerver.
- On pourrait remettre à la semaine prochaine, j’ai vraiment mal en ce moment. Pitié laisse-moi guérir, après je ferai tout ce que tu voudras.
Quoi, elle promet ? Je ne comprends plus rien. Elle est prête à recommencer. Elle ignore ma présence, ne compte toujours pas sur moi.
- Je t’ai dit « à poil »… Exécution ! …Quoi, tu remets ces horribles culottes en coton de grand-mère ? Tu retombes déjà en enfance ! J’ai dans mon pantalon l’argument qui va te remettre les idées en place. Quelques bons coups de ma matraque et ça va s’arranger. Tu balanceras cette guenille à la poubelle, je ne veux plus jamais la voir sur toi. Maintenant grimpe sur la table. Écarte les cuisses et montre tes prétendues plaies à l’infirmier. C’est un expert, faisons lui confiance, il a professionnellement contrôlé plus de chattes que tu ne verras de zizis dans ta vie de sainte femme. Allez, je t’aide à ouvrir ton con, écarte mieux. C’est pour ton bien ; expert, connaisseur et grand amateur, Henri participera à ta guérison en couvrant tes plaies de son sperme.
-à suivre
- Entrez messieurs, je m’en allais.
Après un bref échange de salutations entre partant et arrivants, je suis fixé : j’ai reconnu une voix, sans erreur possible,celle de mon collègue René. Quand il salue Monique je comprends immédiatement ses intentions.
- Salut, ma chérie,on s’embrasse ? … Permets-moi de te présenter mon ami Rémi.
« Ma chérie » ! A-t-il dit. Me faut-il un dessin
Je me suis trompé, mais on ne va pas voir une maîtresse accompagné d’un ami. Ils sont deux, dont un que ma femme ne connaît pas puisque René passe aux présentations :
- Henri, voici cette très chère Monique dont je t’ai expliqué les difficultés de santé. Ma chérie, Henri est un ami infirmier. Quand tu m’as refoulé, il y a 8 jours, sous prétexte que je t’avais fait mal et que je t’avais de nouveau démonté le vagin, j’ai eu un doute. Bien sûr ce n’est pas ton mari qui pourrait te blesser, le bon à rien. Il faut avoir de quoi !
Que sait-il au fait de mon incapacité à combler les envies de ma femme? Monique se serait plainte à lui de défaillances conjugales ? Elle serait gonflée ! Avait-elle matière à aller raconter à René que je ne la satisfaisais pas sexuellement, avant de se plaindre à moi, le premier intéressé. Car si l’un de nous souffre de manque, n’est-ce pas moi, le malheureux époux, trop souvent prié d’attendre que passent les irritations vaginales avant de pouvoir exercer son devoir marital ?
Je ne suis pas au bout de mes surprises. René a donc été mis au courant des problèmes de ma femme, avant moi ou en même temps que moi. Il ne tient pas ses informations du laboratoire soumis au secret médical. C’est forcément Monique qui lui en a parlé. Avec moi elle avait attendu l’imminence d’une relation sexuelle pour me révéler le résultat de ses analyses; je m’étais montré très empressé, elle avait paniqué et avait été contrainte par la peur de violentes douceurs de me révéler l’état de son sexe meurtri. Alors elle se demandait comment cette malédiction féminine avait pu l’affecter. Pour ne pas m’effrayer elle avait fini par écarter l’hypothèse de maladie sexuellement transmissible, et cette fois m’avait montré le compte rendu du labo; mais elle ne comprenait pas pourquoi cette saleté tombait sur elle, femme fidèle et aimante. Pour quelle raison, cette épouse si discrète avec son mari, se serait-elle mise à parler de ce problème intime à mon collègue de bureau ?
La réponse est dans la phrase de René : « Quand tu m’as refoulé… sous prétexte que je t’avais démonté le vagin. » On ne peut pas être plus clair. Monique a une liaison avec René. On ne démonte pas un vagin comme un pneu ! Ces deux là couchent ensemble, moi, je suis cocu, le dindon de la farce. René baise ma femme et ne la ménage pas, frotte avec tant de force qu’elle est victime de toutes sortes d’ennuis après le passage de cette tornade.
J’ai entendu ces quelques paroles, sur le champ j’ai compris la situation. Monique a refoulé son amant, non par vertu, elle a dû expliquer son refus de relations par le mauvais état de ses organes génitaux et par crainte d’une nouvelle souffrance, par crainte d’une rechute aux conséquences plus graves et par crainte de mes réactions face à un mal devenu chronique. A force, il faudra bien mettre les choses au point. Je tends l’oreille, René tient à savoir aussi :
- J’ai donc pensé utile et nécessaire de vérifier ton état. Voilà pourquoi je me suis fait accompagner par un infirmier. Celui-ci sera discret, ne demandera pas d’argent, tu n’auras pas à te faire rembourser par la sécu, Paul ne trouvera pas de trace de cet examen fait en privé. Henri va t’examiner de façon tout à fait professionnelle.
- Mais tu es fou; j’ai vu mon médecin lundi. Je n’ai pas à subir un nouvel examen par un inconnu, fût-il infirmier. Mon sexe n’est pas à la disposition de tes amis, ça ne se visite pas comme un musée ou un phénomène de foire; même gratuitement !
Tiens Monique est capable de résistance. René n’admet pas le refus:
- Oh ! Tu veux la ramener ? Tu voudrais qu’il te paie peut-être ? Henri, montre lui ta carte professionnelle; ne t’inquiète pas, tu vas constater que nous avons à faire à une dame tout à fait consentante malgré ses éclats de voix. Bien, ma poule,conduis-nous au salon. Enlève ta petite culotte si tu en as une. Va t’asseoir sur ta table, cela facilitera l’examen gynécologique indispensable.
René parle avec autorité, Monique ne proteste que mollement mais devance les deux hommes et René en profite pour tranquilliser son compagnon.
- Je t’explique. Monique et moi étions amis, nous sommes devenus amants. Tantôt dans sa chambre d’étudiante, parfois dans la nature ou dans une chambre d’hôtel, rarement chez moi nous couchions ensemble. Je lui ai tout appris des choses du cul. J’ai été le premier à faire tomber sa culotte, le premier à lui imposer le string à la mode, à raser ses poils pubiens avec mon rasoir. Le premier j’ai lui ai mis la main au con; le premier je lui ai fourré un doigt dans la craquette. J’ai été le premier à vaincre la résistance de son hymen et à faire couler son sang de jeune vierge. J’ai caressé son corps avant tout autre, j’ai fait durcir ses tétons. Le premier j’ai titillé son clito, sucé les lèvres de sa vulve. Je l’ai tant et si bien excitée qu’elle a cédé à mes prières, s’est abandonnée et enfin j’ai été le premier à lui enfoncer ma bite dans la moule. Elle était à moi, un jour je te montrerai des photos de nos ébats.
- C’est bon, je te crois sur paroles, répond Henri.
Moi, dans ma cave j’apprends des informations que Monique a toujours tues.
- Non, écoute la suite. J’avais lutté pendant des jours contre ses préjugés, pied à pied et tout à coup j’investissais la forteresse. Le bonheur et la gloire ! Le sacrifice de sa virginité l’a rendue dépendante, à la télé ils disent « addicte au sexe. » Je ne sais pas si tu vois, je sifflais, elle se couchait sur le dos, écartait automatiquement les brancards et découvrait sa petite chatte chaude ou bien elle s’appuyait à un meuble, bras pliés, dos creusé, cul tendu pour m’offrir son berlingot affamé. Le bon temps quoi. Elle n’en avait jamais assez, réclamait sans cesse un coup de trique. Qu’elle était chaude, la garce. Que de folles parties de trou du cul dans ma mémoire ! Mais un jour elle m’a surpris en train de lutiner une autre fille.
- Toi, alors ! Elle ne te suffisait pas ?
René s’adresse à la femme muette. La demande n’est pas neutre, mais clairement orientée:
- Dis, ma biche, va te laver l’amusoire avant de le montrer. Vite sur ton bidet, au trot !
- Tu devrais être plus gentil. Tu la brusques, elle va se rebeller.
- J’aimerais voir ça. Les femmes, plus tu les secoues, plus elles te respectent. Et là , en début d’après-midi, son bijou doit charrier des remugles à chasser au plus vite. N’oublie pas que tu devras te pencher pour examiner la bête et qu’il ne serait pas poli de te pincer le nez.
- Bah ! Tu es horrible. Qu’est-ce que tu attends de cette Monique?
Ben, tu vois, en amour, c’est la conquête qui est importante. Tout le plaisir réside dans le progrès qui te conduit à sauter ta proie. La possession acquise, tu as envie de passer à autre chose. Tu vois passer une belle paire de fesses ou des nichons somptueux, tu te dis qu’il serait dommage de les laisser filer sans y goûter. Il faut mieux voir, toucher, palper, caresser, c’est instinctif. Pas toi ? En tout cas, moi je suis comme ça, d‘humeur plutôt polygame. Conquérir, posséder du nouveau, c’est mon idéal. C‘est pourquoi, un soir, sous un porche,Monique me surprend la main dans la culotte d’une copine que j’embrassais. L’autre miaule sous la chatouille de mes doigts, attire l’attention de ma morue. Elle ne veut pas comprendre que je puisse peloter une autre fille, et comme une merde elle me plaque.
- Toi, elle t’a quitté. Mais si j’ai compris, elle est mariée à un autre que tu as envoyé en promenade aujourd’hui et qui ne risque pas de te surprendre. Tu as été vexé!
- Oui, moi je tenais à ma baiseuse préférée et si douée. Dans mon cœur, elle passait pourtant avant les rencontres fortuites. Mon titre de premier béguin, de premier amant, mes talents amoureux reconnus, mes langues fourrées ou mes coups de bite légendaires avec mes attributs aux dimensions plus que respectables, tout le plaisir partagé, cette dingue a tout bazardé pour un tout petit écart.
- Tu n’ exagères pas un peu ?
-Mon nouveau challenge a été depuis de la regagner. J’y travaille depuis des mois. Ça ne marche pas mal, la victoire approche. Ma queue va encore remuer quelques fameux souvenirs, lui rappeler les jours heureux, les orgasmes fastueux de cette époque. Un jour elle quittera le mari épousé en hâte par dépit amoureux. Un jour elle me reviendra.
- Mais Rolande, ta femme? Il t’en faut deux? Tes couilles débordent ?Tu cherches les emmerdes, mon vieux.
- Quand Monique lâchera l’autre con pour moi, j’aurai la joie de la plaquer à mon tour. Œil pour œil, dent pour dent. En attendant nous allons nous amuser. Non, mais, me balancer par jalousie, me rejeter comme une furieuse pour une peccadille avant de se jeter sur le premier imbécile venu. Je vais lui apprendre à vivre. Allez viens, tu sais ce que tu dois faire et quel diagnostic tu dois prononcer. Tu seras récompensé c’est un morceau de choix.
René enchaîne tourné vers la salle de bain :
- Alors Monique, ça vient, n’use pas trop ton minou délicat à le frotter. Ah, te voilà enfin! Il t’en faut du temps pour un peu de toilette intime !Qu’est-ce que tu foutais, tu te branlottais la cramouille ? En avant, sur la table d’examen.
- Non, tu recommences avec ça. Si tu insistes je crie et j’appelle Paul.
- Ha ! Ha ! Sais-tu où il est actuellement, ce crétin de Paul ?
- Oui je sais où tu l’as envoyé, lâche ! Pas plus crétin que toi, mais tellement plus honnête, plus gentil et plus fidèle.
- Ça l’avance à quoi ? Il a suffi que je menace de lui montrer quelques lettres enflammées que tu m’avais écrites quand nous nous aimions, plus des photos de nous à poil, en train de jouer à papa et maman, photos assez explicites pour qu’il admire nos acrobaties sexuelles et aussitôt tu lui as ciselé les plus belles cornes de cocu. Chaque mercredi de l’année scolaire depuis tu connais le bonheur avec moi.
- Salaud, parce que tu me fais chanter. Lui je l’aime, toi je te subis.
- Bien sûr, mis à part tes cris de plaisir et tes orgasmes répétés. Si tu n’y prenais pas autant de plaisir, tu ne m’ouvrirais pas ta porte que je ne force pas. N’essaie pas d’apitoyer Henri en niant que tu es une salope, une vicieuse. Avoue que tu attends le mercredi et ses festivités sexuelles avec impatience. Maintenant tu pourras te plaindre à ton Paul demain; ça m’étonnerait. Il y a trop longtemps que tu es heureuse de te faire servir du rabiot de jouissance par moi; je suis ton jouet secret, ton doudou : tu ne le casseras pas.
- Méfie-toi ! Un jour Paul te casseras la gueule.
- Pas aujourd’hui, il est très occupé à chercher une entreprise qui reste à créer dans une contrée lointaine. Je tenais à te baiser sans me presser. Il y a des choses que je n’aime pas bâcler. Débarrassés de lui, nous allons pouvoir jouer tranquillement et jouir voluptueusement, longuement. Ça te convient ? Je te promets des plaisirs nouveaux, inédits pour toi. Nous te rassasierons de foutre pour une longue semaine.
- N’y compte pas, je souffre d’une vaginite à répétition. Tes fameux attributs ont fait des dégâts, tu baises comme une brute, tu ne sais pas aimer en douceur. Il y a deux mois tu m’as déchiré le vagin en me prenant comme une bête, il y a deux semaines ton engin énorme m’a de nouveau labouré et meurtri les parois et fait anormalement gonfler les grosses lèvres du sexe. Je t’en supplie, laisse-moi le temps de me remettre de mes blessures. Même quand je vais pisser je ressens des brûlures atroces. Ne me force pas à porter plainte.
Moi à la cave j’écoute. Ma pauvre femme, tu te défends et je devrais voler à ton secours. Ce qui me retient c’est ton long silence. Ce voyou se vante d’avoir amorcé ta reconquête depuis des mois. Des mois de silence ! Pourquoi ne m’as-tu pas dénoncé ses crimes. Je constate que tu essaies de lui échapper, que tu ne l’as pas appelé pour cet après-midi, mais ta passivité est coupable. Il aurait suffi d’un mot, tu ne l’as pas dit. Est-ce parce que tu ne voulais pas te priver des extras du mercredi ? Quel serait ton accueil si j’affrontais ces deux monstres ? Deux, c’est déjà beaucoup, mais si tu devais te ranger à leur côté, je serais doublement battu, physiquement et moralement.
Alors assume les conséquences de ta passivité durable et fautive et de ton manque de confiance en moi. Ta résistance est tardive à mes yeux et inefficace pour toi, ces deux salauds te soumettront et n’épargneront pas les parois endolories par les excès de René. Tu vas passer à la casserole, plutôt deux fois qu’une et qui sait si tu ne le souhaites pas, si ta protestation n’est pas destinée à les vexer pour les exciter. Tout au plus, pour sa bonne réputation, René sera-t-il moins brutal.
René s’est donné autant de mal pour t’isoler en m’éloignant, ce n’est pas maintenant qu’il va reculer et abandonner son projet de nous séparer avant de te laisser tomber. Sa vengeance est calculée, il se moque de tes possibles douleurs. Il le fait savoir :
- Porter plainte, laisse-moi rire. Tu te fous de moi, tu fais ta forte tête. J’ai trop bien préparé mon coup, j’ai payé de mes euros le carburant, le restaurant et même une nuit d’hôtel à ton mari pour pouvoir te faire l’amour et dormir avec toi, pendant que là-bas ton cocu sourira aux anges. Alors cesse tes jérémiades et fous-toi vite à poil avant de m’énerver.
- On pourrait remettre à la semaine prochaine, j’ai vraiment mal en ce moment. Pitié laisse-moi guérir, après je ferai tout ce que tu voudras.
Quoi, elle promet ? Je ne comprends plus rien. Elle est prête à recommencer. Elle ignore ma présence, ne compte toujours pas sur moi.
- Je t’ai dit « à poil »… Exécution ! …Quoi, tu remets ces horribles culottes en coton de grand-mère ? Tu retombes déjà en enfance ! J’ai dans mon pantalon l’argument qui va te remettre les idées en place. Quelques bons coups de ma matraque et ça va s’arranger. Tu balanceras cette guenille à la poubelle, je ne veux plus jamais la voir sur toi. Maintenant grimpe sur la table. Écarte les cuisses et montre tes prétendues plaies à l’infirmier. C’est un expert, faisons lui confiance, il a professionnellement contrôlé plus de chattes que tu ne verras de zizis dans ta vie de sainte femme. Allez, je t’aide à ouvrir ton con, écarte mieux. C’est pour ton bien ; expert, connaisseur et grand amateur, Henri participera à ta guérison en couvrant tes plaies de son sperme.
-à suivre
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