Encore le Père Vincent ?????
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Encore le Père Vincent ?????
Après ces deux premiers épisodes, nous retrouvons Fabienne chez elle….
En feu… littéralement en feu. Voila l’état perpétuel de sa foufoune…Fabienne n’a jamais tant sollicité son mari. Qui d’ailleurs, fatigue… ! Le pauvre avait perdu l’habitude de devoir honorer son épouse plus d’une fois ou deux par semaine. Là, depuis ces trois dernières semaines, pas un soir sans qu’il ne doive cavaler sur le bassin de la belle Fabienne. Bon , c’est pas une corvée. Elle est bien gaulée sa femme. Il est blasé depuis longtemps sur les tentatives toujours vaines des males qui approchent. Amis, Collègues, Voisins, Famille (oui, quand même !), c’est tout juste s’il n’a pas surpris un regard connaisseur et plein d’envie du curé du village. C’est vous dire.
Non, ce qui le surprend plus, c’est cette fringale de Fabienne. Jamais assez. Réclamant qu’il soit plus brutal, plus endurant (!!!), offrant ses fesses à la lumière crue alors qu’elle était toujours un peu pudique, n’hésitant pas à amorcer le sujet et faire naitre l’érection par une bouche vraiment docile et avide. Et ça aussi c’est un peu nouveau ; ou en tous cas …lointain !!!
Alors il tente vaillamment d’assurer ! Il ne voudrait pas que la belle finisse par chercher ailleurs le surplus de sexe qu’elle semble désirer.
Ca l’arrange pas trop car sa secrétaire, la petite Laure et ses vingt deux printemps, il faut pas lui en promettre… Quelle dévergondée ! Elle, son truc c’est de le sucer. Elle peut passer deux heures sous le bureau à jouer avec l’outil palpitant que son patron lui prête… !!!! Seulement, de temps en temps elle parvient à ses fins et si elle boit à la source qui jaillit, elle n’a pas l’air de se douter que ledit patron, il a une autre sangsue qui l’attend à la maison… A ce jeu, l’ami va bientôt craquer ! D’autant que la petite Laure, il ne saurait être question de ne pas lui jouer un ça-va-ça-vient avant de se quitter… !
Un jour qu’il rentre particulièrement pompé (je sais, elle est facile mais…) il croise le père Vincent.
Après quelques phrases banales, le vieux lui balance une boutade sur la belle Fabienne. Faut dire que le père vincent, s’il avait jamais osé s’approcher de Fabienne, il a toujours plaisanté sur elle avec son mari. Sujet redondant… !
-Toujours le plus veinard, toi, l’Jé. Tu dois pas t’embéter avec ta Fabienne. L’a p’tet encore embelli , j’trouve!!!
-M’en parle pas, Vincent, à toi je peux bien le dire : je fatigue !!!
-Nom de dla ! faut m’la préter !!! J’sus encor’ capab’ moi !!
-allons Vincent, tu n’y penses pas. Je voudrais bien voir ça !! Tu serais bien embêté !
-dis donc le jé ! chiche que tu m’laisses essayer en t’cachant ? hasarde-t-il mi-figue mi-raisin…
-ben on en reparlera, hein ? allez ! le bonsoir
Et le Jé se barre en rigolant. Ah le pere vincent, il ne sait pas, se dit-il, quel torrent de lave coule de sa Fabienne.
Alors, bien sur, un peu par provoc, un peu par lassitude, il aborde le sujet avec Fabienne. Le rouge monte aux joues de la belle bourgeoise…Qui, mine de rien, ne coupe pas brutalement cette conversation ambiguë.
-et si tu le laissais essayer, je serai caché, tu ne risques rien. Je suis sur qu’il s’arrêtera, faute de l’outil nécessaire. Il doit plus bander depuis longtemps le pauvre Vincent… !
-oh ! mais s’il me touche ? je veux dire…
- une main par ci par là ? quel mal y a –t-il ? Et puis c’est une b.a. que tu feras !!
En deux temps trois mouvements le projet est ficelé. Jé sera caché, et interviendra si Fabienne appelle. « Si et seulement si », a-t-elle glissé, moqueuse….
Là dessus, la soirée est particulièrement chaude, comme quoi un bon fantasme…non ?
Jé recontacte le père Vincent qui lève les sourcils . Voila le premier cocu qui lui offre sa femme. Alors , même s’il a déjà bien chevauché sa femme à ce petit con, il se voit bourrer Fabienne avec le Jé qui mate… alors là ! ça va être du grandiose !!!!
Et voila le grand soir. Jé est soi-disant retardé, le père Vincent se pointe et la Fabienne, elle coule littéralement…Elle a du se soulager trois fois seule dans l’après-midi pour attendre le grand moment.
Elle sait que son mari viendra se poster en haut de l’escalier, rentrant par derrière. Elle sait qu’elle va se donner. Et qu’on verra bien les dégats chez son mari lorsqu’il aura pris conscience de sa légéreté !
-oh la Fabienne t’es donc là ?
-bonjour ! contente de vous voir passer !
-hé Fabienne, passer…passer… je ne fais pas qu’entrer et sortir, tu sais !!
-c'est-à-dire ? demande la ménagère souriante
Le père Vincent, vous savez, c’est pas un diplomate. Il fait deux pas, saisi la belle par la taille et prend un sein à pleines mains. Comme le soutien-gorge avait été jugé inutile, il palpe un mamelon chaud, souple, très engageant, ses doigts se rassemblent au bout de l’étoffe et pincent assez sèchement le téton. Elle a déjà plaqué son ventre sur le ventre du vieux… Il est radieux, sûr de lui, et crois que la Fabienne ne sait rien. Quant au Jé, il a vu ce préambule et se demande jusqu’où Fabienne va accepter de jouer le jeu. Déjà cette caresse salace aurait du la faire réagir…
La main passe dans le corsage, pour mieux apprécier le galbe et malaxer le nibard à sa convenance, sa bouche fouille dans le cou de Fabienne qui a rejeté sa tête en arrière, souriant en direction du haut de l’escalier….
Le vieux attrape tout le corsage et descend tout ça vers la taille, les deux seins libérés sont sucés léchées, empoignés, malaxés, triturés, violentés. Fabienne a déjà du mal à retenir des soupirs d’aise. Le vieux continue de descendre tout ce qui se présente, la jupe suit le mouvement et tout se retrouve au bas des chevilles ! Jé n’en revient pas. Malgré le traitement de Laure, il sent un début d’érection… ! Le vieux est à genoux, les mains sur les fesses de son épouse, sa bouche lèche le ventre dans tous les sens. Dans tous les sens mais avec une idée directrice ! Voila la bouche plaquée sur la toison de Fabienne. Et les mains qui sont descendues sur le haut des cuisses écartent les fesses, entrainant l’ouverture des belles jambes… la tête descend et Jé ne voit qu’un béret qui ondule et les deux mains de sa femme qui se posent dessus.
Fabienne ploie légèrement les jambes, ouvrant plus grand sa féminité à la bouche vorace… elle commence à gémir et à encourager l’ancêtre.
-père Vincent que faites-vous ? ah c’est bon…
Jé va intervenir. Enfin il devrait. D’abord il aurait l’air très con, ensuite, il imagine que la fête va s’arrêter si le vieux n’a plus de virilité digne de ce nom, enfin il a pris sa verge entre ses mains et se caresse doucement. Autant en profiter, hein ?
Les cris de sa femme qui jouit le ramènent sur terre. Un vrai orgasme… ce Vincent, trop fort ! Et maintenant ? il va battre en retraite surement… !
Il se relève, déboucle le bénard… Fabienne est déjà à genoux… elle extrait d’un slip distendu une bite incroyable. Mais c’est pas possible. Plus longue, plus grosse que la sienne. L’orgueil du Jé ramasse !
Et la bouche de Fabienne coulisse déjà autour du gland qu’elle embouche à grand peine. Le vieux, béret en arrière et mains sur les hanches bascule lentement son bassin d’avant en arrière et la femme pompe le gros dard, ses mains soupèsent et caressent les bourses poilues, le regard qui se lève vers le vieux grigou est-il reconnaissant ? dommage elle tourne le dos…
Mais le vieux, sa figure hilare en dit long sur le bonheur de se faire sucer.
-alors la Fabienne, ça c’est une belle bite, hein ? celle du Jé elle te va pas ?
Le salaud le nargue… ! Heureusement, la bouche de son épouse est suffisamment pleine pour éviter encore une égratignure à l’orgueil marital !
En bas ça s’accélère, le vieux pilonne la bouche il tient la nuque de Fabienne et impose rythme et profondeur, elle doit ingurgiter des centimètres de bites qui vont et viennent…
Et puis le vieux s’interromps. Un coup d’œil périphérique… la table de la cuisine est quasi vide. Un balayage du coude et elle est vide ! Il dépose sa partenaire sur la table, la couche sans ménagement et soulève les cuisses. La chatte en pleine lumière, ouverte, béante, dégoulinante de son épouse est prête à recevoir cette bite monstrueuse… Et elle l’avale d’un coup, le père Vincent a pointé l’engin et enfilé!!!!
Un gloussement de femelle en rut… Fabienne retient ses jambes écartées et soulevées… et Vincent pilonne la chatte quémandeuse.
Le spectacle est prodigieux… Cette bite qui rentre brutalement et qui ressort en quelques secondes qui paraissent aussi longue à Jé que la longueur de l’objet. Et plouf ! Et encore … Des minutes de pistonnage troublées par les soupirs d’aise de Fabienne qui, fidèle à son habitude avec le père Vincent se ramasse orgasme sur orgasme. Et le vieux en rajoute !!!
-tiens donc Fabienne, profite, c’est pas tous les jours la fête à ton cul !!
-Tiens, ton cul…je vas y donner aussi !
Il se retire, remet Fabienne debout, la retourne contre la table, écarte ses jambes et enduit de cyprine le trou du cul de la chère moitié du Jé abasourdi.
Il va l’enculer devant moi. Et elle qui ne dit rien. La salope !! Le Jé a tout compris…mais un peu tard.
Ben oui Jé, la bite est devant le trou interdit, elle pousse, les mains de Fabienne écartent les fesses autant que possible et le Vieux il pousse et il gagne du terrain. Le voila qui a entré le gland…et qui triomphe.
-Ah ! je vas pouvoir te défoncer le troufignon, la Fabienne. Acrroche toi !!!
Et la queue entre doucement mais surement dans le boyau et les fessées du père Vincent fouettent l’air et les globes rougissent! Et commencent les allers-retours… pépére, mais infatigable, mon papy se tape une sodomie majestueuse du cul le plus convoité du village… !!!
Fabienne l’encourage, elle a du oublier la présence indiscrète depuis un bon moment… Elle va chercher la queue lorsqu’elle se trouve presque hors de son cul et pousse pour accompagner l’intromission…
Et Vincent accélère, frénétiquement… il jouit enfin en même temps que la femme qu’il encule….
Il s’effondre sur le dos de sa compagne… Les deux amants restent de longue minutes ainsi…
La bite sort du cul ravagé. Elle est encore raide !!!
-viens m’nettoyer ! allez ! ton bec !!!
Et Fabienne nettoie ce membre adoré. Elle en profite pour pomper un peu ce nœud qui ne débande pas…
- J’vas t’en remettre un p’tit coup ! Ca te va ?
- Tant que vous voudrez Pere vincent, allez-y, servez-vous, je suis à vous…
- A quat’pattes !
L’ordre a claqué, la ménagère obtempère. Et le vieux reprend la position qu’il avait adoptée chez lui. Il adore ça. Lorsque la femme subit ses assauts et se trouve à sa merci. Lorsque le cul est ainsi offert, qu’il baise ou encule , il voit le cul, il peut y fourrer ses doigts, ce dont il ne se prive pas, Fabienne sent deux doigts au moins coulisser dans son anus en même temps que sa chatte est perforée par la bite infatigable.
Il a du prendre du Viagra se dit Jé qui se masturbe toujours…
Il doit encore patienter 3 orgasmes et demi avant d’entendre le grognement de bête de Vincent qui se crispe soudain….
Il a son compte, le pépére… Se rhabille, flatte la croupe de Fabienne qui n’a pas bougé…rajuste le béret et claque la porte !
Jé n’y tient pas, descend, bite en l’air et encule Fabienne qui réalise soudain que son cher et tendre à tout vu et entendu, qu’il l’encule et que la taille de la pine de son mari est plus …discrète…que la précédente…
Quand au Jé, il n’a pas de mal à trouver son pied après cette tension retenue si longtemps.
Il a juste une faiblesse losqu’il se dit « je suis cocu, quand même… merde….»
En feu… littéralement en feu. Voila l’état perpétuel de sa foufoune…Fabienne n’a jamais tant sollicité son mari. Qui d’ailleurs, fatigue… ! Le pauvre avait perdu l’habitude de devoir honorer son épouse plus d’une fois ou deux par semaine. Là, depuis ces trois dernières semaines, pas un soir sans qu’il ne doive cavaler sur le bassin de la belle Fabienne. Bon , c’est pas une corvée. Elle est bien gaulée sa femme. Il est blasé depuis longtemps sur les tentatives toujours vaines des males qui approchent. Amis, Collègues, Voisins, Famille (oui, quand même !), c’est tout juste s’il n’a pas surpris un regard connaisseur et plein d’envie du curé du village. C’est vous dire.
Non, ce qui le surprend plus, c’est cette fringale de Fabienne. Jamais assez. Réclamant qu’il soit plus brutal, plus endurant (!!!), offrant ses fesses à la lumière crue alors qu’elle était toujours un peu pudique, n’hésitant pas à amorcer le sujet et faire naitre l’érection par une bouche vraiment docile et avide. Et ça aussi c’est un peu nouveau ; ou en tous cas …lointain !!!
Alors il tente vaillamment d’assurer ! Il ne voudrait pas que la belle finisse par chercher ailleurs le surplus de sexe qu’elle semble désirer.
Ca l’arrange pas trop car sa secrétaire, la petite Laure et ses vingt deux printemps, il faut pas lui en promettre… Quelle dévergondée ! Elle, son truc c’est de le sucer. Elle peut passer deux heures sous le bureau à jouer avec l’outil palpitant que son patron lui prête… !!!! Seulement, de temps en temps elle parvient à ses fins et si elle boit à la source qui jaillit, elle n’a pas l’air de se douter que ledit patron, il a une autre sangsue qui l’attend à la maison… A ce jeu, l’ami va bientôt craquer ! D’autant que la petite Laure, il ne saurait être question de ne pas lui jouer un ça-va-ça-vient avant de se quitter… !
Un jour qu’il rentre particulièrement pompé (je sais, elle est facile mais…) il croise le père Vincent.
Après quelques phrases banales, le vieux lui balance une boutade sur la belle Fabienne. Faut dire que le père vincent, s’il avait jamais osé s’approcher de Fabienne, il a toujours plaisanté sur elle avec son mari. Sujet redondant… !
-Toujours le plus veinard, toi, l’Jé. Tu dois pas t’embéter avec ta Fabienne. L’a p’tet encore embelli , j’trouve!!!
-M’en parle pas, Vincent, à toi je peux bien le dire : je fatigue !!!
-Nom de dla ! faut m’la préter !!! J’sus encor’ capab’ moi !!
-allons Vincent, tu n’y penses pas. Je voudrais bien voir ça !! Tu serais bien embêté !
-dis donc le jé ! chiche que tu m’laisses essayer en t’cachant ? hasarde-t-il mi-figue mi-raisin…
-ben on en reparlera, hein ? allez ! le bonsoir
Et le Jé se barre en rigolant. Ah le pere vincent, il ne sait pas, se dit-il, quel torrent de lave coule de sa Fabienne.
Alors, bien sur, un peu par provoc, un peu par lassitude, il aborde le sujet avec Fabienne. Le rouge monte aux joues de la belle bourgeoise…Qui, mine de rien, ne coupe pas brutalement cette conversation ambiguë.
-et si tu le laissais essayer, je serai caché, tu ne risques rien. Je suis sur qu’il s’arrêtera, faute de l’outil nécessaire. Il doit plus bander depuis longtemps le pauvre Vincent… !
-oh ! mais s’il me touche ? je veux dire…
- une main par ci par là ? quel mal y a –t-il ? Et puis c’est une b.a. que tu feras !!
En deux temps trois mouvements le projet est ficelé. Jé sera caché, et interviendra si Fabienne appelle. « Si et seulement si », a-t-elle glissé, moqueuse….
Là dessus, la soirée est particulièrement chaude, comme quoi un bon fantasme…non ?
Jé recontacte le père Vincent qui lève les sourcils . Voila le premier cocu qui lui offre sa femme. Alors , même s’il a déjà bien chevauché sa femme à ce petit con, il se voit bourrer Fabienne avec le Jé qui mate… alors là ! ça va être du grandiose !!!!
Et voila le grand soir. Jé est soi-disant retardé, le père Vincent se pointe et la Fabienne, elle coule littéralement…Elle a du se soulager trois fois seule dans l’après-midi pour attendre le grand moment.
Elle sait que son mari viendra se poster en haut de l’escalier, rentrant par derrière. Elle sait qu’elle va se donner. Et qu’on verra bien les dégats chez son mari lorsqu’il aura pris conscience de sa légéreté !
-oh la Fabienne t’es donc là ?
-bonjour ! contente de vous voir passer !
-hé Fabienne, passer…passer… je ne fais pas qu’entrer et sortir, tu sais !!
-c'est-à-dire ? demande la ménagère souriante
Le père Vincent, vous savez, c’est pas un diplomate. Il fait deux pas, saisi la belle par la taille et prend un sein à pleines mains. Comme le soutien-gorge avait été jugé inutile, il palpe un mamelon chaud, souple, très engageant, ses doigts se rassemblent au bout de l’étoffe et pincent assez sèchement le téton. Elle a déjà plaqué son ventre sur le ventre du vieux… Il est radieux, sûr de lui, et crois que la Fabienne ne sait rien. Quant au Jé, il a vu ce préambule et se demande jusqu’où Fabienne va accepter de jouer le jeu. Déjà cette caresse salace aurait du la faire réagir…
La main passe dans le corsage, pour mieux apprécier le galbe et malaxer le nibard à sa convenance, sa bouche fouille dans le cou de Fabienne qui a rejeté sa tête en arrière, souriant en direction du haut de l’escalier….
Le vieux attrape tout le corsage et descend tout ça vers la taille, les deux seins libérés sont sucés léchées, empoignés, malaxés, triturés, violentés. Fabienne a déjà du mal à retenir des soupirs d’aise. Le vieux continue de descendre tout ce qui se présente, la jupe suit le mouvement et tout se retrouve au bas des chevilles ! Jé n’en revient pas. Malgré le traitement de Laure, il sent un début d’érection… ! Le vieux est à genoux, les mains sur les fesses de son épouse, sa bouche lèche le ventre dans tous les sens. Dans tous les sens mais avec une idée directrice ! Voila la bouche plaquée sur la toison de Fabienne. Et les mains qui sont descendues sur le haut des cuisses écartent les fesses, entrainant l’ouverture des belles jambes… la tête descend et Jé ne voit qu’un béret qui ondule et les deux mains de sa femme qui se posent dessus.
Fabienne ploie légèrement les jambes, ouvrant plus grand sa féminité à la bouche vorace… elle commence à gémir et à encourager l’ancêtre.
-père Vincent que faites-vous ? ah c’est bon…
Jé va intervenir. Enfin il devrait. D’abord il aurait l’air très con, ensuite, il imagine que la fête va s’arrêter si le vieux n’a plus de virilité digne de ce nom, enfin il a pris sa verge entre ses mains et se caresse doucement. Autant en profiter, hein ?
Les cris de sa femme qui jouit le ramènent sur terre. Un vrai orgasme… ce Vincent, trop fort ! Et maintenant ? il va battre en retraite surement… !
Il se relève, déboucle le bénard… Fabienne est déjà à genoux… elle extrait d’un slip distendu une bite incroyable. Mais c’est pas possible. Plus longue, plus grosse que la sienne. L’orgueil du Jé ramasse !
Et la bouche de Fabienne coulisse déjà autour du gland qu’elle embouche à grand peine. Le vieux, béret en arrière et mains sur les hanches bascule lentement son bassin d’avant en arrière et la femme pompe le gros dard, ses mains soupèsent et caressent les bourses poilues, le regard qui se lève vers le vieux grigou est-il reconnaissant ? dommage elle tourne le dos…
Mais le vieux, sa figure hilare en dit long sur le bonheur de se faire sucer.
-alors la Fabienne, ça c’est une belle bite, hein ? celle du Jé elle te va pas ?
Le salaud le nargue… ! Heureusement, la bouche de son épouse est suffisamment pleine pour éviter encore une égratignure à l’orgueil marital !
En bas ça s’accélère, le vieux pilonne la bouche il tient la nuque de Fabienne et impose rythme et profondeur, elle doit ingurgiter des centimètres de bites qui vont et viennent…
Et puis le vieux s’interromps. Un coup d’œil périphérique… la table de la cuisine est quasi vide. Un balayage du coude et elle est vide ! Il dépose sa partenaire sur la table, la couche sans ménagement et soulève les cuisses. La chatte en pleine lumière, ouverte, béante, dégoulinante de son épouse est prête à recevoir cette bite monstrueuse… Et elle l’avale d’un coup, le père Vincent a pointé l’engin et enfilé!!!!
Un gloussement de femelle en rut… Fabienne retient ses jambes écartées et soulevées… et Vincent pilonne la chatte quémandeuse.
Le spectacle est prodigieux… Cette bite qui rentre brutalement et qui ressort en quelques secondes qui paraissent aussi longue à Jé que la longueur de l’objet. Et plouf ! Et encore … Des minutes de pistonnage troublées par les soupirs d’aise de Fabienne qui, fidèle à son habitude avec le père Vincent se ramasse orgasme sur orgasme. Et le vieux en rajoute !!!
-tiens donc Fabienne, profite, c’est pas tous les jours la fête à ton cul !!
-Tiens, ton cul…je vas y donner aussi !
Il se retire, remet Fabienne debout, la retourne contre la table, écarte ses jambes et enduit de cyprine le trou du cul de la chère moitié du Jé abasourdi.
Il va l’enculer devant moi. Et elle qui ne dit rien. La salope !! Le Jé a tout compris…mais un peu tard.
Ben oui Jé, la bite est devant le trou interdit, elle pousse, les mains de Fabienne écartent les fesses autant que possible et le Vieux il pousse et il gagne du terrain. Le voila qui a entré le gland…et qui triomphe.
-Ah ! je vas pouvoir te défoncer le troufignon, la Fabienne. Acrroche toi !!!
Et la queue entre doucement mais surement dans le boyau et les fessées du père Vincent fouettent l’air et les globes rougissent! Et commencent les allers-retours… pépére, mais infatigable, mon papy se tape une sodomie majestueuse du cul le plus convoité du village… !!!
Fabienne l’encourage, elle a du oublier la présence indiscrète depuis un bon moment… Elle va chercher la queue lorsqu’elle se trouve presque hors de son cul et pousse pour accompagner l’intromission…
Et Vincent accélère, frénétiquement… il jouit enfin en même temps que la femme qu’il encule….
Il s’effondre sur le dos de sa compagne… Les deux amants restent de longue minutes ainsi…
La bite sort du cul ravagé. Elle est encore raide !!!
-viens m’nettoyer ! allez ! ton bec !!!
Et Fabienne nettoie ce membre adoré. Elle en profite pour pomper un peu ce nœud qui ne débande pas…
- J’vas t’en remettre un p’tit coup ! Ca te va ?
- Tant que vous voudrez Pere vincent, allez-y, servez-vous, je suis à vous…
- A quat’pattes !
L’ordre a claqué, la ménagère obtempère. Et le vieux reprend la position qu’il avait adoptée chez lui. Il adore ça. Lorsque la femme subit ses assauts et se trouve à sa merci. Lorsque le cul est ainsi offert, qu’il baise ou encule , il voit le cul, il peut y fourrer ses doigts, ce dont il ne se prive pas, Fabienne sent deux doigts au moins coulisser dans son anus en même temps que sa chatte est perforée par la bite infatigable.
Il a du prendre du Viagra se dit Jé qui se masturbe toujours…
Il doit encore patienter 3 orgasmes et demi avant d’entendre le grognement de bête de Vincent qui se crispe soudain….
Il a son compte, le pépére… Se rhabille, flatte la croupe de Fabienne qui n’a pas bougé…rajuste le béret et claque la porte !
Jé n’y tient pas, descend, bite en l’air et encule Fabienne qui réalise soudain que son cher et tendre à tout vu et entendu, qu’il l’encule et que la taille de la pine de son mari est plus …discrète…que la précédente…
Quand au Jé, il n’a pas de mal à trouver son pied après cette tension retenue si longtemps.
Il a juste une faiblesse losqu’il se dit « je suis cocu, quand même… merde….»
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est vraiment très bandant!On en redemande,est-ce que le père VINCENT n'a pas un
frangin aussi puissant de la bite?car à deux avec cette belle femme.....
frangin aussi puissant de la bite?car à deux avec cette belle femme.....
tes histoires du père vincent sont excellente,on en redemande!!!un poil plus de
crudité,la fabienne est à croquée enfilée par ce vieux cochon à gros manche!!!la suite
vite!!!
crudité,la fabienne est à croquée enfilée par ce vieux cochon à gros manche!!!la suite
vite!!!