Entre potes
Récit érotique écrit par Tous bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Entre potes
Voici à mon tour, mon histoire de découverte de la sexualité et de la bisexualité.
Lire sur ce site les histoires de cul est ma façon actuelle de vivre ma bissexualité. J’ai une compagne que j’aime et que je respecte. Toutefois, j’ai envie de vous raconter à mon tour comment j’ai découvert en même temps les deux facettes de ma vie sexuelle.
Voici comment j’ai baisé pendant près de 10 ans avec mon vieux pote. Cela était au départ en attendant les femmes, mais c’était si bon que cela a perduré.
On a vraiment découvert le sexe ensemble lui et moi. On s'est connu enfant puis retrouvé près-ado, ne nous quittant plus jusqu'à l'âge pleinement adulte. Comme nous passions notre vie ensemble et qu'on dormait tout le temps l'un chez l'autre pendant nos vacances, nous en sommes rapidement venus à parler de cul. Nous échangions nos premiers fantasmes sur les filles… c’est d’ailleurs avec lui que j’ai vu mes premiers films pornos que ses parents enregistraient sur Canal. Je me souviens avoir été à la fois choqué et excité.
Les premières soirées, nous étions côtes à côtes dans le lit, chacun avec une érection d’enfer, mais nous n’osions rien faire… nous branlant doucement et discrètement dès que nous pensions l’autre endormi. C’état déjà très excitant. En fait, nous avions chacun eu de notre côté des premiers attouchements avec des mecs, mais il nous a fallu un certain temps pour avoir le courage de se l’avouer. Moi, j’avais fait des concours de branlette avec les cousins et j’avais branlé mon voisin ; lui s’était fait sucer par un autre pote. Finalement, on s’est tout avoué et nous nous sommes dit : « si t'es cap. : on se suce… ». Et là ça a été le pied ! C'est devenu systématique ! Nos pipes se sont répétées. Ce devait être au départ que « en attendant de faire du sexe avec les filles ». Ce fut en fait deux découvertes simultanées : l’amour et le sexe avec ma copine, la baise avec mon pote. Je suis devenu impatient à l'idée de le sucer et de me faire sucer. Tout comme j’étais impatient et excité à l’idée de la retrouver et de découvrir le sexe avec elle aussi.
La scène avec mon pote devint un rituel. Nous sommes couchés, nous ne disons rien, mais pour autant nous ne dormons pas. Nous attendons. Il ne faut pas que l’autre s’endorme. Alors l'un de nous a le courage de déplacer sa main vers le caleçon de l'autre. En fait, nous bandions déjà chacun depuis longtemps, à en avoir mal à la bite. Nos bras se croisent alors immédiatement. C’est parti ! L'un contre l'autre, allongés sur le dos, nous commençons à nous caresser. Nous avons alors tous les deux le coeur qui bat à fond. Nos souffles deviennent courts. Tout se passe en silence, que dire ? Nous avons la sensation de faire un truc interdit (comme tout ado, nous nous insultons de tapettes). Mais l'interdit est si tentant et il est si bon ! Souvent nous faisons monter l'excitation le plus longtemps possible. Nous nous caressons d'abord par dessus le caleçon, puis nous passons notre main en-dessous, avant de nous dévêtir et de nous abandonner totalement. Le truc drôle est qu'au début j'avais fini ma puberté et pas lui : j'ai eu une bite d'adulte (16-17cm) avant lui. Il avait encore un petit sexe dans ses poils blonds, il était circoncis et un peu courbé, je pouvais l'engloutir dans ma bouche sans aucun effort. Il était un peu complexé, je me sentais fort. Je me souviens ensuite, alors qu'on ne s'était pas vu depuis plusieurs mois, que sa bite était devenue énorme, genre 19-20 cm et je l'ai kiffée de plus en plus. Elle est large, longue et dure, très boursoufflée sur sa face postérieure, le gland est circoncis.
Nous innovons et nous nous imitons pour développer notre plaisir, souvent nous nous rendons exactement la pareille. Nous alternons l’un et l’autre pour faire durer le plus longtemps possible ce grand moment de jouissance. Il me donne autant de plaisir que moi ; nous faisons souvent exactement la même chose chacun à notre tour. Le plus souvent celui qui a fait jouir l'autre le premier, se finit lui-même en branlette.
Je caresse sa bite d'abord du bout des doigts, puis j'effleure les poils de son pubis et ses bourses. J'aime faire durer l'attente de la pipe ; je lèche sa verge, puis son gland, et son méat. Son précum perle déjà. Je le lèche et l’avale ; j’aime ce goût. Il contracte alors sa bite pour faire circuler son sang, ce qui la fait se dresser vers ma bouche. Il n’en peut plus et sans le dire, il me supplie de le sucer. Alors, lentement, je mets son gland dans ma bouche. Je l’enserre entre mes lèvres. Je tourne ma langue autour. Je descends ensuite progressivement ma bouche plus bas le long de sa verge et j’augmente mon effet de succion. Je ne pense plus qu'à sa bite. Elle est vraiment grosse et dure. Je suis entièrement concentré sur ma bouche et mon cœur raisonne dans tout mon corps tant il bat fort et n’empêche même parfois de respirer. J'aime le sucer dans toutes les positions, espérant recevoir ensuite le même plaisir dans un véritable effet de mimétisme. Je commence souvent à quatre pattes au dessus de lui qui est allongé sur le dos, et ma bouche suit la courbure sa verge. Je l'engloutis bientôt entièrement dans la bouche, mon nez descend jusqu’aux poils de ses bourses. J'aime le branler en même temps. Je fais alors des bruits de succion quand mes mains rencontrent mes lèvres. J’ai peur qu’on nous entende. J’aime aussi me mettre à quatre pattes entre ses jambes pour le sucer et le branler en suivant cette fois la courbure inverse de sa bite qui durcit encore plus. Pour lui donner plus de plaisir, mes lèvres et mes mains vont en sens opposés. Je le suce alors très fort en remontant sur son gland alors que ma main s'abaisse vers ses bourses. Je sens son sang qui circule sous la force de mes lèvres. Son souffle est de plus en plus court, il tend ses cuisses et me caresse les cheveux ; j'espère que son sperme suivra, mais j'ai encore très peur des éjaculations. J'aime alterner les plaisirs pour le faire durer. Je descends alors sur ses bourses poilues et je les lèche avant de tenter de prendre un testicule entier dans ma bouche. Je sais qu’il adore cela. Je retrouve ensuite sa bite encore plus dure pour reprendre la fellation. Alors, j'aime que le gland vienne rencontrer le fond de la bouche. Je tente de l’engloutir entièrement, dans ce que j’ai appris bien plus tard à nommer une gorge profonde. Mais je dois faire des pauses, j'arrête un peu la pipe pour reprendre mon souffle. Je le branle alors vivement. J’aime faire glisser mes doigts sur son gland circoncis et lubrifié de ma salive. Ce n’est pas comme avec ma bite non circoncise ; pas de prépuce à déplacer… En général, je le suce jusqu’au bout mais je le fais juter sur son ventre. Dès que je sens son sperme monter, je relâche sa bite de ma bouche. Mais j’ai appris à attendre de plus en plus la dernière seconde pour ôter ma bouche, juste au moment du premier jet. Il fait de même. C'est finalement le moment du sopalin, comme dans toutes les chambres de gars post-pubères.
La petite mort qui suit est souvent violente et nous culpabilisons sans l'avouer, nous réfugiant dans le mutisme chacun dans son coin du lit, ne nous touchant surtout pas, nous endormant finalement dans le silence, mais la bite encore pleine de sensations.
Nous devenons rapidement accro ; et nous devenons de plus en plus forts à notre petit jeu. Nous avons pris l'habitude nous sucer en 69 ; ce fut la découverte d'un nouveau plaisir. Celui de se faire sucer et sucer en même temps. J'aimais alterner les positions. J'aime être au dessus et lui faire des gorges profondes. J'aime aussi être en-dessous et devoir tourner ma tête en arrière pour pouvoir faire entrer sa grosse bite dans ma bouche qu'elle occupe alors complètement. C’est dans cette position que j’aime le mieux me faire sucer. Et quand nous nous mettons sur le côté, nous en profitons pour nous caresser la rondelle sans pour autant nous doigter. La sensation de ce doigt posé est très excitante et nous fait faire en général des mouvements de bassins.
Surtout, nous avons franchi le pas de la pipe « jusqu’au bout » ; nous sommes allés au bout du plaisir oral auquel nous nous livrions. Un soir j'ai eu le premier envie qu'il jouisse dans ma bouche et j'ai aimé. Je l’ai sucé longtemps et sans le prévenir, cette fois je ne me suis pas retiré de sa bite le moment venu. J’ai senti son flot monter dans la bite, j’étais fou d’excitation. Il fit un signe avec sa main, mais j’ai continué de plus belle, aspirant son gland comme jamais. Alors, j’ai senti des jets sortir et me remplir la bouche. Ne sachant pas quoi en faire, j’ai avalé. Le goût n'est pas super, mais pas à vomir non plus. Le seul truc que je n’aimais pas est que ce goût restait longtemps dans ma bouche, toute la nuit qui suivait en général. Cependant c’est devenu ensuite une habitude. Il a joui dans ma bouche dans toutes les positions possibles, parfois avec un doigt sur l’anus. Il a même pris l’habitude de me limer la bouche et de prendre le contrôle sur la fin. Il imposait son rythme avec son bassin et en appuyant sur ma tête. Je me laissais faire en me masturbant. J'avais la sensation de lui donner un plaisir immense et j’espérais recevoir le même en retour ! J’aimais sentir tout son corps se raidir à travers sa bite ; j'en retirais du plaisir et un sentiment de puissance. Celle d'avoir en bouche quelqu'un nu qui s'abandonne entièrement à vous. J'aime faire des cunnilingus pour la même raison.
Je me souviens d'ailleurs d'un truc de fou. Le jour de mes 15 ans, ma copine de l'époque est venue chez moi et c'était la première fois que je passais une journée au lit avec une meuf à poils ; j'étais comme un dingue, on s'est beaucoup caressés mais elle ne voulait pas baiser cette première fois. Mais le soir, mon pote est venu dormir chez moi et pour la première fois - une des seules - il m'a sucé et caressé le cul jusqu'à ce que je lui jouisse dans la bouche. Nous étions en 69 et il était au-dessus de moi. ça a été un tel pied que je crois que j'ai recherché cette sensation toute ma vie ; c'est le truc de cul dont j'ai le plus envie.
Comment pouvions-nous arrêter ? Les années ont passé ainsi. J’ai toujours été un peu partagé psychologiquement face à ce que nous vivions. Ces expériences n’ont pas ébranlé mon identité : jamais je me suis demandé si j’étais homo, j’étais très amoureux et très attiré par des filles et le porno que nous mations était hétéro. Nous ne nous imaginions alors pas à la place de la fille, mais bel et bien à la place du gars. Je n’étais pas amoureux de mon pote, c'était juste un truc en attendant les filles. On découvrait d'ailleurs par ailleurs l'amour et le cul avec les filles. Cependant, je me sentais toujours un peu mal dès que nous avions joui. Ma culpabilité a augmenté à partir du moment (très rapide) où j’ai eu une copine. Je me disais souvent : « cette fois c’est la dernière, à présent que je baise avec une fille et que ça me plaît, je n’ai plus besoin de continuer cela ». Pourtant, au bout de quelques semaines, ce désir revenait en moi et à la première occasion, nous recommencions. J’ai dû admettre que j’aimais vraiment cela. En fait c’était autre chose ; j’adore le cul et je jouis tous les jours depuis la puberté ! Et je me dis que j’ai une sexualité plus complète que d’autres: j’aime me branler, faire l’amour avec ma copine et baiser avec mon pote. Je me rassurais en me disant que ça n’allait pas très loin : pas de tendresse, de baiser, pas de sodomie (à quelques fois près…). Nous n’étions pas gay quoi !!! Je me sentais même un peu fier : dans mon esprit de provoc et de rebelle, je me sentais plus libre et épanoui que les autres. Je croyais que ce qui étais si naturel pour moi, l’était également pour tout un chacun… ma vie d’adulte n’est que déception à ce niveau. A part son frère (quelle histoire !), je n’ai pas rencontré un autre homme bi. Même pas pour se confier et se rassurer.
Lire sur ce site les histoires de cul est ma façon actuelle de vivre ma bissexualité. J’ai une compagne que j’aime et que je respecte. Toutefois, j’ai envie de vous raconter à mon tour comment j’ai découvert en même temps les deux facettes de ma vie sexuelle.
Voici comment j’ai baisé pendant près de 10 ans avec mon vieux pote. Cela était au départ en attendant les femmes, mais c’était si bon que cela a perduré.
On a vraiment découvert le sexe ensemble lui et moi. On s'est connu enfant puis retrouvé près-ado, ne nous quittant plus jusqu'à l'âge pleinement adulte. Comme nous passions notre vie ensemble et qu'on dormait tout le temps l'un chez l'autre pendant nos vacances, nous en sommes rapidement venus à parler de cul. Nous échangions nos premiers fantasmes sur les filles… c’est d’ailleurs avec lui que j’ai vu mes premiers films pornos que ses parents enregistraient sur Canal. Je me souviens avoir été à la fois choqué et excité.
Les premières soirées, nous étions côtes à côtes dans le lit, chacun avec une érection d’enfer, mais nous n’osions rien faire… nous branlant doucement et discrètement dès que nous pensions l’autre endormi. C’état déjà très excitant. En fait, nous avions chacun eu de notre côté des premiers attouchements avec des mecs, mais il nous a fallu un certain temps pour avoir le courage de se l’avouer. Moi, j’avais fait des concours de branlette avec les cousins et j’avais branlé mon voisin ; lui s’était fait sucer par un autre pote. Finalement, on s’est tout avoué et nous nous sommes dit : « si t'es cap. : on se suce… ». Et là ça a été le pied ! C'est devenu systématique ! Nos pipes se sont répétées. Ce devait être au départ que « en attendant de faire du sexe avec les filles ». Ce fut en fait deux découvertes simultanées : l’amour et le sexe avec ma copine, la baise avec mon pote. Je suis devenu impatient à l'idée de le sucer et de me faire sucer. Tout comme j’étais impatient et excité à l’idée de la retrouver et de découvrir le sexe avec elle aussi.
La scène avec mon pote devint un rituel. Nous sommes couchés, nous ne disons rien, mais pour autant nous ne dormons pas. Nous attendons. Il ne faut pas que l’autre s’endorme. Alors l'un de nous a le courage de déplacer sa main vers le caleçon de l'autre. En fait, nous bandions déjà chacun depuis longtemps, à en avoir mal à la bite. Nos bras se croisent alors immédiatement. C’est parti ! L'un contre l'autre, allongés sur le dos, nous commençons à nous caresser. Nous avons alors tous les deux le coeur qui bat à fond. Nos souffles deviennent courts. Tout se passe en silence, que dire ? Nous avons la sensation de faire un truc interdit (comme tout ado, nous nous insultons de tapettes). Mais l'interdit est si tentant et il est si bon ! Souvent nous faisons monter l'excitation le plus longtemps possible. Nous nous caressons d'abord par dessus le caleçon, puis nous passons notre main en-dessous, avant de nous dévêtir et de nous abandonner totalement. Le truc drôle est qu'au début j'avais fini ma puberté et pas lui : j'ai eu une bite d'adulte (16-17cm) avant lui. Il avait encore un petit sexe dans ses poils blonds, il était circoncis et un peu courbé, je pouvais l'engloutir dans ma bouche sans aucun effort. Il était un peu complexé, je me sentais fort. Je me souviens ensuite, alors qu'on ne s'était pas vu depuis plusieurs mois, que sa bite était devenue énorme, genre 19-20 cm et je l'ai kiffée de plus en plus. Elle est large, longue et dure, très boursoufflée sur sa face postérieure, le gland est circoncis.
Nous innovons et nous nous imitons pour développer notre plaisir, souvent nous nous rendons exactement la pareille. Nous alternons l’un et l’autre pour faire durer le plus longtemps possible ce grand moment de jouissance. Il me donne autant de plaisir que moi ; nous faisons souvent exactement la même chose chacun à notre tour. Le plus souvent celui qui a fait jouir l'autre le premier, se finit lui-même en branlette.
Je caresse sa bite d'abord du bout des doigts, puis j'effleure les poils de son pubis et ses bourses. J'aime faire durer l'attente de la pipe ; je lèche sa verge, puis son gland, et son méat. Son précum perle déjà. Je le lèche et l’avale ; j’aime ce goût. Il contracte alors sa bite pour faire circuler son sang, ce qui la fait se dresser vers ma bouche. Il n’en peut plus et sans le dire, il me supplie de le sucer. Alors, lentement, je mets son gland dans ma bouche. Je l’enserre entre mes lèvres. Je tourne ma langue autour. Je descends ensuite progressivement ma bouche plus bas le long de sa verge et j’augmente mon effet de succion. Je ne pense plus qu'à sa bite. Elle est vraiment grosse et dure. Je suis entièrement concentré sur ma bouche et mon cœur raisonne dans tout mon corps tant il bat fort et n’empêche même parfois de respirer. J'aime le sucer dans toutes les positions, espérant recevoir ensuite le même plaisir dans un véritable effet de mimétisme. Je commence souvent à quatre pattes au dessus de lui qui est allongé sur le dos, et ma bouche suit la courbure sa verge. Je l'engloutis bientôt entièrement dans la bouche, mon nez descend jusqu’aux poils de ses bourses. J'aime le branler en même temps. Je fais alors des bruits de succion quand mes mains rencontrent mes lèvres. J’ai peur qu’on nous entende. J’aime aussi me mettre à quatre pattes entre ses jambes pour le sucer et le branler en suivant cette fois la courbure inverse de sa bite qui durcit encore plus. Pour lui donner plus de plaisir, mes lèvres et mes mains vont en sens opposés. Je le suce alors très fort en remontant sur son gland alors que ma main s'abaisse vers ses bourses. Je sens son sang qui circule sous la force de mes lèvres. Son souffle est de plus en plus court, il tend ses cuisses et me caresse les cheveux ; j'espère que son sperme suivra, mais j'ai encore très peur des éjaculations. J'aime alterner les plaisirs pour le faire durer. Je descends alors sur ses bourses poilues et je les lèche avant de tenter de prendre un testicule entier dans ma bouche. Je sais qu’il adore cela. Je retrouve ensuite sa bite encore plus dure pour reprendre la fellation. Alors, j'aime que le gland vienne rencontrer le fond de la bouche. Je tente de l’engloutir entièrement, dans ce que j’ai appris bien plus tard à nommer une gorge profonde. Mais je dois faire des pauses, j'arrête un peu la pipe pour reprendre mon souffle. Je le branle alors vivement. J’aime faire glisser mes doigts sur son gland circoncis et lubrifié de ma salive. Ce n’est pas comme avec ma bite non circoncise ; pas de prépuce à déplacer… En général, je le suce jusqu’au bout mais je le fais juter sur son ventre. Dès que je sens son sperme monter, je relâche sa bite de ma bouche. Mais j’ai appris à attendre de plus en plus la dernière seconde pour ôter ma bouche, juste au moment du premier jet. Il fait de même. C'est finalement le moment du sopalin, comme dans toutes les chambres de gars post-pubères.
La petite mort qui suit est souvent violente et nous culpabilisons sans l'avouer, nous réfugiant dans le mutisme chacun dans son coin du lit, ne nous touchant surtout pas, nous endormant finalement dans le silence, mais la bite encore pleine de sensations.
Nous devenons rapidement accro ; et nous devenons de plus en plus forts à notre petit jeu. Nous avons pris l'habitude nous sucer en 69 ; ce fut la découverte d'un nouveau plaisir. Celui de se faire sucer et sucer en même temps. J'aimais alterner les positions. J'aime être au dessus et lui faire des gorges profondes. J'aime aussi être en-dessous et devoir tourner ma tête en arrière pour pouvoir faire entrer sa grosse bite dans ma bouche qu'elle occupe alors complètement. C’est dans cette position que j’aime le mieux me faire sucer. Et quand nous nous mettons sur le côté, nous en profitons pour nous caresser la rondelle sans pour autant nous doigter. La sensation de ce doigt posé est très excitante et nous fait faire en général des mouvements de bassins.
Surtout, nous avons franchi le pas de la pipe « jusqu’au bout » ; nous sommes allés au bout du plaisir oral auquel nous nous livrions. Un soir j'ai eu le premier envie qu'il jouisse dans ma bouche et j'ai aimé. Je l’ai sucé longtemps et sans le prévenir, cette fois je ne me suis pas retiré de sa bite le moment venu. J’ai senti son flot monter dans la bite, j’étais fou d’excitation. Il fit un signe avec sa main, mais j’ai continué de plus belle, aspirant son gland comme jamais. Alors, j’ai senti des jets sortir et me remplir la bouche. Ne sachant pas quoi en faire, j’ai avalé. Le goût n'est pas super, mais pas à vomir non plus. Le seul truc que je n’aimais pas est que ce goût restait longtemps dans ma bouche, toute la nuit qui suivait en général. Cependant c’est devenu ensuite une habitude. Il a joui dans ma bouche dans toutes les positions possibles, parfois avec un doigt sur l’anus. Il a même pris l’habitude de me limer la bouche et de prendre le contrôle sur la fin. Il imposait son rythme avec son bassin et en appuyant sur ma tête. Je me laissais faire en me masturbant. J'avais la sensation de lui donner un plaisir immense et j’espérais recevoir le même en retour ! J’aimais sentir tout son corps se raidir à travers sa bite ; j'en retirais du plaisir et un sentiment de puissance. Celle d'avoir en bouche quelqu'un nu qui s'abandonne entièrement à vous. J'aime faire des cunnilingus pour la même raison.
Je me souviens d'ailleurs d'un truc de fou. Le jour de mes 15 ans, ma copine de l'époque est venue chez moi et c'était la première fois que je passais une journée au lit avec une meuf à poils ; j'étais comme un dingue, on s'est beaucoup caressés mais elle ne voulait pas baiser cette première fois. Mais le soir, mon pote est venu dormir chez moi et pour la première fois - une des seules - il m'a sucé et caressé le cul jusqu'à ce que je lui jouisse dans la bouche. Nous étions en 69 et il était au-dessus de moi. ça a été un tel pied que je crois que j'ai recherché cette sensation toute ma vie ; c'est le truc de cul dont j'ai le plus envie.
Comment pouvions-nous arrêter ? Les années ont passé ainsi. J’ai toujours été un peu partagé psychologiquement face à ce que nous vivions. Ces expériences n’ont pas ébranlé mon identité : jamais je me suis demandé si j’étais homo, j’étais très amoureux et très attiré par des filles et le porno que nous mations était hétéro. Nous ne nous imaginions alors pas à la place de la fille, mais bel et bien à la place du gars. Je n’étais pas amoureux de mon pote, c'était juste un truc en attendant les filles. On découvrait d'ailleurs par ailleurs l'amour et le cul avec les filles. Cependant, je me sentais toujours un peu mal dès que nous avions joui. Ma culpabilité a augmenté à partir du moment (très rapide) où j’ai eu une copine. Je me disais souvent : « cette fois c’est la dernière, à présent que je baise avec une fille et que ça me plaît, je n’ai plus besoin de continuer cela ». Pourtant, au bout de quelques semaines, ce désir revenait en moi et à la première occasion, nous recommencions. J’ai dû admettre que j’aimais vraiment cela. En fait c’était autre chose ; j’adore le cul et je jouis tous les jours depuis la puberté ! Et je me dis que j’ai une sexualité plus complète que d’autres: j’aime me branler, faire l’amour avec ma copine et baiser avec mon pote. Je me rassurais en me disant que ça n’allait pas très loin : pas de tendresse, de baiser, pas de sodomie (à quelques fois près…). Nous n’étions pas gay quoi !!! Je me sentais même un peu fier : dans mon esprit de provoc et de rebelle, je me sentais plus libre et épanoui que les autres. Je croyais que ce qui étais si naturel pour moi, l’était également pour tout un chacun… ma vie d’adulte n’est que déception à ce niveau. A part son frère (quelle histoire !), je n’ai pas rencontré un autre homme bi. Même pas pour se confier et se rassurer.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle chance de trouver son équilibre si jeune !
J'ai mis longtemps avant de m'avouer et d'accepter ma bisexualité.
Depuis ma découverte, j'essaie de me rattraper...
Rien n'est meilleur pour la verge qu'un sexe de femme mais remplir sa bouche d'une verge durcie est un plaisir inégalable.
J'ai mis longtemps avant de m'avouer et d'accepter ma bisexualité.
Depuis ma découverte, j'essaie de me rattraper...
Rien n'est meilleur pour la verge qu'un sexe de femme mais remplir sa bouche d'une verge durcie est un plaisir inégalable.
Texte très plaisant, j'irai lire la suite avec beaucoup d'intérêt :)
moi aussi je suis bi et ma femme heureuse de me voir sucer et partager sperme avec d'autre et me faire prendre
Cette histoire est très belle et me conforte dans l'idée que tous les mecs qui n'ont pas vraiment gouté à la queue ne savent pas qu'ils sont aussi potentiellement Homo ou bi car seul l'homme sait vraiment ce qui plait à l'homme. Ce qui n'empêche pas d'aimer faire l'amour à une fille, heureusement car il faut bien perpétuer l'espèce ;-)
Wahou!!!!
Merci pour ton message chère lectrice!
Comme c est cool de lire cela. Comme je rêve que ma femme me dise cela! C'est mon fantasme absolu!! Ton mari a une immense chance...
Tu voudrais bien m en dire un peu plus?
Merci pour ton message chère lectrice!
Comme c est cool de lire cela. Comme je rêve que ma femme me dise cela! C'est mon fantasme absolu!! Ton mari a une immense chance...
Tu voudrais bien m en dire un peu plus?
tous les mecs sont bi, mon mari aussi, j'aime le voir sucer et tout avaler, cela m'excite bcp, nous baisons quasiment tous les jours et ce depuis 25 ans!!
salut ses avec plaisir que j ai lue t on histoire tendre de partage d envie de-motion de découverte peux être une suite a plus bisous