Entre potes II
Récit érotique écrit par Tous bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Entre potes II
J'ai commencé à vous raconter mon histoire de cul avec mon pote.
J'ai envie de vous raconter la suite, qui n'a pas toujours été facile à vivre pour moi.
Mon trouble est d'abord né de nos expérience de sodomie.
Dès nos premiers ébats, nous avons pris l'habitude de frotter nos bites entre nos fesses. Nous n'espérions pas réussir à pénétrer l'autre : nous n’avions pas les moyens techniques de faire rentrer nos grosse bites dans le cul vierge de l’autre ; nous mimions plutôt les scènes des films de boule que nous mations. Toutefois, le simple fait de nous frotter la queue entre les fesses de l'autre nous donnait beaucoup de plaisir et d'excitation. Je me branlais quasiment en faisant glisser ma queue et mon prépuce dans la raie de ses fesses. J'aimais aussi poser mon gland sur sa rondelle et pousser un peu, ce qui faisait se courber ma bite et me donnait beaucoup de plaisir. Nous nous contentions de cela, c'était une sorte de pause au sein de nos séances de pipes qui nous permettait de durer plus longtemps encore.
C'est lors d'un séjour en Allemagne, que nous nous sommes initiés. C'était le tout début de notre séjour. J'étais loin de ma copine pour 3 semaines, j'en étais triste à pleurer, mais j'avais l'occasion de baiser tous les jours avec mon pote...
Nous étions un peu saouls car nos amis nous avait emmenés au Biergarten. Nous dormions sur des lits superposés. Je dormais en dessous et lui au-dessus. Une fois au lit, nos têtes tournaient, pourtant la situation me faisait déjà bander follement. L'alcool à dose non vomitive m'a toujours rendu chaud. Je bandais follement, j'avais envie d'une bonne baise.
Comme nous avions déjà nos habitudes, je me suis contenté, d'un simple "ça te dit?" et sans un mot mon pote est descendu me rejoindre. Il était à poil et avait déjà une sacrée gaule. Je n'ai pas résisté : alors que seules ses jambes étaient dans le vide et que le haut de son corps était encore sans son lit, je me suis véritablement jeté sur sa bite qui était dressée vers moi et je l'ai directement avalée. Pas de caresse ou de coups de langues préliminaires comme je faisais souvent. J'ai immédiatement pris son gland circoncis en bouche. J'ai ressenti un spasme immédiat dans tout son corps et il a lâché un gros soupire. En même temps, d'une main je lui caressais les boules et de l'autre les fesses et sa raie. Dès que je ai eu suffisamment humidifié son gland de ma salive, j'ai attaqué une gorge profonde. Il m'a dit d'y aller doucement et qu'il fallait durer un peu.
Il m'a alors rejoint dans mon lit et a saisi fermement ma bite pour me branler. J'étais follement excité. Je lui ai proposé un 69. Je me suis mis d'abord installé au-dessus de lui. Je me contentais de le branler et de lui caresser les couilles pour pouvoir le regarder. La lumière de la rue me permettait, malgré la pénombre, de le voir me sucer : je ne distinguais que son menton et ma queue qui disparaissait entre ses lèvres. Je l'entendais respirer par le nez, la bouche bien remplie par ma bite. Mon excitation redoublait et je lui fis une gorge profonde ; son précum donnait du goût à ma pipe. Tout mon corps semblait suivre mes lèvres jusque vers la base de sa grosse tige et ses poils blonds. Je lui léchais ensuite les boules et lui gobait successivement chacune. Il était au ange. Je sentais son corps se raidir et son dos se cambrer comme pour pousser son foutre et exploser de plaisir.
Nous fîmes une pause et nous en profitions pour nous retourner. Il se mit alors au-dessus de moi. Sa queue est si grosse que de cette manière j'ai déjà en bouche son gland et une partie de sa tige sans avoir débuté mes mouvements de tête. C'est alors que tout en me branlant, il me mit un doigt sur le cul en me disant "tu as vu le pot de vaseline dans le placard de la salle de bain, on pourrait essayer de l'utiliser un de ces jours"... mon pote était alors de plus obsédé par la sodomie. Cette proposition me fit peur et m'excita en même temps. Je sortis sa bite de ma bouche pour lui dire "oui", le souffle court. Nous reprîmes alors de plus belle nos pipes. Je jouis le premier, son son ventre malheureusement car il avait retiré ma bite de sa bouche sentant mon sperme monter. Toutefois, pour la première fois, il appuya en même temps particulièrement sur mon cul avec deux doigts et je jouis sacrément fort... il jouit quelques secondes plus tard dans ma bouche, sans se poser de question. La dose de sperme était particulièrement énorme, mais dans cette position, je ne pus qu'avaler. Et son goût resta dans ma bouche toute la nuit...
Cette baise fut si bonne, que j'en étais encore excité le matin et que je me suis branlé.
La tentation s’est précisée dès le lendemain après-midi, alors que nous étions seuls. J'étais en train de lire, vautré sur un canapé quand mon pote est arrivé, le sourire aux lèvres, la bite bien raide à l'air et le pot de vaseline à la main, en me disant "alors on tente?". J'étais à nouveau à la fois excité et perplexe. Je lui ok pour commencer sur moi.
Je décidais de commencer par le sucer dans la position que j'aime le plus : moi assis dans le canap, lui à genou devant moi. J'adore avoir sa grosse bite juste devant le visage, puis sentir progressivement ses mouvements de hanche de moins en moins retenus me limer véritablement la bouche.
A nouveau, nous avons ensuite attaqué un 69, en posant le pot à côté de nous. J'étais au-dessus, à prendre mon pied de le sucer et de me faire sucer, quand j'ai senti ses doigts poser un truc froid sur ma rondelle. Il tournait autour tout en appuyant légèrement, ce qui lui permit de détendre les plis de mon intimité. J'étais un peu gêné à vrai dire, mais c'était très agréable... J’ai alors commencé à ressentir un immense plaisir et à me déchaîner sur sa bite, lui faisant une gorge profonde. Il a alors fait pénétrer un doigt sans aucune difficulté. J'étais surpris par cette facilité ; il avait dû mettre la dose de vaseline pour être certain que je n'ai pas mal et que j'accepte de poursuivre l'expérience. J'ai tout de même ressenti une petite brûlure, mais rapidement ce fut le début d'un grand moment de plaisir. J'aspirais encore plus fermement sa bite qui touchait le fond de ma gorge. Il m’a dit d’y aller molo pour qu’il dure. Il alternait les plaisirs avec mon cul. D'une part, il tournait son doigt un peu recourbé à l'intérieur me faisant découvrir ma prostate ; d'autre part, il le faisait aller et venir comme pour me limer.
J’ai alors voulu qu’il me mette sa bite, très grosse… j’avais peur. Je me suis mis à quatre pattes sur le canap, il s’est mis derrière moi et a directement su poser sa bite bien raide à l'entrée de mon cul. A nouveau à ma grande surprise, il est entré facilement. J'ai senti son gland me pénétrer et m'ouvrir l'anus comme jamais. Cette sensation n'était pas très agréable. Il a ensuite continué et a enfoncé sa bite entièrement. Une nouvelle sensation est venue, beaucoup plus surprenante : celle de sa bite à l'intérieur de moi. La sensation était folle ; à la fois un peu de douleur et un immense plaisir !!! Il a alors débuté ses va et viens ; ses hanches commençaient à tapoter sur mes fesses ; je dois admettre que je râlais de plaisir. Que faisions-nous ?!!! Je jouissais de me faire sodomiser... où en étions-nous arrivés ?!!
C’était trop fort pour moi! Ce plaisir était immense, mais provoqué par un acte que je n'assumais pas. En plus mon pote se lâchait de plus en plus !!! Il avait posé un pied sur le canap pour me la mettre encore plus profond et me limait de plus en plus vite et fort. Je me sentais trop soumis !! Et trop pédé à vrai dire!!! Et surtout, j'ai commencé à avoir peur de le salir - nous n'avions pas mis de capotes - ou de finir par chier !!! La honte !!! J’ai voulu arrêter. Je me sentais trop mal.
Il m a demandé si je voulais essayer sur lui ; j’ai refusé. En fait j’avais bien envie d’essayer de me faire enculer, mais pas de l’enculer ; j'avais un peu pris l'habitude de lui caresser le cul, mais je n’avais pas envie de le doigter et de rentrer là où il chiait !!! Je voulais faire cela avec ma copine !!! Mais elle ne pouvait pas me faire connaître la sensation d’être passif…
L'ambiance était retombée. Nous étions allé trop loin. Nous n’avons pas retenté de notre séjour. Nous n’avons même pas rebaisé pendant les semaines où nous sommes restés ; préférant nous branler chacun dans notre coin… culpabilité.
Cette abstinence n'a pas duré pour autant très longtemps.
D'abord parce que son petit frère nous a rejoint à la fin du séjour et qu'il est devenu mon autre sexe friend, mais ça, c'est une autre histoire.
Surtout, mon désir de sucer mon pote à nouveau est revenu dans les mois suivants.
Toutefois, les choses ont rapidement évolué entre nous. Mon pote est devenu moins actif. En effet, il avait une vie sexuelle débordante avec les filles ; le don de les transformer en quelques semaines en nymphos dingues de sa bite (je les comprenais). En quelques semaines, de jeunes adolescentes acceptaient de se faire sodomiser, d'avaler et même les éjac faciales selon ses dires. Il avait donc sans doute moins besoin de notre dose de rock’n roll ou du moins de ne plus me donner puisqu’il recevait tant par ailleurs !
Pas moi ! J’étais fou amoureux de ma copine, mais le cul n’étais pas l’éclate que j’espérais. Nous prenions du plaisir, mais elle s'imposait une sorte de frein : nous n'allions pas très loin dans les expériences ! C'est plus tard que j'ai vraiment pris mon pied au lit avec une meuf… bref, je l’aimais, elle était la femme de ma vie à l’époque mais cela ne me suffisait pas. Sans que je n'ai le désir que mon pote prenne la place de ma copine, j’avais encore envie de nos plans baise à l'ancienne. Alors j’ai continué à le sucer dès que j’en avais l’occasion ; il se laissait faire, mais sans désormais me rendre la pareille. Il acceptait seulement de me branler et de me caresser le cul…
Je me souviens encore de chaque pipe. Il restait mutique et j’étais de plus en plus soumis. En général, je ne disais plus rien juste avant d'avoir le courage de lui lancer un "ça te dit" en posant ma main sur son jean au niveau de sa bite. J'étais toujours au bord de la crise cardiaque tant j'avais peur qu'il me rejette et me rabaisse. Il se mettait alors immédiatement à bander dur comme fer, virait ses fringues et se livrait à moi sans un mot. Nous ne partagions vraiment que le temps des caresses ; seul moi finissais par pencher ma tête et ma bouche vers sa bite. En général, il continuait à mater la télé pendant que j'étais entre ses jambes à le sucer... le plus souvent, il finissait à genou devant moi jusqu'à ce que, sans même me prévenir, il jouisse dans ma bouche ; je me branlais en même temps. Une fois, il a même joui deux fois de suite dans la bouche sans que je cesse de le sucer ; une pipe super longue ! Je caressais même mon visage avec sa bite, qui doit être presque aussi grande que lui...
La culpabilité a alors toutefois été plus grande pour moi ; je suçais mon pote et trompais ma copine sans recevoir en retour le plaisir que j’espérais trouver en donnant tant ! J'avais une mauvaise image de moi ; me disant que je ferais mieux de stopper. Mais je l’ai sucé encore et encore. J'ai alors admis que j'aimais cela. Je ne voyais pas souvent son frère et je n'avais aucun autre partenaire. De toutes façons, je n'aurais jamais osé proposé à quelqu'un d'autre.
Les années ont passé ainsi. Je devais bien y trouver mon compte...
Toutefois, nos plans devenaient plus rares, nous étions moins proches et fusionnels car nos parcours nous éloignaient un peu.
Peut être 4 ou 5 ans après l'Allemagne, nous avons tout de même retenté une fois la sodomie et j'ai sacrément joui.. C'était un été, nous dormions chez mes parents où nous nous retrouvions après nos petits jobs. Nous étions dans ma chambre et pour changer, nous parlions de cul avant de dormir. Mon pote m’expliquait qu’il sodomisait alors systématiquement sa copine en ce moment et qu'elle adorait. J’ai voulu renouveler l'expérience.
Nous nous sommes caressés un bon moment. Je l'ai ensuite sucé, en me mettant à quatre pattes au-dessus de lui. J'avais d'abord envie qu'il jouisse dans ma bouche (ensuite ce serait trop tard). J'étais devenu un véritable expert : à force de le sucer en aspirant bien et de le branler en même temps, il a rapidement lâché une première éjac dans ma bouche. J'ai bien sûr avalé.
Comme il est un peu étalon, il n’ a pas débandé et on a enchaîné. Je me suis remis dans la même position et il m'a alors doigté avec de la biafine... j'ai tout de suite pris mon pied ! Il m'a mis rapidement mis deux doigts et me limait pendant que je reprenais ma pipe. C'était trop bon. Ses doigts s'enfonçaient en moi en même temps que j'enfonçais sa bite dans ma bouche. Je gémissais déjà de plaisir ! Sa bite était parfaitement dure à nouveau.
Il m'a alors pris en levrette. Sa bite m'a pénétré très facilement et le plaisir est venu presque immédiatement. Nous bougions tout les deux en même temps pour augmenter notre plaisir. Notre respiration devenait de plus en plus forte. J'ai alors voulu changer de position. Il s'est allongé sur le dos et je me suis empalé sur sa bite, dos à lui, me reposant sur mes pieds et mes bras tendus en arrière. J’imprimais ainsi le mouvement de notre ébat avec mes cuisses. Et là... Comme j’ai joui !!! Comme j’ai joui !!! C'était divin !!! Je n'avais plus de retenue. Il a fini par me tenir par les hanches et imprimer son propre rythme ; je me suis alors abandonné pour la première fois et il m’a littéralement défoncé. Je ne pouvais plus retenir mes râles de plaisir !!! Il a joui dans mon cul et il a suffit que je me branle 10 secondes pour déverser un énorme flot de sperme sur mon ventre dans une immense explosion de plaisir. L'extase totale !
Je n'ai pas eu d’expérience depuis… je culpabilisais très fort d’avoir pris un tel plaisir ; j’ai alors eu peur d’être homo ou de la devenir. Aujourd’hui je suis plus serein, je sais que des hommes hétéro jouissent de leur anus et de leur prostate. Ma femme d’ailleurs me doigte d’ailleurs parfois et nous avons un vibro, que je n’utilise jamais seul !
J'ai envie de vous raconter la suite, qui n'a pas toujours été facile à vivre pour moi.
Mon trouble est d'abord né de nos expérience de sodomie.
Dès nos premiers ébats, nous avons pris l'habitude de frotter nos bites entre nos fesses. Nous n'espérions pas réussir à pénétrer l'autre : nous n’avions pas les moyens techniques de faire rentrer nos grosse bites dans le cul vierge de l’autre ; nous mimions plutôt les scènes des films de boule que nous mations. Toutefois, le simple fait de nous frotter la queue entre les fesses de l'autre nous donnait beaucoup de plaisir et d'excitation. Je me branlais quasiment en faisant glisser ma queue et mon prépuce dans la raie de ses fesses. J'aimais aussi poser mon gland sur sa rondelle et pousser un peu, ce qui faisait se courber ma bite et me donnait beaucoup de plaisir. Nous nous contentions de cela, c'était une sorte de pause au sein de nos séances de pipes qui nous permettait de durer plus longtemps encore.
C'est lors d'un séjour en Allemagne, que nous nous sommes initiés. C'était le tout début de notre séjour. J'étais loin de ma copine pour 3 semaines, j'en étais triste à pleurer, mais j'avais l'occasion de baiser tous les jours avec mon pote...
Nous étions un peu saouls car nos amis nous avait emmenés au Biergarten. Nous dormions sur des lits superposés. Je dormais en dessous et lui au-dessus. Une fois au lit, nos têtes tournaient, pourtant la situation me faisait déjà bander follement. L'alcool à dose non vomitive m'a toujours rendu chaud. Je bandais follement, j'avais envie d'une bonne baise.
Comme nous avions déjà nos habitudes, je me suis contenté, d'un simple "ça te dit?" et sans un mot mon pote est descendu me rejoindre. Il était à poil et avait déjà une sacrée gaule. Je n'ai pas résisté : alors que seules ses jambes étaient dans le vide et que le haut de son corps était encore sans son lit, je me suis véritablement jeté sur sa bite qui était dressée vers moi et je l'ai directement avalée. Pas de caresse ou de coups de langues préliminaires comme je faisais souvent. J'ai immédiatement pris son gland circoncis en bouche. J'ai ressenti un spasme immédiat dans tout son corps et il a lâché un gros soupire. En même temps, d'une main je lui caressais les boules et de l'autre les fesses et sa raie. Dès que je ai eu suffisamment humidifié son gland de ma salive, j'ai attaqué une gorge profonde. Il m'a dit d'y aller doucement et qu'il fallait durer un peu.
Il m'a alors rejoint dans mon lit et a saisi fermement ma bite pour me branler. J'étais follement excité. Je lui ai proposé un 69. Je me suis mis d'abord installé au-dessus de lui. Je me contentais de le branler et de lui caresser les couilles pour pouvoir le regarder. La lumière de la rue me permettait, malgré la pénombre, de le voir me sucer : je ne distinguais que son menton et ma queue qui disparaissait entre ses lèvres. Je l'entendais respirer par le nez, la bouche bien remplie par ma bite. Mon excitation redoublait et je lui fis une gorge profonde ; son précum donnait du goût à ma pipe. Tout mon corps semblait suivre mes lèvres jusque vers la base de sa grosse tige et ses poils blonds. Je lui léchais ensuite les boules et lui gobait successivement chacune. Il était au ange. Je sentais son corps se raidir et son dos se cambrer comme pour pousser son foutre et exploser de plaisir.
Nous fîmes une pause et nous en profitions pour nous retourner. Il se mit alors au-dessus de moi. Sa queue est si grosse que de cette manière j'ai déjà en bouche son gland et une partie de sa tige sans avoir débuté mes mouvements de tête. C'est alors que tout en me branlant, il me mit un doigt sur le cul en me disant "tu as vu le pot de vaseline dans le placard de la salle de bain, on pourrait essayer de l'utiliser un de ces jours"... mon pote était alors de plus obsédé par la sodomie. Cette proposition me fit peur et m'excita en même temps. Je sortis sa bite de ma bouche pour lui dire "oui", le souffle court. Nous reprîmes alors de plus belle nos pipes. Je jouis le premier, son son ventre malheureusement car il avait retiré ma bite de sa bouche sentant mon sperme monter. Toutefois, pour la première fois, il appuya en même temps particulièrement sur mon cul avec deux doigts et je jouis sacrément fort... il jouit quelques secondes plus tard dans ma bouche, sans se poser de question. La dose de sperme était particulièrement énorme, mais dans cette position, je ne pus qu'avaler. Et son goût resta dans ma bouche toute la nuit...
Cette baise fut si bonne, que j'en étais encore excité le matin et que je me suis branlé.
La tentation s’est précisée dès le lendemain après-midi, alors que nous étions seuls. J'étais en train de lire, vautré sur un canapé quand mon pote est arrivé, le sourire aux lèvres, la bite bien raide à l'air et le pot de vaseline à la main, en me disant "alors on tente?". J'étais à nouveau à la fois excité et perplexe. Je lui ok pour commencer sur moi.
Je décidais de commencer par le sucer dans la position que j'aime le plus : moi assis dans le canap, lui à genou devant moi. J'adore avoir sa grosse bite juste devant le visage, puis sentir progressivement ses mouvements de hanche de moins en moins retenus me limer véritablement la bouche.
A nouveau, nous avons ensuite attaqué un 69, en posant le pot à côté de nous. J'étais au-dessus, à prendre mon pied de le sucer et de me faire sucer, quand j'ai senti ses doigts poser un truc froid sur ma rondelle. Il tournait autour tout en appuyant légèrement, ce qui lui permit de détendre les plis de mon intimité. J'étais un peu gêné à vrai dire, mais c'était très agréable... J’ai alors commencé à ressentir un immense plaisir et à me déchaîner sur sa bite, lui faisant une gorge profonde. Il a alors fait pénétrer un doigt sans aucune difficulté. J'étais surpris par cette facilité ; il avait dû mettre la dose de vaseline pour être certain que je n'ai pas mal et que j'accepte de poursuivre l'expérience. J'ai tout de même ressenti une petite brûlure, mais rapidement ce fut le début d'un grand moment de plaisir. J'aspirais encore plus fermement sa bite qui touchait le fond de ma gorge. Il m’a dit d’y aller molo pour qu’il dure. Il alternait les plaisirs avec mon cul. D'une part, il tournait son doigt un peu recourbé à l'intérieur me faisant découvrir ma prostate ; d'autre part, il le faisait aller et venir comme pour me limer.
J’ai alors voulu qu’il me mette sa bite, très grosse… j’avais peur. Je me suis mis à quatre pattes sur le canap, il s’est mis derrière moi et a directement su poser sa bite bien raide à l'entrée de mon cul. A nouveau à ma grande surprise, il est entré facilement. J'ai senti son gland me pénétrer et m'ouvrir l'anus comme jamais. Cette sensation n'était pas très agréable. Il a ensuite continué et a enfoncé sa bite entièrement. Une nouvelle sensation est venue, beaucoup plus surprenante : celle de sa bite à l'intérieur de moi. La sensation était folle ; à la fois un peu de douleur et un immense plaisir !!! Il a alors débuté ses va et viens ; ses hanches commençaient à tapoter sur mes fesses ; je dois admettre que je râlais de plaisir. Que faisions-nous ?!!! Je jouissais de me faire sodomiser... où en étions-nous arrivés ?!!
C’était trop fort pour moi! Ce plaisir était immense, mais provoqué par un acte que je n'assumais pas. En plus mon pote se lâchait de plus en plus !!! Il avait posé un pied sur le canap pour me la mettre encore plus profond et me limait de plus en plus vite et fort. Je me sentais trop soumis !! Et trop pédé à vrai dire!!! Et surtout, j'ai commencé à avoir peur de le salir - nous n'avions pas mis de capotes - ou de finir par chier !!! La honte !!! J’ai voulu arrêter. Je me sentais trop mal.
Il m a demandé si je voulais essayer sur lui ; j’ai refusé. En fait j’avais bien envie d’essayer de me faire enculer, mais pas de l’enculer ; j'avais un peu pris l'habitude de lui caresser le cul, mais je n’avais pas envie de le doigter et de rentrer là où il chiait !!! Je voulais faire cela avec ma copine !!! Mais elle ne pouvait pas me faire connaître la sensation d’être passif…
L'ambiance était retombée. Nous étions allé trop loin. Nous n’avons pas retenté de notre séjour. Nous n’avons même pas rebaisé pendant les semaines où nous sommes restés ; préférant nous branler chacun dans notre coin… culpabilité.
Cette abstinence n'a pas duré pour autant très longtemps.
D'abord parce que son petit frère nous a rejoint à la fin du séjour et qu'il est devenu mon autre sexe friend, mais ça, c'est une autre histoire.
Surtout, mon désir de sucer mon pote à nouveau est revenu dans les mois suivants.
Toutefois, les choses ont rapidement évolué entre nous. Mon pote est devenu moins actif. En effet, il avait une vie sexuelle débordante avec les filles ; le don de les transformer en quelques semaines en nymphos dingues de sa bite (je les comprenais). En quelques semaines, de jeunes adolescentes acceptaient de se faire sodomiser, d'avaler et même les éjac faciales selon ses dires. Il avait donc sans doute moins besoin de notre dose de rock’n roll ou du moins de ne plus me donner puisqu’il recevait tant par ailleurs !
Pas moi ! J’étais fou amoureux de ma copine, mais le cul n’étais pas l’éclate que j’espérais. Nous prenions du plaisir, mais elle s'imposait une sorte de frein : nous n'allions pas très loin dans les expériences ! C'est plus tard que j'ai vraiment pris mon pied au lit avec une meuf… bref, je l’aimais, elle était la femme de ma vie à l’époque mais cela ne me suffisait pas. Sans que je n'ai le désir que mon pote prenne la place de ma copine, j’avais encore envie de nos plans baise à l'ancienne. Alors j’ai continué à le sucer dès que j’en avais l’occasion ; il se laissait faire, mais sans désormais me rendre la pareille. Il acceptait seulement de me branler et de me caresser le cul…
Je me souviens encore de chaque pipe. Il restait mutique et j’étais de plus en plus soumis. En général, je ne disais plus rien juste avant d'avoir le courage de lui lancer un "ça te dit" en posant ma main sur son jean au niveau de sa bite. J'étais toujours au bord de la crise cardiaque tant j'avais peur qu'il me rejette et me rabaisse. Il se mettait alors immédiatement à bander dur comme fer, virait ses fringues et se livrait à moi sans un mot. Nous ne partagions vraiment que le temps des caresses ; seul moi finissais par pencher ma tête et ma bouche vers sa bite. En général, il continuait à mater la télé pendant que j'étais entre ses jambes à le sucer... le plus souvent, il finissait à genou devant moi jusqu'à ce que, sans même me prévenir, il jouisse dans ma bouche ; je me branlais en même temps. Une fois, il a même joui deux fois de suite dans la bouche sans que je cesse de le sucer ; une pipe super longue ! Je caressais même mon visage avec sa bite, qui doit être presque aussi grande que lui...
La culpabilité a alors toutefois été plus grande pour moi ; je suçais mon pote et trompais ma copine sans recevoir en retour le plaisir que j’espérais trouver en donnant tant ! J'avais une mauvaise image de moi ; me disant que je ferais mieux de stopper. Mais je l’ai sucé encore et encore. J'ai alors admis que j'aimais cela. Je ne voyais pas souvent son frère et je n'avais aucun autre partenaire. De toutes façons, je n'aurais jamais osé proposé à quelqu'un d'autre.
Les années ont passé ainsi. Je devais bien y trouver mon compte...
Toutefois, nos plans devenaient plus rares, nous étions moins proches et fusionnels car nos parcours nous éloignaient un peu.
Peut être 4 ou 5 ans après l'Allemagne, nous avons tout de même retenté une fois la sodomie et j'ai sacrément joui.. C'était un été, nous dormions chez mes parents où nous nous retrouvions après nos petits jobs. Nous étions dans ma chambre et pour changer, nous parlions de cul avant de dormir. Mon pote m’expliquait qu’il sodomisait alors systématiquement sa copine en ce moment et qu'elle adorait. J’ai voulu renouveler l'expérience.
Nous nous sommes caressés un bon moment. Je l'ai ensuite sucé, en me mettant à quatre pattes au-dessus de lui. J'avais d'abord envie qu'il jouisse dans ma bouche (ensuite ce serait trop tard). J'étais devenu un véritable expert : à force de le sucer en aspirant bien et de le branler en même temps, il a rapidement lâché une première éjac dans ma bouche. J'ai bien sûr avalé.
Comme il est un peu étalon, il n’ a pas débandé et on a enchaîné. Je me suis remis dans la même position et il m'a alors doigté avec de la biafine... j'ai tout de suite pris mon pied ! Il m'a mis rapidement mis deux doigts et me limait pendant que je reprenais ma pipe. C'était trop bon. Ses doigts s'enfonçaient en moi en même temps que j'enfonçais sa bite dans ma bouche. Je gémissais déjà de plaisir ! Sa bite était parfaitement dure à nouveau.
Il m'a alors pris en levrette. Sa bite m'a pénétré très facilement et le plaisir est venu presque immédiatement. Nous bougions tout les deux en même temps pour augmenter notre plaisir. Notre respiration devenait de plus en plus forte. J'ai alors voulu changer de position. Il s'est allongé sur le dos et je me suis empalé sur sa bite, dos à lui, me reposant sur mes pieds et mes bras tendus en arrière. J’imprimais ainsi le mouvement de notre ébat avec mes cuisses. Et là... Comme j’ai joui !!! Comme j’ai joui !!! C'était divin !!! Je n'avais plus de retenue. Il a fini par me tenir par les hanches et imprimer son propre rythme ; je me suis alors abandonné pour la première fois et il m’a littéralement défoncé. Je ne pouvais plus retenir mes râles de plaisir !!! Il a joui dans mon cul et il a suffit que je me branle 10 secondes pour déverser un énorme flot de sperme sur mon ventre dans une immense explosion de plaisir. L'extase totale !
Je n'ai pas eu d’expérience depuis… je culpabilisais très fort d’avoir pris un tel plaisir ; j’ai alors eu peur d’être homo ou de la devenir. Aujourd’hui je suis plus serein, je sais que des hommes hétéro jouissent de leur anus et de leur prostate. Ma femme d’ailleurs me doigte d’ailleurs parfois et nous avons un vibro, que je n’utilise jamais seul !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
SALUT TRÈS BELLE HISTOIRE D ENVIE DE PARTAGE DEMOTION VIVEMENT LA SUITE BISOUS
oui la plupart des mecs sont bi , certains ont leur coté féminin qui ressort plus que d'autres!!mariée depuis 25 ans, je baise régulièrement mon mari et nous aimons cela tous les deux, cela ne l’Empêché pas de me baiser quasiment tous les jours!il a une envie folle d'essayer avec une vraie bite, moi aussi je fantasme, j'adorerais le voir sucer et se faire baiser devant moi!