Entretien d'embauche en trois actes - Acte 1
Récit érotique écrit par FarBretonne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Entretien d'embauche en trois actes - Acte 1
Après un projet de reconversion menée à terme, j’ai pu concrétiser mon rêve : travailler dans la pub.
Grâce à des relations développées au fil de mes stages, j’ai pu décrocher mon premier job dans une boîte ultra réputée, et j’y ai fait mes armes.
4 ans plus tard, du haut de mes 32 ans, je décide de changer et je postule ailleurs. Je vise un grand groupe, je veux que ma carrière évolue, c’est le bon moment.
Je dois me montrer pugnace. Je sais que je dois montrer que je sais ce que je veux, mais que je sais aussi être souple et à l’écoute.
Dans ce métier, il faut comprendre les attentes et savoir y répondre habilement.
Mardi 3 juin, 17h30. Je suis reçue par David. C’est l’associé principal du PDG. Je postule à un poste à responsabilités, il aime le contrôle, il veut savoir qui il embauche à des postes clefs.
Il me fait entrer…bel homme. La quarantaine, habillé « casual ». Classe mais pas trop. Il me plait bien…je déteste les hommes coincés dans leur costume comme s’ils allaient se marier.
Il me reçoit dans un grand bureau, avec un petit salon. Au début, nous échangeons des banalités sur le poste. Nous jouons le jeu de l’entretien d’embauche. C’est véritablement un jeu.
Il me regarde, amusé, il me sourit, me pose quelques questions pièges que je déjoue habilement. Il se pince les lèvres. Je sens que nous glissons vers un autre jeu, celui de la séduction.
« Que pensez-vous du harcèlement sexuel dans les entreprises ? » Je n’ai pas vu la question venir. Je commence à comprendre où il veut en venir. Il voudrait bien conjuguer un entretien d’embauche avec un moment sympa avec une femme !
Personnellement je n’y vois pas d’inconvénient, à condition d’être gagnante ! « Je pense que si les deux parties sont d’accord pour…disons pour se tourner autour, et passer à l’action éventuellement, et bien ça n’en est pas. Ce sont juste deux adultes qui se font du bien. » Je marque une pause en le regardant droit dans les yeux. Il écrit des choses sur une feuille. Puis me la tend : « tenez, c’est une proposition d’embauche, avec tous les détails. Venez dans le canapé, lisez ça tranquillement. Je vous sers un thé ? » Je décline la proposition, je m’installe, et je lis. Il s’assoie à côté de moi. Tout près. Sa cuisse touche la mienne, et je ne peux le nier, ça me fait de l’effet. « Ça vous plait ? ». Surprise dans ma concentration, je sursaute. « Pardon ? ». Il répète « ça vous plait ? ».
Il se repositionne dans le canapé pour être plus à l’aise, me fixe avec un regard très doux puis se penche vers moi « vous m’arrêtez si ça ne vous plait pas ». Il m’embrasse dans le cou, et remonte vers ma bouche. Je ne résiste même pas 10 secondes tellement il fait ça bien. J’attrape son cou, et lui rend son baiser. Nos langues se mêlent. Je sens mon excitation monter. Sa main caresse ma poitrine. Son pouce frotte un peu mon téton, qui se dresse.
D’un coup d’œil, je vois à son pantalon qu’il est, lui aussi, très excité. Je décide de prendre les choses en main. Je laisse glisser ma main doucement vers sa fermeture éclair. Il comprend tout de suite, et descend son bassin vers le bas du siège pour m’aider. J’attrape son sexe. Il est déjà bien dur, mais je sens qu’il lui reste de la marge. Je me mets à genoux au sol, entre ses cuisses.
Je prends un petit temps, je le regarde dans les yeux, puis je m’approche et doucement je fais glisser ma langue le long de sa verge, depuis ses bourses jusqu’au gland. Il ouvre sa bouche et laisse échapper un soupir de plaisir. Je lèche avec douceur son gland que je décalotte. Je le masturbe. Je varie le rythme. Je repousse le moment où je prendrai son sexe à pleine bouche. Il n’attend que ça, je le sais.
Il effectue des mouvements du bassin pour me faire comprendre qu’il aimerait me la mettre jusqu’au fond de la gorge. Mais j’avoue, j’aime bien le faire mariner, cela décuple mon propre plaisir.
Puis, moi-même n’en tenant plus, je fais entrer son pénis dans ma bouche. D’un coup je sens qu’il se gorge de sang. J’effectue des mouvements de va-et vient, tout en caressant ses bourses avec tout le savoir-faire dont je dispose. J’enveloppe son gland de mes lèvres, je continue à le branler, je joue avec ma langue, délicatement sur son frein, puis avec plus de passion j’engloutis son sexe autant que je le peux.
Ses yeux sont fermés, sa respiration est saccadée. Alors que je croyais au maximum, sa verge se durcit encore un peu, je vois que ses bourses commencent aussi à se contracter. Encore quelques mouvements, et il va jouir. Alors, c’est à ce moment que je me relève brutalement et que je cesse ma fellation. Je me penche vers son oreille, et lui susurre « faites moi revenir la semaine prochaine à la même heure, d’ici là revoyez à la hausse mon salaire… et je reconsidérerai l’issue de notre entretien. »Pleine de pouvoir, je me redresse, j’attrape mon sac à main, et agrippe la poignée de porte. Je lui lance un dernier regard. Il est là, sur le canapé, le sexe toujours dressé mais comme abasourdi par la frustration que je lui fais subir. J’ouvre la porte et m’en vais, sûre qu’il me fera revenir.
Grâce à des relations développées au fil de mes stages, j’ai pu décrocher mon premier job dans une boîte ultra réputée, et j’y ai fait mes armes.
4 ans plus tard, du haut de mes 32 ans, je décide de changer et je postule ailleurs. Je vise un grand groupe, je veux que ma carrière évolue, c’est le bon moment.
Je dois me montrer pugnace. Je sais que je dois montrer que je sais ce que je veux, mais que je sais aussi être souple et à l’écoute.
Dans ce métier, il faut comprendre les attentes et savoir y répondre habilement.
Mardi 3 juin, 17h30. Je suis reçue par David. C’est l’associé principal du PDG. Je postule à un poste à responsabilités, il aime le contrôle, il veut savoir qui il embauche à des postes clefs.
Il me fait entrer…bel homme. La quarantaine, habillé « casual ». Classe mais pas trop. Il me plait bien…je déteste les hommes coincés dans leur costume comme s’ils allaient se marier.
Il me reçoit dans un grand bureau, avec un petit salon. Au début, nous échangeons des banalités sur le poste. Nous jouons le jeu de l’entretien d’embauche. C’est véritablement un jeu.
Il me regarde, amusé, il me sourit, me pose quelques questions pièges que je déjoue habilement. Il se pince les lèvres. Je sens que nous glissons vers un autre jeu, celui de la séduction.
« Que pensez-vous du harcèlement sexuel dans les entreprises ? » Je n’ai pas vu la question venir. Je commence à comprendre où il veut en venir. Il voudrait bien conjuguer un entretien d’embauche avec un moment sympa avec une femme !
Personnellement je n’y vois pas d’inconvénient, à condition d’être gagnante ! « Je pense que si les deux parties sont d’accord pour…disons pour se tourner autour, et passer à l’action éventuellement, et bien ça n’en est pas. Ce sont juste deux adultes qui se font du bien. » Je marque une pause en le regardant droit dans les yeux. Il écrit des choses sur une feuille. Puis me la tend : « tenez, c’est une proposition d’embauche, avec tous les détails. Venez dans le canapé, lisez ça tranquillement. Je vous sers un thé ? » Je décline la proposition, je m’installe, et je lis. Il s’assoie à côté de moi. Tout près. Sa cuisse touche la mienne, et je ne peux le nier, ça me fait de l’effet. « Ça vous plait ? ». Surprise dans ma concentration, je sursaute. « Pardon ? ». Il répète « ça vous plait ? ».
Il se repositionne dans le canapé pour être plus à l’aise, me fixe avec un regard très doux puis se penche vers moi « vous m’arrêtez si ça ne vous plait pas ». Il m’embrasse dans le cou, et remonte vers ma bouche. Je ne résiste même pas 10 secondes tellement il fait ça bien. J’attrape son cou, et lui rend son baiser. Nos langues se mêlent. Je sens mon excitation monter. Sa main caresse ma poitrine. Son pouce frotte un peu mon téton, qui se dresse.
D’un coup d’œil, je vois à son pantalon qu’il est, lui aussi, très excité. Je décide de prendre les choses en main. Je laisse glisser ma main doucement vers sa fermeture éclair. Il comprend tout de suite, et descend son bassin vers le bas du siège pour m’aider. J’attrape son sexe. Il est déjà bien dur, mais je sens qu’il lui reste de la marge. Je me mets à genoux au sol, entre ses cuisses.
Je prends un petit temps, je le regarde dans les yeux, puis je m’approche et doucement je fais glisser ma langue le long de sa verge, depuis ses bourses jusqu’au gland. Il ouvre sa bouche et laisse échapper un soupir de plaisir. Je lèche avec douceur son gland que je décalotte. Je le masturbe. Je varie le rythme. Je repousse le moment où je prendrai son sexe à pleine bouche. Il n’attend que ça, je le sais.
Il effectue des mouvements du bassin pour me faire comprendre qu’il aimerait me la mettre jusqu’au fond de la gorge. Mais j’avoue, j’aime bien le faire mariner, cela décuple mon propre plaisir.
Puis, moi-même n’en tenant plus, je fais entrer son pénis dans ma bouche. D’un coup je sens qu’il se gorge de sang. J’effectue des mouvements de va-et vient, tout en caressant ses bourses avec tout le savoir-faire dont je dispose. J’enveloppe son gland de mes lèvres, je continue à le branler, je joue avec ma langue, délicatement sur son frein, puis avec plus de passion j’engloutis son sexe autant que je le peux.
Ses yeux sont fermés, sa respiration est saccadée. Alors que je croyais au maximum, sa verge se durcit encore un peu, je vois que ses bourses commencent aussi à se contracter. Encore quelques mouvements, et il va jouir. Alors, c’est à ce moment que je me relève brutalement et que je cesse ma fellation. Je me penche vers son oreille, et lui susurre « faites moi revenir la semaine prochaine à la même heure, d’ici là revoyez à la hausse mon salaire… et je reconsidérerai l’issue de notre entretien. »Pleine de pouvoir, je me redresse, j’attrape mon sac à main, et agrippe la poignée de porte. Je lui lance un dernier regard. Il est là, sur le canapé, le sexe toujours dressé mais comme abasourdi par la frustration que je lui fais subir. J’ouvre la porte et m’en vais, sûre qu’il me fera revenir.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’adore ce texte !!
Bravo
Bravo