Par terre dans le RER
Récit érotique écrit par FarBretonne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Par terre dans le RER
18h. RER blindé. Je suis dans la rame, au niveau des portes. Tout le monde est debout, les uns sur les autres. C’est insupportable. En plus j’ai un long trajet puisque je vais au terminus. Je sors un livre et maintient comme je peux mon équilibre. Soudain, je sens quelque chose effleurer ma peau, sous ma jupe. Normal avec toute cette proximité. Mais ça recommence. Ho non, encore un gros lourdaud qui se croit tout permis. Je profite d’un mouvement de foule en gare pour me déplacer sur la gauche. Et je reprends ma lecture. Ça recommence. Je fais semblant de lire, tout en fixant la vitre. Sous les tunnels, la vitre reflète très bien les visages des voyageurs. Je vois qu’il y a derrière moi un homme brun. Est-ce lui ? Cette fois je sens bien une main qui me caresse. Je me retourne. Cet homme me sourit. Je ne sais quoi penser car je l’aurais rencontré en soirée, il m’aurait plu, mais les circonstances ne se prêtent pas à la drague, surtout tactile ! Je suis rassurée par la foule autour de moi : il ne peut rien m’arriver, et si je le sens trop pressant j’enverrai un sms à mon frère qui m’attendra à la gare. Je décide de le laisser faire, pour voir où s’arrêtera son culot. De nouveau, sa main vient doucement, comme en éclaireur. Elle commence sur la cuisse, et remonte un peu. Je laisse faire, je n’ai aucune réaction. Il décide d’aller plus haut, et cette fois, caresse ma fesse. Finalement je trouve ça marrant. Personne autour ne semble remarquer. Sa main, à présent, reste sur mes fesses. Je recule, et effectue un mouvement subtil, comme lorsqu’un chat donne un coup de museau. En gare, des gens montent et descendent, si bien que je me retrouve collé contre le mur sur ma gauche, lui toujours derrière moi.
Sa main s’aventure du côté où il y a le mur, ce qui est beaucoup plus discret. Il est tout contre mon dos, je sens un peu sa respiration. Il passe sa main dans ma culotte. J’ai un petit sursaut, il s’arrête net, il attend mon approbation. Je dois prendre ma décision tout de suite. Je décide que je veux savoir où tout cela va me mener. Je pose doucement ma main sur la sienne, et la guide vers la fente de mes lèvres. Cette situation m’excite de plus en plus, j’écarte un peu les jambes pour lui faciliter le trajet. Aventurier, il gagne du terrain seconde après seconde. Il me caresse le clitoris, effectue des pressions expertes sur ses contours. La chaleur envahit mon entrejambe, je suis comme hors du temps, je ne parviens pas à déterminer si le trajet dure quelques secondes ou des heures. Je me cambre, je m’offre en pliant les genoux pour faciliter son exploration. A chaque gare, des gens descendent. La rame, où l’on est debout, se vide peu à peu, ce qui nous révèle aux yeux des autres passages. Il ôte sa main, me laissant avide de lui. C’est donc moi qui passe ma main dans mon dos, comme si de rien n’était, et qui caresse son entrejambe. J’y sens une bosse toute rigide. Manifestement, il bande. Je parcours le tissu, sa verge est dure comme un roc. Je sens qu’il halète contre ma nuque. Nous muons en deux êtres ne demandant qu’à laisser notre bestialité prendre le dessus.
Avant dernière gare. Il n’y a plus que nous deux à ce niveau de la rame. Je jette un œil dans le compartiment aux places assises : il y a une dizaine de personnes, toutes plongées dans leur lecture ou leur smartphone. Nous avons environ 7/8 minutes avant le terminus.
Je me retourne : je regarde l’homme, je ne lui dirai qu’une phrase : « tu vas te dégonfler ? » En guise de réponse, il passe sa main sous ma jupe, et me rapproche de lui, avant de plonger sa langue dans ma bouche, dans un baiser sulfureux. Nous avons peu de temps. Je descends sa braguette et en extrait son sexe brûlant qui luit de son liquide séminal. Je me sais entièrement ouverte, je veux l’engloutir tout entier, et en même temps sentir chaque centimètre en moi. Je pousse l’homme contre la rambarde métallique, il comprend et s’assoit par terre, dos à la barre. Je m’accroupis, pousse l’entrejambe de ma culotte sur le côté, attrape sa verge et je m’empale dessus d’un coup. Je ne me reconnais pas. Je suis en train de baiser, par terre dans le RER, avec un total inconnu. Je donne des coups de bassin saccadés. Mes cuisses sont écartées, je m’aide de la barre pour rythmer mes reins. Mon clitoris frotte sur son pantalon, ce qui me stimule encore plus. Par la fenêtre je reconnais les lieux, nous ne sommes pas très loin, les gens vont bientôt se lever pour se mettre devant la porte.
« Non arrête, je ne peux pas jouir en toi, non » me souffle l’homme. Je ne lui réponds pas. C’est pas le moment de chercher à être raisonnable, c’est trop tard. Je sens la jouissance monter, mais je sens aussi qu’il se retient. Bon sang il faut conclure ! D’un geste vif, je baisse mon tee shirt et libère un sein. Je redresse mon torse, mon téton dressé arrive juste au niveau de sa bouche. Il se met à le lécher, et je sens sa verge qui durcit un peu plus. Je vais arriver à mes fins ! Il faut faire vite, les passagers commencent à rassembler leurs affaires. Je m’arrête net. Puis en un mouvement appuyé de mon vagin j’effectue un magnifique huit tout en l’embrassant à pleine langue. Ça y est, je jouis. Je quitte sa bouche pour me plaquer contre son oreille y déposer le gémissement si excitant de l’orgasme. Il baisse les armes et éjacule en même temps que je jouis, je sens le jet de son sperme au fond de mon vagin. Je ne peux pas profiter des dernières secondes, je me retire, attrape vite un mouchoir que je cale au fond de ma culotte, nous nous levons prestement tandis que maladroitement il met sa veste devant son sexe en train de dégonfler et tapissé de nos fluides. Les autres voyageurs arrivent pour se mettre devant la porte. Encore essoufflés, nous descendons du RER, et partons chacun dans une direction différente.
Sa main s’aventure du côté où il y a le mur, ce qui est beaucoup plus discret. Il est tout contre mon dos, je sens un peu sa respiration. Il passe sa main dans ma culotte. J’ai un petit sursaut, il s’arrête net, il attend mon approbation. Je dois prendre ma décision tout de suite. Je décide que je veux savoir où tout cela va me mener. Je pose doucement ma main sur la sienne, et la guide vers la fente de mes lèvres. Cette situation m’excite de plus en plus, j’écarte un peu les jambes pour lui faciliter le trajet. Aventurier, il gagne du terrain seconde après seconde. Il me caresse le clitoris, effectue des pressions expertes sur ses contours. La chaleur envahit mon entrejambe, je suis comme hors du temps, je ne parviens pas à déterminer si le trajet dure quelques secondes ou des heures. Je me cambre, je m’offre en pliant les genoux pour faciliter son exploration. A chaque gare, des gens descendent. La rame, où l’on est debout, se vide peu à peu, ce qui nous révèle aux yeux des autres passages. Il ôte sa main, me laissant avide de lui. C’est donc moi qui passe ma main dans mon dos, comme si de rien n’était, et qui caresse son entrejambe. J’y sens une bosse toute rigide. Manifestement, il bande. Je parcours le tissu, sa verge est dure comme un roc. Je sens qu’il halète contre ma nuque. Nous muons en deux êtres ne demandant qu’à laisser notre bestialité prendre le dessus.
Avant dernière gare. Il n’y a plus que nous deux à ce niveau de la rame. Je jette un œil dans le compartiment aux places assises : il y a une dizaine de personnes, toutes plongées dans leur lecture ou leur smartphone. Nous avons environ 7/8 minutes avant le terminus.
Je me retourne : je regarde l’homme, je ne lui dirai qu’une phrase : « tu vas te dégonfler ? » En guise de réponse, il passe sa main sous ma jupe, et me rapproche de lui, avant de plonger sa langue dans ma bouche, dans un baiser sulfureux. Nous avons peu de temps. Je descends sa braguette et en extrait son sexe brûlant qui luit de son liquide séminal. Je me sais entièrement ouverte, je veux l’engloutir tout entier, et en même temps sentir chaque centimètre en moi. Je pousse l’homme contre la rambarde métallique, il comprend et s’assoit par terre, dos à la barre. Je m’accroupis, pousse l’entrejambe de ma culotte sur le côté, attrape sa verge et je m’empale dessus d’un coup. Je ne me reconnais pas. Je suis en train de baiser, par terre dans le RER, avec un total inconnu. Je donne des coups de bassin saccadés. Mes cuisses sont écartées, je m’aide de la barre pour rythmer mes reins. Mon clitoris frotte sur son pantalon, ce qui me stimule encore plus. Par la fenêtre je reconnais les lieux, nous ne sommes pas très loin, les gens vont bientôt se lever pour se mettre devant la porte.
« Non arrête, je ne peux pas jouir en toi, non » me souffle l’homme. Je ne lui réponds pas. C’est pas le moment de chercher à être raisonnable, c’est trop tard. Je sens la jouissance monter, mais je sens aussi qu’il se retient. Bon sang il faut conclure ! D’un geste vif, je baisse mon tee shirt et libère un sein. Je redresse mon torse, mon téton dressé arrive juste au niveau de sa bouche. Il se met à le lécher, et je sens sa verge qui durcit un peu plus. Je vais arriver à mes fins ! Il faut faire vite, les passagers commencent à rassembler leurs affaires. Je m’arrête net. Puis en un mouvement appuyé de mon vagin j’effectue un magnifique huit tout en l’embrassant à pleine langue. Ça y est, je jouis. Je quitte sa bouche pour me plaquer contre son oreille y déposer le gémissement si excitant de l’orgasme. Il baisse les armes et éjacule en même temps que je jouis, je sens le jet de son sperme au fond de mon vagin. Je ne peux pas profiter des dernières secondes, je me retire, attrape vite un mouchoir que je cale au fond de ma culotte, nous nous levons prestement tandis que maladroitement il met sa veste devant son sexe en train de dégonfler et tapissé de nos fluides. Les autres voyageurs arrivent pour se mettre devant la porte. Encore essoufflés, nous descendons du RER, et partons chacun dans une direction différente.
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