Episode 8: Incroyable black

- Par l'auteur HDS Lousouleil13 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Episode 8: Incroyable black Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Episode 8: Incroyable black
Mon amante, Françoise m’avertit de sa liberté pendant deux jours, une semaine après notre rencontre avec Nadine et Jean-Paul. En effet, son ami est reparti chez sa fille, donc Françoise a toute sa latitude pour faire ce qu'elle veut bien que son homme me connaisse et sait que je suis son amant.
Nous avons déjà fait un plan à trois qui fut fabuleux. Elle lui a même dit qu'elle pensait sortir dîner avec moi. J’en suis vraiment heureux, et mes yeux pétillent à son annonce. J’imagine que nous allons pouvoir bien profiter l’un de l’autre. Pour célébrer la nouvelle, je l’invite donc au restaurant ce soir.

En fin d’après-midi, elle arrive chez moi. Quand je lui ouvre la porte, je reste admiratif et subjugué par sa toilette. Elle a pris un soin excessif à sa tenue, vraiment sexy. Je la reluque des pieds à la tête. Apprêtée d’une tunique courte blanche et assez ample, gainée d’une ceinture noire, l'habit est largement ouvert pour révéler son absence de soutien-gorge dévoilant ainsi ses mignons mais gros seins en forme de poire dont les tétons pointent.

Elle est ornée autour du cou d’un magnifique collier en perles rondes et blanches. Quand elle s’assoit pour boire un coup avec moi, j’apprécie ses jambes galbées qui portent des bas auto fixant, ce qui stimule mes pulsions. Je pressens une délectable soirée remplie d’affriolants rebondissements.

C’est sûr qu’avec Françoise, je n’ai pas le temps de m’ennuyer. Après avoir convenu du choix du restaurant, nous partons main dans la main. Nous déambulons sur les trottoirs de la ville voisine et nous nous arrêtons à la terrasse d’un café car nous avons décidé de nous offrir un verre de champagne avant. Autour des tables, beaucoup de couples qui brisent le silence du début de la nuit.

Nous apercevons une table libre, juste à côté d’un black qui ingurgite une bière. Françoise le dévisage. Je m’aperçois très vite à sa manière de se comporter qu’elle a envie de se faire remarquer, peut-être de l’allumer ou davantage. Elle regorge de tant de surprises. On s'assied donc à cette table libre.

Au cours de notre conversation, je remarque les regards insistants du noir immobilisés sur les cuisses de Françoise. Il est vrai que sa tunique est courte et remontée jusqu'au bout de ses bas.
Je suis ses yeux qui se promènent le long de son corps et qui s’accrochent à sa lourde poitrine.
Le bustier que porte François sous sa tunique lui sert de "redresse-seins" et cela accentue le volume de ses nichons.

- Bonjour Monsieur, je vois que vous êtes seul. Pourquoi ne pas se joindre à nous et discuter, bavarder par cette belle soirée d'été.

Le black étire ses lèvres affichant une dentition d’une blancheur inouïe.

- Je ne veux pas vous déranger, vous semblez être ici en amoureux- Non, j’insiste, plus on est de fous plus on rit et Françoise se fera un plaisir de bavarder aussi avec vous.


Il se décide alors à nous rejoindre. Installé entre Françoise et moi, je lui pose quelques questions banales. Il nous apprend qu’il s’appelle Maklouf, qu’il est en France depuis peu. Beaucoup d’Africains, sans vraiment d’argent, sans vraiment de travail, placent en la France un avenir meilleur. Entre ses phrases, il jette des coups d’œil impudiques vers Françoise qui l’encourage dans ce sens, de façon toute naturelle, en se tortillant sur la chaise, en remontant par moment sa tunique déjà courte, ou en se penchant sur son verre pour découvrir son opulente poitrine.

La bosse sur la braguette du bleu de travail de Maklouf atteste de l’effet magistral que lui procure le comportement de Françoise. Et ça me fait sourire. Voyant l’heure tourner, je m’inquiète pour le restaurant. Néanmoins, l’éclat du visage de Françoise me détache de mon idée. Je crois avoir compris que nous irons au restaurant un autre jour car, quand, après avoir appris qu’il était électricien, elle lui prend la main et lui dit que sa chambre d’amis n’a plus de courant, que si cela ne le dérange pas, il pourrait peut-être la dépanner, alors j'ai compris qu'il y a un changement de programme
Maklouf hésite. Il nous confie qu’il comptait retourner à son studio pour prendre une douche. Mais Françoise ne lui permet pas de s’interroger davantage et lui répond qu’il pourra se doucher chez elle si c’est sa priorité. Nous finissons nos verres et à défaut d’un bon restaurant, retournons chez Françoise, Maklouf nous accompagnant.


Avant de lui faire prendre sa douche, Françoise l’emmène dans sa chambre d’amis afin qu’il répare l’électricité. Je reste dans le séjour, leur absence n'est pas longue. Finalement, ce n’était qu'une ampoule grillée qu’il fallait changer. Mais je revois son bleu de travail déformé au niveau de l'entre-jambe. Il doit avoir un beau morceau me dis-je pour moi-même.

De suite après, elle le conduit à la douche et elle redescend. Pendant qu’elle le laisse faire sa toilette, elle en profite pour sortir des biscuits apéritifs, un peu d’alcool, et branche une musique douce. Je laisse faire, observateur. Je devine que l’ambiance va chauffer. Sur le canapé, une jambe par-dessus l’autre, une cigarette à la main, j’attends patiemment l’arrivée de Maklouf.

Avec un peignoir de bain que Françoise lui a prêté, grand ouvert sur sa poitrine très poilu, il descend l'escalier et il se place à mes côtés et me demande une clope. De son index Françoise m’appelle et engage un slow langoureux avec moi. Pendant toute la danse, elle envoie des regards séducteurs et accrocheurs à Maklouf qui rougit un peu au début. Elle m’embrasse à pleine bouche, descend sa main entre mes cuisses et me frotte le sexe. Elle tortille ses fesses langoureusement comme si elle lançait un hameçon pour attraper le poisson.

Maklouf écarquille les yeux à fond. Il caresse des yeux le corps sulfureux de Françoise avec son regard obscur et pénétrant. Je le vois se mettre la main dans le peignoir et il la bouge au niveau de sa queue comme si de rien n'était. Françoise l’encourage en lui lançant un clin d’œil et moi en enlevant la ceinture de Françoise, en ouvrant sa tunique qui tombe sur le carrelage. Elle apparaît alors en bustier blanc dont les balconnets soulèvent sa lourde poitrine comme un plateau.

Nous venons nous asseoir à ses côtés. Sans une seconde d’hésitation, Françoise ôte le peignoir bleu de Maklouf et aussitôt une matraque noire se lève et cogne contre son nombril. L’engin doit bien faire 20 cm de longueur et si je me base au diamètre de ma bite, la sienne doit bien faire 6 cm de diamètre. Le visage de Françoise s’éclaire comme si l’électricien, que Maklouf est, lui avait installé le courant. Elle s’approche de la massue, l’enserre de sa main et la masturbe. Ses doigts ne font pas le tour du pieu. Je la regarde opérer de longs va et vient puis elle porte l’épais gland à sa bouche, l’enfourne, l’avale et l’enfonce petit à petit jusqu’aux couilles. Maklouf se lève, dirige la bouche de Françoise sur sa bite engorgée de sang. Et elle l’engloutit au fond de sa gorge.


- Astique ma chérie, astique, tu as vu comme elle est belle. Elle te fait honneur. Qu’est ce que tu suces bien lui dit-il.


Je ne perds pas une seconde du travail que Françoise exécute. Elle s’assoit sur le canapé, dévoile ses gros nichons et enserre la queue entre ses deux mamelons. Elle entame avec frénésie une branlette espagnole. Maklouf pousse de légers soupirs. Et moi, je mate la scène comme une vidéo x.
Par moment, Françoise me regarde et sourit. Soudain, elle stoppe et se met à poil complètement, en retirant le bustier, ses bas, ses chaussures.

Maklouf admire son anatomie, il lui tourne autour, lui glisse un doigt dans le cul, puis un autre dans la chatte. Je m’allonge sur le canapé et deviens voyeur. Maklouf signale à Françoise de s’installer à quatre pattes au-dessus de moi, sa jolie fente humide au dessus de ma bouche. Pendant que ma langue joue avec son clitoris, traîne sur les petites et grosses lèvres de son minou lisse, Maklouf écrase son gland contre le trou du cul de Françoise, puis avec un léger coup de rein le pousse à l’intérieur. C'est fou, c'est nouveau, c'est érotique.

Ainsi engagée, sa bite très lentement s’enfouit dans ses profondeurs. Et par des coups brutaux, à la force de son bassin qu’il incline, l’imposant morceau de chair entre et ressort pour le plaisir de Françoise qui râle comme un chat que l’on caresse. Comme s’il ne lui suffisait pas, Françoise sort ma queue de mon pantalon déjà bien raide et la suce.

Au bout de quelques temps, Maklouf cesse de la pilonner et lui demande de s’allonger sur le côté en écartant largement ses cuisses. Il me suggère de lécher sa foune trempée. Et avec beaucoup moins de douceur qu’avant, il insère sa tige noire dans le cul de Françoise dont les râles font place à de forts gémissements. Il la culbute avec intensité, preuve en est sa transpiration dégoulinant de son large front. Ma langue agile agace son clitoris, amuse ses lèvres proéminentes, s’introduit de temps à autre dans sa moule qui est ouverte et baveuse. L’excitation de part et d’autre est à son comble.


Quand Maklouf sort sa belle queue pour se vider sur les fesses de Françoise, elle me largue sa cyprine abondante sur ma langue. Deux, trois jets, une vraie femme fontaine comme je les aime. Cela me laisse un goût sucré dans la bouche. Je n’aurai jamais pensé prendre un tel pied sans jouir.
Je crois qu’avoir découvert Françoise totalement comblée a compensé.

Maklouf se dresse pour se rhabiller. Il nous confie son contentement magistral en nous communiquant que si Françoise avait encore des pannes électriques, qu’elle ne manque pas de l’appeler. Nous rions de bon cœur. Françoise lui répond qu’elle ne risque pas de l’oublier. Sa grosse torche noire qu’il a bien maitrisé lui a délivré des orgasmes éclatants. Elle ne loupera pas une occasion de le rappeler.

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