Episode 9: Une semaine au cap d'Agde

- Par l'auteur HDS Lousouleil13 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Episode 9: Une semaine au cap d'Agde Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Episode 9: Une semaine au cap d'Agde
Il y a quelques jours, j’avais proposé à Françoise, ma désormais maitresse soumise, de venir avec moi au Cap d’Agde, le centre naturiste et libertin le plus connu de France. Elle y avait réfléchi longuement et m’avait averti qu'il lui était impossible de m’accompagner seule car son compagnon Louis s’apercevrait de sa longue absence. Par contre, je voyais bien qu’elle en avait vraiment envie. Elle m’a renseigné qu’elle demanderait à Louis s’il était d’accord pour faire une virée avec elle et moi.

Quand elle frappe à ma porte, je sais qu’elle vient m’apporter sa réponse. Je la découvre accompagnée de son ami, bras dessus bras dessous, le sourire éclatant.

- Si tu es prêt, nous pouvons nous rendre au Cap d’Agde aujourd’hui et si tu n’es pas prêt, dépêche-toi de te préparer.

Le couple que je connais bien puisque nous avons déjà fait l'amour à trois s’avance dans la maison une valise à la main. Radieux, la surprise m’est agréable. Depuis le temps que j’en rêvais. Je leur propose un café pendant que je vais boucler mon sac. Il est léger, inutile d’emporter une quantité de vêtements dans un centre naturiste.

Le lieu ne m’est pas inconnu, ni familier d’ailleurs. J’y étais allé il y a quelques années avec une libertine que je fréquentais. J’avoue avoir été séduit par cette totale liberté sexuelle, par ces gens sans a priori, respectueux et courtois qui vivaient selon leur envie et sans tabou.
Françoise et Louis seront surpris mais je leur servirai de guide, je leur donnerai les conseils afin qu'ils en profitent pleinement durant une semaine au soleil.

Quand je les rejoins au salon, Françoise et Louis ont leur tasse vide. Dans ma précipitation, je n’avais pas remarqué la tenue sexy que Françoise porte. Une chemisier blanc au large décolleté ne cache en rien ses gros mamelons dont on devine les tétons pointer contre le tissu. Sa jupe courte noire et en cuir à raz la foune s’arrête au-dessus de la couronne brodée de ses bas noirs. Elle porte des escarpins avec des talons pas trop hauts. Pendant un court moment, j’avais oublié l’effet magique qu’elle me procurait mais ma bite s’en souvenait, elle raidit.

Nous partons avec ma voiture. Françoise à mes côtés, j’ai une vue imprenable sur ses jambes galbées et sa jupe relevée découvre une chatte lisse sans culotte. Quel plaisir de conduire dans ces conditions. Louis s’assoit à l’arrière. Pendant notre parcours, je discerne sur mon rétroviseur intérieur que Louis s’est assoupi. J’en profite pour satisfaire mon excitation du début en posant la main sur les cuisses de Françoise qui s’enfonce davantage dans le fauteuil en écartant les jambes.

Sa moule saillie de sa jupe et elle appuie sur son clitoris comme sur une touche de piano. Elle me dégrafe le pantalon, plonge sa tête entre mes cuisses et gobe ma queue. Elle entreprend lentement des va et vient prenant soin d’aller jusqu’aux couilles. J’éprouve un peu de mal à me concentrer sur la route surtout qu’à présent, j’ai glissé deux de mes doigts entre sa fente tout humide que j’enfonce doucement dans sa chatte. Je les retire et les porte à ma bouche pour en savourer le goût sucré.

Le parcours s’effectue sans encombre dans une forme de concupiscence partagée. A l’entrée du cap d’Agde, ma queue fait de grands soubresauts et crache son jus que Françoise récolte sur sa langue.
Elle s’enfonce davantage sur le siège, se cambre et lâche un jet puissant de cyprine qui arrose le tableau de bord. Elle jouit et crie, ce qui réveille Louis. Il comprend vite la situation et rit en disant "Les vacances commencent bien".

A l’accueil, une hôtesse nous reçoit les seins à l’air bien sûr. Sur le comptoir, elle ouvre son agenda de réservation, et nous dirige vers l’appartement que nous avons loué pour une semaine. Il est implanté dans le quartier Port Nature, situé entre les quartiers Héliopolis et Port Ambronne et qui bénéficie d’une superbe exposition en offrant de nombreux endroits où se restaurer, ou boire un verre et faire la fête. L’appartement se trouve juste en face d’une immense piscine. La plage se situant un peu plus loin, en face l’hôtel avec piscine.

Le logement est un meublé spacieux qui s’étend jusqu’à une terrasse longue surplombant une ruelle étroite. Nous visitons rapidement les pièces, Françoise et Louis sont assez pressés d’explorer le centre avec moi en tant que guide. Nous nous débarrassons de nos valises jetées précipitamment sur les lits, nous nous dénudons et ressortons "à poil" comme on dit et comme le sont tous ceux qui vivent là-bas.

Je leur présente les lieux. Cap d’Agde est la capitale européenne du libertinage et de l’échangisme.
Le quartier naturiste du Cap d’Agde accueille des dizaines de clubs échangistes et de saunas libertins. Mais c’est aussi aux alentours du village naturiste qu’on trouve de nombreux établissements échangistes, où les libertins se retrouvent après des journées passées à la plage, sur la Baie des Cochons. Finalement il y en a pour tous les goûts, n’est ce pas ?

Je vois Françoise et Louis écarquiller les yeux devant chaque commerce ou lorsque nous croisons des personnes toutes vêtues dans leur plus simple appareil. Les vacanciers se promènent nus, sans gêne aucune, des jeunes et des vieux, des beaux et des moins beaux. Et pourtant il y a aussi plusieurs boutiques de lingerie et même une qui ressemble plutôt à un sex-shop.

Des gros nichons au petit sexe, du ventre bedonnant aux fesses très rebondies, de celui qui a de solides pectoraux, à celle qui a de la chatte lisse. Et que dire des chattes bien entretenues ou de celles davantage touffues, la diversité des gens qui ne font pas attention à leur différence témoigne d’un monde vraiment à part où se côtoient et s’acceptent toutes les raisons sociales C’est la liberté totale qui gagne en bien être et en épanouissement.

Nous passons devant pas mal de clubs et saunas libertins quand devant l’un d’eux Françoise s’approche de la devanture et lit une affiche collée sur la vitrine : « Ce soir à la canne à sucre, soirée spéciale dessous féminins ». L’établissement est un restaurant-bar dans un lieu enchanteur.
Françoise se tourne vers nous et nous signale que ce serait sympa d’y venir faire un tour. Sans aucun moment de réflexion, je lui accorde mon approbation, j’adore la lingerie sexy et je ne raterai cette soirée pour rien au monde. Louis ne tarde pas à rejoindre notre avis, à croire que tous les hommes sont pareils.

Après la visite des quatre quartiers du centre naturiste, le jour commence à tomber. Il est l’heure de se préparer pour une soirée festive en perspective. Dans l’appartement, Louis s’enfile un pantalon à pinces noir, avec une chemise blanche. J’opte pour un pantalon à pinces bleu, ma couleur préférée avec une chemise de la même couleur. Dans la chambre Françoise nous demande de choisir entre deux ensembles de dessous sexy qu’elle affectionne particulièrement.

L’un est un ensemble noir constituée d’un bustier noir transparent au niveau de la poitrine accompagné d'un porte jarretelles et de bas noirs qui se terminent par des talons aiguilles noirs également. Quand elle se présente devant nous apprêtée ainsi, mon sang ne fait qu’un tour. Exquise à souhait, elle aiguise mes sens. Quant à Louis, cela doit être pareil, il se frotte la queue à travers son pantalon. Nous lui signalons que cette tenue convient très bien, inutile qu’elle essaie la seconde. qui elle est de couleur crème. Ce sera pour une prochaine fois me dis-je.

Devant « La canne à sucre », les gens se bousculent. Je disperse mon regard partout. Tant de femmes habillées sexy me font tourner la tête. Françoise et Louis semblent autant avoir le vertige à la différence près que Françoise cible de ses yeux les hommes. Elle fusille leur regard et leur entre jambe. Toutes les places étant occupées, nous nous asseyons à la table d’un couple d’un certain âge.
Il doit bien avoir soixante dix ans, et son épouse est beaucoup plus jeune, elle paraît avoir vingt ans de moins. Nous entamons les présentations et apprenons que le couple est marié depuis trente ans.

Le mari se nomme Jean-Claude et sa femme Nadège. Installée à côté de Jean-Claude, Françoise le détaille de la tête aux pieds. Le monsieur a un ventre bedonnant, le crâne lisse et un regard gris et libidineux. Tout aussi petit que sa femme, il est souriant et sympathique. Nadège, est le paradoxe physique de Françoise, le jour et la nuit. Brune aux cheveux longs frisés, au teint mat, sous un soutien gorge blanc transparent, de petits seins en forme de pomme s’esquissent. L’absence de body dévoile son ventre maigre qui se termine sur une culotte blanche en dentelle transparente.
A travers le tissu, on aperçoit sa moule touffue de poils noirs. Ses jambes fines sont gainées de bas blancs. Elle est chaussée d’escarpins blancs. Son visage est marqué d’une petite cicatrice au menton, et d’un regard vicieux.

Nous commençons à commenter la lingerie fine des dames autour de nous, chacun ayant ses préférences.
Quand Jean-Claude couvre de sa main celle de Françoise en lui révélant qu’il la trouve vraiment excitante avec ses dessous, je comprends vite que notre conversation va se transformer en gestuelle qui prendra vite la forme de rapprochement tactile. Sans pudeur, il touche son pénis et nous apprend qu’hélas pour lui, son organe est un peu défaillant. S’apercevant de notre étonnement traduit par un long silence, il enchérit en clamant que le plaisir se traduit de différentes manières et que malgré tout son épouse et ses potentielles partenaires ne se sont jamais plaintes de ses déviances.

De quelles déviances veut- il parler ? Nous restons bouche bée, dans l’attente d’une explication approfondie mais il se tait. Il s’approche de l’oreille de Françoise et lui chuchote quelque chose.
Louis et moi nous regardons, un tantinet curieux. Nadège dissipe le malaise en nous resservant une coupe de champagne dont quelques gouttes tombent sur notre pantalon. Elle simule de plates excuses et en profitent pour nous essuyer les tâches entre les jambes avec un mouchoir. Sa manière d’éponger ressemble davantage à une invitation à la débauche. Elle appuie sur nos bites doucement et sa main promène lentement sur notre membre comme si elle voulait nous masturber. D’ailleurs Louis ferme les yeux et se laisse aller à la rêverie.

Pendant ces attouchements, je vois la main de Jean-Claude entre les jambes de Françoise et aux mouvements de son bras, j’en déduis vite qu’il lui caresse le berlingot. Lorsque Nadège entreprend d’ouvrir la braguette de Louis, il la stoppe dans son élan et sans la décourager totalement s’exclame que nous devrions poursuivre la discussion dans notre appartement.

- Volontiers, répond Nadège, j'aime bien ce lieu mais il y a trop de monde. Un peu d'intimité serait bienvenue..

La discussion interrompt la récréation jubilatoire de Françoise qui instantanément rétorque qu’elle préfèrerait aller à la plage. Jean-Claude arrange tout le monde en proposant qu’il accompagnera Françoise à la plage et que nous n’avions qu’à aller à l’appartement tous les trois.

La bouteille de champagne terminée, nous sortons du café restaurant. Françoise se débarrasse de ses dessous et me les donne afin de les rapporter. Jean-Claude enlève ses vêtements aussi qu’il confie à Nadège. Françoise pose un regard troublé et curieux sur l’entre jambe de Jean-Claude. Elle découvre un sexe pendant, flasque, très court et très épais encerclé de longs poils gris et blancs dont un bon nombre couvrent ses couilles. Elle nous fait un clin d'oeil comme pour nous dire "Vous avez vu ?"Nous partons chacun de notre côté.

A l’appartement, Nadège commence à nous faire un strip-tease intégral. Avant de nous asseoir pour ne rien rater du spectacle, nous nous débarrassons de nos habits et regardons. Avec nonchalance, Nadège roule ses bas vers ses pieds pour les retirer et les envoie vers nous. Louis en amène un vers son nez et le renifle. Avec de longs mouvements du bassin, elle tortille son cul, nous fait peu à peu une danse du ventre improvisée et dégrafe son soutien-gorge puis descend lentement sa culotte en dentelle. Une large et épaisse touffe de poils noirs alors apparaît. A la découverte de cette chatte luxuriante, mon zob s’engorge de sang, remonte peu à peu vers mon nombril pour s’y plaquer contre.

Nadège avance vers nous, se met à genoux et nous pompe chacun à notre tour. C’est une salope de premier ordre. Sa bouche nous gobe le gland, en même temps elle nous lèche le prépuce avec sa langue, elle fait le tour du gland, revient sur le prépuce. En avançant lentement sa bouche le long de notre tige, elle active sa main et nous masturbe en même temps. De son autre main, elle se caresse la foune, glisse un doigt à l’intérieur pendant qu’un autre se promène sur son clitoris.

Ensuite, elle nous pousse tous les deux sur le lit, nos corps se renversent. Nadège progresse vers nous qui sommes couchés sur le lit. Elle nous suce encore un peu. Sur moi, elle se place au-dessus de ma bouche et avec sa main remonte sa chatte pour exhiber son long clitoris et me tire la tête afin que je la bouffe. Louis, dans tous ses états, lui enfile un doigt dans le cul, son pénis gonfléà bloc. Elle crie fort. Elle remue de tous les côtés. Louis ajoute deux doigts au premier pour bien la remplir. Les fesses de Nadège frétillent, elle les balance de droite à gauche comme pour signaler son extase.

Puis, elle descend vers ma queue, l’attrape de sa main et la dirige entre la fente de sa chatte toute humide barrée de poils noirs. Elle me chevauche en fermant les yeux et en poussant de légers soupirs. Pendant que je malaxe ses petits seins en forme de pomme dont les tétons sont érigés, Louis se redresse et enfile sa tige dans le cul de Nadège. Il va et vient avec des coups de reins prononcés. Plus le rythme est saccadé, plus Nadège devient folle.

Quand Louis lui apprend qu’il va jouir, elle lui demande de gicler au fond d’elle. Elle s’active davantage afin d’atteindre l’orgasme qu’elle traduit par des gémissements étouffés.
Et quand elle devine à mon visage béat et à mes yeux fermés que je vais décharger, elle s’enfonce à fond sur ma bite, elle se dandine dessus, pousse un soupir d’extase et se retire aussitôt pour m’envelopper le nœud de sa bouche.
Avec un air lubrique, elle m’apprend qu’elle raffole de sperme. Elle l’avale et prend grand soin à promener sa langue sur mon calibre, autour et sur mon gland, sur mon prépuce pour ne pas perdre unegoutte de mon jus.

Nous nous allongeons tous les trois côte à côte et savourons l’instant, les yeux rivés au plafond.
L’instant est si appréciable et si silencieux que Nadège et Louis s’assoupissent. J’en profite pour m’éclipser à pas de chat et me rendre sur la plage en espérant secrètement rejoindre Françoise.

Je la trouve sur la baie des cochons. Sur la plage, avec Jean-Claude, elle s’est installée en retrait,derrière des dunes. J’évite les corps mélangés sur le sable, certains se caressent, d’autres s’envoient totalement en l’air, et enfin, d’autres matent. J’accède au coin replié où je vois Jean-Claude caresser le corps entier de Françoise. Il s’applique avec ses doigts à exciter ses gros tétons. Les mamelles de Françoise doivent le changer des petits nénés de sa femme. Je devine son gros sexe qui pend mais il ne bande pas, ou alors c’est une érection très molle.

Françoise fait tout son possible pour raviver le mollusque. Je vois sa tête monter et descendre à unr ythme effréné, sa main pressant à fond la tige flasque mais sans succès. Quelques hommes s’arrêtentà leur passage, reluquent la scène et sourient. Parmi eux, deux d’entre eux s’avancent. Et j'entends :
- Peut-on se joindre à vous ? Peut-être avez-vous besoin de renfort ? Et ils s’esclaffent.

Jean -Claude ne se démonte pas en leur répondant qu’ils seront les bienvenus et qu’ils ne se moquent pas trop de lui, ils verront quand ils atteindront son âge.

Un grand costaud, velu de la tête aux pieds, sa verge tendue à la dimension d’une matraque s’agenouille entre les cuisses de Françoise. Il tend sa langue vers sa chatte lisse et toute trempée et la lime fougueusement. Le second, largement plus petit mais trapu, imberbe, une queue épaisse mais courte, à moitié dure, prend la tête de Françoise et lui enfonce son morceau dans la bouche.
Avec le talent que je lui connais, elle lui aspire le membre qui grossit à vue d’œil, gonflant ses joues. Jean-Claude n'est pas en reste, il tripote ses gros nichons, pince ses tétons durcies, les allonge. L’excitation est à son paroxysme, Françoise ébranle le silence de la nuit avec des cris stridents. Sa moule dégouline de cyprine et inonde le sable.

Le grand costaud s’essuie la bouche avec son bras et lui dit qu’elle va en avoir pour son compte. Il se relève, agrippe sa lourde queue avec la main et l’enfouit dans la fente béante du berlingot de Françoise qui hurle. Sans ménagement, il la bourre, ses bourses battant contre le bas des fesses de Françoise. Et elle qui remonte ses hanches, se crispe, resserre ses cuisses, les ceinture autour de la taille de l’homme. Pendant ce temps, Jean -Claude s’est retiré. Il mate en se branlant. Je vois son sexe qui durcit mais reste très court.

Le second homme, la pine dans la bouche de Françoise, l’enfonce et la retire comme s’il voulait la baiser par la bouche. Ses bijoux de famille cognent contre le menton de Françoise. Soudain, elle pousse de nouveau un cri pénétrant. Des vagues de cyprine échouent sur le sable. Elle jouit en cascade. Le costaud lui donne un dernier coup de rein brutal qu’il accompagne d’un grondement.
Certainement le résultat de sa jouissance. Quant au second personnage, il retire rapidement son épaisse queue de la bouche de Françoise et déverse son plaisir sur son visage. A l’abri de leur regard, je suis resté dans la discrétion pour filmer leur ébat. Cela constituera un des excellents souvenir de Cap d’Agde.

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