Eric, Georges... et les autres 4 Le cercle s'agrandit

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Eric, Georges... et les autres 4  Le cercle s'agrandit Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Eric, Georges... et les autres 4 Le cercle s'agrandit
Le cercle s’agrandit
Après la soirée chaude de la veille, le besoin de sommeil s’était fait ressentir. Quelques réveils dans la nuit, ponctués par de brefs attouchement, ou des coups de langue sur des verges plus ou moins au repos, mais dans l’ensemble, nous avions tous les trois, eu besoin de récupérer de nos folies.
A mon réveil, la chambre est silencieuse et le grand lit est vide à côté de moi. Mes deux compagnons sont déjà levés. Par la fenêtre je les découvre en train de batifoler dans la piscine. Je passe dans la salle d’eau pour faire ma toilette et j’en profite pour fignoler le rasage de mes parties intimes : verge, bourses, périnée et entre-fesses, j’accentue le rasage autour du sexe, dégageant les aines au niveau du slip. Dans l’immense miroir, je peux voir le résultat. L’effet des attouchements et de la préparation font que je bande déjà bien.
Supposant que mes compagnons ont fait de même, je descends nu et les rejoins dans la piscine. Après un plongeon et deux longueurs, je rejoins Eric qui est accroché à la margelle. Je passe entre ses jambes et je l’embrasse aussitôt. Nos langues se mélangent avec plaisir et frénésie. Je l’agrippe sous les jambes et mime un coït, sentant contre mon ventre, sa verge se redresser, je joue un moment avec lui, puis m’éloigne, refais deux longueurs et viens cette fois-ci vers Georges pour faire de même. A la fin, je me laisse glisser sous l’eau, je happe sa lance, au gland redoutable, je le pompe jusqu’à la limite de mon apnée. Une fois remonté à la surface, je déclare avoir faim et les laisse en riant, avec leur envie qu’ils n’ont pu satisfaire et leur trique dressée…Je sors de l’eau et après m’être séché je vais me requinquer devant un copieux petit déjeuner. Les deux compères, frustrés après mon abandon, viennent me retrouver et alors que je trempe mon pain dans le bol de thé, ils m’encadrent, toujours nus et dressés. Ils déclarent que je dois terminer mon ouvrage et que mon petit déjeuner sera crémeux. Saisissant chaque verge en main, je les pompe alternativement, tout en branlant la verge de l’autre. Eric se vide le premier au fond de ma bouche me forçant à avaler sa semence. Je passe alors à Georges qui est plus long à jouir, Eric prend alors mon appareil photo et prend des clichés de cette pipe matinale jusqu’au moment où Georges, crache son sperme que j’avale bien sûr avec délectation. Comme si de rien n’était, je reprends mon petit déjeuner, faisant croire que cet épisode m’a laissé indifférent. Georges est stupéfait et me demande si je suis aussi blasé que ça ? Je lui dis de passer sous la table et de se rendre compte par lui-même de l’effet produit. Ce qu’il fait aussitôt et très vite je sens sa main et ses lèvres qui s’occupent de ma pine dressée. Je dois dire qu’un petit déjeuner pris ainsi est « royal » ! Eric prend encore des clichés sur lesquels on me voit attablé, en train de déguster ma tartine et sous la table, Georges en action sur ma tige. C’est dans cette situation que débarque Michelle.
"Décidément, vous n’arrêtez pas ! » dit-elle quand elle découvre son ex à genoux sous la table. A ce moment, je lâche ma purée dans la gorge de Georges qui s’empresse de tout avaler. Michelle est hilare, les bras chargés de victuailles, elle est pliée en deux et interpelle son ex mari. « Je vois, mon chéri, que tu es devenu insatiable en ce qui concerne les mecs ! Puisque tu es dans de si bonnes dispositions, je te réserve une petite surprise pour tout à l’heure ! N’ayez pas peur, vous aussi, nous dit-elle, vous pourrez en profiter ! »Si ces paroles sibyllines, elle disparaît vers la cuisine en réclamant de l’aide afin de préparer de quoi manger. Georges jaillit de dessous la table et me fait signe de le suivre à la cuisine. Lorsqu’il retrouve Michelle, sans dire un mot, il se colle à elle, la retourne et l’embrasse. Elle semble surprise, mais participe bientôt, elle me fait signe d’approcher, se retourne alors vers moi et m’embrasse, je me rends compte alors, que ce salaud de Georges avait gardé mon sperme en bouche et l’avait transféré à sa femme qui m’en rend une partie. Nous rions tous les trois de l’aventure et Michelle se remet au travail pendant que nous allons nous rhabiller.
A notre retour, nous nettoyons le salon qui est resté en désordre après nos exploits de la veille et du petit déjeuner. Georges va s’occuper de la piscine, je m’occupe de la chambre et Eric rejoint Michelle à la cuisine. Nos travaux nous occupent un bon moment. Lorsque je quitte la chambre, j’aperçois Georges qui termine le rangement du jardin. Arrivé dans la cuisine, Eric et Michelle sont affairés. Seul changement, celle-ci a revêtu un tablier de cuisine, particularité qui a dû les occuper tout de même quelque temps, et que, sous son tablier, Michelle est nue, vue de dos, l’effet est fabuleux, ses fesses opulentes, exposées à la convoitise de tous et surtout de Eric, qui ne se gène pas pour passer sa main sur la croupe dénudée, il m’est avis que dès que le travail le permettra, ce vicieux va s’occuper activement de sa compagne. Je les laisse à leur travail et retrouve Georges. Nous décidons d’installer le repas sous l’auvent près de la piscine, autour d’une grande table ovale. Nous terminons la mise en place lorsque Émilie, la jeune compagne de Michelle, revient en compagnie d’une femme un peu plus âgée qu’elle, qui doit avoir trente cinq, quarante ans et de deux hommes de l’âge d’Émilie, le premier, qui se prénomme Gilles, a un visage un peu efféminé, quand à l’autre, qui s’appelle Khaled, il s’agit d’un arabe, ou plutôt un beur, qui semble extrêmement viril !
Michelle arrive au moment où son amie fini les présentations, toujours « habillée » de son tablier qui dévoile, plus qu’il ne cache ses charmes, elle fait impression aux nouveaux arrivants, particulièrement à Khaled dont les yeux semblent jaillir de leur orbite. Elle vient les embrasser chaleureusement, preuve qu’ils se connaissent déjà, ce qui n’empêche pas Khaled de laisser traîner ses mains sur les fesses opulentes dévoilées par le mini tablier.
Michelle se recule un peu et dit en s’adressant au jeune beur :"Je te présente Georges, mon ex-mari ! Khaled paraît tout à coup gêné, mais Michelle le rassure. Il n’est pas jaloux du tout d’ailleurs tu vois ces deux messieurs ? Eh bien ils m’ont sautée devant lui et il aime Ça ! Je suis très heureuse que vous soyez là !
Je vois que vous vous connaissez bien, ajoute Georges, l’air rieur, puisque Émilie vous a emmenés, vous allez déjeuner avec nous.
Khaled était le petit ami d’une copine d’Émilie et nous avons fait… disons « connaissance » un soir de fête et ensuite, nous-nous sommes retrouvés les trois avec ÉmilieC’est là que son amie n’a pas aimé ! dis-jeNon ! Attends ! En fait, Khaled aime aussi les hommes ! Et sa copine l’a trouvé en compagnie de Gilles, qui lui n’aime pas les femmes. Elle n’a pas supporté d’être cocufiée par un mec ! Pauvre idiote ! Comment se passer d’un mâle comme Khaled qui est monté comme un âne !
Eh bien ! Je crois que nous n’allons pas nous ennuyer rigole Eric, mais pour l’instant on pourrait passer à table, j’ai la dalle moi! »Michelle, qui connaît bien la maison et pour cause, place tout le monde autour de la table ronde en s’arrangeant pour avoir Khaled à sa droite, Eric de l’autre côté, puis Émilie, Georges, la femme qui s’appelle Henriette, moi et fermant la boucle, Gilles qui se retrouve entre Khaled et moi. Le rosé frais coule à flots, servi abondamment par Georges, ce qui provoque rapidement des éclats de rire et colore les joues de tout le monde.
Henriette est une compagne charmante, un peu réservée de prime abord, mais, une fois mise en confiance, qui se révèle plutôt dévergondée. Je passe assez vite une main sous sa robe et elle me laisse remonter jusqu’à la fourche entre ses cuisses en écartant les jambes sans problème. Mes doigts butent sur le tissu d’une culotte en soie qui est déjà trempée. Je lui suggère de la retirer et de me la donner, ce qu’elle fait tout de suite. Émilie, en face de nous, paraît surprise lorsque je porte le tissu à mon nez, manifestant le plaisir de humer les effluves épicées. Je pose le tissu en évidence sur la table, empêchant Henriette de le reprendre, puis je replace ma main entre les cuisses de la dame, qui laisse mes doigts fureteurs s’immiscer dans son intimité ruisselante. Je vois ses lèvres s’entrouvrir lorsque sa respiration s’accélère et quand elle tourne son visage cramoisi vers moi je me penche sur elle pour l’embrasser. Notre couple n’est pas le seul à se dévergonder. Je vois dans les yeux de Michelle, qu’Eric s’occupe également d’elle, quand à Khaled il défait le haut du tablier et dévoile ainsi à tous la poitrine dont il triture les tétons entre les doigts. Gilles en profite pour ouvrir le pantalon de Khaled et sortant le sexe de celui-ci, commence à le branler doucement. Je vois du coin de l’œil, grossir l’engin qui me paraît être énorme. Je suis obligé de me concentrer sur ma voisine, mais la tournure prise par les événements fait penser que le repas ne va pas s’achever très correctement !
Khaled se tourne vers son minet et lui demande de passer sous la table afin de lui sucer la bite. Le garçon ne se fait pas prier et disparaît entre les jambes de Khaled afin de le satisfaire. Eric déclare alors que les femmes devraient toutes faire de même et que la plus rapide choisira sa récompense. Aussitôt, elles passent toutes sous la table, y compris Émilie qui s’occupe de Georges alors qu’elle est plutôt lesbienne. Je me dis que cette fille qui hier a découvert la sodomie avec moi, est en train de « virer sa cuti » dans le sens inverse. Je sens ma voisine ouvrir fébrilement mon pantalon, sortir mon vit et attaquer immédiatement une pipe enfiévrée. Autour de la table, chaque homme observe le visage des autres qui traduit plus ou moins la montée du plaisir. Je suppose que comme moi, chacun tente de cacher son émotion et de résister.
Tout à coup, Eric lâche un grognement sonore, sa pompeuse est venue à bout de sa résistance et il lui décharge son sperme au fond du gosier. Après quelques instants, Michelle sort de dessous la table et annonce, l’air réjoui :« J’ai gagné ! Je vais choisir mon cadeau ! Je réfléchis ! » Pendant ce temps, les autres sortent aussi, Henriette se rassoit à mes côtés, je l’embrasse en lui disant que j’ai beaucoup aimé et que j’ai eu du mal à me retenir« Méchant ! Tu n’as pas voulu que je gagne ?
Je peux te dire que nous avons tous résisté ! Mais je te rassure, tu es une merveilleuse suceuse !
Ça y est ! annonce Michelle, je sais ce que je veux ! Voilà ! Khaled, Eric et Jean, vous allez venir vous occuper de moi ! Tous mes trous vous sont offerts ! A vous de montrer vos talents. Gilles, tu m’as l’air d’aimer sucer des queues, alors tu vas me gonfler ces mâles au maximum, quand à toi, mon cher mari, tu vas t’occuper du cul de ce jeune homme, puisque tu aimes ça, baise-le ! Vous, mes chéries, je crois qu’un beau 69 entre vous, égayera les plaisir des yeux de ces messieurs et les fera bien bander!
A tes ordres ! déclarons-nous tous ensemble, le programme mis au point par la perverse Michelle plaisant à tout le monde. »Michelle se lève, entraînant Khaled par la main, vers le milieu du salon. Là, elle s’accroche à son cou, entoure la taille de son partenaire avec ses jambes et lui glisse « Prend-moi comme Ça ! »Autour d’eux, Eric et moi nous caressons la croupe de Michelle, alternant entre ses fesses et les testicules de Khaled qui sont déjà bien gonflés. A nos pieds le minet s’est glissé entre nous et s’occupe de nos deux chibres dont il se délecte manifestement. Le bougre est doué et pour ma part, il ne faudrait pas que son manège dure trop, car je risque de lui arroser le gosier, or je compte bien rendre hommage à notre belle cavalière. Pour cela, je me dégage de l'étreinte de Gilles, pour passer derrière Michelle et plaquer ma virilité entre ses fesses. « Oh oui ! » lance-t-elle. Je vous veux tous les deux ! Khaled se couche par terre, sa grosse bite dressée vers le ciel. Michelle l’enjambe, mais je ne peux m’empêcher de saisir la bite de Khaled pour la guider entre les jambes de la femme. Dans ma main, l’engin est impressionnant, si Michelle n’étais pas aussi prompte à s’enfiler dessus, je l’aurais bien embouché ! Mais la femelle a trop envie de retrouver la pine dans sa fente, elle se plante dessus avec un soupir qui en dit long sur le plaisir qu’elle ressent. Elle se couche sur le garçon, dégageant l’œillet brun entre ses fesses. Je positionne mon gland sur la rosette et malgré la présence encombrante de Khaled dans sa fente de devant, je m’enfonce sans problème au cœur de son étroit boyau.
L’étroitesse de son cul et l’excitation due aux événements précédents font que je décharge rapidement mon foutre dans son orifice. Je me retire alors et laisse la place à Eric, qui ne se fait pas prier pour enfiler la femelle offerte. Autour de nous, Michelle peut voir les deux spectacles des deux femelles se gougnottant en 69 et de son ex-mari enculant le petit minet qui semble très satisfait de son sort, en témoigne l’état de son vit à l’érection flamboyante ! Étant disponible, je ne résiste pas à l’envie de sucer cette belle bite. Je me glisse sous Gilles et embouche le gland. Je ne sais si c’est l’effet de ma bouche ou le vigoureux enculage de Georges, mais je reçois très vite ma ration de sperme expédiée par les couilles de Gilles, qui est lui même copieusement arrosé par Georges, dont j’entends le grognement et perçois la vigoureuse poussée au fond du cul du minet.
A peine remis, l’ex de Michelle se jette sur ma queue en disant « Je veux bouffer cette bite qui sort du cul de ma femme ! » Je ne sais si c’est la réflexion de son ex ou les deux bites qui la perfore mais Michelle s’éclate et crie son plaisir, c’est alors que Khaled qui n’a pas encore joui, soulève Michelle et l’embroche dans le cul laissé libre par Eric. Le petit trou n’a jamais connu une telle fête, vu les dimensions du jeune beur, la dilatation est maximum et Michelle en ouvre la bouche et écarquille les yeux comme s’ils pouvaient aider ou traduire la dilatation subie par son anus. Khaled ne s’attarde pas à ces considérations et fait aller sa cavalière à un rythme soutenu.
Pendant ce temps, Henriette et Émilie se bouffent allègrement la chatte, s’enfilant la moule réciproquement de deux doigts. L’orgie est totale, ponctuée bientôt par Khaled, qui décharge son foutre dans le cul de Michelle qui jouit une dernière fois avant de s’écrouler dans les bras du jeune beur, ravi de s’être envoyé cette belle salope de bourgeoise. Un peu déçu de n’avoir pas profité d’Henriette et revigoré par la bouche de Georges, je m’approche des deux femmes et me positionnant derrière celle que je convoite, je pointe mon vit entre ses cuisses. Émilie saisissant ma verge, la guide dans l’antre humide de sa partenaire. De sa langue elle continue son léchage parcourant à la fois ma hampe et le clitoris d’Henriette.
Celle-ci pousse bientôt des petits cris et son vagin se contracte lorsqu’elle jouit. Elle enfonce alors d’un coup, trois doigts dans l’intimité de sa compagne qui clôture la sérénade.
Les groupes ainsi formés, se retrouvent afin de récupérer. Georges et Gilles, Khaled et Michelle, Henriette, Émilie et moi. Henriette, l’air épanoui s’adresse à la fille à nos côtés :"Ma chérie, j’ai joui comme une folle ! Ta langue est fabuleuse et ce cochon de Jean m’a achevé avec sa bite !
Oh maman ! Moi aussi j’ai adoré ta langue et tes doigts !
Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ? Henriette est ta mère ?
Eh oui ! Ça t’en bouche un coin, hein mon salaud ! Une mère et sa fille qui se bouffent le minou !
Et il y a longtemps que vous … pratiquez ?
C’est la première fois ! Quand cette salope de Michelle nous l’a demandé, on ne s’est pas posé de questions et c’est génial !
Et toi, Michelle, tu savais qu’elles étaient mère et fille ?
Hein ? Non ! je vous croyez copines !
On vous fait honte ? bredouille Henriette qui semble décontenancéePas du tout ! Dis-je. Vous êtes toutes les deux adultes. Ce doit être génial de se retrouver comme ça ! ajoute Michelle. Et puis, avec ce que nous venons de faire, je ne vois pas comment nous pourrions vous faire la morale.
Oh Maman ! Dit Émilie. Je suis si heureuse, je t’avais emmenée pour que tu trouves un homme et je ne pensais pas que nous finirions ainsi ! Je ne croyais pas que tu aimais l’amour avec une femme !
Moi non plus répond Henriette, mais avec vos manières, vous m’avez excitée à mort… Je voudrais … Si tu veux… lance-t-elle à Khaled, ta… queue …. La sucer … et la …. Prendre dans... ma fente.
Oui ! Maman, il est…. ENORME mais il fait un bien terrible !
Ah ! parce que... toi aussi … tu as … Je croyais que tu n’aimais que les femmes.
C’est à cause de Michelle. Une nuit où on s’est retrouvés tous les trois, elle m’a un peu forcée à sucer Khaled et après m’avoir préparée avec un gode, elle m’a donnée à lui. Et maintenant que Jean m’a ouvert le cul, j’ai bien envie de m’enfiler sur sa pine d’âne !
Voyons ! ma fille ! On ne parle pas comme ça !
Voyons ! Ma mère ! On ne bouffe pas la chatte de sa fille et on ne la branle pas comme ça ! »
Tout le monde part dans un éclat de rire et je dois dire que moi aussi j’ai très envie de goûter de mes lèvres, voire de mon cul, la fantastique bite de notre ami Khaled. En passant près de lui pour nous remettre à table, je ne peux m’empêcher de la prendre dans la main en le regardant d’un air gourmand. Même au repos elle est impressionnante. Georges qui a vu mon geste annonce à tous :« Je crois que Jean a aussi très envie de connaître la queue de notre jeune ami ! » Nous reprenons le repas. Au dessert, après avoir rangé la table nous allons à la piscine, qui pour se tremper qui pour bronzer ou faire la sieste. La suite de la journée promet d’être chaude !
Michelle et Khaled vont batifoler dans la piscine. Eric Georges et Gilles se retrouvent sur les matelas de l’auvent. Henriette préfère s’isoler dans une chambre. Je l’y accompagne, bientôt rejoint par Émilie.
Je me retrouve sur le lit, couché au milieu entre la mère et la fille. On s’embrasse tendrement et j’adore cette sensation de passer de l’une à l’autre, de comparer leurs seins, leurs chattes, leurs baisers. Malgré tout assez vite, nous nous endormons, étalés sur l’immense couche et bercés par le ronronnement de la climatisation.
Je me réveille le premier. Émilie dort toujours pelotonnée dans son coin, alors que sa mère est étalée, jambes écartées. Je me glisse entre ses cuisses et j’entreprends de lécher sa fente juteuse. Henriette se réveille doucement et pose alors une main sur ma tête. Elle m’encourage à continuer mon œuvre. Dans mon dos, la voix d’Émilie se fait entendre :« Je t’ai emmenée pour te trouver un homme, je crois que Jean va s’occuper de toi ! J’adore te voir faire l’amour ! Profites-en bien ! Hier, il m’a enculée et j’ai adoré !
Voyons, ma fille ! Ne parle pas comme ça !
Voyons, ma mère ! Je t’ai déjà dis qu’on ne se gouine pas avec sa fille et qu’on ne se montre pas à elle entrain de baiser avec un étranger ! »Je remonte alors sur le corps de ma partenaire et, guidé par la main de sa fille, je pénètre Henriette. Aussitôt, ses jambes se nouent autour de ma taille.
« Oh c’est bon ! Il y a si longtemps ! Vas-y ! Baise-moi bien comme ça ! Elle est bonne ta queue ! Je comprends que tu aies aimée dans ton cul ma chérie ! Dis, Jean, tu m’enculeras à moi aussi ?
A ton service ma belle !
Oh oui maman ! J’aimerais tant voir ça !
Tu es une perverse ma chérie ! Ça ne se fait pas cela !
Arrête ton char Maman ! Tu m’as gouinée ! Je t’ai gouinée ! Je te regarde te faire baiser ! Alors maintenant ta pudeur et ta morale tu te les mets…C’est vrai, mais j’ai honte ! Je me conduis comme une salope et en plus devant ma fille ! Je suis une dépravée qui donne un mauvais exemple à son enfant !
J’adore que tu ais honte ! Je n’ai pas besoin de ton exemple pour me dévergonder. Il y a longtemps que je baise sans que tu ne sois forcément au courant. Si tu veux, je me ferai enculer devant toi ! Je suis sûre que ce salaud va se régaler d’enculer la fille après la mère ! N’est-ce pas espèce de vicieux ?
C’est sûr, qu’une occasion comme ça, je ne vais pas la louper !
Tu vois ! Allez Maman ! Tourne-toi et donne ton cul à ce pervers !
J’ai peur d’avoir mal !
On va te préparer ! Tu vas voir il est génial ! »Émilie se précipite à la salle d’eau et revient avec du gel. C’est elle-même qui vient se positionner derrière sa mère. La cochonne ne résiste pas au plaisir de plonger sa langue dans la corolle mauve de sa génitrice, qui a l’air d’apprécier la caresse avant de se rendre compte que c’est sa propre fille qui la prodigue et de se récrier.
Émilie enduit l’anus maternel de gel qu’elle introduit avec un, puis deux doigts. Cette fille est perverse, mais une perverse joyeuse. Elle a un grand sourire en préparant sa mère à la sodomisation. Ayant fini son ouvrage et se tourne vers moi et avale ma bite pour me faire bien durcir. Elle enfile un préservatif et me guide sur le petit trou d’Henriette.
- « Vas-y ! Nique-la ! Donne-lui du plaisir comme tu m’en as donné hier ! Et toi, Maman, relâche-toi ! Tu vas adorer sa queue dans ton cul ! »Bien préparé, l’anus d’Henriette s’ouvre vite sous la poussée de ma bite. Le gland franchit les sphincters sans difficulté et en deux, trois mouvements, je me retrouve au fond de la cavité secrète.
- « Encule-la bien maintenant, mais ne jouis pas ! Garde-toi bien dûr pour moi. Je veux que tu m’encules ensuite et que maman me voit ainsi. Comme je la regarde maintenant. »La fille perverse passe une main sous sa mère et caresse son bouton érectile, la faisant monter rapidement vers le plaisir. Parallèlement, elle m’embrasse goulûment. Henriette, sollicitée par ma queue dans les fesses et les doigts de sa fille, gémit, tremble, s’échauffe et rapidement, se lâche dans un cri, inondant la main d’Émilie.
Aussitôt, celle-ci l’abandonne et se positionne à genoux au côté de sa mère.
-« A moi maintenant ! Viens me la mettre à mon tour ! »J’ai devant moi les deux culs de la mère et la fille, l’un repu, l’autre en attente. Rapidement je change de capote et embroche Émilie sans ménagement.
- « Oh oui ! C’est bon de se faire enculer ! Maman ! Regarde ta salope de fille ! Une gouine qui aime se faire prendre le cul ! Branle-moi maman ! Comme je t’aie branlée ! »Comme sa fille avant, Henriette attaque le clito sensible et m’enlace pour me rouler une pelle- « Merci !» glisse-t-elle. Il y avait longtemps qu’on ne m’avait pas prise comme ça ! J’adore ! Baise bien ma fifille, comme tu m’as baisée ! Elle est belle n’est-ce pas ?
- Oui ! Mais toi aussi tu es belle … et bonne ! Franchement vous êtes deux belles salopes dans la famille !
- Tu peux parler toi ! Espèce de vicieux !
- Tu pourrais t’occuper de moi tant que tu y es ? » Derrière nous, la voix de Gilles qui a quitté ses deux camarades de jeu « Ils avaient envie de rester entre eux ». Comme les deux femmes, il vient se positionner à genoux à leur côté. Heureusement pour moi, Émilie ne tarde pas à jouir à son tour. Je l’abandonne, change à nouveau de préservatif et enfile le jeune homme d’un coup.
Son anus est habitué à la grosse pine de Khaled, aussi c’est sans difficulté que je le sodomise. Il fait ensuite jouer ses muscles internes pour m’amener à mon tour à la jouissance. Henriette qui a récupéré, ne perd pas le nord et passe sous le jeune homo pour avaler sa bite raidie par le plaisir de la sodomisation. Gilles crie en éjaculant dans la bouche accueillante, m’entrainant dans la jouissance.
En quelques minutes, je viens de baiser trois culs ! Celui de la mère, de sa fille et pour finir j’ai enculé un garçon. C’est énorme !
Quand on va raconter ça aux autres après avoir pris une douche commune, ils vont râler de n’avoir pas assisté à la scène.
« Tu me fais des infidélités ! lance Michelle à Émilie en riant.
Tu te gênes toi avec ton bel arabe ?
Un à un ! Dis-jeMais au fait, toi. Reprend l’ex femme de Georges. J’ai l’impression que tu as essayé tous les culs de la maison mais le tien n’a pas beaucoup servi, sauf avec moi !
C’est vrai ! Mais je ne désespère pas que ton Khaled s’en occupe ! Si tu le lâches un peu !
Moi je verrais bien une reproduction de ce que vous avez fait là haut avec Khaled dans ton rôle et toi, Eric et mon ex dans le rôle de tes femelles.
Oh oui ! je veux voir ça ! s'écrie Émilie.
D’accord. Dis-je. Mais est-ce que Khaled est partant ?
Sans problème, rigole ce dernier. Messieurs, en position ! Mesdames, préparez bien leur cul et toi mon minet, viens me sucer la bite pour que je bande bien et que je pète le fion de ces trois roumis !»Nous sommes bien obligés de nous exécuter. Eric semble le plus inquiet car il n’a jamais pris de gros calibre. Michelle se charge de bien l’élargir. Henriette s’occupe de Georges et Émilie me travaille en me confiant :- « Tu as eu mon pucelage du cul, aujourd’hui je veux être aux premières loges pour voir comment tu va prendre sa grosse bite dans le tien ! »Nous sommes maintenant à genoux dans le salon. Trois culs de blancs plutôt matures, relevés en attente de la saillie par le jeune et bel arabe. Les femmes sont au spectacle. Michelle et Henriette se sont un moment collées à Khaled pour le caresser et l’embrasser alors que Gilles continuait son ouvrage sur la bite de son amant.
Je serai le premier à « y passer » Les femmes exigent que les deux autres hommes ne doivent pas regarder quand leur congénère se fait saillir. Quant à l’enculé du moment, il devra manifester ses sensations à haute voix afin que l’assistance soit informée de ce qu’il ressent.
Michelle commence à prendre en photo l’alignement des trois culs puis la bite de Khaled en gros plan. D’abord sucée par Gilles, puis dans toute sa splendeur d’érection maximale. Elle va mitrailler toute la séance pour notre plus grand plaisir et notre grande honte lors de la projection.
Ça y est ! Khaled est derrière moi. Il ne s’agenouille pas. Les pieds de part et d’autre de ma croupe, son sexe guidé par la main de Michelle il plie ses jambes et me pénètre de toute la longueur de sa grosse mentule. Même bien élargi par Émilie, je sens bien passer sa grosse bite. Je gémis mais ne me plains pas. Je veux montrer aux autres que je suis prêt à tout accepter.
Bien planté au fond de mon cul, Khaled fait une pause. Il appuie ses mains sur mes reins et commence ses va et vient. Dans un premier temps, le bel étalon se contente de quelques allers retours dans mon cul avant de passer à Georges.
Par mesure d’hygiène nous avions reçu un bon lavement de nos intestins à mon plus grand plaisir, mais à la grande honte de mes camarades pour qui c’était une première. Ceci permettait à notre mâle de ne pas changer de préservatif entre chaque partenaire.
Quand Khaled est sorti de mon cul j’ai éprouvé un manque et j’étais impatient qu’il en finisse avec mes deux comparses pour revenir à moi.
Eric, comme moi, grogne à peine, mais je vois à ses mâchoires crispées qu’il endure aussi et cache la douleur due au passage du formidable braquemard de notre enculeur.
Pour Georges, la pénétration semble plus difficile à accepter et il hurle sa douleur ce qui lui vaut de bonnes claques sur les fesses, que sa femme se fait une joie de lui asséner. Il doit supporter en plus les ricanements des femmes qui le traitent de femmelette et de chochotte.
Les passages étant bien faits, à la deuxième saillie, Khaled ne fait plus dans le détail. Bien excité par ces trois culs de vieux « français de souche » qui lui sont offert, il passe à la vitesse supérieure, se délectant de nous faire subir les « derniers outrages » ! Il plonge d’un coup dans mes entrailles. Il me rappelle alors que je dois faire connaître mes sensations je crie plus que je ne parle :- « Oh oui ! C’est bon ! Elle est bonne ta grosse queue ! Vas-y ! Défonce-moi ! Pète-moi le cul ! Que c’est bon de se faire enculer par ta bite, fais-moi jouir ! C’est trop fort ! Démonte-moi le cul ! J’aime ta queue salaud ! Vas-y ! Pète-moi le fion ! Fais ce que tu veux mais baise moi encore ! Je vais jouir ! Ouiii ! » Bref. Je me comporte comme la dernière des salopes ce qui réjouit ces dames et mon étalon. Pendant ce temps, je jouis en continu et Henriette s’est précipitée sous moi pour me pomper, ajoutant encore à mon plaisir. J’ai l’impression de me faire assécher les couilles !
Je deviens complètement passif. Je ne sens plus mon cul et je dois même un instant me retrouver dans les « vaps ». C’est Khaled qui, en se retirant de mes fesses, me sort de ma torpeur. Je ressens un grand vide et de l’air frais qui pénètre mon rectum.
Il passe directement à Georges. Ce dernier ne parle pas beaucoup et Khaled frappe ses fesses pour qu’il crie. Il doit trouver qu’enculer et fesser l’ancien mari de sa maîtresse est particulièrement jouissif. Voyant cela, Michelle amusée de voir son mari dominé ainsi par son amant, en rajoute :- « Oui Khaled ! Montre-lui qui est l’homme à cette tapette ! Allez mon cher mari ! Tu vois comme il baise bien mon Khaled ! Ça c’est de la bite ! Tu la sens bien dans ton cul ?
Mais c’est qu’il aime ça ce petit pédé ! Regardez comme il bande ! J’ai trop envie de cette bite ! »Elle se couche sous son ex pour avaler sa queue et lui donne sa moule à lécher en soixante neuf. Georges ne parle plus mais ses grognements rythmés par les coups de queue de son amant arabe, montrent qu’il apprécie son enculage.
Il ne tient pas non plus longtemps. Se redresse pour crier sa jouissance alors qu’il se vide dans la bouche de son ex femme.
Khaled se retire et entreprend le dernier des culs offerts. Avant cela, il réclame à boire car sa position est particulièrement sportive. Gilles se précipite, minaudant en espérant que son amant voudra bien de lui ensuite.
Eric n’a pas bougé et il reçoit maintenant la bite du bel arabe dans son fondement. Celui-ci est moins violent qu’avec Georges. Il doit être aussi proche de sa propre jouissance et veut « terminer le travail » avant de se lâcher.
Sa monture réagit un peu comme moi. Depuis qu’il a découvert sa partie féminine et les rapports avec les hommes, Eric apprécie la sodomie. Mon expressif que moi, il encourage néanmoins son amant et harangue les spectateurs.
- « Oh oui c’est bon ! Que c’est bon de se faire enculer devant vous ! Moi aussi je suis une salope qui aime se faire mettre par une grosse bite ! Baise-moi bien ! J’aime ça ! Elle est bonne ta queue ! Fais-moi jouir avec ta belle bite ! Mon cul est à toi quand tu veux ! »Comme moi avant lui, Eric éjacule un filet en continu. Il se répand sur le carrelage, formant une flaque de sperme sous lui.
Khaled ayant terminé son « travail » il nous fait relever et nous réunis tous les trois à genoux, en cercle devant lui.
- « Allez mes salopes ! Vous allez recevoir votre récompense ! Ouvrez vos bouches ! Vous allez en avoir pour tous, n’ayez pas peur ! »Il se branle au-dessus de nous et tout à coup un flot énorme de liqueur blanchâtre jaillit sur nos visages. Il se tourne pour que nous en recevions tous les trois. La quantité est énorme et il faut fermer les yeux quand le sperme coule du front vers nos bouches pour ne pas qu’ils piquent.
Notre amant nous oblige à ouvrir la bouche pour y gicler directement. Heureusement les femmes se précipitent sur nous pour lécher le surplus et le partager avec nous.
Quand nous regarderons le diaporama un peu plus tard, je crois que mes deux camarades, comme moi, auront honte de notre attitude, de notre abandon et de notre soumission à la queue de notre jeune amant. Les femmes, Gilles et Khaled, au contraire, nous féliciteront.
Ce jour là je suis obligé d’abandonner mes nouveaux amis pour rentrer chez moi mais le soir même ils me feront bénéficier d’un spectacle hautement érotique grâce à une visioconférence que je regarderais en direct en me branlant à poil dans mon lit.

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Texte coquin : Eric, Georges... et les autres 4  Le cercle s'agrandit
Histoire sexe : Une rose rouge
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