Eric, Georges... et les autres 8 Cynthia - histoire érotique

Cynthia
C’était la fin de l’été, nous avions décidé de profiter encore du beau temps pour organiser tout un week-end dans la propriété de Georges et Michelle. Tout le monde était là ou devait passer entre le vendredi soir et le dimanche soir voire le lundi pour les plus chanceux ou les plus prévoyants. J’avais posé une RTT et je faisais partie de ces derniers. Khaled et Gilles devaient arriver samedi après-midi, Rosalie et Henri viendraient le dimanche soir après un week-end « en amoureux » dans un gîte touristique. Émilie, Georges et Eric, Henriette et moi, étions présents dès le vendredi après-midi. Michelle devant arriver en début de soirée, au retour d’un séminaire organisé par sa boite toute la semaine.
Nous avions préparé la maison, notamment le salon avec des matelas au sol, disposé les fauteuils et canapés, les tables avec les boissons et les plats livrés par un traiteur. Dans ces moments-là, personne n’avait envie de se mettre à la cuisine.
Nous sommes, soit dans l’eau, soit au bord de la piscine quand Michelle arrive. Comme d’habitude, tout le monde est à poil. Elle est accompagnée d’une magnifique femme noire. Les deux femmes sont enlacées et Michelle rit de la surprise qu’elle nous a réservée.
Je suis en train de nager dans la piscine quand Michelle fait les présentations. La belle black embrasse chacun sur la bouche. Je suis subjugué par cette femme. Elle porte un short ultra court qui met en valeur ses longues jambes, un boléro qui semble porté à même la peau et aux pieds, des bottines à talon.
Cette femme est un « pousse au viol ». Je suis incapable de réfléchir. Il me tarde qu’elle arrive à moi pour sentir son corps. Je sors de l’eau à sa rencontre. Je ne m’en rends pas compte mais je bande comme un fou. Quand je m’approche de la femme, Michelle dit : « Voilà enfin Jean ! Jean, je te présente Cynthia » Je suis sous le charme. Elle pose ses lèvres sur les miennes et me roule une pelle. En même temps, elle agrippe ma queue et me caresse. Je n’hésite pas et je pose ma main sur la fourche entre ses jambes où je trouve une bite !
Cynthia est un transsexuel ! Loin de me faire débander, la découverte m’excite encore plus. Je l’enlace, répond à son baiser et je caresse sa protubérance qui enfle sous le short. ! Plus rien n’existe autour de nous. Peu importe ce qui se passe, je suis complètement « scotché » incapable de réagir si ce n’est prolonger ce baiser à l’infini !
Quand nos lèvres se séparent pour reprendre souffle, je me laisse tomber à genoux, ouvre fébrilement le short pour le baisser en même temps que le string et découvre enfin sa magnifique queue couleur ébène.
Pas très grande, à peu près comme la mienne mais plus grosse, bien droite et raide. Je me précipite dessus comme un mort de faim pour avaler sa tige tendue.
La peau est douce et l’odeur suave. Deux petites couilles à la base mettent en valeur cette bite que j’adore déjà. Moi qui n’ai jamais pû faire une « gorge profonde », j’avale la bite jusqu’au fond, au-delà de la luette, sans effort ni haut le cœur. Plus rien ne compte que cette queue. Les autres n’existent plus, je deviens une femelle assoiffée de sexe. Je ne veux plus qu’une chose : me faire prendre !
Je m’allonge sur le transat à proximité et sans pudeur, je relève mes jambes, présente mes fesses et lui demande crûment de m’enculer ! Peu importe le spectacle que j’offre, je me sens chienne, plus rien ne compte ! Cette femme produit en moi un effet terrible. C’est un double fantasme que je veux réaliser ! Avoir une relation avec un « transsexuel» et avec un noir ! Plus tard mes amis me diront qu’ils ne m’ont pas reconnu. Moi plutôt maître du jeu d’habitude, j’étais comme possédé, ivre !
Je ne les voyais plus d’ailleurs ! Seule comptait cette femme magnifique, dotée d’une queue et de seins arrogants, la peau noire et brillante.
Cynthia, sûre de son pouvoir prend son temps, se délecte de la femelle qui s’offre à elle. Elle retire lentement son short et son gilet, s’exhibe au-dessus de moi, me dominant de sa fière silhouette et du pouvoir qu’elle a sur moi. Elle s’agenouille enfin. Enfile un préservatif tendu par Michelle, pose la pointe de son gland sur ma corolle avide et lentement, s’enfonce dans mon cul !
Son mandrin écarte mes chairs sans qu’aucune douleur ne m’assaille. Je mouille tellement qu’elle n’a aucune difficulté à me pénétrer ! D’une seule poussée, elle se retrouve au fond de mes entrailles et s’immobilise comme pour prendre définitivement possession de moi.
elle agrippe mes jambes, les écarte encore plus pour montrer à tous sa domination.
Sans pudeur depuis un moment, je réclame :- « Vas-y ! Défonce-moi ! Je suis ta femelle ! Baise-moi ! Fais-moi ce que tu veux ! Tu es belle ! Encule-moi fort ! » Sa bite me remplis ! Moins que celle de Khaled mais la vue au dessus de moi de cette créature mi-homme, mi-femme, me met dans un tel état, que je commence à jouir sans me toucher ! De mon gland, s’écoule un liquide blanc sans discontinuer.
Quand Cynthia accélère enfin je sombre dans l’inconscience. Ce n’est que plusieurs minutes après que j’émerge ! Ma cavalière s’est retirée. J’ai une impression de vide entre mes fesses. Somptueusement nue elle se fait sucer par Georges qui sous les yeux de sa femme doit être à peu près dans le même état que moi auparavant, il n’est qu’à voir sa bite bien raide et l’entrain qu’il met à avaler le sceptre de Cynthia.
Revenant complètement sur terre, c’est la honte qui m’assaille. Je me suis comporté comme la dernière des salopes. Je me suis offert sans pudeur devant mes amis et ma compagne, comme je ne l'avais jamais fait avant. En même temps, je suis heureux d’avoir réalisé ce fantasme. Difficilement, je me lève, m’approche de Cynthia aux pieds de laquelle Georges continue son ouvrage gourmand, je l’embrasse et lui dis « merci ».
Je me tourne alors vers Henriette et Émilie, qui enlacées me regardent tendrement. Je me réfugie dans leurs bras, heureux de les retrouver après cet épisode scabreux. Nous assistons alors à la sodomie de Georges, pris en levrette par Cynthia sous les yeux de Michelle. Eric, voyant son copain baisé par la belle black, se poste à genoux devant lui et lui donne sa bite à sucer.
- « Avale salope ! » Il en profite par-dessus le corps de son ami, pour peloter les seins de la transsexuellePelotonné entre les deux femmes, je leur exprime ma honte.
« Oh non ! Me répond Henriette. Moi j’ai trouvé très beau ! Je t’ai déjà vu te faire prendre par Khaled ou Georges et je sais que tu y prends beaucoup de plaisir ! D’ailleurs, tu aimes aussi que je te prenne avec le gode, mais là avec cette… femme, il y avait une autre dimension. Le tableau était magnifique. D’ailleurs tu pourras t’en rendre compte, Michelle a pris des photos !
Oh non !
Mais oui ! Rajoute Émilie. Je t’assure que c’était très beau !
Mais... je me suis... comporté...
Comme une vraie salope, oui ! C’est ça qu’on a aimé ! Nous aussi parfois. Ça prouve que tu as pris ton pied et c’est ça le plus important ! Tu t’es lâché complètement. C’est la première fois qu’on te voit comme ça et c’était génial ! » Rassuré par mes compagnes, je reporte mon attention sur le trio. C’est vrai que la vue de Cynthia est magnifique. Je vois également que mes autres amis sont sous le charme du transsexuel. Il n’empêche que je me souviendrai toujours de ma conduite dépravée de ce jour-là. Cela ne m’empêchera pas de recommencer avec toujours autant de plaisir.
Tous mes amis goûteront un jour aux joies d’un rapport sexuel avec Cynthia, même Émilie ! Cynthia est d’ailleurs la seule - où le seul – à avoir un rapport vaginal avec la jeune fille qui mis à part le gode de Michelle, n’accepte aucun homme.
Malgré ma jouissance extraordinaire récente, le spectacle donné par le trio et surtout la vue de Cynthia, provoque une nouvelle excitation. J’abandonne les deux femmes. J’ai un besoin viscéral de sentir la peau et l’odeur de la trans. Je me lève et me colle à elle par derrière. Je l’enlace en posant mes mains sur ses seins. Elle tourne sa tête et nous changeons un baiser langoureux et baveux.
Cynthia se déchaîne dans le cul de Georges qui brame son plaisir. Dans un dernier rush, elle plaque son bassin contre les fesses de l’homme et jouit en grognant, sa bouche toujours prise par la mienne.
A nouveau, je ne réfléchis plus. Il me faut cette bite. Je glisse à genoux, lui ôte le préservatif et avale goulûment le chibre recouvert de sperme et sentant le caoutchouc. Je me délecte de cette queue ! Possédé par l’envie de la cajoler en permanence. Il faut que Michelle m'écarte en disant :- « Laisse-m’en un peu ! Après tout c’est moi qui ai amenée notre amie ! »J’aurai beau faire, chaque fois que je me retrouverai en face de Cynthia, je perdrai tout sens de réflexion, me donnerai à elle comme un fou, jaloux de voir quelqu’un d’autre avec elle. Cet être moitié homme, moitié femme, m’ensorcellera toujours. Sa force d’attraction sur moi est telle que mes amis en riront, mais comprendront.