Eric, Georges... et les autres 9 Esclave d’un trans

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Eric, Georges... et les autres 9   Esclave d’un trans Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Eric, Georges... et les autres 9 Esclave d’un trans
Esclave d’un trans
Il arrive parfois que Cynthia m’appelle en fin de journée. Quand j’entends sa voix un peu rauque, je frémis, je tremble, j’attends en sachant très bien qu’elle va dire :- « J’ai envie de ta bouche et de ton cul ! Viens !»Plus rien n’existe alors et tel un petit chien, j'accourt aussitôt. Je n’y peux rien ! Dès que je la vois j’ai chaud, je bande, je mouille, je deviens chienne, je me sens salope. Il m’est arrivé de la sodomiser à sa demande. Malgré le plaisir ressenti, la vision de ce beau corps, de sa bite qui s’agite devant la mienne, car elle aime elle aussi être prise « en missionnaire » Malgré ses seins qui s’agitent devant moi, rien n’égale la sensation qui m’étreint au moment où je la vois arriver et que je m’offre à elle de façon indécente, quémandant, suppliant qu’elle me prenne.
Avec elle, ce n'est pas de l’amour. Mon désir est purement sexuel, mais il est irrépressible.
Un jour, je l’ai rencontrée en public. J’ai eu l’impression que tout le monde voyait le désir que j’avais de cette femme. Un désir animal, bestial, non pas de la posséder, mais d’être possédé par elle. Je me suis enfui aux toilettes pour me branler, me passer le visage à l’eau froide. Dans la glace, je voyais un visage halluciné. J’ai mis beaucoup de temps avant de me reprendre et de revenir dans la salle. Quand Cynthia m’a vu, elle a eu un petit sourire de satisfaction et d’amusement.
Au cours de la soirée, elle s’est arrangée pour passer près de moi.
« Je suis sûre que tu as envie de goûter à ma bite, salope ! » A-elle murmuréOh oui ! » J’étais liquéfiéDésolée ! Tu vois le couple là bas ? » Elle me montre un homme dans la cinquantaine et sa femme qui paraît beaucoup plus jeune qui nous observe, sans en avoir l’air. « Ce soir je vais m’occuper de tous les deux ! » Devant ma réaction dépitée, elle ajoute. « Quoi que… Tu pourrais…Oui ?
Servir !
Tout ce que tu veux ! Dis-je fébrile, mon espoir renaissantQuand je dis servir. C’est me servir et les servir à euxD’accord !
Pas si vite ! Tu seras aussi asservi !
D’accord !
Humilié !
D’accord !
Utilisé !
D’accord ! Tout ce que tu veux, pourvu que je sois avec toi !
Suis-moi »Heureux dès lors d’être auprès de ma Cynthia, je l’accompagne. Avant de se diriger vers le couple qui attend, elle se délecte à faire le tour de la salle, de parler à certains, de leur montrer que je ne la quitte pas d’une semelle, complètement sous sa coupe. Quelques personnes me connaissent. Ceux qui ne savent pas, sont vite renseignés par d’autres sur la nature véritable de la femme noire à laquelle je suis littéralement attaché. Des sourires plus ou moins ironiques apparaissent, ce dont sur le moment je me fiche complètement, j’en suis même fier, mais plus tard, j'en aurai honte.
Nous arrivons enfin devant le couple. « J’amène cette lope avec moi. Il nous servira ce soir ! » Le sourire vicieux de la femme me fait frémir. Avec elle, je risque de souffrir. Je suis malgré tout rassuré car Cynthia sera là. Elle se dirige vers la sortie sans regarder derrière si nous suivons, déjà sûre de son pouvoir sur nous.
Sur le parking, Cynthia ouvre sa voiture à distance et me dit sur un ton qui ne supporte pas la réplique.
« Toi, monte derrière dans la voiture et fous toi à poil » Se tournant vers le couple. « Madame, vous montez avec moi et vous monsieur, je vous suis. »En montant, Cynthia jette un regard à l’arrière où je suis en train de me déshabiller rapidement. La femme est malgré tout surprise, mais ne fait aucun commentaire. Quand la voiture de son mari passe, je suis déjà nu, mes vêtements jetés par terre.
Cynthia démarre et quand nous quittons le parking, elle attrape la femme par le cou et lui dit « Suce » Je ne sais si l’autre se penche volontairement ou si c’est la main de Cynthia qui appui, mais la femme se retrouve avec le dard de « ma » Cynthia dans la bouche. Je suis bêtement jaloux et préférerais être à sa place !
- « Elle est aussi salope que toi, me lance Cynthia, mais il va falloir que tu lui apprennes à sucer ! » La main derrière la tête de la femme doit appuyer plus fort pour lui faire avaler le chibre tendu au fond de la gorge, mais la femme n’y arrive pas. Elle tousse, crache, pleure, mais ne peut absorber la bite sans avoir envie de vomir. « Toi, si tu veux être une bonne pute pour ton mari, il va falloir que tu fasses des progrès ! La salope qui est derrière va te montrer tout à l’heure ce que c’est qu’une gorge profonde ! J’espère que ton cul est plus accueillant que ta bouche !
Le voyage est court. Un quart d’heure plus tard, nous sommes devant la maison du couple. Elle se trouve dans un lotissement et nous sommes garés devant, dans la rue éclairée.
Cynthia descend sans se préoccuper de moi, la femme suit et sans me poser de question, malgré ma nudité, je descends rapidement. Derrière moi j’entends le verrouillage des portes. Je suis nu dans la rue ! Un voisin curieux qui serait derrière sa fenêtre découvrirait cet étrange trio. Une grande et belle femme noire accompagnée de la femme du voisin dont les seins sont sortis de la robe et derrière elles, un homme nu qui les suit !
Nous entrons rapidement dans la maison où le mari nous attend. Cynthia dirige les opérations Elle demande à la femme de se déshabiller, au mari de s’asseoir dans le fauteuil « pour profiter du spectacle » et à moi de me mettre entre les jambes de l’homme et de le sucer.
Suivant les ordres, je lui enlève les chaussures, le pantalon et le caleçon. Des vêtements de qualité, preuve que le couple a des moyens. Le sexe de l’homme est mou et entouré de poils, ce que je n’aime guère, mais Cynthia m’en a donné l’ordre aussi je le prends en bouche. Heureusement, l'homme est soigné et le contact agréable. Malgré mes efforts, sa bite ne gonfle pas beaucoup. J’ai beau me démener, rien n’y fait. Cynthia parle alors :- « Mmmh ! ta salope de femme suce très bien ! C’est vraiment un bon coup ! Il me tarde de la baiser. J’ai l’impression qu’elle est en manque ! Mon soumis va te préparer le fion. Puisque tu veux aussi goûter à ma bite. Il va te lécher le cul et faire le passage. »L’homme relève alors ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil, facilitant l’accès à son anus. Je le lèche, le couve de salive et introduis un doigt. A ce moment, la bite que j’ai gardée en main gonfle un peu. Je « graisse » bien la corolle et bientôt j’ajoute un autre doigt puis un troisième. Je reprends la bite en bouche et l’homme est maintenant raide. Ce n’est pas un monstre de dureté mais c’est beaucoup mieux qu’avant. Je continue mon « travail » et lui travaille la prostate.
- « Regarde ta femme comme elle aime se faire baiser ! C’est une bonne salope ! » J’entends effectivement derrière moi la femelle qui grogne. Le spectacle semble plaire à son mari qui s’agite maintenant. Ne sachant pas trop ce qu’attend ma maîtresse, frustré de ne rien voir alors que je suppose la beauté de ma belle trans baisant la femme, je poursuis mon œuvre.
La femelle crie maintenant son plaisir, semblant apprécier la bonne queue de Cynthia. Toujours jaloux de ses partenaires, je bande aussi comme un fou. Quand enfin elle gueule son orgasme, je reçois le sperme de son mari dans ma bouche. Il n’est pas très abondant et ma foi, le goût est assez plaisant.
L’homme a apprécié de voir sa femme se faire baiser et le travail de ma bouche a aussi porté ses fruits. Il grogne en se lâchant.
« Je vois que ma salope a bien travaillé ! » Lance Cynthia « Je n’en doutais pas. Elle aime la bite elle aussi ! Maintenant on va changer de partenaire ! C’est toi qui va me donner ton cul et ma salope va prendre celui de ta femme !
Oh non !
Mais oui mon vieux ! C’est bien ça que tu voulais tout à l’heure ! Tu vas voir ! Ma pute adore aussi les culs et il faut bien que je la récompense pour avoir bien fait son travail ! Tu es bien content qu’il t’ai pompé, qu’il te fasse jouir et qu’il avale ta semence ! Allez ! Viens ici te mettre à genoux devant ta femme ! Vous aurez comme ça tous les deux, le spectacle de l’autre qui se fait enculer. Ma salope appréciera de me voir te niquer. C’est surtout ça qu’elle aime ! »C’est la première fois que Cynthia me traite ainsi, mais j’en suis très heureux. Je la découvre alors dans sa somptueuse nudité qui m’émeut tant. En passant à côté de moi, elle m’embrasse tendrement alors que le couple se positionne à genoux, face à face, à quelques centimètres l’un de l’autre.
Ma belle transsexuelle se positionne derrière l’homme qui regarde sa femme d’un air inquiet. Est-ce de se faire enculer face à elle ou de la voir elle, se faire sodomiser par celui qui le pompait il y a peu. Cynthia ne lui laisse pas le temps de réfléchir et comme j’ai « préparé le terrain » elle l’encule d’une seule poussée. L’homme ouvre la bouche comme son cul doit s’ouvrir sous la poussée de la belle queue noire – que j’aimerais être à sa place – son cri se perd dans la bouche de sa femme qui vient de me recevoir dans son cul et qui a la même réaction. Étant à quelques centimètres l’un de l’autre, leurs lèvres se sont collées.
Ni Cynthia ni moi ne les ménageons. J’ai bien compris que ce n’était pas le moment. Tout en besognant la femme je me rappelle que j’ai beaucoup de plaisir lorsque ma belle trans me prend « en missionnaire ».
« tu devrais le mettre sur le dos. Je suis sûr qu’il va aimer !
Toi ma salope t’as envie de subir la même chose !
Oh oui !
Quand j’en aurai fini avec lui, si tu réussi à me faire bander en me suçant, je te baise devant eux ! Ils verront comment tu deviens une salope quand je t’encule !
Oh oui ! S’il te plaît !
Démonte bien ta salope en attendant. Je suis sûre qu’elle adore voir son mari se faire niquer par une trans ! »Cynthia se retire et le bascule sur le dos. Elle attrape un coussin lui met sous les fesses et lui relève les jambes. L’homme n’a plus de pudeur et il guide lui-même la queue noire sur son cul. Je sais ce qu’il ressent et j’en suis jaloux !
« Salaud ! Pédé ! Enculé ! Crie sa femme. Tu aimes ça te faire enculer ? Je vais t’en donner moi de la bite ! Tu vas y passer à la casserole !
Oh oui mon amour ! C’est si bon ! J’ai honte que tu me vois ainsi ! Mais j’aime aussi que tu me regardes ! Oui mon cul sera à toi quand tu voudras ma salope adorée ! » Elle gueule de son côté :« Oh le salaud ! Il m’encule fort ! J’aime sa queue ! Il bande bien pour une lope !
C’est une lope avec moi, intervient Cynthia. Je peux te dire qu’il adore les femmes que ce soit par le cul ou par la chatte !
Oh le con ! Il va me faire jouir ! Oh chéri c’est beau de te voir comme ça ! Tu jutes en continue ! »L’homme ne s’est rendu compte de rien il regarde son ventre incrédule ; un liquide blanchâtre s’écoule de sa queue et lui rempli les poils. Cynthia se déchaîne. Son corps tout noir se couvre de transpiration. L’odeur dans la pièce est prégnante. Je la trouve encore plus belle comme cela. Ses seins se balancent au rythme de la sodomie. Ses muscles tendus donnent à son corps une impression de puissance malgré la féminité de sa silhouette. Elle crie enfin son plaisir et se lâche dans le cul de l’homme. J’ai autant de plaisir à la voir que d’enculer la femme.
Celle-ci s’effondre la tête au sol le cul en l’air. J’agrippe ses fesses et je l’achève en plaquant mon pubis contre ses fesses.
J’ai hâte maintenant de recevoir ma récompense. Je décule et abandonne la femme sans plus me soucier d’elle. Je m’approche à genoux de Cynthia qui elle aussi s’est retirée de l’anus de l’homme. Je retire son préservatif et avale son chibre couvert de sperme. Je sais que s’il ne débande pas aussitôt il sera très vite opérationnel. Je m’applique. Je me fais chienne et je parviens à mes fins. Ma belle trans bande fort et je ne perds pas de temps. Je me couche aux côtés de l’homme, glisse le coussin sous mes fesses et m’offre sans pudeur à la bite de ma chérie.
- « Viens mon amour – j’en rajoute pour le couple – Viens baiser ta salope ! Donne-moi ta belle queue ! Défonce-moi le cul ! »Cynthia ne se fait pas prier. Elle adore aussi me sodomiser. Sachant que je dois être prêt à la recevoir, elle ne s’embarrasse pas et me perfore d’un coup. Quand sa queue bute au fond de moi, je commence à jouir. J’ai tellement attendu ! Je transpire, je crie, je pars alors que ma belle trans ne manque pas de faire remarquer au couple la salope que je suis. Elle leur dit de prendre exemple sur moi. Je ne fais pas semblant. Je ne me retiens pas ! Je demande à ma maîtresse :- « Prend-moi à fond ! Éclate-moi le cul ! Je suis ta salope ! Ta putain !»Je délire complètement mais je garde les yeux ouverts car la superbe silhouette de Cynthia ajoute au plaisir de l’acte. Malheureusement pour moi, la femme a envie de se faire lécher et vient poser sa chatte sur ma bouche me privant de la vue de ma maîtresse. Je remplis mon œuvre et le comble est que son mari me prend en bouche et avale au fur et à mesure mon sperme qui s’écoule du méat.
La femme se lâche alors que je m’évanouis sûrement quelques secondes, car je perds toute notion de l’environnement. Je reviens à moi sur les derniers coups de boutoir de Cynthia qui se vide dans mon cul. Je suis fier de montrer au couple que Cynthia me baise sans capote, prouvant que notre relation est autre qu’un « coup du soir ». C’est aussi très agréable de sentir le sperme tapisser le rectum quand elle gicle au fond de moi.
La femme qui m’avait regardé d’un air vicieux quand ma maîtresse m’avait présenté, a changé son regard sur moi et me remercie en m’enlaçant et m’embrasse. Avant de quitter le couple qui remercie chaleureusement ma maîtresse. Nous faisons une toilette sommaire au cours de laquelle je peux vider mes fesses pour éviter tout relâchement gênant. Je suis toujours nu pour sortir. Heureusement il fait bon. Une fois dans la voiture Cynthia m’autorise à me rhabiller puis à passer devant à ses côtés« Je suis très contente de toi ce soir ! Ça t’a plut ?
Oh oui ! J’ai beaucoup aimé que tu me soumettes et que tu m’humilies et bien sûr, la fin de la soirée !
Je n’aime pas trop te dominer et je ne sais pas si on recommencera. Je me suis laissée emportée par la demande de ce couple.
Tu les connaissais ?
Non. C’est un ami commun qui nous a fait faire connaissance.
Tu fais Ça souvent ?
Ça m’arrive, il faut bien que je gagne ma vie !
Parce que…Oui ! Ils m’ont payé et très bien ! Grâce à toi ils ont même ajouté cinq cent euros !
Mais… Combien ?
Trois mille, plus cinq cent donc. Tu les veux ?
Ça ne va pas non ? Je ne suis pas…Une pute ?
Ce n’est pas ce que...
C’est ce que tu as dis tout à l’heure ! Que tu étais ma pute, ma salopeO… Oui c’était des mots.
Eh bien maintenant c’est un fait ! Tu as fais la pute et tu touche de l’argent pour ça !
Ce n’est pas possible !
Tu vois que c’est facile finalement d’être une pute. Tu pourras te vanter - enfin je ne sais pas si tu t’en vanteras - qu’un jour, tu as fait la pute. Je te rassure tout de suite, je ne sais pas si on recommencera à moins que…A moins que quoi ?
A moins que tu n’aimes faire la pute pour moi !
Tu sais bien que tu peux me demander n’importe quoi, mais … devenir une… pute… à mon âge ! Personne ne voudra de moi !
Tu as bien vu que l’homme comme la femme qui est jeune, n’ont pas eu de problème. Cela dépend de toi. Veux-tu être une putain ? Te faire payer pour faire des passes ? Accepter les partenaires que je t’impose sans rechigner ? Je vais te prostituer comme moi, avec moi !
Je…Ah ! Tu vois ! Ce n’est pas si facile quand on passe du fantasme à la réalité !
Je ne veux pas être payé. Si je le fais c’est pour te plaire uniquement.
Si mon plaisir est de te prostituer ?
Alors fais-le, mais ne me donne rien.
Tu veux passer à côté de mille cinq cent, ou deux mille euros par mois ?
Tu es folle ?
Ben regarde. Tu fais trois ou quatre passes par mois à cinq cent euros…Je t’ai dit que je ne voulais pas…Te prostituer ! D’accord ! Tu préfères te faire humilier et baiser pour rien.
Pas pour rien, pour toi !
Tu es vraiment accro toi !
Oui ! Tu le sais. Dès que je te vois, je perds mes moyens, je ne pense qu’à une chose, te voir et te sentir nue près de moi et peu importe le reste.
Tu m’aimes ?
Non ! Ce n’est pas de l’amour. C’est une dépendance qui provoque en moi de la honte et de l’excitation. Je bande et je mouille pour toi comme je n’ai jamais bandé. Quand tu n’es pas là, je me comporte normalement, enfin je crois. Mais en ta présence, il n’y a que toi qui compte ! Tu as vu quand tu m’as demandé de me mettre à poil, de sortir comme ça dans la rue, de sucer cet homme, j’ai obéi sans me poser de question. C’est ça que j’aime.
Donc si je te demande de te prostituer tu le feras ?
Oui ! Pour toi ! Gratuitement ! Si cela doit te plaire… et te rapporter !
Tu es trop mignon ! Je ne sais pas si je le ferais. Ça ne m’amuse pas plus que Ça de t’humilier, de te soumettre. Je sais que je peux le faire, cela me suffit. Peut-être qu’un jour…Merci ! Est-ce que je peux rester cette nuit avec toi ?
Tu n’en as pas eu encore assez ? Tu es une vrai salope toi !
Je t’ai dis que tu me rends fou quand tu es à côté ! S’il te plaît ! Je veux juste être à côté de toi, contre toi, même si tu ne me touches pas. S’il te plaît !
Bien sûr ma cochonne ! Demain matin, tu pourras me sucer la bite et je vais te mettre un coup ! Salope ! Putain !
Merci ! »Je me suis réveillé le premier. Je suis resté un moment à admirer le corps de Cynthia. Pour une fois j’ai le temps de l’observer. J’ai très envie de prendre sa bite entre mes lèvres mais je sais qu’ensuite ma maîtresse se réveillera et je ne pourrai plus profiter de la vue.
Ses longs cheveux bruns s’étalent autour de son visage qui bien que démaquillé reste superbement féminin. Ses seins magnifiques se soulèvent au rythme de sa respiration tranquille. Sa peau noire semble briller sous la lueur naissante du jour, passant pas des teintes foncées, presque violettes, vers un brun cuivré qui devient plus clair avec le soleil qui monte. La taille est marquée et s’évase sur les hanches. Du haut jusque là son corps est celui d’une belle femme.
A partir de là, c'est un bel homme avec sa bite à moitié molle posée sur son bassin. Ramollie certes mais déjà d’une jolie forme. Ses petites couilles ont quasiment disparu entre les cuisses où on retrouve le charme d’une femme. Fuselées, galbées, les pieds aussi sont fins avec leurs ongles manucurés aux ongles rouges. Lorsqu’elle est debout et chaussée de talons hauts ce qui est quasiment toujours le cas, la silhouette de Cynthia est magnifique. Je me demande ce qu’elle peut me trouver pour régulièrement m’appeler. Il doit y avoir d’autres hommes ou femmes prêts tout comme moi à l’adorer et souvent disponibles.
Un bon quart d’heure passe et je ne me lasse pas de regarder son corps magnifique qui me trouble tant. Il fait bien clair dans la chambre et je bande déjà. Je respire son odeur enivrante et finalement n’y tient plus. J’embrasse délicatement sa verge sous le gland, là où elle est si sensible. Je passe ma langue et sens la « bête » se réveiller peu à peu. Je m’imprègne de son odeur musquée. La tige est bien droite et je prends tout le gland entre les lèvres. Doucement, ma langue fait le tour de la couronne, titille le méat. Je joue avec sa bite. Une goutte de precum perle et je m’empresse de laper.
La respiration de ma belle s’est accélérée. Sa main se pose sur ma tête. Ça y est, elle est réveillée ou à moitié consciente. Enfin elle caresse mon crâne et son bassin s’agite.
- « Salope ! Lance enfin ma « transsexuelle » préférée. Tu es pressée de te prendre un coup de queue ! Tu vas voir ! Allez ! A genoux putain ! »Même si je préfère la position du missionnaire, je ne refuse pas d’être pris en levrette, d’autant qu’en face de moi, un immense miroir me permet d’observer la scène. De me voir offert, les fesses hautes attendant que Cynthia consente enfin à m’enculer, j'ai honte mais je bande ! Je n'attend qu'une chose : recevoir sa belle queue dans mon cul !
Comme elle est belle dans mon dos. Dressée, elle me permet d’admirer sa silhouette avant de saisir mes hanches et de pointer sa queue sur ma rosette qui palpite d’impatience. Elle pose le gland sur mon anus et ne bouge plus.
Elle veut que je la supplie de me prendre. Que je l’implore ! Aussi je me fais « chienne » - « Viens ! S’il te plaît ! Baise-moi ! Prend-moi ! J’ai envie de ta queue ! Pète-moi la rondelle ! Vas-y ! Encule-moi !» Cynthia a aussi très envie de me prendre aussi pousse-t-elle enfin. Mon anus s’est refermé et elle doit forcer ma pastille. Heureusement, je suis excité et je mouille du cul ! D’un coup, son gland franchit la porte étroite ! J’ai mal ! Je crie ! Rien ne l’arrête. Ça aussi j’aime et c’est ce que je voulais ressentir ce matin. Une sorte de viol, mais consenti. Être « consommé » pour le seul bon plaisir de ma maîtresse.
Je suis servi ! Car maintenant Cynthia est bien excitée et ne me ménage pas. J’adore ! Je la vois dans la glace me marteler les fesses en cadence. J’aime la voir ainsi. Cette magnifique femme noire qui m’encule si délicieusement. Je plane complètement. Après l’épisode de la veille, ce moment d’appartenance à ma maîtresse est jubilatoire. Je prends un pied terrible et le regard fixé dans le miroir, je me délecte du spectacle de ma sodomie pour imprimer ce moment dans ma mémoire.
Cynthia me secoue comme un pantin, elle aussi regarde dans la glace et parfois nos regards se croisent. Elle accélère d’un coup et gicle dans mon cul. Je sens son sperme chaud tapisser mes muqueuses. Moi-même j’ai joui longuement en coulant sur les draps. Quand elle m’abandonne, je n’ai pas la force comme d’habitude de me retourner et d’avaler son chibre sortant de mon cul. Cynthia n’est pas mieux ! Elle aussi s’est donnée à fond et a besoin de récupérer.

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