Eric, Georges... et les autres FIN Vengeance - histoire érotique

Vengeance

Ce que je voulais, c’était la « venger » de son délateur, pour cela j’avais déjà allumé sa femme et je comptais la baiser bientôt, seul d’abord, avec mes amis ensuite.
Je connaissais Isabelle, sa femme, depuis longtemps, puisque nous nous voyions avec son mari justement. Jusque là, je n’avais jamais songé à la draguer. Un soir où nous étions ensemble, son mari justement faisait du gringue à une jeune fille. En voyant le regard couroucé de sa femme, je me suis approché d’elle.
Après quelques minutes de discussion banale, je lui fais remarquer en riant que son mari fait le joli cœur.
“Oh lui, quand il voit un jupon, surtout s’il est jeune, plus rien ne compte. En plus il n’a pas honte ici, au milieu de gens que nous connaissons, avec la fille d’un ami qui plus est.
Elle a l’air plus gênée qu’autre chose, mais ne sait pas comment s’en débarrasser. Mais toi, ça ne te dérange pas ?
Il y a bien longtemps que je ne me fais plus d’illusion sur son compte ! Il pense qu’avec de l’argent il peut tout acheter !
Il s’occupe un peu de toi tout de même ? Pardon, ça m'a échappé !
Ne t’excuse pas. C’est un mufle. Qu’il fasse ce qu’il veut, mais il pourrait se tenir en public.
D’autant que…D’autant que quoi ?
Pardonne-moi, mais… Je te trouve très belle…Je ne suis plus jeune.
Tout de même,..
Il m’a épousée quand j’avais dix huit ans. Trente ans plus tard, il lui faut de la chair fraîche !
Si j’ai bien compris, il t’a aussi épousée… pour ton argent et les relations de ta famille.
O… Oui. J’étais jeune, vierge et amoureuse…Ce n’est pas une raison pour se conduire ainsi, mais toi, tu n’as personne ?
A mon âge… Tu me trouves comment toi ? Je sais que tu as eu des compagnes et que… d’après ce qu’on dit… Tu dois en avoir encore...
Je te trouve très… belle !
Merci ! Mais tu pensais autre chose.
On n’a jamais parlé comme cela. Je ne sais pas et je n’ai pas envie de te choquer.
Sois franc ! J’ai quelques rondeurs et des rides…Ce qui fait ton charme.
Tu… avec moi ?
J’ai très envie de toi. Puisque tu veux le savoir, tu es bandante, mais je sais me tenir et je comprendrais que de ton côté…J’ai envie de toi !
Oh comme c’est gentil ! Ce soir, ce n’est peut-être pas le moment ?
S’il part avec cette fille, je suis à toi !
Juste pour te venger ?
Aussi, mais j’ai envie. Si ce n’est pas ce soir, ce sera un autre jour.
Dis-donc toi, quand tu te lâches !
Je te fais peur ?
Oh sûrement pas mais…”A ce moment-là, son mari justement propose de finir la soirée en boîte. Beaucoup déclinent mais la fille et un couple sont d’accord. Comme un malotru qu’il est, il lance à Isabelle :“Puisque tu ne viens pas, quelqu’un va te ramener !” J’interviens alors“Je passe devant chez vous pour rentrer, je la déposerai.
Voilà ! Tout est arrangé ! On y va les amis ?”Après leur départ, l’ambiance est un peu plombée, d’autant que les autres sont gênés de son attitude de macho vis à vis de sa femme. Isabelle dit alors.
“Ne soyez pas étonnés. Il est toujours comme cela. Je suis une potiche qu’il expose en public, mais en privé, c’est un goujat ! Maintenant qu’il n’est plus là, ne vous gênez pas pour dire ce que vous en pensez, rien ne me choquera, au contraire. En attendant, si on buvait un peu de champagne ? Cela aussi, il a oublié d’en offrir.”Sa sortie a détendu l’atmosphère. Quelques remarques acerbes venant surtout des femmes, sont émises, mais très vite nous parlons d’autre chose.
Une heure plus tard, nous quittons les amis qui nous recevaient et comme convenu je ramène Isabelle chez elle. Nous nous étions mêlés aux autres, mais ses regards me rappelaient sa promesse de finir la nuit avec moi.
Depuis la voiture, elle ouvre la télécommande du portail, pour que je rentre la voiture.
“Tu n’as pas peur que ton mari rentre ?
Au mieux, il va finir dans sa garçonnière en ville, au pire, il va rentrer, mais tu vas connaître notre secret. Il passe par l’arrière de la propriété et dort dans le pavillon que nous avions construit pour les invités et qui est en fait son bureau et son logement. Il y a plus de dix ans qu’il ne vient plus à la maison que pour les réceptions que nous donnons. Il n’a même jamais vu les aménagements que j’ai fait faire à l’étage.
Cela ne me regarde pas, mais.. pourquoi restez-vous ensemble ?
Parce que d’une part, il a des ambitions politiques et que la moitié au moins de sa fortune m’appartient. A l’usine, je suis majoritaire et il n’a que trente trois pour cent et nous possédons cette propriété à parts égales.
Bon, assez parlé ce cela. Je te laisse…Tu es fou ou quoi ? Je t’ai dis que j’avais envie de toi et c’est toujours le cas… à moins que toi…Bien sûr que j’ai envie de toi et pas pour me venger.
Il y a longtemps que je ne cherche plus à me venger. J’ai envie de toi. Point.
Alors ma belle, je vais te baiser, parce qu’il y a très longtemps que moi j’ai envie de toi et maintenant encore plus qu’avant !”Isabelle est une très belle femme. Grande, blonde, les yeux bleus, Une silhouette de femme en pleine maturité avec des formes comme j’aime. Je la pensais inaccessible et j’ai finalement de la chance ce soir que Henriette soit partie en vacances avec Henri et sa femme.
Un peu “coincée” au départ, Isabelle se révèle une bonne amante. Elle va me confier plus tard se gaver de films et d’histoires pornographiques. Je vais rester chez elle toute la nuit et même jusqu'au lendemain et la nuit suivante.
Dans l’après-midi, après que nous ayons fait l’amour au bord de la piscine intérieure, elle me confie :“Il y a bien quarante ans qu’on se connaît. C’est toi que j’aurais dû épouser !
Oh non !
Pourquoi ? Je ne te plais pas ? Tu m’a prouvé le contraire ! C’est vrai que quand j’étais jeune, je n’étais pas très sociable.
Ce n’est pas pour ça. Tu me plaisais bien à l’époque, aujourd’hui tu partages… enfin, ton mari te partage avec des jeunes filles, mais moi je te partagerais avec d’autres femmes et d’autres hommes !
Comment ça ?
Je suis un libertin depuis longtemps, j’ai des maîtresses et des amants. Je participe à des partouzes…Tu m’y emmèneras ?
Quoi ? Tu veux…Je veux profiter de ma vie. Je sais bien que je ne serai pas ta seule maîtresse, mais je sais qu’avec toi, je pourrai enfin profiter de la vie, d’autant que tu es discret mon salaud…Ça te dirais si j’appelais un copain pour qu’il vienne nous retrouver ?
Non ? Te ne veux déjà plus de moi ?
Au contraire ! Je veux que tu apprennes à profiter comme tu dis et autant battre le fer tant qu’il est chaud !
Mais quel salaud tu fais ! J’adore !
Ça te dis ?
Bien sûr ! Mais… Tu crois que je lui… plairais ?
J’en suis sûr !
Comment il est ?
Jeune !
Non !
Trente cinq.
Tu es fou ! Il ne voudra jamais d’une vieille comme moi !
Au contraire !”J’appelle aussitôt Eric qui arrive une heure après. Isabelle est intimidée devant ce beau jeune homme. Elle a pourtant passé un bon moment à se préparer dans sa salle de bain. Mon copain va très vite la mettre à l’aise. Pour son premier adultère - à ses dires - Isabelle va être gâtée et va être aussi surprise lorsqu'elle va nous voir nous sucer mutuellement.
La suite sera rapide, avec Eric nous l’avons intégrée à notre groupe après deux rencontres assez chaudes.
Je lui ai très vite révélé les frasques de son époux, sans lui parler de Cynthia au départ et de mes “activités” avec elle.
Avec son accord, nous avons monté un traquenard à son mari. Grâce à une « amie » de Cynthia que je connaissais, nous avons pu obtenir des photos de l’homme au cours d’une soirée d’orgie. Ensuite nous avons fait des photos avec Isabelle sa femme. Nous les avons travaillées pour qu’elles paraissent vraies, mais pour qu’un expert puisse déterminer un montage.
Nous avons fait parvenir ces photos à son mari. Celui-ci a voulu en profiter pour obtenir un divorce à son avantage. Lors de la confrontation finale au tribunal, Michelle, qui se trouve être l'avocate - et la maîtresse - d’Isabelle, a produit les photos du mari en compagnie de très jeunes filles peu farouches et totalement dénudées. Ces photos étaient certifiées authentiques par un expert auprès du tribunal qui a produit les fichiers originaux (fournis par nous).
Un autre expert, preuve à l’appui a démontré que les photos où figure Isabelle étaient en fait un montage, certes bien fait, mais montage tout de même. Il avait la photo originale faite avec une autre femme qu’Isabelle, sur laquelle il a montré les détails agrandis du « clonage ». Bien sûr, ces photos, nous les lui avions aussi communiquées !
Le mari indélicat a bien sûr perdu le procès. Isabelle a récupéré tous les biens et aujourd’hui, il se retrouve sur la paille, sans femme, sans maison et sans son cercle d’anciens amis qui ne veulent plus en entendre parler, de peur qu’il ne trahisse leurs activités douteuses !
L’affaire a fait les choux gras des journaux locaux, renseignés « par hasard » des déboires de cet homme influent jusque là. Le scandale de ses frasques adultères avec des jeunes filles pré-pubères mineures, doublé de la fausse accusation envers sa femme « montée » de toute pièce, ont ruiné sa réputation … et son compte en banque.
Quinze jours plus tard nous partions tous au Maroc chez Cynthia, pour une semaine idyllique faite de « sea sex and…sex ». Ma magnifique transsexuelle a amassé un joli pécule durant quelques années et l’a investi au Maghreb. Cela lui permet de vivre tranquillement et de recevoir « pour le plaisir » dans son riad, des amis, ou des visiteurs… plus généreux, en toute discrétion !