Escapade sénégalaise
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Escapade sénégalaise
Escapade sénégalaise
« Mesdames, messieurs, nous allons entamer notre descente sur Dakar. La température est de 29 degrés, nous vous demandons de regagner vos places… » L’Airbus se mit à perdre de l’altitude. Clotilde et Caroline, assises l’une à côté de l’autre, redressèrent le dossier de leur siège. Caroline avait prévu ce voyage avec sa soeur, mais un empêchement professionnel de cette dernière avait contraint Caroline à chercher quelqu’un pour la remplacer. Caroline était secrétaire au Conseil Départemental, et une connaissance commune l’avait orientée vers l’infirmière qui avait accepté avec enthousiasme. Les deux femmes avaient la quarantaine, cheveux châtain clair mi-longs, une silhouette agréable et avaient sympathisé dès leur première rencontre. Caroline venait de divorcer et avait décidé de faire ce voyage que son désormais ex-mari lui avait toujours refusé. Clotilde vivait seule ou presque, son mari travaillait à plusieurs centaines de kilomètres et rentrait de moins en moins souvent.
Une demi-heure plus tard, l’appareil était posé sur le tarmac et s’immobilisait sur le parking. Le temps que tous les passagers descendent, il était une heure du matin quand les deux amies se retrouvèrent dans la file de la douane. Un fonctionnaire nonchalant tamponna leur passeport et leur rendit. Elles récupérèrent leurs valises et sortirent de l’aérogare surchauffé. Un jeune noir brandissant une pancarte indiquant le nom de l’agence de voyage et le nom du village leur indiqua le car sur leur gauche. Le chauffeur leur prit leurs valises qu’il plaça dans la soute. La première marche était cassée, et pour aider à atteindre la deuxième, il exerçait une poussée sur le bas du dos des passagers. Caroline voyageait en short et le noir posa une main sur chaque fesse pour l’aider. Clotilde avait remarqué le manège. Elle portait une courte jupe en jean. Quand arriva son tour, elle sentit une main sur sa fesse droite et une autre sur le haut de ses cuisses qui eut pour effet de faire légèrement remonter sa jupe. Était-ce la chaleur ou bien l’ambiance africaine, mais ce contact déclencha des frissons agréables dans son bas-ventre. Elle prit place à côté de son amie. « Je le retiens ce chauffeur, il m’a mis la main aux fesses » maugréa Caroline. « Bienvenue en Afrique. « lui répondit Clotilde.
Après une heure de route elles atteignirent le village vacances. Malgré l’heure tardive, un cocktail de bienvenue leur fut servi. Elles récupérèrent les clés de leur bungalow et un jeune noir s’empara de leurs deux valises et les guida jusqu’à leur logement. Il posa les valises dans l’entrée, et leur fit visiter le bungalow. Visiblement, il prenait son temps, prenant plaisir à faire rouler ses muscles devant les deux françaises, et en les regardant tour à tour sans se cacher. « Moi c’est Amadou. Service 24/24. N’hésitez pas je fais tout ». « Et bien, c’est de la drague bien directe » dit Caroline lorsque le noir fut parti. » Et en plus il ne cessait pas de te reluquer ». « Je te rassure, il te « reluquait » aussi. En tout cas, j’en ferai bien mon quatre heures. Mais rassure-toi, je suis partageuse ! » répondit Clotilde. « Pas mon genre, noir et jeune, pas mon trip » ……Elles dormirent d’un sommeil réparateur et ce fut la lumière et le bruit du ressac qui leur fit ouvrir les yeux. Après une bonne douche, elles s’habillèrent pour aller prendre leur petit-déjeuner. Caroline avait mis un short et un débardeur, Clotilde avait opté pour la même courte jupe de la veille et un débardeur sans manche sous lequel on distinguait nettement la pointe de ses seins visiblement nus. Le jeune noir de la veille les accueillit et s’empressa de les conduire à une table ombragée. Ses yeux allaient de l’une à l’autre, s’attardant sur les cuisses des deux jeunes femmes. La fraicheur des fruits accompagna un thé tandis qu’elles avalèrent quelques crêpes locales. Amadou semblait aux petits soins pour elles, leur apportant du jus de fruit ou leur proposant du thé. Lorsqu’elles se levèrent de table, il les suivit du regard. « Dis donc, le noir, il est un peu collant » déclara Caroline. « Bah, il marque son territoire » « Comment ça ? » « A ton avis ? Il s’est mis dans la tête de s’occuper de nous. On est deux filles, sans mec avec nous, donc on est disponible. La seule inconnue, c’est quel jour il va nous sauter. « « Mais tu es cinglée ! Moi ça ne m’intéresse absolument pas. Et on va l’éconduire gentiment mais fermement ».
Dix minutes plus tard, Clotilde regardait discrètement par la fenêtre du bungalow. Elle vit Amadou se diriger nonchalamment vers leur logement. Il portait des serviettes de plage et deux bouteilles d’eau. Il avait retiré sa chemisette. Deux coups frappés à la porte et le jeune noir entra dans le bungalow sans attendre la réponse. « Patronnes, je vous ai apporté des grandes serviettes propres pour la plage ». « Merci Amadou, c’est très gentil à toi. Tiens je te fais un bisou » rétorqua Clotilde. Elle l’embrassa sur la joue. Amadou en profita pour l’attirer à lui, se serrant afin de sentir ses seins contre son torse. Clotilde de son côté projeta son pubis contre celui du noir et se frotta à lui. « On va aller à la plage. Retrouve-moi ici à 10 heures 30 » lui chuchota-t-elle à l’oreille. Caroline n’avait pas quitté la salle de bain et n’avait pas été témoin de la venue du jeune noir.
Les deux femmes se rendirent à la plage toute proche après s’être mises en maillot de bain. Après un bon bain, elles s’allongèrent à l’ombre. Clotilde regarda discrètement sa montre. Elle se leva. « Je reviens, on se retrouve ici ». Elle regagna le bungalow, se débarrassa de son maillot qui était encore un peu humide et remis sa jupe et son débardeur. A onze heures moins le quart, Amadou gratta à la porte. « Pas pu venir plus tôt, le travail patronne ». Il était torse nu, son thorax était glabre, dessinant des pectoraux . Sous son large short, un renflement prometteur attira l’œil de la jeune femme. Ils se faisaient face. Amadou contourna Clotilde, passant derrière elle. Elle sentit qu’il posait ses mains sur ses épaules et l’embrassait dans le cou. Ses mains glissèrent sur ses seins, les empaumant, le pouce cherchant les têtons dressés. De son côté, la jeune femme n’était pas restée inactive, elle avait envoyé ses mains en arrière, se saisissant des bords du short qu’elle abaissait en fléchissant ses genoux. Un coup d’œil en arrière la renseigna, le short gisait à terre. Comme elle s’en doutait, Amadou n’avait pas mis de slip, et son sexe se décollait de la cuisse. L’africain avait à présent passé ses mains sous le débardeur et malaxait la poitrine. Clotilde sentait le cylindre de chair se redresser contre ses fesses. Elle retroussa sa jupe et approcha ses fesses nues du sexe pour se frotter à lui. Elle se détacha du noir, se retourna, s’accroupit pour prendre le sexe long et épais dans sa bouche. Tous ses amants l’avaient félicitée pour ses talents de suceuse. Non seulement elle le faisait très bien, mais en plus elle aimait cela. Elle poussa Amadou sur le canapé sur lequel il s’allongea sur le dos. Elle lui tendit un préservatif. Puis le chevaucha et s’empala sur la queue avec un soupir de plaisir. Elle menait le train, montant et descendant sur le pieu qui s’enfonçait au plus profond de son vagin. Ce fut le jeune noir qui capitula le premier. Elle envoya deux de ses doigts pour titiller son clitoris et jouir, toujours empalée sur le sexe. Elle se redressa et remis de l’ordre dans sa tenue. Ils se séparèrent et elle retourna à la plage. « Tiens, tu t’es changée. Tu as été faire quoi ? si ce n’est pas indiscret » « Je suis retourné au bungalow. Je suis allée retrouvée Amadou et on a baisé. C’était pas mal, mais sans plus. Je vais nous trouver deux mecs plus performants. »« Mais je n’y crois pas ! J’hallucine ! ça ne fait pas douze heures qu’on est là, et tu… tu as déjà… » « Ecoute Caro, on est en vacances. On est à des milliers de kilomètres de la France, on ne connait personne ici, en plus c’est l’Afrique et son climat qui fait bouillir les sens. Les africains, ils ont un corps taillé pour l’amour. On n’a que l’embarras du choix. Dis donc, depuis quand tu n’as plus fait l’amour ? combien de mois si ce n’est pas indiscret ? Moi je veux profiter de cette semaine, du soleil, de la mer, de la chaleur et des blacks. Cet après-midi, farniente et ce soir, j’ai vu qu’il y a un petit spectacle sur la plage, on pourrait y aller. »Après un repas léger, l’après-midi fut consacrée aux joies de la baignade et au farniente sur la plage à l’ombre de parasols. Les deux femmes allèrent dîner. Amadou semblait aux petits soins pour un couple, mais ne put s’empêcher de leur lancer un clin d’œil.
Le spectacle était prévu pour vingt-deux heures, sur la plage, éclairée pour la circonstance par des braseros. Les vacanciers étaient relativement nombreux, le plus souvent en couples. Une petite dizaine de sénégalais, hommes et femmes présentèrent un spectacle animé. Amadou vint s’assoir entre les deux françaises. « ça va patronnes ? « « Amadou, reste tranquille, il y a du monde autour de nous » Le jeune sénégalais posa sa main sur la cuisse des deux amies. Caroline sursauta et chassa la main de l’intrus. Clotilde se laissait faire. La main était légère et ne bougeait pas. Amadou reposa sa main sur la cuisse de Caroline qui de nouveau la chassa. Amadou semblait contrarié. Clotilde tourna la tête vers lui et lui sourit. « moi je veux bien » chuchota-t-elle. Amadou, rassuré, remonta la main sur la cuisse en une caresse douce, il retroussa doucement la jupe saharienne, continuant son chemin vers l’entrejambe. Ses doigts atteignirent la vulve qu’aucun tissu ne protégeait. Sentir cette belle femelle à sa portée le faisait bander. Profitant de la semi-obscurité, Clotilde passa sa main sur le devant du short et y sentit la dureté d’un sexe érigé. Amadou se souleva discrètement et fit glisser le short, libérant son spectre dressé et dur que l’infirmière entoura de ses doigts. Amadou poussa un soupir qui attira l’attention de Caroline. Tournant la tête vers le couple, elle découvrit son amie, jupe retroussée, jambes écartées, caressée par la main noire, dont un doigt disparaissait dans la fente, et le jeune noir, sexe à l’air, masturbé par la main blanche. A la vue de ce spectacle, caroline sentit son sexe s’humidifier. Elle croisa le regard fiévreux du jeune noir. Prenant ce regard pour une invitation, il envoya une nouvelle fois sa main sur la cuisse de Caroline. La jeune femme ne dit rien. Les doigts remontèrent sous la jupe ; jusqu’à la dentelle du tanga. Caroline, troublée, et inquiète de la tournure des événements, bloqua le poignet du noir. Les doigts continuèrent de frotter le sexe féminin à travers le vêtement. Caroline haletait doucement, elle sentait le plaisir monter et sa vulve s’humidifier. « Venez, on va plus loin » proposa le noir. Ils se levèrent et, restant sur la plage, s’éloignèrent. Amadou marchait entre les deux femmes, les tenant par la taille, ses mains s’égarant régulièrement vers les rondeurs fessières. Ils marchèrent pendant une dizaine de minutes. Ils s’arrêtèrent à proximité de palmiers. Clotilde attrapa le short de l’africain et le tira vers le bas. Le sexe se dressait, dégageant un gland proéminent. Elle fit pivoter Amadou vers Caroline. A ce moment elle entendit un bruit. Une ombre se faufila jusqu’au groupe. « N’ayez pas peur, c’est Ayité mon cousin » leur dit Amadou. Ayté était plus grand qu’Amadou. Plus grand et plus musclé, plus massif. Clotilde tourna la tête vers Amadou. Celui-ci embrassait Caroline à pleine bouche, envoyant son ventre dénudé vers la française. Deux mains gigantesques se posèrent sur les épaules de Clotilde et l’attirèrent vers Ayité. Elle posa ses lèvres sur le torse nu du noir, s’enivrant de sa douceur et de l’odeur poivrée. Sa bouche vint se poser sur le mamelon qu’elle agaça de la langue. Elle sentit le noir tressaillir. Les deux mains quittèrent les épaules, descendirent le long du buste, et, empoignant le tissu, le remonta jusqu’à faire passer la saharienne au-dessus de la tête de la jeune femme. Elle se colla à lui, frottant ses seins aux pointes dardées contre le torse d’Ayté. Elle sentit un tissu rêche contre sa vulve. Ses deux mains entreprirent de déboutonner le jean et de le tirer vers le bas. Elle s’accroupit pour l’en débarrasser. Comme beaucoup d’africains, Ayité n’avait pas de slip. Sa verge, longue et épaisse reposait sur deux bourses gonflées. Clotilde la prit dans ses mains, caressant la hampe et pressant doucement les boules. De son ongle, elle griffa doucement le gland. Les mouvements de va et vient eurent tôt fait de produire l’effet escompté. La verge se déplia pour se propulser à l’horizontale. En se relevant, la jeune femme regarda dans la direction de l’autre couple. Elle distingua Caroline à la lueur de la lune. Caroline était nue et prêtait son corps aux caresses d’Amadou dont la main droite malaxait les seins tandis que la gauche parcourait le sexe. Clotilde se redressa et se colla contre son partenaire. Elle sentait la verge contre son ventre. Elle envoya ses mains sur les fesses d’Ayité, les caressant et plaquant le corps de l’africain contre le sien. De son côté il parcourait le dos et les fesses de la française. Leurs bouches se rejoignirent dans un baiser fiévreux. Le désir suintait à présent. Une envie animale de jouir les taraudait. Un cri ramena Clotilde à la réalité. Elle découvrit Caroline allongée sur le sable, subissant les assauts fougueux d’Amadou. Il variait le rythme et semblait parfois se retirer, marquer une pause pour s’enfoncer de plus belle.
Ayité avait à présent glissé une main entre leurs deux corps et introduit un puis deux doigts dans le sexe de Clotilde, entamant un va et vient dans le sexe détrempé. Son autre main écarta les fesses de la jeune femme et pénétra lentement le pertuis secret. Clotilde branlait le pénis noir de plus en plus vite. Ayité se désunit, exerça une pression sur les épaules de la jeune femme l’amenant à se mettre à quatre pattes. Il se plaça derrière elle et la prit en levrette, l’investissant d’une seule et longue poussée qui arracha un feulement de plaisir. Il se mit alors à la besogner, faisant claquer son ventre contre les fesses. La tenant fermement aux hanches, il s’enfonçait au plus loin qu’il pouvait. La joute sembla durer une éternité. A côté d’eux, Caroline jouit dans un grand cri, se tortillant sous son amant d’un soir. Elle retomba, inerte, cuvant son plaisir. Cela faisait des mois qu’elle n’avait pas eu de rapport. Amadou se dirigea à genou vers la tête de Clotilde qui ballotait sous les assauts du grand noir. Il présenta sa verge tendue à la bouche qui s’ouvrit sous la poussée du sexe. Il se passa de longues minutes avant qu’une vague de fond déferla, faisant hurler Clotilde qui balbutiait des mots incompréhensibles. Elle creusa les reins, sentant la verge d’Ayité de contracter. Il se retira d’elle, arracha son préservatif, et éjacula de longs jets crémeux sur le bas du dos de la jeune femme. Le sexe cracha ainsi une dizaine de giclées blanchâtres. Amadou jouit à son tour, arrosant le visage et les cheveux de Clotilde.
La semaine passa rapidement. La journée, les deux femmes profitaient du soleil, de la plage et de l’océan. A table, Amadou était aux petits soins pour elles. Il ne se passa pas un soir sans que leurs corps ne soient livrés à des ébats passionnés. Elles se livrèrent à des figures géométriques variables, selon qu’Amadou ou Ayité leur rendirent visite seuls ou tous les deux. Le dernier jour, ils amenèrent avec eux Ousmane, un lointain cousin. Caroline découvrit la double pénétration au cours d’un coït interminable qui la laissa pantelante. Clotilde fut sodomisée non sans mal par Ayité dont la verge monumentale lui procura un orgasme grandiose. Ce soir-là, elles furent baisées par les trois hommes à plusieurs reprises et ce n’est qu’au matin qu’elles trouvèrent le sommeil pour une courte nuit.
Elles dormirent dans l’avion au retour et se réveillèrent quelques instants avant l’atterrissage à Paris. Elles eurent quelques courbatures pendant quelques jours. La vie reprit sur cette parenthèse africaine qui, sexuellement, avait révélé la prude Caroline.
« Mesdames, messieurs, nous allons entamer notre descente sur Dakar. La température est de 29 degrés, nous vous demandons de regagner vos places… » L’Airbus se mit à perdre de l’altitude. Clotilde et Caroline, assises l’une à côté de l’autre, redressèrent le dossier de leur siège. Caroline avait prévu ce voyage avec sa soeur, mais un empêchement professionnel de cette dernière avait contraint Caroline à chercher quelqu’un pour la remplacer. Caroline était secrétaire au Conseil Départemental, et une connaissance commune l’avait orientée vers l’infirmière qui avait accepté avec enthousiasme. Les deux femmes avaient la quarantaine, cheveux châtain clair mi-longs, une silhouette agréable et avaient sympathisé dès leur première rencontre. Caroline venait de divorcer et avait décidé de faire ce voyage que son désormais ex-mari lui avait toujours refusé. Clotilde vivait seule ou presque, son mari travaillait à plusieurs centaines de kilomètres et rentrait de moins en moins souvent.
Une demi-heure plus tard, l’appareil était posé sur le tarmac et s’immobilisait sur le parking. Le temps que tous les passagers descendent, il était une heure du matin quand les deux amies se retrouvèrent dans la file de la douane. Un fonctionnaire nonchalant tamponna leur passeport et leur rendit. Elles récupérèrent leurs valises et sortirent de l’aérogare surchauffé. Un jeune noir brandissant une pancarte indiquant le nom de l’agence de voyage et le nom du village leur indiqua le car sur leur gauche. Le chauffeur leur prit leurs valises qu’il plaça dans la soute. La première marche était cassée, et pour aider à atteindre la deuxième, il exerçait une poussée sur le bas du dos des passagers. Caroline voyageait en short et le noir posa une main sur chaque fesse pour l’aider. Clotilde avait remarqué le manège. Elle portait une courte jupe en jean. Quand arriva son tour, elle sentit une main sur sa fesse droite et une autre sur le haut de ses cuisses qui eut pour effet de faire légèrement remonter sa jupe. Était-ce la chaleur ou bien l’ambiance africaine, mais ce contact déclencha des frissons agréables dans son bas-ventre. Elle prit place à côté de son amie. « Je le retiens ce chauffeur, il m’a mis la main aux fesses » maugréa Caroline. « Bienvenue en Afrique. « lui répondit Clotilde.
Après une heure de route elles atteignirent le village vacances. Malgré l’heure tardive, un cocktail de bienvenue leur fut servi. Elles récupérèrent les clés de leur bungalow et un jeune noir s’empara de leurs deux valises et les guida jusqu’à leur logement. Il posa les valises dans l’entrée, et leur fit visiter le bungalow. Visiblement, il prenait son temps, prenant plaisir à faire rouler ses muscles devant les deux françaises, et en les regardant tour à tour sans se cacher. « Moi c’est Amadou. Service 24/24. N’hésitez pas je fais tout ». « Et bien, c’est de la drague bien directe » dit Caroline lorsque le noir fut parti. » Et en plus il ne cessait pas de te reluquer ». « Je te rassure, il te « reluquait » aussi. En tout cas, j’en ferai bien mon quatre heures. Mais rassure-toi, je suis partageuse ! » répondit Clotilde. « Pas mon genre, noir et jeune, pas mon trip » ……Elles dormirent d’un sommeil réparateur et ce fut la lumière et le bruit du ressac qui leur fit ouvrir les yeux. Après une bonne douche, elles s’habillèrent pour aller prendre leur petit-déjeuner. Caroline avait mis un short et un débardeur, Clotilde avait opté pour la même courte jupe de la veille et un débardeur sans manche sous lequel on distinguait nettement la pointe de ses seins visiblement nus. Le jeune noir de la veille les accueillit et s’empressa de les conduire à une table ombragée. Ses yeux allaient de l’une à l’autre, s’attardant sur les cuisses des deux jeunes femmes. La fraicheur des fruits accompagna un thé tandis qu’elles avalèrent quelques crêpes locales. Amadou semblait aux petits soins pour elles, leur apportant du jus de fruit ou leur proposant du thé. Lorsqu’elles se levèrent de table, il les suivit du regard. « Dis donc, le noir, il est un peu collant » déclara Caroline. « Bah, il marque son territoire » « Comment ça ? » « A ton avis ? Il s’est mis dans la tête de s’occuper de nous. On est deux filles, sans mec avec nous, donc on est disponible. La seule inconnue, c’est quel jour il va nous sauter. « « Mais tu es cinglée ! Moi ça ne m’intéresse absolument pas. Et on va l’éconduire gentiment mais fermement ».
Dix minutes plus tard, Clotilde regardait discrètement par la fenêtre du bungalow. Elle vit Amadou se diriger nonchalamment vers leur logement. Il portait des serviettes de plage et deux bouteilles d’eau. Il avait retiré sa chemisette. Deux coups frappés à la porte et le jeune noir entra dans le bungalow sans attendre la réponse. « Patronnes, je vous ai apporté des grandes serviettes propres pour la plage ». « Merci Amadou, c’est très gentil à toi. Tiens je te fais un bisou » rétorqua Clotilde. Elle l’embrassa sur la joue. Amadou en profita pour l’attirer à lui, se serrant afin de sentir ses seins contre son torse. Clotilde de son côté projeta son pubis contre celui du noir et se frotta à lui. « On va aller à la plage. Retrouve-moi ici à 10 heures 30 » lui chuchota-t-elle à l’oreille. Caroline n’avait pas quitté la salle de bain et n’avait pas été témoin de la venue du jeune noir.
Les deux femmes se rendirent à la plage toute proche après s’être mises en maillot de bain. Après un bon bain, elles s’allongèrent à l’ombre. Clotilde regarda discrètement sa montre. Elle se leva. « Je reviens, on se retrouve ici ». Elle regagna le bungalow, se débarrassa de son maillot qui était encore un peu humide et remis sa jupe et son débardeur. A onze heures moins le quart, Amadou gratta à la porte. « Pas pu venir plus tôt, le travail patronne ». Il était torse nu, son thorax était glabre, dessinant des pectoraux . Sous son large short, un renflement prometteur attira l’œil de la jeune femme. Ils se faisaient face. Amadou contourna Clotilde, passant derrière elle. Elle sentit qu’il posait ses mains sur ses épaules et l’embrassait dans le cou. Ses mains glissèrent sur ses seins, les empaumant, le pouce cherchant les têtons dressés. De son côté, la jeune femme n’était pas restée inactive, elle avait envoyé ses mains en arrière, se saisissant des bords du short qu’elle abaissait en fléchissant ses genoux. Un coup d’œil en arrière la renseigna, le short gisait à terre. Comme elle s’en doutait, Amadou n’avait pas mis de slip, et son sexe se décollait de la cuisse. L’africain avait à présent passé ses mains sous le débardeur et malaxait la poitrine. Clotilde sentait le cylindre de chair se redresser contre ses fesses. Elle retroussa sa jupe et approcha ses fesses nues du sexe pour se frotter à lui. Elle se détacha du noir, se retourna, s’accroupit pour prendre le sexe long et épais dans sa bouche. Tous ses amants l’avaient félicitée pour ses talents de suceuse. Non seulement elle le faisait très bien, mais en plus elle aimait cela. Elle poussa Amadou sur le canapé sur lequel il s’allongea sur le dos. Elle lui tendit un préservatif. Puis le chevaucha et s’empala sur la queue avec un soupir de plaisir. Elle menait le train, montant et descendant sur le pieu qui s’enfonçait au plus profond de son vagin. Ce fut le jeune noir qui capitula le premier. Elle envoya deux de ses doigts pour titiller son clitoris et jouir, toujours empalée sur le sexe. Elle se redressa et remis de l’ordre dans sa tenue. Ils se séparèrent et elle retourna à la plage. « Tiens, tu t’es changée. Tu as été faire quoi ? si ce n’est pas indiscret » « Je suis retourné au bungalow. Je suis allée retrouvée Amadou et on a baisé. C’était pas mal, mais sans plus. Je vais nous trouver deux mecs plus performants. »« Mais je n’y crois pas ! J’hallucine ! ça ne fait pas douze heures qu’on est là, et tu… tu as déjà… » « Ecoute Caro, on est en vacances. On est à des milliers de kilomètres de la France, on ne connait personne ici, en plus c’est l’Afrique et son climat qui fait bouillir les sens. Les africains, ils ont un corps taillé pour l’amour. On n’a que l’embarras du choix. Dis donc, depuis quand tu n’as plus fait l’amour ? combien de mois si ce n’est pas indiscret ? Moi je veux profiter de cette semaine, du soleil, de la mer, de la chaleur et des blacks. Cet après-midi, farniente et ce soir, j’ai vu qu’il y a un petit spectacle sur la plage, on pourrait y aller. »Après un repas léger, l’après-midi fut consacrée aux joies de la baignade et au farniente sur la plage à l’ombre de parasols. Les deux femmes allèrent dîner. Amadou semblait aux petits soins pour un couple, mais ne put s’empêcher de leur lancer un clin d’œil.
Le spectacle était prévu pour vingt-deux heures, sur la plage, éclairée pour la circonstance par des braseros. Les vacanciers étaient relativement nombreux, le plus souvent en couples. Une petite dizaine de sénégalais, hommes et femmes présentèrent un spectacle animé. Amadou vint s’assoir entre les deux françaises. « ça va patronnes ? « « Amadou, reste tranquille, il y a du monde autour de nous » Le jeune sénégalais posa sa main sur la cuisse des deux amies. Caroline sursauta et chassa la main de l’intrus. Clotilde se laissait faire. La main était légère et ne bougeait pas. Amadou reposa sa main sur la cuisse de Caroline qui de nouveau la chassa. Amadou semblait contrarié. Clotilde tourna la tête vers lui et lui sourit. « moi je veux bien » chuchota-t-elle. Amadou, rassuré, remonta la main sur la cuisse en une caresse douce, il retroussa doucement la jupe saharienne, continuant son chemin vers l’entrejambe. Ses doigts atteignirent la vulve qu’aucun tissu ne protégeait. Sentir cette belle femelle à sa portée le faisait bander. Profitant de la semi-obscurité, Clotilde passa sa main sur le devant du short et y sentit la dureté d’un sexe érigé. Amadou se souleva discrètement et fit glisser le short, libérant son spectre dressé et dur que l’infirmière entoura de ses doigts. Amadou poussa un soupir qui attira l’attention de Caroline. Tournant la tête vers le couple, elle découvrit son amie, jupe retroussée, jambes écartées, caressée par la main noire, dont un doigt disparaissait dans la fente, et le jeune noir, sexe à l’air, masturbé par la main blanche. A la vue de ce spectacle, caroline sentit son sexe s’humidifier. Elle croisa le regard fiévreux du jeune noir. Prenant ce regard pour une invitation, il envoya une nouvelle fois sa main sur la cuisse de Caroline. La jeune femme ne dit rien. Les doigts remontèrent sous la jupe ; jusqu’à la dentelle du tanga. Caroline, troublée, et inquiète de la tournure des événements, bloqua le poignet du noir. Les doigts continuèrent de frotter le sexe féminin à travers le vêtement. Caroline haletait doucement, elle sentait le plaisir monter et sa vulve s’humidifier. « Venez, on va plus loin » proposa le noir. Ils se levèrent et, restant sur la plage, s’éloignèrent. Amadou marchait entre les deux femmes, les tenant par la taille, ses mains s’égarant régulièrement vers les rondeurs fessières. Ils marchèrent pendant une dizaine de minutes. Ils s’arrêtèrent à proximité de palmiers. Clotilde attrapa le short de l’africain et le tira vers le bas. Le sexe se dressait, dégageant un gland proéminent. Elle fit pivoter Amadou vers Caroline. A ce moment elle entendit un bruit. Une ombre se faufila jusqu’au groupe. « N’ayez pas peur, c’est Ayité mon cousin » leur dit Amadou. Ayté était plus grand qu’Amadou. Plus grand et plus musclé, plus massif. Clotilde tourna la tête vers Amadou. Celui-ci embrassait Caroline à pleine bouche, envoyant son ventre dénudé vers la française. Deux mains gigantesques se posèrent sur les épaules de Clotilde et l’attirèrent vers Ayité. Elle posa ses lèvres sur le torse nu du noir, s’enivrant de sa douceur et de l’odeur poivrée. Sa bouche vint se poser sur le mamelon qu’elle agaça de la langue. Elle sentit le noir tressaillir. Les deux mains quittèrent les épaules, descendirent le long du buste, et, empoignant le tissu, le remonta jusqu’à faire passer la saharienne au-dessus de la tête de la jeune femme. Elle se colla à lui, frottant ses seins aux pointes dardées contre le torse d’Ayté. Elle sentit un tissu rêche contre sa vulve. Ses deux mains entreprirent de déboutonner le jean et de le tirer vers le bas. Elle s’accroupit pour l’en débarrasser. Comme beaucoup d’africains, Ayité n’avait pas de slip. Sa verge, longue et épaisse reposait sur deux bourses gonflées. Clotilde la prit dans ses mains, caressant la hampe et pressant doucement les boules. De son ongle, elle griffa doucement le gland. Les mouvements de va et vient eurent tôt fait de produire l’effet escompté. La verge se déplia pour se propulser à l’horizontale. En se relevant, la jeune femme regarda dans la direction de l’autre couple. Elle distingua Caroline à la lueur de la lune. Caroline était nue et prêtait son corps aux caresses d’Amadou dont la main droite malaxait les seins tandis que la gauche parcourait le sexe. Clotilde se redressa et se colla contre son partenaire. Elle sentait la verge contre son ventre. Elle envoya ses mains sur les fesses d’Ayité, les caressant et plaquant le corps de l’africain contre le sien. De son côté il parcourait le dos et les fesses de la française. Leurs bouches se rejoignirent dans un baiser fiévreux. Le désir suintait à présent. Une envie animale de jouir les taraudait. Un cri ramena Clotilde à la réalité. Elle découvrit Caroline allongée sur le sable, subissant les assauts fougueux d’Amadou. Il variait le rythme et semblait parfois se retirer, marquer une pause pour s’enfoncer de plus belle.
Ayité avait à présent glissé une main entre leurs deux corps et introduit un puis deux doigts dans le sexe de Clotilde, entamant un va et vient dans le sexe détrempé. Son autre main écarta les fesses de la jeune femme et pénétra lentement le pertuis secret. Clotilde branlait le pénis noir de plus en plus vite. Ayité se désunit, exerça une pression sur les épaules de la jeune femme l’amenant à se mettre à quatre pattes. Il se plaça derrière elle et la prit en levrette, l’investissant d’une seule et longue poussée qui arracha un feulement de plaisir. Il se mit alors à la besogner, faisant claquer son ventre contre les fesses. La tenant fermement aux hanches, il s’enfonçait au plus loin qu’il pouvait. La joute sembla durer une éternité. A côté d’eux, Caroline jouit dans un grand cri, se tortillant sous son amant d’un soir. Elle retomba, inerte, cuvant son plaisir. Cela faisait des mois qu’elle n’avait pas eu de rapport. Amadou se dirigea à genou vers la tête de Clotilde qui ballotait sous les assauts du grand noir. Il présenta sa verge tendue à la bouche qui s’ouvrit sous la poussée du sexe. Il se passa de longues minutes avant qu’une vague de fond déferla, faisant hurler Clotilde qui balbutiait des mots incompréhensibles. Elle creusa les reins, sentant la verge d’Ayité de contracter. Il se retira d’elle, arracha son préservatif, et éjacula de longs jets crémeux sur le bas du dos de la jeune femme. Le sexe cracha ainsi une dizaine de giclées blanchâtres. Amadou jouit à son tour, arrosant le visage et les cheveux de Clotilde.
La semaine passa rapidement. La journée, les deux femmes profitaient du soleil, de la plage et de l’océan. A table, Amadou était aux petits soins pour elles. Il ne se passa pas un soir sans que leurs corps ne soient livrés à des ébats passionnés. Elles se livrèrent à des figures géométriques variables, selon qu’Amadou ou Ayité leur rendirent visite seuls ou tous les deux. Le dernier jour, ils amenèrent avec eux Ousmane, un lointain cousin. Caroline découvrit la double pénétration au cours d’un coït interminable qui la laissa pantelante. Clotilde fut sodomisée non sans mal par Ayité dont la verge monumentale lui procura un orgasme grandiose. Ce soir-là, elles furent baisées par les trois hommes à plusieurs reprises et ce n’est qu’au matin qu’elles trouvèrent le sommeil pour une courte nuit.
Elles dormirent dans l’avion au retour et se réveillèrent quelques instants avant l’atterrissage à Paris. Elles eurent quelques courbatures pendant quelques jours. La vie reprit sur cette parenthèse africaine qui, sexuellement, avait révélé la prude Caroline.
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