Esclave à temps partiel (2)
Récit érotique écrit par Jademik [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Esclave à temps partiel (2)
Constatant qu’elle n’est plus vierge, j’introduis un doigt puis deux dans son vagin. Il est d’une douceur remarquable. Je fais comme avec un sexe d’homme et cela la fait gémir encore plus fort tout en accompagnant le mouvement avec sa croupe. Ses sécrétions intimes coulent bientôt le long de ma main en un mince filet blanchâtre. Soudain, il me semble entendre comme un bruit de zip venant de derrière :
- Philippe ! What are you doing ? lance Lydia.
- Tu le vois bien, Sugar, je vais prendre mademoiselle par derrière ! Si bien sûr elle n’y voit pas d’inconvénients… - Monsieur, au contraire, ce sera avec grand plaisir ! lui réponds-je, tandis que je continue à trifouiller l’intimité de la petite.
- Bien ! Décidément vous êtes parfaite ! Et votre cul est absolument divin ! Je vais essayer de faire de mon mieux pour l’honorer.
Je sens un morceau de chair dure et chaude me caresser la raie des fesses puis, plus délicieusement, l’entrejambe. Je suis maintenant toute mouillée et me met à onduler du bassin. L’homme écarte le petit bout de tissu de mon string, cherche l’entrée de mon vagin et me pénètre d’un coup. Son sexe semble très épais et me brûle un peu au début. Je reviens à mon cunnilingus sur Karine, laquelle est sur le point de jouir. J’accélère mon mouvement de langue sur son petit bouton et presse de plus en plus fort, particulièrement à chaque coup de rein que son père m’envoie dans le derrière.
- Please don’t cum ! Keep your hot cream for me, lance Lydia à Philippe !
Karine jouit en criant assez fort. Elle m’étouffe bientôt entre ses cuisses. Je m’applique à bien laper sa jouissance. Le goût n’est pas désagréable, il me rappelle ma période Lesbos, cependant je préfère quand même celui du jus d’homme. Question d’habitude, sans doute ! Je vais maintenant m’agenouiller entre les cuisses de Lydia. Philippe s’est retiré et m’a reprise tout de suite en levrette. Le visage passablement souillé, je recommence mon travail de chaton. Lydia a déjà retiré sa petite culotte. Elle s’est fait poser deux petits anneaux sur les grandes lèvres. Je vais devoir faire attention pendant mes mouvements de bouche et de langue pour ne pas trop les tirer. Mais elle écarte les cuisses au maximum et les relève bien haut, ce qui me facilite mon travail. En introduisant ma langue dans son vagin, je comprends qu’elle est, comme Lydia, une jeune femme déjà expérimentée. Je constate aussi, après avoir décapuchonné son bouton, que je peux la faire jouir par ce biais, aussi je m’y emploie activement.
Au bout d’un certain temps, j’en ai quand même un peu ma claque ! Et l’autre qui me bourre le cul avec son engin : j’espère qu’il ne va pas décharger dans mon ventre.
Heureusement, je me sens partir à mon tour et en profite pour exagérer mes gémissements. Finalement, Lydia et moi, nous jouissons presque en même temps. Cette dernière provoque même les vivats de toute l’assemblée, tant ses cris sont communicatifs ! Après cela je reprends mes esprits, période que met à profit Karine pour s’agenouiller devant Philippe et lui administrer une fellation débridée. Elle est bientôt rejointe par Lydia, laquelle semble avoir bien récupéré de mon traitement de choc.
Pendant ce temps, la dame me fait asseoir dans un fauteuil et me retire brutalement mon string, le roulant en boule sans ménagement. Elle a très envie de me lécher et semble apprécier mon épilation. En tout cas, j’avoue que je ne me fais pas prier pour écarter et relever mes cuisses. Elle approche son visage, relève son masque, puis me laboure avec passion l’intimité, sa langue jouant divinement bien entre mes lèvres, à l’entrée de mon trou de pipi, contre mon bouton. J’essaie de ne pas fermer les yeux pour voir où en sont les deux petites traînées avec Philippe. Elles sont arrivées à leur fin : alors qu’on aperçoit clairement d’épaisses coulures blanches dégouliner de leurs masques jusqu’au menton, elles s’emploient à se les partager goulûment comme des furies en manque. Hallucinant !
Je retourne alors à ma place, derrière le rideau. Je procède à une petite toilette de chat avec les petites serviettes chaudes mises à ma disposition, puis réajuste mes vêtements. Je me restaure un peu en débutant un plateau-repas jusqu’à ce que la place numéro 6 clignote. Comme la consigne l’exige, je me brosse et me rince les dents rapidement. Et me voici bientôt en vue des fauteuils numéro 6 et 7. Ils sont occupés par un couple d’âge mûr, dans la soixantaine, plutôt stylé. La femme est tirée de partout, je le remarque même avec son masque ; c’est une brune robuste, une méditerranéenne. L’homme, bien qu’assis, me semble très grand. Également brun, cendré, il me rappelle vaguement un acteur de séries TV mais ses yeux cachés m’empêchent d’être plus précise dans mon jugement. Ils commandent un apéritif standard : scotch et bourbon, avec les amuse-gueule qui vont avec. Lorsque je reviens avec le plateau, la femme sort un pilulier. « C’est un petit remontant pour mon mari », me dit-elle d’un air complice. Elle m’explique quel va être mon rôle.
L’homme déboutonne le haut de mon chemisier et passe une main à l’intérieur, débutant un massage assez appuyé. Son autre main est occupée à chercher mon string en soulevant le bas du chemisier. Pendant ce temps, sa femme s’affaire à défaire sa braguette et baisser son pantalon, celui-ci laissant bientôt apparaître un slip mini de couleur noire. « Il lui faut un peu de temps pour être en condition », me souffle-t-elle à l’oreille, alors que son mari a finalement découvert toute ma poitrine et défait ma jupe. Une main s’est insinuée sous le tissu de mon string et frotte délicieusement mon sexe, cependant que la bosse du monsieur commence à prendre forme. Je réponds à sa caresse en ouvrant largement les cuisses et en ondulant du bassin. La femme s’agenouille alors entre les jambes de son mari et entreprend de masser la bosse en question. Elle le fait avec beaucoup d’application et de persévérance jusqu’à ce que le tissu soit outrageusement tendu. En observant tout cela, je devine un sexe plutôt massif, ce qui est bientôt vérifié lorsque la femme le dégage de son logement. Pas souvenir de m’en être tapé un aussi large avec d’aussi grosses balloches.
La femme m’invite à venir l’honorer avec elle, à genoux. C’est elle qui entame les débats, par le sommet, me laissant le contrôle du reste. Je descends et je remonte lentement avec le bout de la langue sur la surface à ma disposition. Une fois fixée tout en bas, j’éprouve toutes les peines du monde à gober chacune de ses boules, alors que leur peau est pourtant des plus relâchée ! Après notre permutation, je reste un moment à masturber et observer le fonctionnement de cet épais mandrin (à vue d’œil, plus de 5 cm de diamètre), à décalotter son gland etc… Lorsque je débute ma fellation, je suis obligée d’écarter au maximum la mâchoire afin de ne pas le râper avec les dents ! Heureusement qu’il n’est pas très long, peut-être 15 cm, ce qui ne m’empêche cependant pas d’être plusieurs fois au bord de l’étouffement ! D’autant que le monsieur, après avoir défait mon chignon, me force avec insistance à le prendre jusqu’au fond de ma gorge.
La femme demande alors s’il se sent en forme pour me pénétrer. Suite à sa réponse positive, je l’enjambe et m’assois sur lui, m’empalant littéralement sur son sexe, sa femme me guidant en me caressant les fesses et le bas du dos. La pénétration est un peu difficile car je suis plutôt étroite et n’ai, de plus, pas l’habitude d’être aussi pleinement « comblée ». Je suis obligée de redoubler de contractions intimes pour l’avaler entièrement, ce qui s’avère assez fastidieux. Au bout d’une bonne minute, alors que je commence à peine à prendre mon pied, le monsieur m’indique qu’il est sur le point de jouir. Je me retire donc tout de suite et m’agenouille pour recueillir sa semence, ainsi que sa femme me l’a demandé : « surtout, prenez bien tout, me dit-elle ». Il éjacule bientôt longuement dans ma bouche, sans beaucoup de puissance mais en grande quantité. Pas étonnant avec ses deux gros sacs ! Je fais de mon mieux pour avaler son sperme très épais, ne pouvant cependant retenir plusieurs refoulements réflexes qui bavent à mon menton. La femme vient alors m’embrasser et nettoyer le tout avec sa langue…Un répit d’une demi-heure me fait ensuite le plus grand bien. Ouf ! Mais alors que je m’étais endormie, le voyant 17 sonne à nouveau. Un attroupement en cercle d’une dizaine de messieurs m’empêche d’atteindre le couple avec les jeunes délurées. Je dois jouer des coudes et m’excuser pour apercevoir Lydia, seulement vêtue de sa petite culotte, en pleine séance bukkake, une queue dans chaque main et en train d’en sucer avidement une troisième. Le monsieur, parmi les heureux élus, filme la scène : « son premier bukkake », me confie-t-il avec fierté… J’ai manifestement manqué les premiers épisodes, le visage et les cheveux de la jeune fille étant déjà bien maculés de sperme. Je vais jusqu’à la dame, m’étonnant de trouver Karine à ses côtés, en simple observatrice. C’est que, me dit-elle, le commandant de bord l’a invitée à visiter le cockpit. Et elle me demande aussi de l’accompagner. Or, le commandant, c’est Manu, mon homme ! Je redoute donc le pire…
- Je vous amène Mademoiselle qui a très envie de vous voir. Vous lui avez promis une visite du cockpit, je crois ?
- Oui, tout à fait, entrez ! (Manuel quitte son poste et se lève pour nous accueillir. Nous faisons mine de ne pas nous connaître plus que ça). Comment vous appelez-vous, Mademoiselle ?
- Je m’appelle Karine. C’est la première fois que je vais dans un cockpit avec tous ces écrans, ces lumières. It’s wonderful !
- Que souhaitez-vous que je vous montre d’abord : la radio, le poste de pilotage ? Voulez-vous que je vous explique comment on conduit un avion ?
- Oh non, pas besoin. Vous savez mon père est aussi pilote et my sister and me, nous prenons des leçons de pilotage depuis plusieurs mois. Je viens d’abord ici to fuck with you, sort-elle devant le copilote, amusé.
- Hum ! Évidemment, dans ce cas, voulez-vous vous installer dans un fauteuil ?
- No thanks ! Je préfère rester debout avec vous, comme ça !
- Voulez-vous que je me retire, demandé-je à la jeune délurée ?
- No, no ! Please stay here with me ! (elle veut me faire craquer, ma parole !)
(à suivre)
- Philippe ! What are you doing ? lance Lydia.
- Tu le vois bien, Sugar, je vais prendre mademoiselle par derrière ! Si bien sûr elle n’y voit pas d’inconvénients… - Monsieur, au contraire, ce sera avec grand plaisir ! lui réponds-je, tandis que je continue à trifouiller l’intimité de la petite.
- Bien ! Décidément vous êtes parfaite ! Et votre cul est absolument divin ! Je vais essayer de faire de mon mieux pour l’honorer.
Je sens un morceau de chair dure et chaude me caresser la raie des fesses puis, plus délicieusement, l’entrejambe. Je suis maintenant toute mouillée et me met à onduler du bassin. L’homme écarte le petit bout de tissu de mon string, cherche l’entrée de mon vagin et me pénètre d’un coup. Son sexe semble très épais et me brûle un peu au début. Je reviens à mon cunnilingus sur Karine, laquelle est sur le point de jouir. J’accélère mon mouvement de langue sur son petit bouton et presse de plus en plus fort, particulièrement à chaque coup de rein que son père m’envoie dans le derrière.
- Please don’t cum ! Keep your hot cream for me, lance Lydia à Philippe !
Karine jouit en criant assez fort. Elle m’étouffe bientôt entre ses cuisses. Je m’applique à bien laper sa jouissance. Le goût n’est pas désagréable, il me rappelle ma période Lesbos, cependant je préfère quand même celui du jus d’homme. Question d’habitude, sans doute ! Je vais maintenant m’agenouiller entre les cuisses de Lydia. Philippe s’est retiré et m’a reprise tout de suite en levrette. Le visage passablement souillé, je recommence mon travail de chaton. Lydia a déjà retiré sa petite culotte. Elle s’est fait poser deux petits anneaux sur les grandes lèvres. Je vais devoir faire attention pendant mes mouvements de bouche et de langue pour ne pas trop les tirer. Mais elle écarte les cuisses au maximum et les relève bien haut, ce qui me facilite mon travail. En introduisant ma langue dans son vagin, je comprends qu’elle est, comme Lydia, une jeune femme déjà expérimentée. Je constate aussi, après avoir décapuchonné son bouton, que je peux la faire jouir par ce biais, aussi je m’y emploie activement.
Au bout d’un certain temps, j’en ai quand même un peu ma claque ! Et l’autre qui me bourre le cul avec son engin : j’espère qu’il ne va pas décharger dans mon ventre.
Heureusement, je me sens partir à mon tour et en profite pour exagérer mes gémissements. Finalement, Lydia et moi, nous jouissons presque en même temps. Cette dernière provoque même les vivats de toute l’assemblée, tant ses cris sont communicatifs ! Après cela je reprends mes esprits, période que met à profit Karine pour s’agenouiller devant Philippe et lui administrer une fellation débridée. Elle est bientôt rejointe par Lydia, laquelle semble avoir bien récupéré de mon traitement de choc.
Pendant ce temps, la dame me fait asseoir dans un fauteuil et me retire brutalement mon string, le roulant en boule sans ménagement. Elle a très envie de me lécher et semble apprécier mon épilation. En tout cas, j’avoue que je ne me fais pas prier pour écarter et relever mes cuisses. Elle approche son visage, relève son masque, puis me laboure avec passion l’intimité, sa langue jouant divinement bien entre mes lèvres, à l’entrée de mon trou de pipi, contre mon bouton. J’essaie de ne pas fermer les yeux pour voir où en sont les deux petites traînées avec Philippe. Elles sont arrivées à leur fin : alors qu’on aperçoit clairement d’épaisses coulures blanches dégouliner de leurs masques jusqu’au menton, elles s’emploient à se les partager goulûment comme des furies en manque. Hallucinant !
Je retourne alors à ma place, derrière le rideau. Je procède à une petite toilette de chat avec les petites serviettes chaudes mises à ma disposition, puis réajuste mes vêtements. Je me restaure un peu en débutant un plateau-repas jusqu’à ce que la place numéro 6 clignote. Comme la consigne l’exige, je me brosse et me rince les dents rapidement. Et me voici bientôt en vue des fauteuils numéro 6 et 7. Ils sont occupés par un couple d’âge mûr, dans la soixantaine, plutôt stylé. La femme est tirée de partout, je le remarque même avec son masque ; c’est une brune robuste, une méditerranéenne. L’homme, bien qu’assis, me semble très grand. Également brun, cendré, il me rappelle vaguement un acteur de séries TV mais ses yeux cachés m’empêchent d’être plus précise dans mon jugement. Ils commandent un apéritif standard : scotch et bourbon, avec les amuse-gueule qui vont avec. Lorsque je reviens avec le plateau, la femme sort un pilulier. « C’est un petit remontant pour mon mari », me dit-elle d’un air complice. Elle m’explique quel va être mon rôle.
L’homme déboutonne le haut de mon chemisier et passe une main à l’intérieur, débutant un massage assez appuyé. Son autre main est occupée à chercher mon string en soulevant le bas du chemisier. Pendant ce temps, sa femme s’affaire à défaire sa braguette et baisser son pantalon, celui-ci laissant bientôt apparaître un slip mini de couleur noire. « Il lui faut un peu de temps pour être en condition », me souffle-t-elle à l’oreille, alors que son mari a finalement découvert toute ma poitrine et défait ma jupe. Une main s’est insinuée sous le tissu de mon string et frotte délicieusement mon sexe, cependant que la bosse du monsieur commence à prendre forme. Je réponds à sa caresse en ouvrant largement les cuisses et en ondulant du bassin. La femme s’agenouille alors entre les jambes de son mari et entreprend de masser la bosse en question. Elle le fait avec beaucoup d’application et de persévérance jusqu’à ce que le tissu soit outrageusement tendu. En observant tout cela, je devine un sexe plutôt massif, ce qui est bientôt vérifié lorsque la femme le dégage de son logement. Pas souvenir de m’en être tapé un aussi large avec d’aussi grosses balloches.
La femme m’invite à venir l’honorer avec elle, à genoux. C’est elle qui entame les débats, par le sommet, me laissant le contrôle du reste. Je descends et je remonte lentement avec le bout de la langue sur la surface à ma disposition. Une fois fixée tout en bas, j’éprouve toutes les peines du monde à gober chacune de ses boules, alors que leur peau est pourtant des plus relâchée ! Après notre permutation, je reste un moment à masturber et observer le fonctionnement de cet épais mandrin (à vue d’œil, plus de 5 cm de diamètre), à décalotter son gland etc… Lorsque je débute ma fellation, je suis obligée d’écarter au maximum la mâchoire afin de ne pas le râper avec les dents ! Heureusement qu’il n’est pas très long, peut-être 15 cm, ce qui ne m’empêche cependant pas d’être plusieurs fois au bord de l’étouffement ! D’autant que le monsieur, après avoir défait mon chignon, me force avec insistance à le prendre jusqu’au fond de ma gorge.
La femme demande alors s’il se sent en forme pour me pénétrer. Suite à sa réponse positive, je l’enjambe et m’assois sur lui, m’empalant littéralement sur son sexe, sa femme me guidant en me caressant les fesses et le bas du dos. La pénétration est un peu difficile car je suis plutôt étroite et n’ai, de plus, pas l’habitude d’être aussi pleinement « comblée ». Je suis obligée de redoubler de contractions intimes pour l’avaler entièrement, ce qui s’avère assez fastidieux. Au bout d’une bonne minute, alors que je commence à peine à prendre mon pied, le monsieur m’indique qu’il est sur le point de jouir. Je me retire donc tout de suite et m’agenouille pour recueillir sa semence, ainsi que sa femme me l’a demandé : « surtout, prenez bien tout, me dit-elle ». Il éjacule bientôt longuement dans ma bouche, sans beaucoup de puissance mais en grande quantité. Pas étonnant avec ses deux gros sacs ! Je fais de mon mieux pour avaler son sperme très épais, ne pouvant cependant retenir plusieurs refoulements réflexes qui bavent à mon menton. La femme vient alors m’embrasser et nettoyer le tout avec sa langue…Un répit d’une demi-heure me fait ensuite le plus grand bien. Ouf ! Mais alors que je m’étais endormie, le voyant 17 sonne à nouveau. Un attroupement en cercle d’une dizaine de messieurs m’empêche d’atteindre le couple avec les jeunes délurées. Je dois jouer des coudes et m’excuser pour apercevoir Lydia, seulement vêtue de sa petite culotte, en pleine séance bukkake, une queue dans chaque main et en train d’en sucer avidement une troisième. Le monsieur, parmi les heureux élus, filme la scène : « son premier bukkake », me confie-t-il avec fierté… J’ai manifestement manqué les premiers épisodes, le visage et les cheveux de la jeune fille étant déjà bien maculés de sperme. Je vais jusqu’à la dame, m’étonnant de trouver Karine à ses côtés, en simple observatrice. C’est que, me dit-elle, le commandant de bord l’a invitée à visiter le cockpit. Et elle me demande aussi de l’accompagner. Or, le commandant, c’est Manu, mon homme ! Je redoute donc le pire…
- Je vous amène Mademoiselle qui a très envie de vous voir. Vous lui avez promis une visite du cockpit, je crois ?
- Oui, tout à fait, entrez ! (Manuel quitte son poste et se lève pour nous accueillir. Nous faisons mine de ne pas nous connaître plus que ça). Comment vous appelez-vous, Mademoiselle ?
- Je m’appelle Karine. C’est la première fois que je vais dans un cockpit avec tous ces écrans, ces lumières. It’s wonderful !
- Que souhaitez-vous que je vous montre d’abord : la radio, le poste de pilotage ? Voulez-vous que je vous explique comment on conduit un avion ?
- Oh non, pas besoin. Vous savez mon père est aussi pilote et my sister and me, nous prenons des leçons de pilotage depuis plusieurs mois. Je viens d’abord ici to fuck with you, sort-elle devant le copilote, amusé.
- Hum ! Évidemment, dans ce cas, voulez-vous vous installer dans un fauteuil ?
- No thanks ! Je préfère rester debout avec vous, comme ça !
- Voulez-vous que je me retire, demandé-je à la jeune délurée ?
- No, no ! Please stay here with me ! (elle veut me faire craquer, ma parole !)
(à suivre)
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