La leçon de piano (3)
Récit érotique écrit par Jademik [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2019 dans la catégorie Plus on est
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La leçon de piano (3)
Depuis ce jour mémorable, nous filons tous les trois le parfait amour et multiplions les fantaisies érotiques au piano, inventant sans cesse de nouvelles positions. Une de nos dernières trouvailles se passe pendant une gymnopédie de Satie que Sandra joue lascivement, comme il se doit. En petite tenue, elle s’installe en cours de morceau à genoux sur le banc, se laisse déshabiller progressivement, écarte les jambes et se fait prendre par derrière par Serge. C’est d’ailleurs au cours d’une de ces séances que Sandra, au départ très réticente, a découvert le plaisir de la sodomie. Elle la pratique aujourd’hui régulièrement avec bonheur. Qu’est-ce qu’on a pu rire aux premières tentatives où elle manquait de tomber du banc, où elle avait une crampe, lorsqu’elle multipliait les fausses notes sous les coups de boutoir assénés à son cul, ou encore lorsque Serge, se retirant d’elle, loupait ma bouche et éjaculait directement sur le clavier ou même la partition !
Mais nous avons aussi élargi, grâce à elle, notre registre de pratiques sexuelles. Je m’explique.
Au mois d’août dernier, nous avons passé deux semaines au cap d’Agde, une région que nous avions l’habitude de fréquenter, Serge et moi, il y a une dizaine d’années. En préparant ledit séjour, j’avais eu la joie de constater que l’hôtel où nous descendions à l’époque existait toujours, aussi m’étais-je empressée d’y réserver une suite spacieuse pour trois. Hôtel un peu spécial il est vrai, notamment au niveau des activités proposées à la clientèle. Ce n’est pas le genre d’endroits où on amène ses enfants, si vous voyez ce que je veux dire…
Une fois arrivés, super accueil, les gérants ont changé mais l’ambiance, libidineuse à souhait, ne semble pas avoir disparu. Ce n’est pas tant la présence de salons à thèmes style boîte échangiste que nous affectionnons (j’ai déjà dit plus haut ce que Serge et moi en pensons), ni même le style de la clientèle, plutôt jeune et clean, même si cela n’est pas négligeable, que la décontraction d’ensemble et l’ambiance débridée peu communes (très seventies) qui y règne qui nous font craquer. Beaucoup d’activités, de jeux et de sorties liées au sexe, cela va sans dire, jusqu’aux petits-déjeuners et aux dîners avec des serveuses ou des serveurs participant aux réjouissances. J’en cite quelques-uns : les « plats-maison », la « mise en bouche », le « trou provençal », « à qui appartient ce (ou ces)… ? », « les chaises animales », « le concours les-pines », le « mur des lamentations », sans parler des classiques « colin-maillard », « ni oui ni non » ou « strip-poker »… Des jeux où chacun est libre d’apporter sa touche personnelle, si je puis dire ! Et ce ne sont assurément pas les souvenirs qui manquent avec Sandra, en témoignent les quelques exemples suivants.
La scène se passe à la fin du jeu « à qui appartient ces… ? ». Couvrant la plupart des variantes possibles, l’hôtel possède des parois dédiées en plastique épais avec des trous correspondant aux seins, aux fesses ou au sexe des personnes tirées au sort. Ceux des joueurs ou joueuses n’arrivant pas à les reconnaître (ils les ont juste vus en maillot avant qu’ils ne se déshabillent entièrement) sont condamnés à un gage. Sandra ayant échoué à la variante « sexes masculins », malgré l’ardeur mise à les manipuler et à les pomper (elle n’avait reconnu que celui de Serge et d’un blondinet joliment monté), on la condamne au supplice du bukkake (que l’on réserve généralement aux débutantes, ce qui a généralement le don d’émoustiller toute l’assistance). Avant de lui bander les yeux et l’accompagner au centre du patio, on lui donne à boire un verre de vodka orange pour la décontracter. Une dizaine de volontaires (dont les six du jeu précédent) s’approchent, pour la plupart en maillot ou short de bain.
Des mains commencent à se poser sur elle, à la palper devant et derrière, à défaire ses fins vêtements. Son haut, vite dénoué, tombe rapidement ; sa jupe légère aussi, laissant apparaître son ensemble string et soutif bleu. On la fait asseoir sur le rebord du faux puits qui décore la pièce, plusieurs mains convergeant vers son entrejambe. En un rien de temps, ses seins et son sexe sont pris d’assaut par trois bouches expertes. Un traitement de choc que ses mamelons ont l’air d’apprécier tout particulièrement. Les slips de ces messieurs commencent à se tendre, certains se masturbant déjà. On guide alors les mains de Sandra vers deux mâts tendus à proximité. Après une rapide reconnaissance, elle glisse celles-ci à l’intérieur et entame un savant mouvement de va-et-vient. Les mecs tombent rapidement leurs slips pendant que Sandra est invitée à s’agenouiller, les mains pleines. Elle s’applique alors à les sucer l’un après l’autre, et ce, avec un entrain qui nous touche particulièrement, Serge et moi, nous qui l’avons initiée. De telle sorte que quatre autres queues à l’horizontale viennent bientôt cogner à ses joues et ses épaules, dont une noire absolument magnifique et bandée en arc. L’occasion pour Sandra de se déchaîner et de révéler sa véritable nature, toute entière à sa folie et à sa jouissance. Elle fait rapidement décharger en même temps les deux premiers messieurs sur son visage et même dans sa bouche (je n’en reviens pas !), avant de s’attaquer aux autres (une douzaine), un épais filet au menton, et de leur faire subir le même sort (dont Serge qui s’est invité à la fête). Les suivants lui font tomber le soutien-gorge, ses seins opulents devenant alors le réceptacle de tous les arrosages. Maculée de sperme jusqu’aux genoux, Sandra se révèle être, de plus, une avaleuse de très bon niveau (à notre grande surprise), ce que les quelques photos prises sur le vif (et que nous avons gardées) montrent de manière éclatante.
La seconde a lieu sur la terrasse juste à l’heure de l’apéritif, avant le dîner. Chaque soir, un cocktail-surprise est organisé pour une personne choisie parmi les nouveaux clients. Aujourd’hui, c’est au tour de Sandra d’être au centre de toutes les attentions. Assise au bar sur un tabouret haut, les jambes croisées, sirotant son soda avec une paille, elle est abordée par deux jeunes membres du personnel (un serveur et un animateur) :
- bonsoir Mademoiselle ! Vous allez perdre une de vos tongs, regardez : elle tient à peine, dit l’un pendant que l’autre lui murmure quelque chose à l’oreille la faisant rire. Au lieu de lui remettre au pied, il retire la tong et débute un savant massage tout en la complimentant (forme du pied, qualité du vernis etc…).
Puis il commence à l’embrasser et à remonter ainsi jusqu’aux jambes. L’autre réalise un manège similaire au niveau des épaules et du cou. Sa main se balade sur ses flancs puis sa croupe, tentant quelques incursions sur le haut des cuisses, en conséquence de quoi Sandra décroise les jambes. Bientôt subjuguée par les caresses des deux jeunes, elle se laisse malaxer les seins par l’un, caresser l’entrejambe par l’autre, puis retirer délicatement les deux parties de son bikini. Le serveur tire alors sa croupe vers l’avant, écarte ses cuisses et s’installe pour lui bouffer la chatte. Après quelques minutes, l’animateur place un second tabouret derrière elle et la fait basculer complètement vers l’arrière, sa tête balançant dans le vide. Il dégrafe son short, retire son slip de bain et vient se placer debout à cheval sur le visage de Sandra. Sa queue, droite à l’équerre, frétille ; tout en lui tenant les mains, il promène ses boules puis tout son membre sur la bouche de la jeune femme en un savant mouvement de va-et-vient. Sandra sort d’abord la langue puis ouvre la bouche en grand pour accueillir sa verge. Elle en suçote et en aspire d’abord le gland puis engloutit difficilement l’ensemble, avant de se faire bientôt pénétrer comme un vagin, à grand coup de reins de son chevalier. Tout en caressant ses flancs, Sandra s’agrippe aux fesses de l’animateur et pousse bientôt des râles à la même cadence. Des râles évidemment très étouffés ! Les deux complices l’invitent ensuite à se mettre debout penchée vers l’avant, le cul offert, celui dont elle suce la queue lui tenant les mains pour qu’elle ne fatigue pas trop. L’autre la prend par derrière et imprime à ses fesses un clapotis sec à chaque intromission, lequel fait écho à ses « ouiii ! » de jouissance.
Au bout de deux ou trois minutes de labourage en règle, la patronne arrive avec un verre rempli d’un cocktail maison. Lorsque le premier des deux jeunes est sur le point de jouir, elle lui prend la queue pour qu’il éjacule dans le verre. Elle fait de même avec le second, touille la mixture avec les glaçons puis tend le verre à Sandra qui, assise, reprend tranquillement ses esprits. « On the rocks », lui dit la patronne avec un large sourire, invitant la jeune femme à goûter au précieux nectar ! Laquelle s’exécute et vide tout le verre sans difficulté (je l’ai depuis testé : c’est sucré, suffisamment alcoolisé et onctueux pour ne pas susciter le dégoût)…
(à suivre)
Mais nous avons aussi élargi, grâce à elle, notre registre de pratiques sexuelles. Je m’explique.
Au mois d’août dernier, nous avons passé deux semaines au cap d’Agde, une région que nous avions l’habitude de fréquenter, Serge et moi, il y a une dizaine d’années. En préparant ledit séjour, j’avais eu la joie de constater que l’hôtel où nous descendions à l’époque existait toujours, aussi m’étais-je empressée d’y réserver une suite spacieuse pour trois. Hôtel un peu spécial il est vrai, notamment au niveau des activités proposées à la clientèle. Ce n’est pas le genre d’endroits où on amène ses enfants, si vous voyez ce que je veux dire…
Une fois arrivés, super accueil, les gérants ont changé mais l’ambiance, libidineuse à souhait, ne semble pas avoir disparu. Ce n’est pas tant la présence de salons à thèmes style boîte échangiste que nous affectionnons (j’ai déjà dit plus haut ce que Serge et moi en pensons), ni même le style de la clientèle, plutôt jeune et clean, même si cela n’est pas négligeable, que la décontraction d’ensemble et l’ambiance débridée peu communes (très seventies) qui y règne qui nous font craquer. Beaucoup d’activités, de jeux et de sorties liées au sexe, cela va sans dire, jusqu’aux petits-déjeuners et aux dîners avec des serveuses ou des serveurs participant aux réjouissances. J’en cite quelques-uns : les « plats-maison », la « mise en bouche », le « trou provençal », « à qui appartient ce (ou ces)… ? », « les chaises animales », « le concours les-pines », le « mur des lamentations », sans parler des classiques « colin-maillard », « ni oui ni non » ou « strip-poker »… Des jeux où chacun est libre d’apporter sa touche personnelle, si je puis dire ! Et ce ne sont assurément pas les souvenirs qui manquent avec Sandra, en témoignent les quelques exemples suivants.
La scène se passe à la fin du jeu « à qui appartient ces… ? ». Couvrant la plupart des variantes possibles, l’hôtel possède des parois dédiées en plastique épais avec des trous correspondant aux seins, aux fesses ou au sexe des personnes tirées au sort. Ceux des joueurs ou joueuses n’arrivant pas à les reconnaître (ils les ont juste vus en maillot avant qu’ils ne se déshabillent entièrement) sont condamnés à un gage. Sandra ayant échoué à la variante « sexes masculins », malgré l’ardeur mise à les manipuler et à les pomper (elle n’avait reconnu que celui de Serge et d’un blondinet joliment monté), on la condamne au supplice du bukkake (que l’on réserve généralement aux débutantes, ce qui a généralement le don d’émoustiller toute l’assistance). Avant de lui bander les yeux et l’accompagner au centre du patio, on lui donne à boire un verre de vodka orange pour la décontracter. Une dizaine de volontaires (dont les six du jeu précédent) s’approchent, pour la plupart en maillot ou short de bain.
Des mains commencent à se poser sur elle, à la palper devant et derrière, à défaire ses fins vêtements. Son haut, vite dénoué, tombe rapidement ; sa jupe légère aussi, laissant apparaître son ensemble string et soutif bleu. On la fait asseoir sur le rebord du faux puits qui décore la pièce, plusieurs mains convergeant vers son entrejambe. En un rien de temps, ses seins et son sexe sont pris d’assaut par trois bouches expertes. Un traitement de choc que ses mamelons ont l’air d’apprécier tout particulièrement. Les slips de ces messieurs commencent à se tendre, certains se masturbant déjà. On guide alors les mains de Sandra vers deux mâts tendus à proximité. Après une rapide reconnaissance, elle glisse celles-ci à l’intérieur et entame un savant mouvement de va-et-vient. Les mecs tombent rapidement leurs slips pendant que Sandra est invitée à s’agenouiller, les mains pleines. Elle s’applique alors à les sucer l’un après l’autre, et ce, avec un entrain qui nous touche particulièrement, Serge et moi, nous qui l’avons initiée. De telle sorte que quatre autres queues à l’horizontale viennent bientôt cogner à ses joues et ses épaules, dont une noire absolument magnifique et bandée en arc. L’occasion pour Sandra de se déchaîner et de révéler sa véritable nature, toute entière à sa folie et à sa jouissance. Elle fait rapidement décharger en même temps les deux premiers messieurs sur son visage et même dans sa bouche (je n’en reviens pas !), avant de s’attaquer aux autres (une douzaine), un épais filet au menton, et de leur faire subir le même sort (dont Serge qui s’est invité à la fête). Les suivants lui font tomber le soutien-gorge, ses seins opulents devenant alors le réceptacle de tous les arrosages. Maculée de sperme jusqu’aux genoux, Sandra se révèle être, de plus, une avaleuse de très bon niveau (à notre grande surprise), ce que les quelques photos prises sur le vif (et que nous avons gardées) montrent de manière éclatante.
La seconde a lieu sur la terrasse juste à l’heure de l’apéritif, avant le dîner. Chaque soir, un cocktail-surprise est organisé pour une personne choisie parmi les nouveaux clients. Aujourd’hui, c’est au tour de Sandra d’être au centre de toutes les attentions. Assise au bar sur un tabouret haut, les jambes croisées, sirotant son soda avec une paille, elle est abordée par deux jeunes membres du personnel (un serveur et un animateur) :
- bonsoir Mademoiselle ! Vous allez perdre une de vos tongs, regardez : elle tient à peine, dit l’un pendant que l’autre lui murmure quelque chose à l’oreille la faisant rire. Au lieu de lui remettre au pied, il retire la tong et débute un savant massage tout en la complimentant (forme du pied, qualité du vernis etc…).
Puis il commence à l’embrasser et à remonter ainsi jusqu’aux jambes. L’autre réalise un manège similaire au niveau des épaules et du cou. Sa main se balade sur ses flancs puis sa croupe, tentant quelques incursions sur le haut des cuisses, en conséquence de quoi Sandra décroise les jambes. Bientôt subjuguée par les caresses des deux jeunes, elle se laisse malaxer les seins par l’un, caresser l’entrejambe par l’autre, puis retirer délicatement les deux parties de son bikini. Le serveur tire alors sa croupe vers l’avant, écarte ses cuisses et s’installe pour lui bouffer la chatte. Après quelques minutes, l’animateur place un second tabouret derrière elle et la fait basculer complètement vers l’arrière, sa tête balançant dans le vide. Il dégrafe son short, retire son slip de bain et vient se placer debout à cheval sur le visage de Sandra. Sa queue, droite à l’équerre, frétille ; tout en lui tenant les mains, il promène ses boules puis tout son membre sur la bouche de la jeune femme en un savant mouvement de va-et-vient. Sandra sort d’abord la langue puis ouvre la bouche en grand pour accueillir sa verge. Elle en suçote et en aspire d’abord le gland puis engloutit difficilement l’ensemble, avant de se faire bientôt pénétrer comme un vagin, à grand coup de reins de son chevalier. Tout en caressant ses flancs, Sandra s’agrippe aux fesses de l’animateur et pousse bientôt des râles à la même cadence. Des râles évidemment très étouffés ! Les deux complices l’invitent ensuite à se mettre debout penchée vers l’avant, le cul offert, celui dont elle suce la queue lui tenant les mains pour qu’elle ne fatigue pas trop. L’autre la prend par derrière et imprime à ses fesses un clapotis sec à chaque intromission, lequel fait écho à ses « ouiii ! » de jouissance.
Au bout de deux ou trois minutes de labourage en règle, la patronne arrive avec un verre rempli d’un cocktail maison. Lorsque le premier des deux jeunes est sur le point de jouir, elle lui prend la queue pour qu’il éjacule dans le verre. Elle fait de même avec le second, touille la mixture avec les glaçons puis tend le verre à Sandra qui, assise, reprend tranquillement ses esprits. « On the rocks », lui dit la patronne avec un large sourire, invitant la jeune femme à goûter au précieux nectar ! Laquelle s’exécute et vide tout le verre sans difficulté (je l’ai depuis testé : c’est sucré, suffisamment alcoolisé et onctueux pour ne pas susciter le dégoût)…
(à suivre)
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