Essaouira 3
Récit érotique écrit par Ffgbear [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Essaouira 3
ESSAOUIRA 3
Le très long massage très sexuel, la puissante pénétration de Sélim et le bain de vapeur du Hammam m'avaient épuisé. J'étais encore assez flageolant malgré le léger repos sur la banquette humide et Sélim me raccompagna à ma chambre.
Il regarda avec un sourire les deux ouvriers endormis sur le grand lit. Ils n'avaient pas bougé, nus, l'un encastré dans la concavité de l'autre, leurs souffles apaisés.
Connais-tu leurs noms ?
Non, le seul mot qu'ils aient jamais prononcé a été « Chokran » lorsqu'ils ont joui dans ma bouche après que le maître nous ait laissé.
Ils s'appellent Rayan : le vigoureux et Tariq : le courageux, ils se ressemblent comme deux gouttes d'eau, mais Rayan a les cheveux rasés, tu vois, cette fois il est derrière Tariq. Cela dépend des nuits. Ils pourraient avoir du travail, mais c'est secondaire, si tu as besoin d'eux, c'est leur priorité..
Je n'ai pas voulu les déranger, et je me suis allongé un peu à l'écart sur le grand lit, tourné vers eux, soucieux de ne pas me priver de la beauté de leur corps assemblés.
On soupçonnait bientôt l'arrivé de l'aube, par cette lueur grise là bas entre les palmiers qui bientôt passerait au rose-doré par l'aurore précédent le lent lever du soleil qui les éclairait faiblement. Sans doute l'habitude de vivre à ce rythme solaire, ou la sensibilité à cette nouvelle lueur, leur corps frissonnaient un peu, reprenaient vie, leur étreinte se resserrait comme pour se réchauffer. Leur sexe, du moins celui que je voyais avait la rigidité qu'on a au réveil et au gémissement endormi de Tariq je compris que son frère était en lui, immobile, comme endormi aussi.
Ils n'ouvrirent pas les yeux, Rayan, bientôt, se mit à gémir doucement, Tariq ondulait lentement du bassin, ses doigts pouvant à peine se refermer sur la hampe si épaisse de son sexe que ses mouvements du bassin branlaient doucement.
Etaient-ils éveillés ? Honoraient-ils ainsi le jour nouveau ?, sans doute ils le faisait chaque matin comme des automates sensibles.
Les gémissements ne laissaient aucun doute sur leur sensibilité. Aux mouvements lents,endormis on sentait la complicité, la connivence, l'accord de deux corps fusionnels qui même avant le puberté devait avoir cette intelligence l'un de l'autre par la constance de leur intimité. Ils évoluaient dans une chorégraphie complice parfaite, aucun à coup, aucune désunion des corps, comme s'ils n'en faisaient qu'un, mouvant et ondoyant.
Je les regardais fasciné par le spectacle de cette entente gémellaire inapprochable pour des amants dissemblables. Mon sexe était gonflé à exploser mais pour rien au monde je ne me serais immiscé dans cet acte d'amour absolu entre deux homologues, deux bessons, qui à chaque seconde, chaque geste, chaque gémissement savent exactement ce q'ils ressentent l'un l'autre.
Ils étaient encore dans leur nuit, yeux fermés, et sans que le rythme des mouvement changent le moins du monde, leur respiration s'accéléra et dans un cri à l'unisson ils jouirent ensemble, le sperme lourds de Tariq, se trouva projeté sur ma poitrine.
C'est à ce moment lorsque cessèrent les spasmes qu'ils ouvrirent les yeux et se réveillèrent vraiment, prenant conscience de ma présence.
La confusion de Tariq de m'avoir pollué ne dura qu'un instant quand il vit que je suçais sur mes doigts son sperme tiède que je recueillis sur mes seins.
Il vit aussi mon sexe gonflé mais c'est Rayan qui chevauchant son frère vint contre moi et introduisit son sexe en lui. Il fallait que je reste immobile tant l'excitation m'avait amené au bord de l'orgasme et sans que je ne pus rien faire, de quelque contractions de son anus il me fit venir comme on trait une chèvre.
Marc
Le très long massage très sexuel, la puissante pénétration de Sélim et le bain de vapeur du Hammam m'avaient épuisé. J'étais encore assez flageolant malgré le léger repos sur la banquette humide et Sélim me raccompagna à ma chambre.
Il regarda avec un sourire les deux ouvriers endormis sur le grand lit. Ils n'avaient pas bougé, nus, l'un encastré dans la concavité de l'autre, leurs souffles apaisés.
Connais-tu leurs noms ?
Non, le seul mot qu'ils aient jamais prononcé a été « Chokran » lorsqu'ils ont joui dans ma bouche après que le maître nous ait laissé.
Ils s'appellent Rayan : le vigoureux et Tariq : le courageux, ils se ressemblent comme deux gouttes d'eau, mais Rayan a les cheveux rasés, tu vois, cette fois il est derrière Tariq. Cela dépend des nuits. Ils pourraient avoir du travail, mais c'est secondaire, si tu as besoin d'eux, c'est leur priorité..
Je n'ai pas voulu les déranger, et je me suis allongé un peu à l'écart sur le grand lit, tourné vers eux, soucieux de ne pas me priver de la beauté de leur corps assemblés.
On soupçonnait bientôt l'arrivé de l'aube, par cette lueur grise là bas entre les palmiers qui bientôt passerait au rose-doré par l'aurore précédent le lent lever du soleil qui les éclairait faiblement. Sans doute l'habitude de vivre à ce rythme solaire, ou la sensibilité à cette nouvelle lueur, leur corps frissonnaient un peu, reprenaient vie, leur étreinte se resserrait comme pour se réchauffer. Leur sexe, du moins celui que je voyais avait la rigidité qu'on a au réveil et au gémissement endormi de Tariq je compris que son frère était en lui, immobile, comme endormi aussi.
Ils n'ouvrirent pas les yeux, Rayan, bientôt, se mit à gémir doucement, Tariq ondulait lentement du bassin, ses doigts pouvant à peine se refermer sur la hampe si épaisse de son sexe que ses mouvements du bassin branlaient doucement.
Etaient-ils éveillés ? Honoraient-ils ainsi le jour nouveau ?, sans doute ils le faisait chaque matin comme des automates sensibles.
Les gémissements ne laissaient aucun doute sur leur sensibilité. Aux mouvements lents,endormis on sentait la complicité, la connivence, l'accord de deux corps fusionnels qui même avant le puberté devait avoir cette intelligence l'un de l'autre par la constance de leur intimité. Ils évoluaient dans une chorégraphie complice parfaite, aucun à coup, aucune désunion des corps, comme s'ils n'en faisaient qu'un, mouvant et ondoyant.
Je les regardais fasciné par le spectacle de cette entente gémellaire inapprochable pour des amants dissemblables. Mon sexe était gonflé à exploser mais pour rien au monde je ne me serais immiscé dans cet acte d'amour absolu entre deux homologues, deux bessons, qui à chaque seconde, chaque geste, chaque gémissement savent exactement ce q'ils ressentent l'un l'autre.
Ils étaient encore dans leur nuit, yeux fermés, et sans que le rythme des mouvement changent le moins du monde, leur respiration s'accéléra et dans un cri à l'unisson ils jouirent ensemble, le sperme lourds de Tariq, se trouva projeté sur ma poitrine.
C'est à ce moment lorsque cessèrent les spasmes qu'ils ouvrirent les yeux et se réveillèrent vraiment, prenant conscience de ma présence.
La confusion de Tariq de m'avoir pollué ne dura qu'un instant quand il vit que je suçais sur mes doigts son sperme tiède que je recueillis sur mes seins.
Il vit aussi mon sexe gonflé mais c'est Rayan qui chevauchant son frère vint contre moi et introduisit son sexe en lui. Il fallait que je reste immobile tant l'excitation m'avait amené au bord de l'orgasme et sans que je ne pus rien faire, de quelque contractions de son anus il me fit venir comme on trait une chèvre.
Marc
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