Et qu’on peut les flamber
Récit érotique écrit par Bananax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Et qu’on peut les flamber
Après avoir bien léché mon sperme au sol en me tortillant du mieux possible, Maître m’attrape par les cheveux et me tire par devers lui. « Allez salope, maintenant que tu m’as bien allumé, tu vas en prendre plein le cul. » Il me traine jusqu’à la chambre et me jette sur le lit. Je suis harnaché de telle façon que mon anus palpite tellement je suis écartelé et le cul offert. Quelques claques me maintiennent à bonne température, et Maître, bien excité place enfin son gland sur mon anus. C’est vraiment le moment où on se sent astreint à la volonté de son Maître. Et sa volonté est inflexible. Il m’agrippe les hanches et me passe sous le ventre une ceinture qu’il boucle au plus fort. Ca lui permet de s’accrocher et me secouer à sa guise. Là Il s’agrippe et me pénètre de sa bite tendue par l’évian et le viagra. Ca rentre facilement, mon cul englouti cette bite et je ronronne de plaisir. Ca ne plait pas à mon Maître alors il me serre une autre ceinture entre mes mâchoires ouvertes et serre bien derrière la nuque. Là seuls quelques « gnhff hrmmhf » viennent se joindre aux claquements de sa main contre mes fesses et de son ventre contre mon cul. Je perds vite pied tellement il m’encule et me claque le cul. Mon anus est mis à rude épreuve, Maître m’encule de toute sa bite à un rythme très soutenu. Les parois de mon anus s’irritent, et la jouissance de mon cul se transforme lentement au fil des assauts en douleur. Je m’applique à serrer et desserrer mon boyau pour le faire jouir au plus vite. Maître s’en aperçoit et se gausse de mes efforts inutiles : « alors connasse tu souffres ? J’espère que tu as mal salope »
Maitre m’agrippe les cheveux et me colle la figure contre le mur devant le lit. Attaché comme je suis les liens me font mal et me tirent. Maître me cogne 4 fois la tête contre le mur. Des étoiles dansent autour de mon crâne. Il prend une ceinture et me fouette le cul. Ca brûle et une douleur atroce suis chaque coup de ceinturon. Malgré tout je bande comme une pute et Maître s’en réjoui. « t’es qu’une enculée sale pute ! regarde moi comme tu bandes quand je te corrige ! attends le week end commence seulement, tu vas avoir ta dose de douleur, crois-moi connasse ! » Maitre me positionne le flanc sur le lit et le cul dégagé. Il enpoigne sa bite, me l’enfonce au plus profond de mes entrailles et pisse la flotte qu’Il a ingurgité. C’est comme un lavement, ça ne s’arrête pas. Enfin il est vidé, alors il recommence ses coups de butoir dans mon cul. La pisse a drainé le gel. Sa bite me frotte l’intestin. J’ai mal. Je pleure et geint. Maître se délecte de ma douleur et je sens sa bite gonfler encore. La ceinture lui sert à me secouer dans tous les sens. Je joui malgré (ou grâce) aux coups qu’Il me porte. Tandis qu’il me gicle son sperme dans l’anus. Cependant le viagra fait son effet, et Il ne débandera pas durant toute l’heure qui va suivre. Il sort de mon cul, la pisse gicle. « Salope, t’es dégueulasse ! Prend ça connasse ! » et Maître me roue de coups ; gifles claques, coups de poings, tout y passe. Je suis anéanti par la douleur les coups et la jouissance. Maître se lève au dessus de moi et me pisse dessus. Il sort alors son téléphone et appelle un certain François.
« Salut François. Je ne te dérange pas ?
- …
- je suis avec une super salope que tu connais bien.
- …
- et oui je l’ai là au de ma bite.
- …
- Ok je te la laisse au chaud. Cette pute va tomber de la chaise, si elle n’était pas attachée comme elle l’est.
- …
- Bien je t’attends. »
Qui est ce François ? Je n’en connais pas beaucoup. Il y a mon boss… oh merde j’espère que ce n’est pas lui !
« Alors salope aujourd’hui va être le jour où tout bascule connasse ! »
Maître me replante sa bite et se branle dans mon cul pour sa seule délivrance. Et après 15 minutes de douleurs Il éjacule enfin en hurlant. Je suis balloté dans tous les sens et j’ai le cul en flammes à cause des claques et de l’enculage.
Entre temps la sonnerie retenti, Maître passa un peignoir et alla ouvrir.
Des pas se rapprochent, j’ai le ventre noué de spasmes par l’appréhension et l’acidité de la pisse.
Maître dit alors à son hôte « tu reconnais ton commercial, François ? »
François, mon (ex ?)boss éclate de rire devant le spectacle que j’offre : attaché comme une truie puant la pisse et le sperme, recouvert des deux en quantité ahurissante, le cul et l’anus éclaté et la bite raide malgré les jouissances répétées.
« Benoît, t’es qu’une salope de pute. Lundi tu passeras à mon bureau. Mais avant je vais te niquer sale pute ».
Fin de la trilogie de Benoît, histoire en trois parties, nécessaire pour comprendre pourquoi je suis secrétaire en bas et jarretelles, utile à diverses tâches inhabituelles buccales et anales dans le cadre professionnel d’une entreprise industrielle.
J'aime les bananes - partie 1
Parce qu'il n'y a pas d'os dedans - partie 2
Et qu’on peut les flamber - partie 3
Merci de vos remarques et encouragements pour la suite. Benoit.soumis@laposte.net.
Bisous partout où vous aimez.
Maitre m’agrippe les cheveux et me colle la figure contre le mur devant le lit. Attaché comme je suis les liens me font mal et me tirent. Maître me cogne 4 fois la tête contre le mur. Des étoiles dansent autour de mon crâne. Il prend une ceinture et me fouette le cul. Ca brûle et une douleur atroce suis chaque coup de ceinturon. Malgré tout je bande comme une pute et Maître s’en réjoui. « t’es qu’une enculée sale pute ! regarde moi comme tu bandes quand je te corrige ! attends le week end commence seulement, tu vas avoir ta dose de douleur, crois-moi connasse ! » Maitre me positionne le flanc sur le lit et le cul dégagé. Il enpoigne sa bite, me l’enfonce au plus profond de mes entrailles et pisse la flotte qu’Il a ingurgité. C’est comme un lavement, ça ne s’arrête pas. Enfin il est vidé, alors il recommence ses coups de butoir dans mon cul. La pisse a drainé le gel. Sa bite me frotte l’intestin. J’ai mal. Je pleure et geint. Maître se délecte de ma douleur et je sens sa bite gonfler encore. La ceinture lui sert à me secouer dans tous les sens. Je joui malgré (ou grâce) aux coups qu’Il me porte. Tandis qu’il me gicle son sperme dans l’anus. Cependant le viagra fait son effet, et Il ne débandera pas durant toute l’heure qui va suivre. Il sort de mon cul, la pisse gicle. « Salope, t’es dégueulasse ! Prend ça connasse ! » et Maître me roue de coups ; gifles claques, coups de poings, tout y passe. Je suis anéanti par la douleur les coups et la jouissance. Maître se lève au dessus de moi et me pisse dessus. Il sort alors son téléphone et appelle un certain François.
« Salut François. Je ne te dérange pas ?
- …
- je suis avec une super salope que tu connais bien.
- …
- et oui je l’ai là au de ma bite.
- …
- Ok je te la laisse au chaud. Cette pute va tomber de la chaise, si elle n’était pas attachée comme elle l’est.
- …
- Bien je t’attends. »
Qui est ce François ? Je n’en connais pas beaucoup. Il y a mon boss… oh merde j’espère que ce n’est pas lui !
« Alors salope aujourd’hui va être le jour où tout bascule connasse ! »
Maître me replante sa bite et se branle dans mon cul pour sa seule délivrance. Et après 15 minutes de douleurs Il éjacule enfin en hurlant. Je suis balloté dans tous les sens et j’ai le cul en flammes à cause des claques et de l’enculage.
Entre temps la sonnerie retenti, Maître passa un peignoir et alla ouvrir.
Des pas se rapprochent, j’ai le ventre noué de spasmes par l’appréhension et l’acidité de la pisse.
Maître dit alors à son hôte « tu reconnais ton commercial, François ? »
François, mon (ex ?)boss éclate de rire devant le spectacle que j’offre : attaché comme une truie puant la pisse et le sperme, recouvert des deux en quantité ahurissante, le cul et l’anus éclaté et la bite raide malgré les jouissances répétées.
« Benoît, t’es qu’une salope de pute. Lundi tu passeras à mon bureau. Mais avant je vais te niquer sale pute ».
Fin de la trilogie de Benoît, histoire en trois parties, nécessaire pour comprendre pourquoi je suis secrétaire en bas et jarretelles, utile à diverses tâches inhabituelles buccales et anales dans le cadre professionnel d’une entreprise industrielle.
J'aime les bananes - partie 1
Parce qu'il n'y a pas d'os dedans - partie 2
Et qu’on peut les flamber - partie 3
Merci de vos remarques et encouragements pour la suite. Benoit.soumis@laposte.net.
Bisous partout où vous aimez.
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