Parce qu'il n'y a pas d'os dedans

- Par l'auteur HDS Bananax -
Récit érotique écrit par Bananax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Parce qu'il n'y a pas d'os dedans Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Parce qu'il n'y a pas d'os dedans
Maître se rassoie et sirote son fond de whisky alors que je reste prostré au sol. Le verre terminé, Il sort du salon et revient avec un sac poubelle avec des affaires dedans, une pilule bleue de viagra, un verre et une bouteille entière d’évian. Il pose le tout sur un guéridon qu’il rapproche d’un siège pour piano, s’installe confortablement, avale sa pilule se sert un verre d’eau et me signifie « vient te mettre en tenue salope». J’accours pour qu’il me retire les menottes et découvrir la tenue qu’Il m’a prévu pour cette soirée. Je me vêts d’un magnifique porte-jarretelles en dentelle noire, passe les bas en prenant les positions les plus sexes que je puisse et les attaches en tortillant du cul. A son sourire il semble apprécier, sa main me caressant les reins l’attestent. Il en profite pour me pincer les fesses ou me doigter légèrement le cul. De son autre main Il me décalotte et me tire la bite pour que je me tourne vers Lui. « Je vais te mettre ça, tu vas aimer salope ». Et tout en me tirant mes couilles vers le bas, Il sort de sa poche un tube en acier qu’Il démonte et mets mes couilles à l’intérieur. Une fois fermé mes couilles sont tirées vers le bas par 800 g d’acier. Terrible ! « Merci Maître ». Une bonne claque sur les fesses m’engage à terminer de me vêtir. Je lace une paire de bottine de cuir verni noires à talon de 10 cm munies à la cheville d’anneaux. « Suffit, tiens-toi droite sale pute ». Je me fige alors qu’Il termine mon travestissement en me vêtant d’un bustier à baleine en dentelle et cuir noir de toute beauté et qu’Im va me nouer serré, c’est quasiment du bondage. Il me met ensuite une minerve en cuir épais au cou, large et profilé pour que le cou ne puisse plus bouger et que la tête soit bien droite. 4 anneaux sont répartis autours et Maître Sylvain m’attache à nouveau les menottes et les fixe d’une cordelette en chanvre à l’anneau de derrière. Pour finir, Il me met un mousqueton pour me lier les bottes ensemble. Il s’écarte pour admirer sa pute et tourne autour de moi comme le prédateur qu’il est, et moi la proie sans défense que je suis. « Bien ! » se gourmande-t-il.
Il se rassoie, se reverse un verre d’évian et me tance « vient ici salope prendre ta fessée ». Je me dandine pour me mettre en position de fessage couché sur ses genoux, les couilles pesant des tonnes. Il me tire la bite et les couilles emprisonnées hors de ses cuisses pour les mettre en évidence. « Clac ! » les coups commencent alors qu’Il me pousse sur la minerve pour que mon cul se monte alors que ma tête descend. Puis ses mains chaudes et puissantes me caressent les fesses, un doigt m’encule et ressort. De son autre main Il me rentre les doigts dans la bouche et me prend la joue en tenaille « clac » les coups reprennent et je commence à chauffer du cul. Les coups pleuvent et parfois Il vise l’intérieur de mes cuisses mais le plus souvent s’est mes fesses qui souffrent. Maître alterne avec science caresses, doigtage et fessée, je sens ma bite dure et gonflée tressaillir à chaque geste de Sa part. Il se lève soudainement, part et revient avec quelques godes et plugs. Je me repositionne et Maître m’encule avec un plug d’au moins 7 cm de diamètre. « clac ! » les coups deviennent extatiques car chaque claque se répercute à l’intérieur de mon cul via le plug. Je crie et gémie comme une salope que je suis. Ses doigts dans ma bouche servent de bâillon et dégouline de bave. Maître joue un peu avec le plug puis l’arrache de mon cul pour y mettre un bon 20x5 qu’il enfonce vicieusement jusques les boules en latex viennent se coller à mon cul. « clac ! clac ! » Les coups reprennent. C’est divin, ma bite trésaille de plus en plus, je vais jouir sans m’être touché. Quelques coups alternés de caresses ont raison de mes couilles qui se vident à grands jets saccadés. Maître continue sa fessée, mes fesses doivent être bien rouges à présent. Je pleure et je gémie, de joie et de douleur mêlées. Mes jambes tressautent à chaque coup, mais ça ne gêne pas beaucoup Maître qui se délecte de ma douleur et puis, de toute façon, entre le bustier, les menottes et le mousqueton aux chevilles, je gigote tout au plus. Par contre contre mon ventre je sens bien le plaisir de mon Maître, sa barre est bien dure et sa longueur ne me trompe pas quant au plaisir qu’Il a de me frapper. Après bien des coups, Il se relève et je bascule au sol. Il me tient par les cheveux et me mets le nez dans ma jute, au sol et ordonne « Lèche tout salope », ce que je fais consciencieusement.

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