Etre amoureuse et sans cesse infidèle 2 - histoire érotique

Tu te tiens là dans cette rame de métro. Tu sens le désir de l’homme. Il n’est pas beau. Un vieux pervers avec ses lunettes et son regard qui depuis 8 stations te déshabille. Tu aurais dû descendre mais tu es restée là assise à sentir son regard sur tes jambes.

Aujourd’hui il fait beau et chaud. Ta robe légère et courte remonte haut quand tu es assise. Tu es impudique et tu le sais. Tu as bien senti le regard désapprobateur de la femme assise près de toi. Dès qu’elle a pu, elle a changé de place. Tu prends plaisir à sentir le regard des hommes. Beaucoup de ses regards sont flatteurs, les hommes sont plus ou moins mignons et n’importe quelle autre femme préférerait certainement le regard appuyé d’un de ses hommes que de celui de ce vieux pervers.

Assis de biais il a le regard fixé sur tes jambes. Tu as bien vu sa main se promener innocemment sur sa braguette comme si sa queue avait grandi et qu’elle le gênait. Tu ne descends pas. Tu as sms à ton mari une excuse. Les soucis dans le métro sont réguliers. Tu seras en retard chez tes beaux-parents.

Qu’attends-tu ? Que l’homme se lève, te jette un regard ? S’il le fait, tu sais au fond de toi que tu te lèveras docilement. Qu’il t’aborde ensuite et te propose de le suivre et tu opineras de la tête. Aucun mot ne sortira de ta bouche. Au fond de toi tu te sens honteuse de ce désir. Mais la moiteur dans ta culotte est bien le signe de ton excitation.
Cet homme n’aura aucun respect pour toi. Il t’insultera certainement, il pensera à son seul plaisir. Tu sentiras ses mains sur ton corps, tu le sentiras pincer tes tétons et l’entendre te traiter de salope. Tu le verras fébrile en baissant son pantalon tout surpris de voir qu’une belle et jeune femme s’offre à lui.

Tu seras déjà à genoux nue par peur que son désir salisse tes vêtements. Tu n’es pas fébrile tu sais ce que tu veux. Cette queue n’est pas propre, elle sent l’urine mais cela t’excite. Une vraie odeur de mâle en rut.

Déjà tu embouches cette queue, léchant le gland, caressant de tes ongles les couilles. Tu sais comment rendre fou un homme. Huit ans de pratique t’ont appris à savoir comment accélérer ou freiner l’éjaculation. Tu sens la main du vieux dans tes cheveux, cherchant fébrilement à te plaquer contre lui. Tu sais que tu vas devoir surmonter un haut le cœur quand tu vas être plaquée contre son pubis poilu et malodorant.

Mais tu aimes cette sensation de soumission au désir de l’homme. Peut-être va-t-il relâcher son étreinte tout à son plaisir. Alors tu vas te retirer et le voir désemparé de cet arrêt brutal. Il va certainement te traiter de pute et salope. T’ordonner de continuer ton travail. Tu aimes ces insultes ce mépris que tu lis dans ses yeux. Tout le contraire de ce que tu vis dans ton couple.

Ton mari aimant et tendre qui traite avec douceur et tendresse. Comment lui dire que ton plaisir est d’être traitée en souillon, en juste videuse de couilles ? Tu aimerais tellement que ton mari n’ait aucun respect pour toi. Mais lui dire la vérité et tu sais le risque de le perdre. Comment un mari pourrait accepter de partager sa vie avec une nymphomane qui préfère la brutalité à la tendresse ?

Ta chatte coule de désir mais cet homme n’y aura pas droit. Ta chatte n’est pas pour ces amants de passage. Si après la fellation impériale, l’homme a encore du désir, tu te retourneras en lui offrant ton cul. Mais il est rare que ces vieux aient assez de vigueur pour te baiser ensuite.
Tu reprends ta fellation, un doigt s’égare entre ses fesses poilues, souvent ils sont surpris mais très souvent ils acceptent ce doigt fouilleur.

Une sonnerie, tu pensais avoir coupé ton portable, tu sors de ta rêverie.
L’homme est déjà sorti. Tu sens ta culotte trempée, la sonnerie insistante t’attire le regard désapprobateur de certaines. Le visage de ton bébé s’affiche … tu redescends dans la réalité. Tu te sens honteuse de ces pensées perverses. Tu mens comme souvent. Comme trop souvent. Tu promets de venir rapidement.

Le week-end est proche, un long week-end chez tes beaux-parents, avec ton bébé et ton mari. Un long week-end où tu devras être sage. Etre celle que tu n’es pas. Une femme aimante et sérieuse. Une femme qui vit ses rêves de sexe dans sa tête, une épouse qui fera l’amour avec son mari et pour jouir devra penser à un de ses amants vieux et pervers. Ils ne sont pas tes amants en réalité. Juste des aventures brèves et intenses même si tu revois certains plusieurs fois.
Ce week-end sera particulier car IL sera là. IL c’est ton Maître, cet homme qui te domine psychologiquement depuis bientôt huit ans.

Compliqué de faire l’amour avec lui avec tout ce monde dans cette maison mais au fond de toi, tu espères et tu crains de te retrouver seule avec LUI.

Quatre mois que tu ne l’as pas vu mais IL est chaque jour présent dans ta vie. Par ses messages, ses mails et ses appels. Mais ce week-end ce sera différent. Tu ne peux pas l’appeler Maître devant les autres. Tu seras différente, légèrement distante, encore une attitude qui surprendra ton mari. Cette attitude distante est la seule façon de te protéger. Tu as besoin de SON regard sur toi. De sentir SES mains sur ton corps, sentir SES BAISERS et SON désir.

Tu es là dans tes pensées quand un SMS arrive. Quand on parle du loup…IL vient aux nouvelles. Comme souvent, IL aime savoir si tu as été infidèle à ton mari. IL n’est pas jaloux, bien au contraire, IL aime savoir que tu suces et donnes ton cul à d’autres hommes. N’est-il pas à l’origine de tout cela.

C’est avec LUI que voilà six ans tu as commencé à aguicher des hommes vieux et pervers. Et sous sa direction que tu as sucé des hommes et donné ton cul. Lui réservant ta chatte. Même si tu ne le vois plus aussi régulièrement que par le passé, tu es en contact avec LUI chaque semaine. IL aime savoir avec qui tu as baisé, que tu lui détailles le sexe avec tes amants de passage. IL sait tout de ta vie. Tu ne lui caches rien.
Ce n’est pas une relation amoureuse que tu vis avec LUI mais une relation de totale soumission.

Etrange week-end, tu en as envie depuis si longtemps et en même tu crains ce week-end. IL ne sera pas seul. IL n’est jamais seul. Encore une femme plus jeune que LUI. Une nouvelle. Il aime te présenter ses conquêtes et sentir ton désir de rivaliser avec ces petites.

Les autres se trompent sur tes sentiments. Ton mari, tes beaux-parents, tes amis t’imaginent jalouse. Parce que ses compagnes sont jeunes, ils pensent que tu n’arrives pas à accepter de devoir LE partager avec des filles de ton âge ou juste quelques années de plus.
Ce n’est pas de la jalousie mal placée que tu ressens, juste le sentiment que tu es la seule à pouvoir satisfaire tous ses désirs.

Quatre mois que tu n’as pas senti ses mains sur ton corps, son souffle dans ta nuque et son sperme se répandre dans ton intimité.
Ce week-end tu le sais au fond de toi, tu seras infidèle à ton mari. LUI décidera de ce qu’il souhaite : te baiser ou te voir baiser avec d’autres devant LUI.
Tu n’as jamais su LUI dire non.