Etre amoureuse et sans cesse infidèle 3 - histoire érotique

Onze ans qu’il est entré dans ta vie, neuf ans qu’il te domine.
Une prison psychologique tu en es bien consciente. Jamais il ne t’a contrainte à rien. 1000 fois tu aurais pu dire non.

Pourquoi ne l’as-tu pas fait ? Et pourquoi à présent bien consciente de cette réalité, vis-tu dans la crainte de lui déplaire et lui dire non ?

Il a été le premier. Pas juste le premier homme à qui tu t’es donnée. Aussi le premier et même le seul à pouvoir exiger de toi tout ce qu’il veut.

À présent, tu es mariée et maman.

Tu pourrais te libérer de cette prison psychologique. Mais le veux-tu vraiment ? Es-tu heureuse avec ton mari ? Il t’entoure de toute sa tendresse et de son amour infini pour toi. Tu le sais car il accepte tes caprices sans rechigner ni jamais émettre une objection.
Un jour tu as failli t’ouvrir à lui, il sent bien ta fragilité mais face à lui tu as fait ce constat horrible en soi. Si tu as choisi cet homme pour époux c’est qu’il lui ressemble. Le même âge, la même morphologie, le même sourire éclatant.

Ton Maître le savait. Ne t’a-t-il pas conseillé d’épouser cet homme. La réalité est triste en soi. Oui tu étais éprise de ton futur mari car il te rassurait mais tu as accepté sa demande en mariage après avoir vu ton Maître et obtenu son accord.
Tous voient en lui un frère prévenant et attentif au bonheur de sa petite sœur. Tous oublient le demi qui change tout. Un frère n’aurait pas abusé de la naïveté de sa sœur. Un demi-frère voulant se venger de son père a fait de toi sa pute. 9 ans que tu as cru naïvement en ses mots d’amour. 9 ans que tu t’es offerte à lui en devenant sa maîtresse.

Neuf ans que tu as cru ses promesses et cédé à ses désirs sexuels. 9 ans qu’il te voit quand il a envie et qu’il fait de toi ce qu’il veut. C’est ce que tu te répètes à présent que tu es mariée mais la réalité est bien différente.
Loin de lui tu aurais pu te libérer de son emprise sur toi. Mais tu ne l’as pas voulu. IL est le seul homme à qui tu aimes te donner. Chaque fois tu revis avec lui ta première fois. Ce premier baiser, cette première fellation, ta première fois. Un souvenir magique. Au fond à chaque fois que tu le vois tu espères revivre cette première fois où il était tendre et te disait je t’aime. Tu sais qu’il ne t’aime pas. Il aime te baiser et faire de toi ce dont il a envie. Au besoin en t’offrant à d’autres hommes. Sans jamais te contraindre. Tout ce que tu as fait tu l’as fait par amour pour lui.

Pour lui tu t’es prostituée, pour lui tu t’es embrouillée longtemps avec ton père et ta mère, pour lui tu as rompu avec Marie ta meilleure amie. Pour lui tu as dit oui à ton mari et dit oui à devenir maman. IL est le parrain de ta fille. Comment cela pourrait être autrement ? Les autres n’auraient pas compris que tu choisisses un autre parrain.

Au fond de toi, as-tu peur qu’un jour ta fille devienne aussi soumise à lui que toi ? Il n’est pas un homme bien. Tu le sais. Ses conquêtes sont jeunes, souvent à peine majeures et à parler avec elles tu sens aussi l’emprise qu’il a sur elles. Elles aussi se sont-elles prostituées pour lui ? Ont-elles accepté de baiser avec des vieux ou des couples ? Tout comme toi.
Aujourd’hui il est chez vous. Ton mari l’a invité comme il le fait souvent. Ils sont devenus très proches. Aurais-tu aimé que cela ne soit pas le cas ? La vérité est que cela te permet de le voir et céder à tes désirs. Et accepter ses fantasmes.
Comme ce matin.

Son « Mélanie est bi comme toi. Elle te trouve très belle. Vous devriez bien vous entendre ». Tu te souviens que cette bisexualité était un de ses fantasmes. Tu avais alors 17 ans et pour lui plaire tu as couché avec Sabrina une de tes copines amoureuse de toi. En la mettant du même coup dans SON lit. Tu te souviens de la détresse de Sabrina découvrant que ton intérêt pour elle n’avait pour but que de lui permettre de profiter d’une jeune fille lesbienne. Cela avait sonné le glas de ton amitié avec Sabrina.

Comme une automate tu te diriges vers la salle de bain. Ton mari est parti travailler, le bébé dort, Mélanie est sous la douche. Est-elle réellement bisex ou tout comme toi il y a des années accepte-t-elle cette situation pour lui plaire ?
En entrant dans la douche, les yeux de Mélanie répondent à ta question. Elle ne connaît rien des plaisirs lesbiens. Tu pourrais partir mais ne te mens pas à toi-même.

Si au début tu as accepté ce sexe entre filles c’est pour lui faire plaisir mais ensuite ? N’as-tu pas éprouvé une forte jouissance en t’abandonnant dans les bras de filles et de femmes ?
Tu as envie au fond à initier Mélanie à ces plaisirs lesbiens. Tu prends plaisir à l’embrasser à pleine bouche. Très vite elle répond à tes baisers. Vos langues se mêlent, vos dents s’entrechoquent doucement, ta main caresse ses petits seins, ses tétons s’érigent. Tu aimes te coller à elle. Chatte contre chatte.

À part la couleur de peau et la couleur de cheveux différente, vous vous ressemblez. Même taille, mêmes petits seins. Aimait-il déjà ce type de femmes menues avant de te connaître ou c’est en te connaissant qu’il a opté pour ce petit format de filles jeunes et minces ? Tu pourrais te glisser à ses pieds et goûter sa chatte mais tu as envie de la découvrir dans un lit.
Et au fond de toi, tu sais qu’il viendra vous regarder et sans doute vous baiser l’une et l’autre. N’as-tu pas déjà vécu cette situation ? Ce n’est pas la première fois qu’il te fait partager sa dulcinée du moment.
Beaucoup de conquêtes. Toutes jeunes et belles. Toutes un brin naïves comme tu l’étais au début. Toutes connaissant forcément son côté tombeur mais convaincues d’être l’Elue. Toutes, du moins celles que tu connais, auront une relation brève. Tant mieux pour elles. Elles ne vivront pas des fantasmes comme tu les as vécus. Le partage avec des hommes mûrs et pervers, la prostitution, les partouzes dans des clubs, le tournage d’un film porno ( qu’il conserve précieusement) … toutes pleurent quand il rompt mais elles ignorent toute l’étendue de sa perversité.

Ton lit conjugal vous attend. Tu aurais pu aller dans leur chambre mais au fond de toi cela t’excite de faire l’amour avec cette fille dans ta chambre. Ainsi tu peux fermer la porte à clé et vivre pleinement cette relation de plaisirs lesbiens. Tu sais qu’il sera frustré de ne pas vous voir. Peu importe. Tu ne le fais pas pour lui mais pour elle. Pour éviter qu’il prenne des photos de vous deux nues à vous lécher. Déjà tu es entre les cuisses de Mélanie. Tu aimes sucer une queue mais lécher une chatte ne te déplaît pas. Bien au contraire. Surtout quand tu es l’initiatrice.

Être la première pour cette fille t’excite. Tu le sais bien. Une fois qu’elle aura goûté à ces plaisirs lesbiens elle voudra recommencer. Tu l’as vécu aussi ainsi.
Sa jouissance est forte, elle tremble, tu sens son regard sur toi. Ivre de jouissance. Bientôt, elle va vouloir te rendre ce plaisir. Si facile de donner du plaisir à une autre fille. Ton plaisir monte. Tu n’as pas besoin de penser à un de ses hommes pervers comme quand tu fais l’amour avec ton mari. Avec une fille, tout est si différent. Tu t’abandonnes à ce plaisir et cette jouissance qui monte. Tu te sens heureuse.

La poignée de la porte bouge. Tu sais qu’il est en dehors. Il rage de ne pas vous voir toutes les deux. Mélanie a-t-elle ressenti ce que tu ressens ?
Certainement car elle se blottit dans tes bras. De longs baisers passionnés alors que tu entends des coups à la porte.
Bientôt il faudra se lever, plus tard, plus tard, là tu es heureuse.

Et si être lesbienne était la solution ?