Examen blanc
Récit érotique écrit par SarahG [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Examen blanc
Je suis de retour en classe après les vacances de Noël. Mon premier cours d’option de l’année a commencé il y a déjà vingt minutes, et voilà déjà vingt minutes que je suis retombée, malgré mes bonnes résolutions, dans mes mauvaises habitudes. J’ai à moitié décroché du cours, mon esprit divague et surtout je jette des petits coups d’œil régulier à R., à l’autre bout de la classe. R. n’est pas franchement mon type, il n’est pas très grand, un peu pédant, et surtout il est meilleur que moi en philosophie, ce qui est impardonnable. Mais il a une moustache extrêmement sexy, une belle voix et puis il n’arrête pas de me regarder. Je pensais que ce n’était qu’une impression, mais il me regarde définitivement souvent, l y a de quoi être intriguée. Il ne me sourit jamais, il se contente de me lancer ce regard grave et direct, et je finis toujours par détourner les yeux. Heureusement il est dans l’autre classe, je ne le vois que deux heures par semaine en option, mais je dois avouer que j’attends ces heures avec une certaine impatience. Surtout depuis ce qui s’est passé avant les vacances, pendant le concours blanc.
L’épreuve de français dure six heures. Je sors généralement vers la quatrième, pour remplir ma bouteille d’eau et m’aérer un peu la tête. En période d’examen blanc je ne croise pas souvent R., n’étant pas dans la même classe nous composons dans des salles différentes. Mais par un hasard remarquable, il se trouve que ce jour-là nous sommes sortis en même temps de nos salles respectives. La probabilité n’était pas énorme : en effet, pendant les épreuves nous pouvons aller aux toilettes un par un, impossible de quitter la salle avant que l’étudiant sorti avant nous ne soit revenu. Mais bien sûr, il arrive de croiser dans les couloirs des gens de l’autre classe. R. sort au moment où je passe devant la porte de sa salle. S’il est troublé, il n’en laisse rien voir, et me regarde à peine. Il s’avance dans le couloir d’un pas décidé. La trajet est relativement long jusqu’aux toilettes, et à cette heure les couloirs sont déserts, ce qui me permet de mater ses fesses à loisir. Elles ne sont pas mal, pas mal du tout. Il est habillé sobrement, avec des vêtements qui semblent confortables mais qui inspirent une certaine élégance. Je prends mon temps, savourant la vue autant que le soulagement de pouvoir enfin dégourdir mes jambes. R. au contraire marche vite, et s’engouffre dans les toilettes. Il aurait pu me tenir la porte, je n’étais pas si loin que ça.
Je la pousse à mon tour pour entrer, mais dès que j’ai pénétré dans la pièce je suis repoussée violemment. R. est là, me tenant fermement plaquée contre le mur carrelé dont le froid m’envahit aussitôt. Mon coeur bat à toute allure, je suis sous le choc et un frisson parcourt mon corps. Est-ce simplement le froid ? Je crois que je suis aussi un peu excitée. Ma bouteille roule sur le sol où je l’ai laissé tomber. Je manque m’effondrer moi-même lorsque R. se penche vers moi pour me rouler une énorme pelle. Je déteste embrasser avec la langue, mais la sienne s’insinue sans compromis entre mes lèvres et commence à s’enrouler avec langueur contre la mienne. Nos lunettes s’entrechoquent. La proximité de nos corps (il est plaqué contre moi) me permet de sentir la raideur de son sexe contre ma hanche. Je pousse un grognement de contestation en cherchant à me dégager, mais avant que j’ai pu dire quoi que ce soit il saisit mes joues d’une main pour m’empêcher de parler et j’entends sa voix si séduisante prononcer à mon oreille :
« On n’a pas beaucoup de temps, si on est trop longs ils vont penser qu’on triche. »
Mon coeur bondit dans ma poitrine, qu’il a d’ailleurs commencé à peloter. Le risque d’être surpris est en effet minime, à condition de ne pas rester trop longtemps, personne ne se rendra aux toilettes avant que nous les quittions. Mais c’est si déstabilisant ! Surtout avec lui !
Tandis que mon esprit peine à prendre une décision, mon corps commence à réagir à ses caresses. Sa main a soulevé ma jupe longue, et sans toucher directement mon sexe ses doigts frottent le tissu de ma culotte contre mon clitoris. J’adore cette sensation de frottement, et en rien de temps une légère humidité commence à imprégner le tissu. L’idée que quelqu’un pourrait malgré tout entrer à tout moment m’obsède, mais je crois qu’elle participe à l’excitation folle qui est en train de monter en moi. R. s’empare de ma main qu’il plaque contre son sexe. Il est tellement dur ! Sentir ainsi son désir me libère de mes dernières réserves. J’extraie sa verge avec l’intention de lui prodiguer une fellation assez efficace pour repartir vite. Pas question de me faire baiser dans les toilettes du bahut ! Mais avant que j’ai pu faire quoi que ce soit de plus, R. me retourne brusquement et me voilà à nouveau plaquée contre le mur. D’une main sur ma nuque il me maintient immobile, tandis que de l’autre il me force à me cambrer en appuyant sur mes reins. Je crois que je ne vais pas avoir le choix… Il fait glisser ma culotte le long de mes jambes, dans un geste étonnamment doux. Je me sens fondre tandis que son souffle chaud caresse ma nuque alors qu’une de ses mains se pose sur mes lèvres pour les écarter. La violence de la pénétration me choque d’autant plus. Il s’est introduit d’un coup, brutalement, et s’est fiché au fond de moi. Il ressort aussitôt son sexe presque entièrement pour me l’enfoncer à nouveau jusqu’à la garde. Ce manège continue encore, et encore, et encore… Au moment où cette répétition commence à faire ses effets en moi, je sens soudain ses mains se crisper sur mon corps. Il se retire prestement et, dans un halètement, éjacule sur le creux de mes reins. Je sens le foutre couler sur mes fesses. Il laisse ma jupe retomber sur elles sans même me laisser le temps de m’essuyer. Un peu désorientée, essoufflée, les fringues de travers, je me retourne pour constater qu’il est déjà impeccablement rhabillé et marche vers la porte. Je regarde ma montre : six minutes à peine se sont écoulées ! Ça m’a semblé des heures, et pourtant je reste sur ma faim. Quel espèce de goujat vous prend entre deux portes pendant un examen pour vous quitter sans un orgasme ni même un mot ? Voilà ce que, une fois rendue assez présentable pour retourner à ma copie, je tourne et retourne dans ma tête.
Je pense que je n’en ai pas fini avec R., en tout cas il continue de me regarder en classe. Ou alors peut-être que c’est moi qui l’observe avec trop d’insistance ?
L’épreuve de français dure six heures. Je sors généralement vers la quatrième, pour remplir ma bouteille d’eau et m’aérer un peu la tête. En période d’examen blanc je ne croise pas souvent R., n’étant pas dans la même classe nous composons dans des salles différentes. Mais par un hasard remarquable, il se trouve que ce jour-là nous sommes sortis en même temps de nos salles respectives. La probabilité n’était pas énorme : en effet, pendant les épreuves nous pouvons aller aux toilettes un par un, impossible de quitter la salle avant que l’étudiant sorti avant nous ne soit revenu. Mais bien sûr, il arrive de croiser dans les couloirs des gens de l’autre classe. R. sort au moment où je passe devant la porte de sa salle. S’il est troublé, il n’en laisse rien voir, et me regarde à peine. Il s’avance dans le couloir d’un pas décidé. La trajet est relativement long jusqu’aux toilettes, et à cette heure les couloirs sont déserts, ce qui me permet de mater ses fesses à loisir. Elles ne sont pas mal, pas mal du tout. Il est habillé sobrement, avec des vêtements qui semblent confortables mais qui inspirent une certaine élégance. Je prends mon temps, savourant la vue autant que le soulagement de pouvoir enfin dégourdir mes jambes. R. au contraire marche vite, et s’engouffre dans les toilettes. Il aurait pu me tenir la porte, je n’étais pas si loin que ça.
Je la pousse à mon tour pour entrer, mais dès que j’ai pénétré dans la pièce je suis repoussée violemment. R. est là, me tenant fermement plaquée contre le mur carrelé dont le froid m’envahit aussitôt. Mon coeur bat à toute allure, je suis sous le choc et un frisson parcourt mon corps. Est-ce simplement le froid ? Je crois que je suis aussi un peu excitée. Ma bouteille roule sur le sol où je l’ai laissé tomber. Je manque m’effondrer moi-même lorsque R. se penche vers moi pour me rouler une énorme pelle. Je déteste embrasser avec la langue, mais la sienne s’insinue sans compromis entre mes lèvres et commence à s’enrouler avec langueur contre la mienne. Nos lunettes s’entrechoquent. La proximité de nos corps (il est plaqué contre moi) me permet de sentir la raideur de son sexe contre ma hanche. Je pousse un grognement de contestation en cherchant à me dégager, mais avant que j’ai pu dire quoi que ce soit il saisit mes joues d’une main pour m’empêcher de parler et j’entends sa voix si séduisante prononcer à mon oreille :
« On n’a pas beaucoup de temps, si on est trop longs ils vont penser qu’on triche. »
Mon coeur bondit dans ma poitrine, qu’il a d’ailleurs commencé à peloter. Le risque d’être surpris est en effet minime, à condition de ne pas rester trop longtemps, personne ne se rendra aux toilettes avant que nous les quittions. Mais c’est si déstabilisant ! Surtout avec lui !
Tandis que mon esprit peine à prendre une décision, mon corps commence à réagir à ses caresses. Sa main a soulevé ma jupe longue, et sans toucher directement mon sexe ses doigts frottent le tissu de ma culotte contre mon clitoris. J’adore cette sensation de frottement, et en rien de temps une légère humidité commence à imprégner le tissu. L’idée que quelqu’un pourrait malgré tout entrer à tout moment m’obsède, mais je crois qu’elle participe à l’excitation folle qui est en train de monter en moi. R. s’empare de ma main qu’il plaque contre son sexe. Il est tellement dur ! Sentir ainsi son désir me libère de mes dernières réserves. J’extraie sa verge avec l’intention de lui prodiguer une fellation assez efficace pour repartir vite. Pas question de me faire baiser dans les toilettes du bahut ! Mais avant que j’ai pu faire quoi que ce soit de plus, R. me retourne brusquement et me voilà à nouveau plaquée contre le mur. D’une main sur ma nuque il me maintient immobile, tandis que de l’autre il me force à me cambrer en appuyant sur mes reins. Je crois que je ne vais pas avoir le choix… Il fait glisser ma culotte le long de mes jambes, dans un geste étonnamment doux. Je me sens fondre tandis que son souffle chaud caresse ma nuque alors qu’une de ses mains se pose sur mes lèvres pour les écarter. La violence de la pénétration me choque d’autant plus. Il s’est introduit d’un coup, brutalement, et s’est fiché au fond de moi. Il ressort aussitôt son sexe presque entièrement pour me l’enfoncer à nouveau jusqu’à la garde. Ce manège continue encore, et encore, et encore… Au moment où cette répétition commence à faire ses effets en moi, je sens soudain ses mains se crisper sur mon corps. Il se retire prestement et, dans un halètement, éjacule sur le creux de mes reins. Je sens le foutre couler sur mes fesses. Il laisse ma jupe retomber sur elles sans même me laisser le temps de m’essuyer. Un peu désorientée, essoufflée, les fringues de travers, je me retourne pour constater qu’il est déjà impeccablement rhabillé et marche vers la porte. Je regarde ma montre : six minutes à peine se sont écoulées ! Ça m’a semblé des heures, et pourtant je reste sur ma faim. Quel espèce de goujat vous prend entre deux portes pendant un examen pour vous quitter sans un orgasme ni même un mot ? Voilà ce que, une fois rendue assez présentable pour retourner à ma copie, je tourne et retourne dans ma tête.
Je pense que je n’en ai pas fini avec R., en tout cas il continue de me regarder en classe. Ou alors peut-être que c’est moi qui l’observe avec trop d’insistance ?
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