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Récit érotique écrit par Gildelain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
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Cette fois, sans est trop, je ne pensais pas que sa copine allait être au courant de tous, je fais mine de protester.
- Allez, discute pas ou je te donne une correction.
Je fille dans la chambre, reviens au bout de dix minutes avec une paire de bas auto fixant aux jambes ainsi que le fameux soutient gorge découpé, je l'adore celui-là parce qu'il comprime mes seins et les fait paraîtres plus gros. Un gros sac de voyage a la main.
- Déballe ton petit matériel pour faire voir à ma copine.
Lentement, je m'exécute, je me mets à genoux sur le tapie et entrouvre mon sac.
- Allez dépêche-toi, ont vas pas y passer la soirée. Sort ton matériel de salope.
A genoux devant elles, je sors ma panoplie de godemichés un par un, les rangent sur le tapis les uns à coté des autres. Ensuite je sors diverse longueur de chaînes munies de mousquetons à leur extrémité, puis vienne les gros bracelets en plastique épais que j'ai confectionné, un martinet avec des lanières en cuir, deux paires de menottes en métal, puis une minerve médicale en plastique blanche, que j'ai récupéré je ne sais plus ou. Tout un assortiment de poids en acier muni de crochets métalliques dont je me rappelle les avoir acheté sur une brocante, en fait se sont des poids de machine à tricoter. Des pinces à tétons achetés en sexe shop. Des globes en plastique transparent avec une pompe à vide pour les seins, la même chose pour la vulve, aussi un modèle pour le sexe masculin, pareil acheté par correspondance, un développeur je crois. Des seringues médicales de différentes grosseurs, modifiées, pour l'aspiration des tétons aussi de ma fabrication. Deux tubes de gel lubrifiant. Puis tout au fond du sac, un Plug gonflable. Et le meilleur pour la fin, cinq quilles en métal de ma fabrication de différente, grosseurs. Et aussi un gros œuf en métal. Et une boule de pétanque chromée. Une fois tout déballé, je relève la tête et regarde les deux femmes. Martine est stupéfaite, la bouche ouverte et n'en croit pas ses yeux- Ben ça alors, tu m'en diras temps, je comprends ton attitude maintenant, c'est quand même un gros pervers, en plus il a de l'imagination. C'est le Mike Guevers du sexe ma parole.
- Tu vois que je ne t'ai pas mentie et pour les sous-vêtements, c'est pareil, tous de la récupe, même des trucs qu'il a modifié. Du grand art.
- Je comprends tout, maintenant, c'est la première fois que je vois un déballage pareil.
- Comme tu peux le voir, même pas il a honte. Il exhibe tout ça, tranquillement.
- Et il se met tout set trucs dans le cul, je n'y crois pas! Pas la boule de pétanque quand même ?
- La "tit put" elle va montrer à Martine comment elle s'encule toutes seul.
Depuis le début, je me doutais que cela allais finir de cette façon, je ne sais pas pourquoi. Décidément Marie à décidé de m’humilié jusqu’au bout.
- Vas chercher le fauteuil du pc de la chambre, fait le roulé jusqu'ici.
Je me relève et part en direction de notre chambre et reviens en poussant devant moi dans le couloir le fauteuil de bureau à roulette.
- Tu vois c'est la que je l'ai surpris un jour enculé sur ces trucs sur ce siège, alors il va nous montrer, maintenant.
- Allez ont attend vas y défonce-toi le cul, fait nous voir.
Je prends la plus petite quille en métal et la pause au milieu du siège. Prend une noisette de gel et en enduit le métal froid. Ensuite je m'accroupi dessus jusqu'à ce que mon anus soit en contact avec l'objet. Et doucement, je m'empale, la sensation est délicieuse, une fois bien en place, j'ondule le bassin d'avant en arrière, je sens bien cogner contre ma prostate à l'intérieur. Je regarde toujours les deux femmes dans les yeux, après être resté un court moment empalé, je me relève. Je me saisie d’une autre quille de plus grosse dimension en posant la précédente sur le sol. Je recommence l'opération avec le gel et je me ré empale dessus. Je descends plus lentement la quille étant plus large ça force un petit peut. Comme cela jusqu'a l'avant dernier dont la dimension est plus que respectable ?
- Tu vois comme il aime ça !
- Je n'en crois pas mes yeux avec quelle facilité sa rentre dans son cul.
L'avant dernier un peut plus large qu'une boite de coca, force quand même pas mal, je fais la grimace, mais tous rentrent. Je reste un moment le cul dilaté à l’ extrême. Mon sexe est ridiculement recroquevillé sur lui-même, mélange de douleur et de plaisir, j'adore, après avoir écarté le dessous de mes cuisses au maximum avec mes mains pour mieux sentir l'engin dans mes intestins, je me relève doucement. Quelque trace brune souille le métal brillant.
- Je ne crois pas qu'il puisse mettre la dernière, tu as vu la taille !
- Je te dis que je l'ai déjà vu dans son cul, n’oublie pas que c’est une grosse cochonne.
Pour la dernière je vais plus doucement encore je geins en me l'enfonçant, je me déchire presque, c'est trop bon, j'adore cela. La douleur est intense mais quel bonheur de se sentir dilaté à l'extrême. Pareil je m'écarte les cuisses par en dessous pour bien ressentir au plus profond. Une fois la quille complètement en moi je commence doucement à bouger le bassin, c'est divin ma prostate est chamboulée de ce traitement, une érection commence à tendre mon sexe. Enculé à fond je regarde les deux femmes. Humilié par ma position mais comblée. A ce moment la Marie se lève et s'approche du fauteuil elle le fait tourner sur sa base pivotante pour bien faire voir à Martine que je suis à fond dessus.
- Tu vois comme c'est une chienne, elle se casse le cul toute seule et elle à l'air d'aimer en plus.
- Je vois, je vois.
D'un coup Marie penche le fauteuil en arrière, je glisse sur le fond du dossier intensifiant ainsi la douleur. J'échappe des cris sous la brusquerie du geste, mon sexe se tend encore plus.
- Tait toi vilaine pute !
Elle maintient le fauteuil incliné en arrière, je ne peux plus me redresser je suis obligé de supporter la douleur qui s’installe dans mes reins. Lorsque je le fais seul, je ne reste pas plus de cinq ou six minutes empalé de la sorte avec la plus grosse, le temps de me faire jouir, cela devient vite insupportable ensuite. La je suis coincé sur mon fauteuil le cul éclaté un maximum.
- Regarde comme elle est bien comme cela en plus elle est coincée, passe-moi les deux paires de menottes Martine.
Martine se lève du canapé et tend les ustensiles à Marie. J’entends les menottes qui se verrouillent sur les accoudoirs puis viennent le tour de mes poignets. Cette fois je suis immobilisé, complètement à leur merci. Ensuite Marie me passe le gros collier en plastique autour du cou, le verrouille avec un cadenas derrière ma tête puis prend une longueur de chaîne et immobilise le fauteuil en arrière. Je suis définitivement immobilisé. Malgré toute ma bonne volonté, je ne pourrais jamais me libérer seul.
- Et voila notre petite pute enculée pour de bon cette fois ci. Est tu contente au moins ?
- Oui. , J’aime.
- Oui qui !
- Oui Madame.
- Tu vois tu commence à comprendre.
Elle ramasse sur le tapis un gros gode en plastique. Un modèle hyper réaliste sauf peut être la taille de l'engin, quoique encore. S’approche de moi et m'ordonne.
- Suce ! Ouvre bien ta bouche en grand !
J'ouvre la bouche, mais malgré tout seul le bout peut être englouti.
- Ouvre plus grand................ Encore, force-toi un peut.
Elle commence à faire des mouvements de vas et vient en insistant bien au fond de ma gorge ce qui me provoque des hoquets et des spasmes presque de renvois.
- Regarde-moi cette pauvre petite pute qui n'arrive même pas à sucer convenablement, c’est un comble.
J'ai la bouche complètement distendu à force d'avaler ce sexe et elle continue encore. Malgré mes hoquets.
- Plus de conviction au lieu de faire ta chochotte ! Allez lèche bien le bout aussi, sort la cette langue.
Elle maintient le gode devant mon visage, je le lèche comme s'il s'agissait d'une glace.
- Regarde-moi cette cochonne même pas elle a honte, regarde Martine, approche toi tu ne vas pas y croire une vrais salopeEn invitant Martine à se rapprocher, elle lui montre mon entrejambe.
- Regarde, tu as déjà vu ça toi ! Il est en train de tacher le siège tellement y mouille.
Effectivement en me penchant en avant je vois mon sexe, tout tendu et gluant, une grande auréole apparaît sur le fauteuil. Marie me prend le sexe entre ces doigts et un long fil de mouille s’échappe.
- Regarde-moi un peut cette cochonne, je n'ais jamais vus un mec mouillé de la sorte, c'est impressionnant.
- Moi non plus, je n'ai jamais vu ça.
Je n'en peux plus d'être immobilisé en arrière sur ce fauteuil, mes reins commencent à me lancer tellement la douleur s'installe. Jamais je ne me suis empalé si longtemps, lorsque je me fais cela en moyenne, je reste cinq ou six minutes, pas plus, le temps de me masturber et de jouir. Avec la quille de métal qui me masse la prostate mon orgasme arrive très vite. Mais la cela vas bientôt faire un petit quart d'heure quelle joue avec moi et j'ai le fondement complètement déchiré. Apparemment elle n'en on pas finit avec moi. Martine se prête au jeu elle s'empare du gode des mains de Marie et trempe le bout sur le devant de mon sexe dans la tache gluante du fauteuil. Je sens mon sexe malmené par le gland en plastique.
- Regarde Marie, je n’ai pas une bonne idée la !
Elle me fourre le bout brillant de mouille devant la bouche- Allez, suce, ce sera plus réaliste pour le goût !
Je sors ma langue et commence à faire des mouvements autour de l’engin factice. Marie pendant ce temps fait le tour du fauteuil et se place dans mon dos, me saisi mes deux tétons et commence à me les triturer dans tous les sens, elle sait très bien que j'adore ça. Immédiatement je commence à gémir et mes reins se remettent en mouvement d'avant en arrière. Malgré la douleur de mon cul je ne peux pas résister à ce traitement. Martine continue de tremper le bout du gode dans ma mouille et m'oblige à le sucer plusieurs fois de suite je me cambre en avant pour bien ressentir au plus profond dans mes entrailles. Marie me prend les tétons par mes piercings et commence à décrire des cercles imaginaires en tirant dessus, je sens une érection montée du coté de mon ventre Martine qui est devant moi sens aperçois.
- Regarde Marie il bande en plus, ça a l'air de lui faire de l'effet.
- Je t'avais dit que c'était une grosse cochonne.
Ce traitement dure depuis cinq bonnes minutes, je n'en peux plus d'être excité de la sorte, mes reins me lancent jusque dans le dos, malgré cela, je me défonce de plus en plus fort en m'agitant sur mon siège. Martine m'enfonce le gode de plus en plus fort au fond de la gorge, j’ai extrêmement mal aux seins avec ce que Marie leur fait subir. Un mélange de honte, de douleur, de plaisir la sensation est extra, je suis aux anges. Les deux femmes se regardent mutuellement en rigolant. Moi je sens qu'à force de taper contre ma prostate la quille dans mon cul fait son effet et je ne vais pas tarder à jouir. Je le sens arriver. En maltraitant ma poitrine, Marie m'arrache des gémissements de douleur ou de bonheur, tellement les deux sentiments sont mélangés. D'un seul coup, je gicle, à plusieurs reprises, rarement mes éjaculations sont de cette ampleur, mais il faut dire qu'elles ont mis le paquet.
- Regarde-moi ça, il joui sans même se toucher, c'est la première fois que je vois ça de ma vie.
- Je te l'avais dit une grosse cochonne, en plus elle en a mis partout.
J’ai rarement eut des orgasmes de cette intensité. Marie me lâche les seins, ils sont rougis à force d'avoir été mal traité, les bouts sont presque violacés. Martine c'est brusquement reculé lorsque j'ai joui. Par contre Marie a du sperme sur les doigts j'ai également de grande traînés visqueuse sur le ventre et la poitrine. En retombant, mon sperme a également taché mes bas. Je suis essoufflé, je reprends mes esprits, la douleur dans mes reins est de plus en plus insupportable maintenant. Marie s'essuie les mains sur ma poitrine - Tu parle d'une salope, je n'en reviens pas.
- Tu as vu ça un peut.
En disant cela Marie touille ses doigts dans mon sperme sur mon ventre des fils se forment lorsqu'elle quelle me les porte à la bouche.
- Nettoie-moi ça " tit put"J’ouvre la bouche et lui lèche consciencieusement les doigts. Pour ne pas être en reste Martine frotte et enduit le gode sur le nylon de mes bas en ramassant le plus de sperme possible aussi et le porte à ma bouche également pour le nettoyer. Les deux femmes ont un regard complice elles n’en peuvent plus de me barbouiller le visage avec mon sperme. J’ai le cul en feu, moi je voudrais bien que cela s’arrête maintenant, je commence à trouver le temps long, les deux copines se moquent de moi a présent Marie soulève mon sexe à nouveaux et le laisse retombé entre mes cuisses, il est à nouveaux tout rabougris.
- Regarde-moi cette bitte, je n'ai jamais vu un truc si petit.
- Je te l'ai déjà dit, ça me fait penser à mon fils lorsqu'il était petit.
- Allez laisse la se reposer maintenant elle à bien mériter. Tu vois que l'on passe de bon moment avec "Tit put".
En disant cela elle fait tourner le fauteuil sur sont embase je fais un tour et demie et m'arrête en face d'elle.
- Elle n’est pas mignonne comme ça, ça ne fait pas envie.
- C'est spécial, mais il faut dire que d'avoir un homme à sa merci c'est assez jouissif.
Moi je n'en peux plus, j'ai extrêmement mal à présent et je voudrais bien que la séance se termine au plus vite. Marie se penche sur le sol et ramasse deux poids munis chacun d'une sorte de pince crocodile.
- Regarde ont vas décorer le sapin.
Elle me clips les deux poids à chaque tétons, deux poids de machine à tricoter qui doivent bien faire cinq cent grammes chacun, je crie sous la morsure des pinces. Elle les fait balancer contre moi, j’ai les seins complètement distendus, de plus les boucles de métal qui traverse mes tétons sont malmenés, cette fois sans est trop je hurle de douleur. Des larmes me montent aux yeux elle les a déjà maltraités pendant une demi-heure, ensuite les poids, je n’en peux plus.
- Elle ne va pas ce taire la salope !
Et elle fait bouger les poids de plus belle, Je hurle à nouveaux.
- Je ne veux plus t'entendre !
- Arrête, ça doit lui faire mal.
- Elle adore ça d'habitude.
Elle ramasse un autre poids beaucoup plus petit celui la en forme de petite boule achetée également par correspondance et m'ordonne d'ouvrir la bouche et de tirer la langue. Je fais non de la tête.
- Tu obéis !
Elle me secoue une nouvelle fois les poids de me seins. Je cris à nouveaux.
- Arrête, il a l'air d'avoir très mal quand même.
- Je veux qu'il m'obéisse, c'est tout, sort cette langue.
La poitrine en feu je lui tire doucement la langue. Elle me clips également le poids sur la langue avec les petites pinces acérées, je gémie à nouveaux le poids est moins gros que ceux de ma poitrine mais m'oblige quand même à rester la bouche grande ouverte et la langue tiré, du fait, je ne peux plus parler non plus, sauf pousser quelques grognements.
- Tu vois pour Noël tu le mets dans ton salon et comme ça tu économise l'achat d'un sapin- Arrête, enlève-lui ça il doit avoir horriblement mal.
- Je te répète, il adore avoir mal si ces trucs sont dans son sac, c'est qu'il sans sert. Donc s’il sans sert, c'est qu'il aime ça. Je n'ais pas raison !
- Oui mais quand même.
- Viens ont vas se laver les mains et s'offrir un petit apéritif, ont la bien mérité, tu ne trouve pas.
Les deux femmes s'éloignent dans la salle de bain et me laissent seul immobilisé et renversé sur mon fauteuil, l'anus les seins et la langue en feu. La douleur m'irradie dans tous le corps en plus je ne peux plus déglutir, de la salive me coule du menton et me coule sur le torse. Je n'en peux plus de ma position.
Elle revienne et s'installe sur le canapé Marie fait le service retourne chercher des glaçons et elle trinque devant moi en rigolant. Elles tendent leurs verres dans ma direction.
- A la tienne "tit put".
Elle ne fait pas plus de cas de moi à présent et elle recommence à papoter, des larmes m'inondent les yeux, j'ai vraiment trop mal, je geins à nouveaux.
- Mais elle ne va pas se taire celle la !
- Peut être qu'il a soif non.
- Non c'est pour faire son intéressant, ne t'occupe plus de lui.
Marie se lève brusquement prend un glaçon sur la table basse et s'approche de moi - Alors tu as soif ?
Je ne peux même pas lui répondre. Elle me le fourre dans la bouche.
- Tient comme ça tu te tiendras tranquille.
Je ne puis même pas avaler ma salive n'y même fermer la bouche, le glaçon reste la coincé dans ma bouche plus la pince maintenant en plus la morsure du froid, c'est horrible. Le glaçon en fondant me coule dans la gorge, je vois le coup ou il va glisser et je vais m'étouffer avec. Pris de panique je secoue la tête dans tous les sens pour le faire sortir de ma bouche, le balancement du poids sur la langue me fait à nouveaux grogner de douleur mais enfin le glaçon tombe sur le sol.
- Mais elle va s pas arrêter son cirque ! Puis tu nous énerve tient.
Marie se relève à nouveaux et s'approche du siège. Me libère du poids de ma langue, je hurle de douleur lorsque la pince me lâche la langue, cela faisait bien vingt bonnes minutes que j’étais ainsi, je n’en pouvais plus. Elle libère aussi les poids de mes seins. La douleur qui sent suit est aussi insupportable. En fait ce n'est pas quand on met les pinces que cela fait le plus mal, c'est lorsque ont les retirent le sang affluent à nouveaux dans les tétons, sa lance, c'est horrible. Elle me libère aussi des menottes, ce qui fait que je peux me redresser dans le fauteuil, mais dans les reins je ne sens plus mon cul. Marie redresse le fauteuil à la verticale mes pieds pose enfin sur le sol, j'ai trop mal.
- Martine vient voir de prêt un cul complètement éclaté, tu verras, c'est impressionnant.
Doucement je me relève, je ne sens plus mes reins tellement je suis resté longtemps dans la même position. Lentement je me décolle du fauteuil Les deux femmes sont autour de moi n'en perdant pas une miette. Moi, je grimace de douleur une fois libéré de ce pal, je me retourne pour le voir je n'ais pas le temps de me retourner que Marie m'ordonne de me pencher pour faire voir mon cul à Martine - Penche-toi, écarte tes fesses avec tes mains pour bien faire voir à Martine t'on cul de petite enculée.
Je me prends les fesses à deux mains et me penche en avant Martine est penchée derrière moi et contemple mon anus qui doit être largement dilaté encore.
- Et ben ma salope, je n'ai jamais vu un cul si ouvert, c'est impressionnant. Je n'en reviens pas, c'est dingue, tu m'étonne, je comprends mieux maintenant les PD qui se mettent une main dans le cul.
- Tu as vu ça, c'est dingue non, attend je reviens, bouge pas toi, reste comme tu es.
Marie repart à la cuisine, je l'entends qui fourrage dans le placard sous l'évier. Et revient bientôt en tenant une paire de gans en caoutchouc que l'on se sert parfois pour les taches ménagères.
- Ecarte tes fesses encore plus toi !
J'insiste en tirant de chaque coté ? Je sens une main qui me passe entre les fesses de bas en haut et de haut en bas. Je me cambre d'avantage lorsque je sens sa main.
- Tu vois elle en redemande encore, une vrais petites salope, Tu vas voir un truc impressionnant Martine, regarde bien.
Lentement je sens les doigts me pénétrer, je vais au devant de cette main en me cambrant encore.
- Je te dis que c'est une vrais petite salope, regarde bien ma main, il va l’avoir complètement dans son cul bientôt.
Je sens la main de Marie qui s’enfonce de plus en plus profond dans mes fesses, j’adore cela, surtout que la place était bien préparée à l’avance, c’est divin, je grogne de bonheur malgré la douleur résiduelle. Martine en est bouche bée - Je n'en reviens pas et il à l'air d'aimer ça en plus.
- Il n'a pas que l'air, il adore ça, je te dis une pute, tu c'est ce que c'est, une pute et bien tu en as une devant les yeux, regarde bien, je sers mon poing dans son cul regarde comme il aime.
Je sens la main bouger dans mes intestins, Marie commence à lui fait faire un mouvement de vas et viens, je suis au ange de douleur et de plaisir mêlé.
- Regarde comme il aime bien se faire enculer de la sorte.
- Je n'en reviens pas, je n'avais jamais vu cela en vrais - Oui mais tu en avais déjà vu !
- Je pense comme beaucoup de gens sur Internet, dans des trucs de cul.
- Tu vois que tu es cochonne aussi.
- Simplement par curiosité, c'est tout.
- Mon œil, par curiosité je sais très bien que tu vie seule en ce moment, alors.
- Alors quoi, je t'interdis de penser une chose pareille.
- Ca vas si on ne peut plus rigoler maintenant .Regarde plutôt ma petite pute à moi comme je l'encule bien à fond. Et tu sais dans ces moments la, c'est une vrais chienne, je peux lui demander n’importe quoi.
- C'est à dire.
- Regarde pire qu'une pute, tu vas voir............. tourne-toi, tient toi devant le fauteuil et penche toi bien en avant.
Je me retourne doucement, penché en avant, la main de Marie fourrage toujours dans mon cul, je pose mes mains à plat sur l'assise du fauteuil. Devant mes yeux la quille de métal couverte de traînées brunâtres et de sang mêlé. Je sens Marie qui insiste dans mon cul, je gémie sous le plaisir et la douleur Je sens des autres doigts qui force dans mon anus elle m'arrache des cris de douleur cette fois.
- Laisse toi faire salope je vais te le défoncer ton petit cul moi.
Je sens une autre présence qui s'insinue, mon anus est complètement dilaté et Marie qui me baratte de plus belle, je sens de la mouille qui coule de mon sexe à nouveaux.
- Nettoie-moi ce truc la, lèche le comme il faut.
Je fais non de la tête, c'est carrément dégeulasse.
- Arrête Marie, c'est sale, il y a pleins de sang et de merde dessus.
- Une bonne pute ça fait ce que l'on dit de faire, ça ne discute pas, lèche-moi ça.
Elle insiste et me bourre de plus en plus profond jusqu'a me faire mal. Un coup plus violent que les autres me fait redresser d'un coup et je crie.
- Arrête Marie tu lui fais mal.
- Je te dis qu'il va nettoyer sa merde, il va le faire pour bien que tu voies comme c'est une soumise.
Vaincu, je me penche à nouveaux sur le siège et avance mon visage du métal. Doucement je sors la langue et touche la quille, elle est encore tiède de la chaleur de mes entrailles. Doucement je me mets à lécher l'engin, l’odeur est assez forte, il faut l'avouer. Mais tant pis, j'en ai vu d’autre et je crois que j’en verrais d’autre aussi à partir de maintenant. Je lèche consciencieusement en faisant le tour avec ma langue Marie derrière me défonce profondément. J'adore la situation, la douleur, l’humiliation, le plaisir.
- Je n'en reviens pas, c'est vraiment la reine des cochonnes, regarde il nettoie tout, c'est presque nickel maintenant. En plus regarde comme il mouille sa coule sur ces bas, je n’y crois pas.
- Je te l'avais dit, une vraie petite salope Hein tu aime ça - Oui Madame, j'adore.
- T'adore quoi "Tit put".
- J'aime me faire enculer et lécher les godes pleins de merde.
- Ca alors, je n'y crois pas regarde plus rien il est tout propre le truc et regarde comme il mouille, c'est impressionnant, je n'ais jamais vus ça, c'est dingue.
Lentement Marie ressort sa main de mon cul, le grand est souillé également, elle en quitte un et me le bourre dans les fesses, je le sens elle l'enfonce soigneusement avec son autre main gantée puis elle me donne l'ordre de me redresser et de me retourner devant elle. Le truc dans mon cul me gêne un peut, je me relève en les regardant dans les yeux.
- Maintenant la petite pute va me nettoyer aussi la main maintenant.
Elle me présente ces doigts à lécher, un par un je les parcours de la langue, elle insiste bien en me les tournant et me les retournant dans la bouche. Elle écarte ses doigts un par un pour que ma langue puisse aller partout Bientôt le gant de caoutchouc a retrouvé sa couleur rose d'origine. Elle s'estime contente d'elle. Elle l'enlève et me le bourre également dans la bouche, je tourne la tête de coté pour échapper à cela mais elle insiste. En me retournant, un filet de ma mouille est allé se coller sur ses jambes elle la senti aussitôt et c'est reculé.
- Tu ne peux pas faire attention, tu vas en mettre de partout, regarde.
Je grogne la bouche remplie du gant rose, je fais non de la tête - Fait voir à Martine comment tu te branle tient maintenant que tu as l'air bien excité tu devrais y arriver non... Allez fait voir.
Je fais non de la tête, je n'ais pas envie de me donner à nouveaux en spectacle, je pense avoir bien payé de ma personne jusque la.
- A si, je veux voir maintenant, je suis curieuse de tout moi.
- Tu vois ont veut voir toutes les deux, branle-toi devant nous maintenant, c'est un ordre.
Je grogne, la bouche pleine je me prends le sexe entre deux doigts il faut avouer qu'il n'est pas à son avantage.
- Et puis enlève-moi le gant de ta bouche tu as l'air complètement ridicule en plus.
Je retire le gant de caoutchouc et commence à me masturber devant les deux femmes en regardant le sol devant moi en essayent de me concentrer, pas facile.
- Regarde-nous en face et dépêche toi ont vas pas y passer la nuit.
Mon sexe grossi peut à peut, instinctivement mon autre main monte à la rencontre de mes tétons je ne puis pas m'empêcher de me triturer les mamelons et de me faire rouler les bouts entre mes doigts et tirer doucement mes anneaux, je passe de l'un a l'autre en gémissant. , Bientôt je suis bien raide. Je m'astique avec vigueur mon bassin a un mouvement d'avant en arrière, je sens que mon plaisir monte doucement, les deux femmes m'encouragent de la voie, on dirait quelle font un concours d'obscénités, c'est à quelle diras les mots les plus crû, de "branle toi salope" à "fait toi jouir cochonne" en passant par "plus fort vas-y, fait toi giclé, je n'en reviens pas elles ont l'air particulièrement excité. Moi je me triture les seins de plus en plus fort je les regarde à tour de rôle bien dans les yeux sans plus aucune gêne, je suis presque fier de m'exhiber devant elle, le sentiment de honte et d'humiliation est totale, jamais je ne me saurais crus capable de me branler ainsi debout devant deux femmes et sentir monter ma jouissance ainsi. Un gant en caoutchouc dépassant de mes fesses. Je geins de plus en plus fort mon plaisir est imminent. Les deux femmes sont comme tétanisées et ne lâchent pas mon sexe du regard. Martine vient de se toucher furtivement deux fois la vulve au travers de sa robe. Je suis sur quelle doivent mouiller toutes les deux comme des malades.
Je sens ma jouissance qui arrive, je me mets à râler de plus en plus fort, je les fixe du regard l'une après l'autre. Ca y est je sens que je joui, mon plaisir est total je me joui sur les doigts depuis mon éjaculation précédente je n'ais plus beaucoup de réserve, je me sens tout gluant et poisseux d'un coup. Mon orgasme est formidable je suis fier de mettre branler devant ses deux femmes. C'est bon la honte comme l'on dit, j'adore cela ça décuple mon orgasme je me coule sur les doigts. J’entends Marie.
- Jouis dans ta main, je ne veux pas que tu en perdes une goutte. Je veux que tu lèche tes doigts ensuite devant nous comme une cochonne.
Instinctivement, j'avais déjà porté mes doigts à ma bouche pour y passer un coup de langue furtif. J'aime trop le goût du sperme chaque fois que je me branle, c'est à dire souvent je me sens obligé de le lécher ensuite et de l'avaler. J’adore. Je me lèche donc les doigts lentement en soutenant leur regard à toutes les deux. Je sens Martine un peut remuer quand même. Avec Marie cela est différent ça fait partis de nos petits jeux à nous. Elles doivent bien être humide de l'entrejambe quand même toutes les deux. Je suis sur que seul avec Marie elle m'aurait donné l'ordre de passer ma langue dans les profondeurs de son vagin pour sa toilette intime. Mais Martine ne faisant pas partie du protocole je la sens légèrement frustré. Peut-être Martine a les mêmes pensés également comme quoi c'est bête de passer à coté du bonheur. Marie se retourne vers la table basse et prend les deux verres en présentent un à sa copine et me dit.
- La "Tit put" elle va aller chercher un verre et elle va venir trinquer avec nous mais d'abord elle va enlever le truc rose qui sort de ses fesses et elle va ramasser et ranger tout son petit bazar et vite allez se doucher. Elle la bien mérité pour une fois.
Je me sens collant et gluant de partout une douleur quand même, m'irradie dans tout le bas du dos. Je range tous mes petits gadgets dans leur sac et fille à la salle d'eau laver les quilles en métal et une fois que j'ais repris figure humaine, les rejoins en peignoir, un verre m'attend sur la table du salon. Je m'assoie en face d'elle délicatement sur un fauteuil, tellement la douleur irradie dans mes fesses après le traitement que je me suis infligé. Les deux copines sont en pleine discussion avec comme sujet évidement la soumission et la domination. Martine veut en savoir un peut plus Alors Marie éclaire sa lanterne. Elle lui explique nos penchants, comment ça c'est installé dans notre couple et le plaisir que nous en retirons tous les deux. Moi en temps que soumis et elle en temps que dominatrice. Par contre ce qu'elle n'avoue pas a son amie, c’est qu'elle non plus ne déteste pas du tout passer de l'autre coté c'est à dire prendre la place de la soumise et la je dois dire que je me venge allégrement des sévices quelle me fait subir. Mais avec Marie nos jeux sont différents, je reste plus dans le cérébral et l'humiliation. Elle n'apprécie pas trop la douleur physique chose que je respecte sinon ce ne serait plus un jeu, mais étrangement elle évite soigneusement cet aspect la. Pour ne pas être dévalorisé je pense aux yeux de sa copine. Ce n'est pas agréable d'avouer ses faiblesses apparemment.
- Dit donc depuis que je suis ici, c'est la première fois que je te vois habillé normalement, ça me fait bizarre.
- Tu vois Martine, toi aussi tu commençais à apprécier sa tenue de soumise, tu regrette qu'il se soit changé. Tu veux que je l'oblige à aller se changer. Tu sais qu'il adore ça en plus et puis il a une jolie petite robe en voile qu'il adore mettre avec des talons il rend pas mal.
- Non cela m'ennuie, le pauvre il a déjà bien souffert.
- Taratata c'est toujours moi qui commande pour le moment, met ta petite robe avec toute la panoplie, tu mangeras habillé en femme en plus je suis sur que tu en mort d'envie, file te changer.
Je repose mon verre sur la table basse me lève et vais dans notre chambre, ouvre ma commode disons spéciale remplie de vêtements féminins et de nylon. De culottes, string et soutient gorge. Je choisi une paire de bas brun foncé un slip fendu acheté par correspondance aussi ce qui me permet de laisser libre mon petit matériel. Ensuite je passe un de ces fameux soutient gorge découpé je m'arrange bien la poitrine à l'intérieur en tirant mes seins au maximum dans les évidements ce qui les fait paraître plus important. Ensuite je revêts ma petite robe légère en sorte de voile de coton, que j'adore puis un petit top à bretelle de la même matière, le tout avec mes mains protégées par des gants fin en tissus. Effectivement, je me suis vite rendu compte que chaque fois que j'enfilai des bas ou des collants ou bien même des sous-vêtements légers j'accrochais et faisais filé le nylon donc, j'ai trouvé cette solution et depuis je n'abîme plus rien. Une paire de chaussures avec de léger talons et je les rejoinsau salon.
- Tu en as mis du temps pour t'habiller !
- J'ai fait pourtant du mieux que j'ai pu.
- Fait voir à Martine, comme tu es sexy en femme, approche, tourne-toi.
Je fais quelques pas dans leur direction en virevoltant sur moi-même, assez fier de m'exhiber ainsi au fond de moi.
- Lève ta robe fait voir ton entre-jambe écarte tes jambes.
Je me campe devant elles en me tenant bien droit sur mes talons les jambes écartées d'environ soixante centimètres et lentement, je relève ma robe - Comme c'est mignon il à même de la lingerie spéciale à ce que je vois !
- Alors Martine, ton avis ?
- Pas mal effectivement, il me semble que je m'y ferais assez rapidement et pourtant, je ne suis pas lesbienne, regarde comme son sexe est petit, il sort à peine de la dentelle par contre regarde le bout est tout mouillé déjà.
- Il faut dire qu'il est spécial de ce coté la il ne peut pas être en fille et ne pas mouillé sa culotte, une vrais petite pisseuse.
- C'est dingue quand même il doit te tacher partout le sol quand ça goutte.
- Pour cela j'ai une méthode, je l'oblige à lécher le sol ensuite et crois moi il fait tout pour se tenir propre de ce coté-la.
Je suis très fier d'être devant les deux copines retroussées ainsi, je bombe le torse pour faire ressortir mes embryons de seins. Marie le remarque et me dit.
- Fait voir le haut a Martine maintenant.
Idem pour le haut je remonte mon petit top devant mon visage en me cambrant bien en avant exhibant mon soutient gorge découpée, j’ai les bras croisés à hauteur de mon visage en tenant du coté opposé de chaque coté du vêtement. Je sais que dans cette position pour l'avoir fait plusieurs fois devant un miroir ça me comprime les seins l'un contre l'autre et ils paraissent plus gros.
- Mais il a presque des seins regarde Marie il a de ses bouts, c'est affolant.
- De la manière qui se tire les bouts, tu as vu tout à l'heure et s'il fait ça depuis qu'il a treize ou quatorze ans, tu vois le résultat- Il a de plus gros tétons que moi, c'est sur et à la piscine ou à la plage, ça ne lui fait rien, ces piercings, il assume.
- Oui au début il n'osait pas trop mais maintenant je crois qu'il assure complètement, il en joue même un peut des fois.
Et dans son travail comment ca se passe ?
- Apparemment bien il n'y va pas habiller en femme tout de même, même pas un sous-vêtement, rien normal quoi. Imagine qu'il est un accident au boulot ou même sur la route, chose que je ne souhaite pas bien sur mais qu'il soit obligé de se dévêtir et que l'on s'aperçoive qu'il à un sous tif et une culotte de femme ou pire des collants sous ses vêtements, la honte pour moi que d’avouer que je vis avec un détraqué. Comme cela ça reste bien entre nous tu vois ! Même que si tu étais arrivé en soirée comme prévus, tu n'en serais jamais rien su.
- Je suis désolé pour cela, je pensais vous faire une surprise.
- Tu parle d'une surprise, je ne savais pas du tout comment réagir. Du coup j'ai tenu mon rôle de dominatrice à fond comme tu peux le constater et puis, je suis sur qu'au fond de lui il a été content de s'exhiber devant une tierce personne, ça a du l'excité à mort - Un peut au début, j'étais gêné, mais ensuite j'étais au ange.
- Tu vois martine finalement tout le monde y a trouvé son compte et puis toi tu seras moins bête ce soir.
- Ne me prend pas pour une imbécile non plus Marie, je savais quand même que cela existait mais je ne pensais pas que ma copine, toute timide et toute coincé s'adonnait à ce genre de chose.
- Tu vois comme quoi on croit connaître les autres et finalement on se trompe. Peut être que toi aussi tu as des perversions et que je ne les connais pas, peut être même que tu fais l'amour avec des bêtes et que personne ne le sait.
- Ca vas pas non avec un chien, tu plaisante non, zoo machin comme il dise ça me dégoûterais. Je sais pourtant qu'il à des femmes qui pratique, même des hommes, mais non de se coté la, je suis normale.
- Tu sais la normalité en matière de sexe, je crois que ça n'existe pas.
- Tu as raison en effet et toi quand penses-tu.
- Moi dans tout ça, je dis que finalement la vie est courte et que tout les moyens sont bons pour prendre du plaisir - Bien parlé, ont passe à table, je ne me suis pas embêté ce soir, c'est pizza décongelée, ça vous vas.
- Impec, tu as bien raison.
- Notre "Tit put" vas nous mettre la table et je suis sur qu'une bonne bouteille de vin italien fera l'affaire. Tu descendras à la cave.
- OK.
Le matin, je me retrouve à faire passer un café pour le petit déjeuné, je suis en train de beurrer des tartines pour Marie et sa copine en me rappelant la journée d'hier, journée un peu mouvementer ma foi. J'en ai encore quelques douleurs dans le bas des reins. Je m'active du mieux que je peux en faisant le moins de bruit possible, apparemment Martine dort encore, il n'y a que Marie et moi qui somme réveillé je me dépêche pour porter un plateau à Marie, avant qu'elle arrive.
De retour dans notre chambre avec mon plateau Marie me dit.
- À tu pensé à Martine également.
- Tout à fait, j'attends qu'elle se réveille, il n'y a pas de bruit encore dans sa chambre.
- As-tu bien dormi ?
- Comme un bébé mais tu m'as bien amoché hier, j'ai mal de partout, surtout ou tu penses.
- Tu aime bien ça d’habitude.
- Oui d'accord mais reconnais qu'hier, tu y as été un peu fort non. C'est parce que Martine était là.
- Peut-être, il faut dire quelle nous à pas laissé le choix nom plus.
- Taratata, tu aurais eu cent fois le temps de me libérer pendant qu'elle était aux toilettes et tu n'en as rien fais.
- Excuse moi, j'ai paniqué et puis après je ne sais pas ce qu'il m'a pris- Tu parles, maintenant, je passe pour qui aux yeux de ta copine.
- Pour une salope pardi.
- C'est malin tient.
- Écoute, on dirait que son bouge de son côté, tu devrais lui porter son plateau avant qu'elle ne se lève - OK, j'y vais.
Je toque à sa porte elle me répond d'entrer.
- Bonjour, bien dormie ?
- Comme un loir, il n'y a aucun bruit ici, ça me change de la ville .Mais tu es déjà habillé en cochonne Et elle me montre du doigt - Non pas du tout, c'est une habitude que j'ai, je dors en nuisette, au début, c'et moi qui le faisais de temps en temps, mais maintenant, c'est Marie qui m'oblige - AH bon, j'ai du mal à mi faire, tu n'es jamais habillé normalement.
- Si rassure-toi, mais à la maison, je suis obligé d'obéir à Marie, c'est comme cela et j’aime. C’est tout, ça ne se discute pas.
- C'est votre vie après tout, merci pour le plateau.
Je referme la porte et rejoins Marie dans notre chambre.
- Elle m'a encore branché sur ma tenue, je lui ai dit que tu me forçais et elle n'a pas eut l'air d’apprécié.
- Tant pis, elle avait l'air plutôt émoustillé, hier non.
- C'et aussi l'effet qu'elle m'a fait, je ne comprends pas.
- Ont vas continuer aujourd'hui vus quelle repart ce soir je vais lui faire voir moi.
- Au non pas tout les jours, j'ai mal au fesses moi.
- Arrête tout de suite hein ! Qu’est ce que l'on avait dit, pendant une semaine, c'est moi qui commande et la semaine n'est pas finie.
- Oh non pas encore, ou bien soft alors.
- Tu ne discute pas, tu commence par aller te doucher ensuite je vais réfléchir pour ta tenue de la journée, j'ai envie de te punir encore moi, reconnais que tu aime bien lorsque tu es humilié, - Oui j’aime.
- Tu vois donc aujourd'hui ça va être ta fête, crois moi.
Une demie heure plus tard, je sors de la salle de bain en peignoir et rejoins les deux femmes à la cuisine, elles sont en train de s'activées autour du lave vaisselle.
- Tu arrive bien toi, comment tu vas t'habillé toi aujourd'hui ?
Elle parle fort exprès pour faire réagir sa copine, ça ne loupe pas.
- Ah non, vous n'allez pas recommencer avec vos cochonneries.
- Je croyais que ça te plaisais moi hier.
- Je ne dis pas que ça ne me plais pas mais ont dirais que vous vivez que pour ça.
- Un peut oui que l'on aime ça, hein "Tit put"- Oh oui Madame, j'adore.
- Arrêtez votre cirque j'y ai pensé toute la nuit vous me foutez la gerbe. Et puis j'ai reçu un SMS de ma mère, il faut que je vous abandonne plus vite que prévue ma maman ne vas pas très bien il faut que je passe par Lyon le plus vite possible.
- C'est dommage pour une fois que tu nous rends visite.
- C'est comme ça, je ne peux pas laisser maman seul il faut absolument que j'y passe avant de rentrer chez moi.
- C'est pas de chance et quand compte tu partir.
- Le plus vite possible, ça à l'air sérieux, il ne faut pas que je traîne.
- Décidément, ce n'est pas de chance.
- Vite je me prépare et je me sauve, mais promis, je repasserai.
- J’espère bien.
Du coup une heure après nous nous retrouvons tout les deux Marie et moi un peut interloqué par ce départ précipité , ne sachant pas très bien la véracité de cette histoire si oui ou non ça mère l'avait bien appelé. Marie qui connaissait bien Martine me jura qu'elle était incapable de mentir sur des sujets comme cela. Je la cru.
- Pour un week-end gâché, c'est un week-end gâché, elle devait rester trois jours et hop nous revoilà tous les deux.
- Tant pis, ce sera pour une autre fois.
- Dis donc tu as aimé hier dans le jardin ?
- C'était un peut hard mais je reconnais y avoir pris du plaisir.
- Ont recommence ? J'ai bien envie de punir encore ma petite salope.
- Non pas tout les jours.
- Si, j'ai envie donc tu n'a pas le choix.
- Arrête je ne suis même pas rasé rien, je n’aime pas.
- Vas te raser si tu veux mais dépêche toi ça ne pourras pas attendre.
- Ne pas attendre pourquoi ?
- Tu verras !
- Je file aux toilettes et je me ras après, comme tu veux.
- Non tu ne vas pas aux toilettes.
- Et pourquoi, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, j'ai très envie.
- Justement, c'est très bien comme cela. Tu fais comme je dis, vas te raser et rejoins moi dans la chambre.
Décidément qu'a telle derrière la tête cette fois si. Je sais quelle ne manque pas d'imagination pour les punitions mais la, je ne vois pas .ça vas encore dégénérer en séance de pipi c'est sur, j'y vois venir. Mais ce n’est pas envi de pipi moi pour le moment. Donc je vais à la salle de bain et me dépêche de me raser tout en me trémoussant d'une jambe sur l’autre. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, avec la séance d'hier, mes sphincters ne jouent plus vraiment leur rôles, Je la rejoins ensuite dans notre chambre. Elle m'attend assise en tailleur sur le lit, devant elle il y a une paire de bas, une petite culotte assortie et un soutien-gorge. Je reconnais le modèle l'ensemble est une sorte de tulle nylon transparente, j'adore le contact de ce tissus sur ma peau.
- Pour commencer, tu vas te changer pour la journée, j'ai envies de te voir habiller comme cela ce matin, en parfaite petite salope.
EXHIBITION
Cette fois, sans est trop, je ne pensais pas que sa copine allait être au courant de tous, je fais mine de protester.
- Allez, discute pas ou je te donne une correction.
Je fille dans la chambre, reviens au bout de dix minutes avec une paire de bas auto fixant aux jambes ainsi que le fameux soutient gorge découpé, je l'adore celui-là parce qu'il comprime mes seins et les fait paraîtres plus gros. Un gros sac de voyage a la main.
- Déballe ton petit matériel pour faire voir à ma copine.
Lentement, je m'exécute, je me mets à genoux sur le tapie et entrouvre mon sac.
- Allez dépêche-toi, ont vas pas y passer la soirée. Sort ton matériel de salope.
A genoux devant elles, je sors ma panoplie de godemichés un par un, les rangent sur le tapis les uns à coté des autres. Ensuite je sors diverse longueur de chaînes munies de mousquetons à leur extrémité, puis vienne les gros bracelets en plastique épais que j'ai confectionné, un martinet avec des lanières en cuir, deux paires de menottes en métal, puis une minerve médicale en plastique blanche, que j'ai récupéré je ne sais plus ou. Tout un assortiment de poids en acier muni de crochets métalliques dont je me rappelle les avoir acheté sur une brocante, en fait se sont des poids de machine à tricoter. Des pinces à tétons achetés en sexe shop. Des globes en plastique transparent avec une pompe à vide pour les seins, la même chose pour la vulve, aussi un modèle pour le sexe masculin, pareil acheté par correspondance, un développeur je crois. Des seringues médicales de différentes grosseurs, modifiées, pour l'aspiration des tétons aussi de ma fabrication. Deux tubes de gel lubrifiant. Puis tout au fond du sac, un Plug gonflable. Et le meilleur pour la fin, cinq quilles en métal de ma fabrication de différente, grosseurs. Et aussi un gros œuf en métal. Et une boule de pétanque chromée. Une fois tout déballé, je relève la tête et regarde les deux femmes. Martine est stupéfaite, la bouche ouverte et n'en croit pas ses yeux- Ben ça alors, tu m'en diras temps, je comprends ton attitude maintenant, c'est quand même un gros pervers, en plus il a de l'imagination. C'est le Mike Guevers du sexe ma parole.
- Tu vois que je ne t'ai pas mentie et pour les sous-vêtements, c'est pareil, tous de la récupe, même des trucs qu'il a modifié. Du grand art.
- Je comprends tout, maintenant, c'est la première fois que je vois un déballage pareil.
- Comme tu peux le voir, même pas il a honte. Il exhibe tout ça, tranquillement.
- Et il se met tout set trucs dans le cul, je n'y crois pas! Pas la boule de pétanque quand même ?
- La "tit put" elle va montrer à Martine comment elle s'encule toutes seul.
Depuis le début, je me doutais que cela allais finir de cette façon, je ne sais pas pourquoi. Décidément Marie à décidé de m’humilié jusqu’au bout.
- Vas chercher le fauteuil du pc de la chambre, fait le roulé jusqu'ici.
Je me relève et part en direction de notre chambre et reviens en poussant devant moi dans le couloir le fauteuil de bureau à roulette.
- Tu vois c'est la que je l'ai surpris un jour enculé sur ces trucs sur ce siège, alors il va nous montrer, maintenant.
- Allez ont attend vas y défonce-toi le cul, fait nous voir.
Je prends la plus petite quille en métal et la pause au milieu du siège. Prend une noisette de gel et en enduit le métal froid. Ensuite je m'accroupi dessus jusqu'à ce que mon anus soit en contact avec l'objet. Et doucement, je m'empale, la sensation est délicieuse, une fois bien en place, j'ondule le bassin d'avant en arrière, je sens bien cogner contre ma prostate à l'intérieur. Je regarde toujours les deux femmes dans les yeux, après être resté un court moment empalé, je me relève. Je me saisie d’une autre quille de plus grosse dimension en posant la précédente sur le sol. Je recommence l'opération avec le gel et je me ré empale dessus. Je descends plus lentement la quille étant plus large ça force un petit peut. Comme cela jusqu'a l'avant dernier dont la dimension est plus que respectable ?
- Tu vois comme il aime ça !
- Je n'en crois pas mes yeux avec quelle facilité sa rentre dans son cul.
L'avant dernier un peut plus large qu'une boite de coca, force quand même pas mal, je fais la grimace, mais tous rentrent. Je reste un moment le cul dilaté à l’ extrême. Mon sexe est ridiculement recroquevillé sur lui-même, mélange de douleur et de plaisir, j'adore, après avoir écarté le dessous de mes cuisses au maximum avec mes mains pour mieux sentir l'engin dans mes intestins, je me relève doucement. Quelque trace brune souille le métal brillant.
- Je ne crois pas qu'il puisse mettre la dernière, tu as vu la taille !
- Je te dis que je l'ai déjà vu dans son cul, n’oublie pas que c’est une grosse cochonne.
Pour la dernière je vais plus doucement encore je geins en me l'enfonçant, je me déchire presque, c'est trop bon, j'adore cela. La douleur est intense mais quel bonheur de se sentir dilaté à l'extrême. Pareil je m'écarte les cuisses par en dessous pour bien ressentir au plus profond. Une fois la quille complètement en moi je commence doucement à bouger le bassin, c'est divin ma prostate est chamboulée de ce traitement, une érection commence à tendre mon sexe. Enculé à fond je regarde les deux femmes. Humilié par ma position mais comblée. A ce moment la Marie se lève et s'approche du fauteuil elle le fait tourner sur sa base pivotante pour bien faire voir à Martine que je suis à fond dessus.
- Tu vois comme c'est une chienne, elle se casse le cul toute seule et elle à l'air d'aimer en plus.
- Je vois, je vois.
D'un coup Marie penche le fauteuil en arrière, je glisse sur le fond du dossier intensifiant ainsi la douleur. J'échappe des cris sous la brusquerie du geste, mon sexe se tend encore plus.
- Tait toi vilaine pute !
Elle maintient le fauteuil incliné en arrière, je ne peux plus me redresser je suis obligé de supporter la douleur qui s’installe dans mes reins. Lorsque je le fais seul, je ne reste pas plus de cinq ou six minutes empalé de la sorte avec la plus grosse, le temps de me faire jouir, cela devient vite insupportable ensuite. La je suis coincé sur mon fauteuil le cul éclaté un maximum.
- Regarde comme elle est bien comme cela en plus elle est coincée, passe-moi les deux paires de menottes Martine.
Martine se lève du canapé et tend les ustensiles à Marie. J’entends les menottes qui se verrouillent sur les accoudoirs puis viennent le tour de mes poignets. Cette fois je suis immobilisé, complètement à leur merci. Ensuite Marie me passe le gros collier en plastique autour du cou, le verrouille avec un cadenas derrière ma tête puis prend une longueur de chaîne et immobilise le fauteuil en arrière. Je suis définitivement immobilisé. Malgré toute ma bonne volonté, je ne pourrais jamais me libérer seul.
- Et voila notre petite pute enculée pour de bon cette fois ci. Est tu contente au moins ?
- Oui. , J’aime.
- Oui qui !
- Oui Madame.
- Tu vois tu commence à comprendre.
Elle ramasse sur le tapis un gros gode en plastique. Un modèle hyper réaliste sauf peut être la taille de l'engin, quoique encore. S’approche de moi et m'ordonne.
- Suce ! Ouvre bien ta bouche en grand !
J'ouvre la bouche, mais malgré tout seul le bout peut être englouti.
- Ouvre plus grand................ Encore, force-toi un peut.
Elle commence à faire des mouvements de vas et vient en insistant bien au fond de ma gorge ce qui me provoque des hoquets et des spasmes presque de renvois.
- Regarde-moi cette pauvre petite pute qui n'arrive même pas à sucer convenablement, c’est un comble.
J'ai la bouche complètement distendu à force d'avaler ce sexe et elle continue encore. Malgré mes hoquets.
- Plus de conviction au lieu de faire ta chochotte ! Allez lèche bien le bout aussi, sort la cette langue.
Elle maintient le gode devant mon visage, je le lèche comme s'il s'agissait d'une glace.
- Regarde-moi cette cochonne même pas elle a honte, regarde Martine, approche toi tu ne vas pas y croire une vrais salopeEn invitant Martine à se rapprocher, elle lui montre mon entrejambe.
- Regarde, tu as déjà vu ça toi ! Il est en train de tacher le siège tellement y mouille.
Effectivement en me penchant en avant je vois mon sexe, tout tendu et gluant, une grande auréole apparaît sur le fauteuil. Marie me prend le sexe entre ces doigts et un long fil de mouille s’échappe.
- Regarde-moi un peut cette cochonne, je n'ais jamais vus un mec mouillé de la sorte, c'est impressionnant.
- Moi non plus, je n'ai jamais vu ça.
Je n'en peux plus d'être immobilisé en arrière sur ce fauteuil, mes reins commencent à me lancer tellement la douleur s'installe. Jamais je ne me suis empalé si longtemps, lorsque je me fais cela en moyenne, je reste cinq ou six minutes, pas plus, le temps de me masturber et de jouir. Avec la quille de métal qui me masse la prostate mon orgasme arrive très vite. Mais la cela vas bientôt faire un petit quart d'heure quelle joue avec moi et j'ai le fondement complètement déchiré. Apparemment elle n'en on pas finit avec moi. Martine se prête au jeu elle s'empare du gode des mains de Marie et trempe le bout sur le devant de mon sexe dans la tache gluante du fauteuil. Je sens mon sexe malmené par le gland en plastique.
- Regarde Marie, je n’ai pas une bonne idée la !
Elle me fourre le bout brillant de mouille devant la bouche- Allez, suce, ce sera plus réaliste pour le goût !
Je sors ma langue et commence à faire des mouvements autour de l’engin factice. Marie pendant ce temps fait le tour du fauteuil et se place dans mon dos, me saisi mes deux tétons et commence à me les triturer dans tous les sens, elle sait très bien que j'adore ça. Immédiatement je commence à gémir et mes reins se remettent en mouvement d'avant en arrière. Malgré la douleur de mon cul je ne peux pas résister à ce traitement. Martine continue de tremper le bout du gode dans ma mouille et m'oblige à le sucer plusieurs fois de suite je me cambre en avant pour bien ressentir au plus profond dans mes entrailles. Marie me prend les tétons par mes piercings et commence à décrire des cercles imaginaires en tirant dessus, je sens une érection montée du coté de mon ventre Martine qui est devant moi sens aperçois.
- Regarde Marie il bande en plus, ça a l'air de lui faire de l'effet.
- Je t'avais dit que c'était une grosse cochonne.
Ce traitement dure depuis cinq bonnes minutes, je n'en peux plus d'être excité de la sorte, mes reins me lancent jusque dans le dos, malgré cela, je me défonce de plus en plus fort en m'agitant sur mon siège. Martine m'enfonce le gode de plus en plus fort au fond de la gorge, j’ai extrêmement mal aux seins avec ce que Marie leur fait subir. Un mélange de honte, de douleur, de plaisir la sensation est extra, je suis aux anges. Les deux femmes se regardent mutuellement en rigolant. Moi je sens qu'à force de taper contre ma prostate la quille dans mon cul fait son effet et je ne vais pas tarder à jouir. Je le sens arriver. En maltraitant ma poitrine, Marie m'arrache des gémissements de douleur ou de bonheur, tellement les deux sentiments sont mélangés. D'un seul coup, je gicle, à plusieurs reprises, rarement mes éjaculations sont de cette ampleur, mais il faut dire qu'elles ont mis le paquet.
- Regarde-moi ça, il joui sans même se toucher, c'est la première fois que je vois ça de ma vie.
- Je te l'avais dit une grosse cochonne, en plus elle en a mis partout.
J’ai rarement eut des orgasmes de cette intensité. Marie me lâche les seins, ils sont rougis à force d'avoir été mal traité, les bouts sont presque violacés. Martine c'est brusquement reculé lorsque j'ai joui. Par contre Marie a du sperme sur les doigts j'ai également de grande traînés visqueuse sur le ventre et la poitrine. En retombant, mon sperme a également taché mes bas. Je suis essoufflé, je reprends mes esprits, la douleur dans mes reins est de plus en plus insupportable maintenant. Marie s'essuie les mains sur ma poitrine - Tu parle d'une salope, je n'en reviens pas.
- Tu as vu ça un peut.
En disant cela Marie touille ses doigts dans mon sperme sur mon ventre des fils se forment lorsqu'elle quelle me les porte à la bouche.
- Nettoie-moi ça " tit put"J’ouvre la bouche et lui lèche consciencieusement les doigts. Pour ne pas être en reste Martine frotte et enduit le gode sur le nylon de mes bas en ramassant le plus de sperme possible aussi et le porte à ma bouche également pour le nettoyer. Les deux femmes ont un regard complice elles n’en peuvent plus de me barbouiller le visage avec mon sperme. J’ai le cul en feu, moi je voudrais bien que cela s’arrête maintenant, je commence à trouver le temps long, les deux copines se moquent de moi a présent Marie soulève mon sexe à nouveaux et le laisse retombé entre mes cuisses, il est à nouveaux tout rabougris.
- Regarde-moi cette bitte, je n'ai jamais vu un truc si petit.
- Je te l'ai déjà dit, ça me fait penser à mon fils lorsqu'il était petit.
- Allez laisse la se reposer maintenant elle à bien mériter. Tu vois que l'on passe de bon moment avec "Tit put".
En disant cela elle fait tourner le fauteuil sur sont embase je fais un tour et demie et m'arrête en face d'elle.
- Elle n’est pas mignonne comme ça, ça ne fait pas envie.
- C'est spécial, mais il faut dire que d'avoir un homme à sa merci c'est assez jouissif.
Moi je n'en peux plus, j'ai extrêmement mal à présent et je voudrais bien que la séance se termine au plus vite. Marie se penche sur le sol et ramasse deux poids munis chacun d'une sorte de pince crocodile.
- Regarde ont vas décorer le sapin.
Elle me clips les deux poids à chaque tétons, deux poids de machine à tricoter qui doivent bien faire cinq cent grammes chacun, je crie sous la morsure des pinces. Elle les fait balancer contre moi, j’ai les seins complètement distendus, de plus les boucles de métal qui traverse mes tétons sont malmenés, cette fois sans est trop je hurle de douleur. Des larmes me montent aux yeux elle les a déjà maltraités pendant une demi-heure, ensuite les poids, je n’en peux plus.
- Elle ne va pas ce taire la salope !
Et elle fait bouger les poids de plus belle, Je hurle à nouveaux.
- Je ne veux plus t'entendre !
- Arrête, ça doit lui faire mal.
- Elle adore ça d'habitude.
Elle ramasse un autre poids beaucoup plus petit celui la en forme de petite boule achetée également par correspondance et m'ordonne d'ouvrir la bouche et de tirer la langue. Je fais non de la tête.
- Tu obéis !
Elle me secoue une nouvelle fois les poids de me seins. Je cris à nouveaux.
- Arrête, il a l'air d'avoir très mal quand même.
- Je veux qu'il m'obéisse, c'est tout, sort cette langue.
La poitrine en feu je lui tire doucement la langue. Elle me clips également le poids sur la langue avec les petites pinces acérées, je gémie à nouveaux le poids est moins gros que ceux de ma poitrine mais m'oblige quand même à rester la bouche grande ouverte et la langue tiré, du fait, je ne peux plus parler non plus, sauf pousser quelques grognements.
- Tu vois pour Noël tu le mets dans ton salon et comme ça tu économise l'achat d'un sapin- Arrête, enlève-lui ça il doit avoir horriblement mal.
- Je te répète, il adore avoir mal si ces trucs sont dans son sac, c'est qu'il sans sert. Donc s’il sans sert, c'est qu'il aime ça. Je n'ais pas raison !
- Oui mais quand même.
- Viens ont vas se laver les mains et s'offrir un petit apéritif, ont la bien mérité, tu ne trouve pas.
Les deux femmes s'éloignent dans la salle de bain et me laissent seul immobilisé et renversé sur mon fauteuil, l'anus les seins et la langue en feu. La douleur m'irradie dans tous le corps en plus je ne peux plus déglutir, de la salive me coule du menton et me coule sur le torse. Je n'en peux plus de ma position.
Elle revienne et s'installe sur le canapé Marie fait le service retourne chercher des glaçons et elle trinque devant moi en rigolant. Elles tendent leurs verres dans ma direction.
- A la tienne "tit put".
Elle ne fait pas plus de cas de moi à présent et elle recommence à papoter, des larmes m'inondent les yeux, j'ai vraiment trop mal, je geins à nouveaux.
- Mais elle ne va pas se taire celle la !
- Peut être qu'il a soif non.
- Non c'est pour faire son intéressant, ne t'occupe plus de lui.
Marie se lève brusquement prend un glaçon sur la table basse et s'approche de moi - Alors tu as soif ?
Je ne peux même pas lui répondre. Elle me le fourre dans la bouche.
- Tient comme ça tu te tiendras tranquille.
Je ne puis même pas avaler ma salive n'y même fermer la bouche, le glaçon reste la coincé dans ma bouche plus la pince maintenant en plus la morsure du froid, c'est horrible. Le glaçon en fondant me coule dans la gorge, je vois le coup ou il va glisser et je vais m'étouffer avec. Pris de panique je secoue la tête dans tous les sens pour le faire sortir de ma bouche, le balancement du poids sur la langue me fait à nouveaux grogner de douleur mais enfin le glaçon tombe sur le sol.
- Mais elle va s pas arrêter son cirque ! Puis tu nous énerve tient.
Marie se relève à nouveaux et s'approche du siège. Me libère du poids de ma langue, je hurle de douleur lorsque la pince me lâche la langue, cela faisait bien vingt bonnes minutes que j’étais ainsi, je n’en pouvais plus. Elle libère aussi les poids de mes seins. La douleur qui sent suit est aussi insupportable. En fait ce n'est pas quand on met les pinces que cela fait le plus mal, c'est lorsque ont les retirent le sang affluent à nouveaux dans les tétons, sa lance, c'est horrible. Elle me libère aussi des menottes, ce qui fait que je peux me redresser dans le fauteuil, mais dans les reins je ne sens plus mon cul. Marie redresse le fauteuil à la verticale mes pieds pose enfin sur le sol, j'ai trop mal.
- Martine vient voir de prêt un cul complètement éclaté, tu verras, c'est impressionnant.
Doucement je me relève, je ne sens plus mes reins tellement je suis resté longtemps dans la même position. Lentement je me décolle du fauteuil Les deux femmes sont autour de moi n'en perdant pas une miette. Moi, je grimace de douleur une fois libéré de ce pal, je me retourne pour le voir je n'ais pas le temps de me retourner que Marie m'ordonne de me pencher pour faire voir mon cul à Martine - Penche-toi, écarte tes fesses avec tes mains pour bien faire voir à Martine t'on cul de petite enculée.
Je me prends les fesses à deux mains et me penche en avant Martine est penchée derrière moi et contemple mon anus qui doit être largement dilaté encore.
- Et ben ma salope, je n'ai jamais vu un cul si ouvert, c'est impressionnant. Je n'en reviens pas, c'est dingue, tu m'étonne, je comprends mieux maintenant les PD qui se mettent une main dans le cul.
- Tu as vu ça, c'est dingue non, attend je reviens, bouge pas toi, reste comme tu es.
Marie repart à la cuisine, je l'entends qui fourrage dans le placard sous l'évier. Et revient bientôt en tenant une paire de gans en caoutchouc que l'on se sert parfois pour les taches ménagères.
- Ecarte tes fesses encore plus toi !
J'insiste en tirant de chaque coté ? Je sens une main qui me passe entre les fesses de bas en haut et de haut en bas. Je me cambre d'avantage lorsque je sens sa main.
- Tu vois elle en redemande encore, une vrais petites salope, Tu vas voir un truc impressionnant Martine, regarde bien.
Lentement je sens les doigts me pénétrer, je vais au devant de cette main en me cambrant encore.
- Je te dis que c'est une vrais petite salope, regarde bien ma main, il va l’avoir complètement dans son cul bientôt.
Je sens la main de Marie qui s’enfonce de plus en plus profond dans mes fesses, j’adore cela, surtout que la place était bien préparée à l’avance, c’est divin, je grogne de bonheur malgré la douleur résiduelle. Martine en est bouche bée - Je n'en reviens pas et il à l'air d'aimer ça en plus.
- Il n'a pas que l'air, il adore ça, je te dis une pute, tu c'est ce que c'est, une pute et bien tu en as une devant les yeux, regarde bien, je sers mon poing dans son cul regarde comme il aime.
Je sens la main bouger dans mes intestins, Marie commence à lui fait faire un mouvement de vas et viens, je suis au ange de douleur et de plaisir mêlé.
- Regarde comme il aime bien se faire enculer de la sorte.
- Je n'en reviens pas, je n'avais jamais vu cela en vrais - Oui mais tu en avais déjà vu !
- Je pense comme beaucoup de gens sur Internet, dans des trucs de cul.
- Tu vois que tu es cochonne aussi.
- Simplement par curiosité, c'est tout.
- Mon œil, par curiosité je sais très bien que tu vie seule en ce moment, alors.
- Alors quoi, je t'interdis de penser une chose pareille.
- Ca vas si on ne peut plus rigoler maintenant .Regarde plutôt ma petite pute à moi comme je l'encule bien à fond. Et tu sais dans ces moments la, c'est une vrais chienne, je peux lui demander n’importe quoi.
- C'est à dire.
- Regarde pire qu'une pute, tu vas voir............. tourne-toi, tient toi devant le fauteuil et penche toi bien en avant.
Je me retourne doucement, penché en avant, la main de Marie fourrage toujours dans mon cul, je pose mes mains à plat sur l'assise du fauteuil. Devant mes yeux la quille de métal couverte de traînées brunâtres et de sang mêlé. Je sens Marie qui insiste dans mon cul, je gémie sous le plaisir et la douleur Je sens des autres doigts qui force dans mon anus elle m'arrache des cris de douleur cette fois.
- Laisse toi faire salope je vais te le défoncer ton petit cul moi.
Je sens une autre présence qui s'insinue, mon anus est complètement dilaté et Marie qui me baratte de plus belle, je sens de la mouille qui coule de mon sexe à nouveaux.
- Nettoie-moi ce truc la, lèche le comme il faut.
Je fais non de la tête, c'est carrément dégeulasse.
- Arrête Marie, c'est sale, il y a pleins de sang et de merde dessus.
- Une bonne pute ça fait ce que l'on dit de faire, ça ne discute pas, lèche-moi ça.
Elle insiste et me bourre de plus en plus profond jusqu'a me faire mal. Un coup plus violent que les autres me fait redresser d'un coup et je crie.
- Arrête Marie tu lui fais mal.
- Je te dis qu'il va nettoyer sa merde, il va le faire pour bien que tu voies comme c'est une soumise.
Vaincu, je me penche à nouveaux sur le siège et avance mon visage du métal. Doucement je sors la langue et touche la quille, elle est encore tiède de la chaleur de mes entrailles. Doucement je me mets à lécher l'engin, l’odeur est assez forte, il faut l'avouer. Mais tant pis, j'en ai vu d’autre et je crois que j’en verrais d’autre aussi à partir de maintenant. Je lèche consciencieusement en faisant le tour avec ma langue Marie derrière me défonce profondément. J'adore la situation, la douleur, l’humiliation, le plaisir.
- Je n'en reviens pas, c'est vraiment la reine des cochonnes, regarde il nettoie tout, c'est presque nickel maintenant. En plus regarde comme il mouille sa coule sur ces bas, je n’y crois pas.
- Je te l'avais dit, une vraie petite salope Hein tu aime ça - Oui Madame, j'adore.
- T'adore quoi "Tit put".
- J'aime me faire enculer et lécher les godes pleins de merde.
- Ca alors, je n'y crois pas regarde plus rien il est tout propre le truc et regarde comme il mouille, c'est impressionnant, je n'ais jamais vus ça, c'est dingue.
Lentement Marie ressort sa main de mon cul, le grand est souillé également, elle en quitte un et me le bourre dans les fesses, je le sens elle l'enfonce soigneusement avec son autre main gantée puis elle me donne l'ordre de me redresser et de me retourner devant elle. Le truc dans mon cul me gêne un peut, je me relève en les regardant dans les yeux.
- Maintenant la petite pute va me nettoyer aussi la main maintenant.
Elle me présente ces doigts à lécher, un par un je les parcours de la langue, elle insiste bien en me les tournant et me les retournant dans la bouche. Elle écarte ses doigts un par un pour que ma langue puisse aller partout Bientôt le gant de caoutchouc a retrouvé sa couleur rose d'origine. Elle s'estime contente d'elle. Elle l'enlève et me le bourre également dans la bouche, je tourne la tête de coté pour échapper à cela mais elle insiste. En me retournant, un filet de ma mouille est allé se coller sur ses jambes elle la senti aussitôt et c'est reculé.
- Tu ne peux pas faire attention, tu vas en mettre de partout, regarde.
Je grogne la bouche remplie du gant rose, je fais non de la tête - Fait voir à Martine comment tu te branle tient maintenant que tu as l'air bien excité tu devrais y arriver non... Allez fait voir.
Je fais non de la tête, je n'ais pas envie de me donner à nouveaux en spectacle, je pense avoir bien payé de ma personne jusque la.
- A si, je veux voir maintenant, je suis curieuse de tout moi.
- Tu vois ont veut voir toutes les deux, branle-toi devant nous maintenant, c'est un ordre.
Je grogne, la bouche pleine je me prends le sexe entre deux doigts il faut avouer qu'il n'est pas à son avantage.
- Et puis enlève-moi le gant de ta bouche tu as l'air complètement ridicule en plus.
Je retire le gant de caoutchouc et commence à me masturber devant les deux femmes en regardant le sol devant moi en essayent de me concentrer, pas facile.
- Regarde-nous en face et dépêche toi ont vas pas y passer la nuit.
Mon sexe grossi peut à peut, instinctivement mon autre main monte à la rencontre de mes tétons je ne puis pas m'empêcher de me triturer les mamelons et de me faire rouler les bouts entre mes doigts et tirer doucement mes anneaux, je passe de l'un a l'autre en gémissant. , Bientôt je suis bien raide. Je m'astique avec vigueur mon bassin a un mouvement d'avant en arrière, je sens que mon plaisir monte doucement, les deux femmes m'encouragent de la voie, on dirait quelle font un concours d'obscénités, c'est à quelle diras les mots les plus crû, de "branle toi salope" à "fait toi jouir cochonne" en passant par "plus fort vas-y, fait toi giclé, je n'en reviens pas elles ont l'air particulièrement excité. Moi je me triture les seins de plus en plus fort je les regarde à tour de rôle bien dans les yeux sans plus aucune gêne, je suis presque fier de m'exhiber devant elle, le sentiment de honte et d'humiliation est totale, jamais je ne me saurais crus capable de me branler ainsi debout devant deux femmes et sentir monter ma jouissance ainsi. Un gant en caoutchouc dépassant de mes fesses. Je geins de plus en plus fort mon plaisir est imminent. Les deux femmes sont comme tétanisées et ne lâchent pas mon sexe du regard. Martine vient de se toucher furtivement deux fois la vulve au travers de sa robe. Je suis sur quelle doivent mouiller toutes les deux comme des malades.
Je sens ma jouissance qui arrive, je me mets à râler de plus en plus fort, je les fixe du regard l'une après l'autre. Ca y est je sens que je joui, mon plaisir est total je me joui sur les doigts depuis mon éjaculation précédente je n'ais plus beaucoup de réserve, je me sens tout gluant et poisseux d'un coup. Mon orgasme est formidable je suis fier de mettre branler devant ses deux femmes. C'est bon la honte comme l'on dit, j'adore cela ça décuple mon orgasme je me coule sur les doigts. J’entends Marie.
- Jouis dans ta main, je ne veux pas que tu en perdes une goutte. Je veux que tu lèche tes doigts ensuite devant nous comme une cochonne.
Instinctivement, j'avais déjà porté mes doigts à ma bouche pour y passer un coup de langue furtif. J'aime trop le goût du sperme chaque fois que je me branle, c'est à dire souvent je me sens obligé de le lécher ensuite et de l'avaler. J’adore. Je me lèche donc les doigts lentement en soutenant leur regard à toutes les deux. Je sens Martine un peut remuer quand même. Avec Marie cela est différent ça fait partis de nos petits jeux à nous. Elles doivent bien être humide de l'entrejambe quand même toutes les deux. Je suis sur que seul avec Marie elle m'aurait donné l'ordre de passer ma langue dans les profondeurs de son vagin pour sa toilette intime. Mais Martine ne faisant pas partie du protocole je la sens légèrement frustré. Peut-être Martine a les mêmes pensés également comme quoi c'est bête de passer à coté du bonheur. Marie se retourne vers la table basse et prend les deux verres en présentent un à sa copine et me dit.
- La "Tit put" elle va aller chercher un verre et elle va venir trinquer avec nous mais d'abord elle va enlever le truc rose qui sort de ses fesses et elle va ramasser et ranger tout son petit bazar et vite allez se doucher. Elle la bien mérité pour une fois.
Je me sens collant et gluant de partout une douleur quand même, m'irradie dans tout le bas du dos. Je range tous mes petits gadgets dans leur sac et fille à la salle d'eau laver les quilles en métal et une fois que j'ais repris figure humaine, les rejoins en peignoir, un verre m'attend sur la table du salon. Je m'assoie en face d'elle délicatement sur un fauteuil, tellement la douleur irradie dans mes fesses après le traitement que je me suis infligé. Les deux copines sont en pleine discussion avec comme sujet évidement la soumission et la domination. Martine veut en savoir un peut plus Alors Marie éclaire sa lanterne. Elle lui explique nos penchants, comment ça c'est installé dans notre couple et le plaisir que nous en retirons tous les deux. Moi en temps que soumis et elle en temps que dominatrice. Par contre ce qu'elle n'avoue pas a son amie, c’est qu'elle non plus ne déteste pas du tout passer de l'autre coté c'est à dire prendre la place de la soumise et la je dois dire que je me venge allégrement des sévices quelle me fait subir. Mais avec Marie nos jeux sont différents, je reste plus dans le cérébral et l'humiliation. Elle n'apprécie pas trop la douleur physique chose que je respecte sinon ce ne serait plus un jeu, mais étrangement elle évite soigneusement cet aspect la. Pour ne pas être dévalorisé je pense aux yeux de sa copine. Ce n'est pas agréable d'avouer ses faiblesses apparemment.
- Dit donc depuis que je suis ici, c'est la première fois que je te vois habillé normalement, ça me fait bizarre.
- Tu vois Martine, toi aussi tu commençais à apprécier sa tenue de soumise, tu regrette qu'il se soit changé. Tu veux que je l'oblige à aller se changer. Tu sais qu'il adore ça en plus et puis il a une jolie petite robe en voile qu'il adore mettre avec des talons il rend pas mal.
- Non cela m'ennuie, le pauvre il a déjà bien souffert.
- Taratata c'est toujours moi qui commande pour le moment, met ta petite robe avec toute la panoplie, tu mangeras habillé en femme en plus je suis sur que tu en mort d'envie, file te changer.
Je repose mon verre sur la table basse me lève et vais dans notre chambre, ouvre ma commode disons spéciale remplie de vêtements féminins et de nylon. De culottes, string et soutient gorge. Je choisi une paire de bas brun foncé un slip fendu acheté par correspondance aussi ce qui me permet de laisser libre mon petit matériel. Ensuite je passe un de ces fameux soutient gorge découpé je m'arrange bien la poitrine à l'intérieur en tirant mes seins au maximum dans les évidements ce qui les fait paraître plus important. Ensuite je revêts ma petite robe légère en sorte de voile de coton, que j'adore puis un petit top à bretelle de la même matière, le tout avec mes mains protégées par des gants fin en tissus. Effectivement, je me suis vite rendu compte que chaque fois que j'enfilai des bas ou des collants ou bien même des sous-vêtements légers j'accrochais et faisais filé le nylon donc, j'ai trouvé cette solution et depuis je n'abîme plus rien. Une paire de chaussures avec de léger talons et je les rejoinsau salon.
- Tu en as mis du temps pour t'habiller !
- J'ai fait pourtant du mieux que j'ai pu.
- Fait voir à Martine, comme tu es sexy en femme, approche, tourne-toi.
Je fais quelques pas dans leur direction en virevoltant sur moi-même, assez fier de m'exhiber ainsi au fond de moi.
- Lève ta robe fait voir ton entre-jambe écarte tes jambes.
Je me campe devant elles en me tenant bien droit sur mes talons les jambes écartées d'environ soixante centimètres et lentement, je relève ma robe - Comme c'est mignon il à même de la lingerie spéciale à ce que je vois !
- Alors Martine, ton avis ?
- Pas mal effectivement, il me semble que je m'y ferais assez rapidement et pourtant, je ne suis pas lesbienne, regarde comme son sexe est petit, il sort à peine de la dentelle par contre regarde le bout est tout mouillé déjà.
- Il faut dire qu'il est spécial de ce coté la il ne peut pas être en fille et ne pas mouillé sa culotte, une vrais petite pisseuse.
- C'est dingue quand même il doit te tacher partout le sol quand ça goutte.
- Pour cela j'ai une méthode, je l'oblige à lécher le sol ensuite et crois moi il fait tout pour se tenir propre de ce coté-la.
Je suis très fier d'être devant les deux copines retroussées ainsi, je bombe le torse pour faire ressortir mes embryons de seins. Marie le remarque et me dit.
- Fait voir le haut a Martine maintenant.
Idem pour le haut je remonte mon petit top devant mon visage en me cambrant bien en avant exhibant mon soutient gorge découpée, j’ai les bras croisés à hauteur de mon visage en tenant du coté opposé de chaque coté du vêtement. Je sais que dans cette position pour l'avoir fait plusieurs fois devant un miroir ça me comprime les seins l'un contre l'autre et ils paraissent plus gros.
- Mais il a presque des seins regarde Marie il a de ses bouts, c'est affolant.
- De la manière qui se tire les bouts, tu as vu tout à l'heure et s'il fait ça depuis qu'il a treize ou quatorze ans, tu vois le résultat- Il a de plus gros tétons que moi, c'est sur et à la piscine ou à la plage, ça ne lui fait rien, ces piercings, il assume.
- Oui au début il n'osait pas trop mais maintenant je crois qu'il assure complètement, il en joue même un peut des fois.
Et dans son travail comment ca se passe ?
- Apparemment bien il n'y va pas habiller en femme tout de même, même pas un sous-vêtement, rien normal quoi. Imagine qu'il est un accident au boulot ou même sur la route, chose que je ne souhaite pas bien sur mais qu'il soit obligé de se dévêtir et que l'on s'aperçoive qu'il à un sous tif et une culotte de femme ou pire des collants sous ses vêtements, la honte pour moi que d’avouer que je vis avec un détraqué. Comme cela ça reste bien entre nous tu vois ! Même que si tu étais arrivé en soirée comme prévus, tu n'en serais jamais rien su.
- Je suis désolé pour cela, je pensais vous faire une surprise.
- Tu parle d'une surprise, je ne savais pas du tout comment réagir. Du coup j'ai tenu mon rôle de dominatrice à fond comme tu peux le constater et puis, je suis sur qu'au fond de lui il a été content de s'exhiber devant une tierce personne, ça a du l'excité à mort - Un peut au début, j'étais gêné, mais ensuite j'étais au ange.
- Tu vois martine finalement tout le monde y a trouvé son compte et puis toi tu seras moins bête ce soir.
- Ne me prend pas pour une imbécile non plus Marie, je savais quand même que cela existait mais je ne pensais pas que ma copine, toute timide et toute coincé s'adonnait à ce genre de chose.
- Tu vois comme quoi on croit connaître les autres et finalement on se trompe. Peut être que toi aussi tu as des perversions et que je ne les connais pas, peut être même que tu fais l'amour avec des bêtes et que personne ne le sait.
- Ca vas pas non avec un chien, tu plaisante non, zoo machin comme il dise ça me dégoûterais. Je sais pourtant qu'il à des femmes qui pratique, même des hommes, mais non de se coté la, je suis normale.
- Tu sais la normalité en matière de sexe, je crois que ça n'existe pas.
- Tu as raison en effet et toi quand penses-tu.
- Moi dans tout ça, je dis que finalement la vie est courte et que tout les moyens sont bons pour prendre du plaisir - Bien parlé, ont passe à table, je ne me suis pas embêté ce soir, c'est pizza décongelée, ça vous vas.
- Impec, tu as bien raison.
- Notre "Tit put" vas nous mettre la table et je suis sur qu'une bonne bouteille de vin italien fera l'affaire. Tu descendras à la cave.
- OK.
Le matin, je me retrouve à faire passer un café pour le petit déjeuné, je suis en train de beurrer des tartines pour Marie et sa copine en me rappelant la journée d'hier, journée un peu mouvementer ma foi. J'en ai encore quelques douleurs dans le bas des reins. Je m'active du mieux que je peux en faisant le moins de bruit possible, apparemment Martine dort encore, il n'y a que Marie et moi qui somme réveillé je me dépêche pour porter un plateau à Marie, avant qu'elle arrive.
De retour dans notre chambre avec mon plateau Marie me dit.
- À tu pensé à Martine également.
- Tout à fait, j'attends qu'elle se réveille, il n'y a pas de bruit encore dans sa chambre.
- As-tu bien dormi ?
- Comme un bébé mais tu m'as bien amoché hier, j'ai mal de partout, surtout ou tu penses.
- Tu aime bien ça d’habitude.
- Oui d'accord mais reconnais qu'hier, tu y as été un peu fort non. C'est parce que Martine était là.
- Peut-être, il faut dire quelle nous à pas laissé le choix nom plus.
- Taratata, tu aurais eu cent fois le temps de me libérer pendant qu'elle était aux toilettes et tu n'en as rien fais.
- Excuse moi, j'ai paniqué et puis après je ne sais pas ce qu'il m'a pris- Tu parles, maintenant, je passe pour qui aux yeux de ta copine.
- Pour une salope pardi.
- C'est malin tient.
- Écoute, on dirait que son bouge de son côté, tu devrais lui porter son plateau avant qu'elle ne se lève - OK, j'y vais.
Je toque à sa porte elle me répond d'entrer.
- Bonjour, bien dormie ?
- Comme un loir, il n'y a aucun bruit ici, ça me change de la ville .Mais tu es déjà habillé en cochonne Et elle me montre du doigt - Non pas du tout, c'est une habitude que j'ai, je dors en nuisette, au début, c'et moi qui le faisais de temps en temps, mais maintenant, c'est Marie qui m'oblige - AH bon, j'ai du mal à mi faire, tu n'es jamais habillé normalement.
- Si rassure-toi, mais à la maison, je suis obligé d'obéir à Marie, c'est comme cela et j’aime. C’est tout, ça ne se discute pas.
- C'est votre vie après tout, merci pour le plateau.
Je referme la porte et rejoins Marie dans notre chambre.
- Elle m'a encore branché sur ma tenue, je lui ai dit que tu me forçais et elle n'a pas eut l'air d’apprécié.
- Tant pis, elle avait l'air plutôt émoustillé, hier non.
- C'et aussi l'effet qu'elle m'a fait, je ne comprends pas.
- Ont vas continuer aujourd'hui vus quelle repart ce soir je vais lui faire voir moi.
- Au non pas tout les jours, j'ai mal au fesses moi.
- Arrête tout de suite hein ! Qu’est ce que l'on avait dit, pendant une semaine, c'est moi qui commande et la semaine n'est pas finie.
- Oh non pas encore, ou bien soft alors.
- Tu ne discute pas, tu commence par aller te doucher ensuite je vais réfléchir pour ta tenue de la journée, j'ai envie de te punir encore moi, reconnais que tu aime bien lorsque tu es humilié, - Oui j’aime.
- Tu vois donc aujourd'hui ça va être ta fête, crois moi.
Une demie heure plus tard, je sors de la salle de bain en peignoir et rejoins les deux femmes à la cuisine, elles sont en train de s'activées autour du lave vaisselle.
- Tu arrive bien toi, comment tu vas t'habillé toi aujourd'hui ?
Elle parle fort exprès pour faire réagir sa copine, ça ne loupe pas.
- Ah non, vous n'allez pas recommencer avec vos cochonneries.
- Je croyais que ça te plaisais moi hier.
- Je ne dis pas que ça ne me plais pas mais ont dirais que vous vivez que pour ça.
- Un peut oui que l'on aime ça, hein "Tit put"- Oh oui Madame, j'adore.
- Arrêtez votre cirque j'y ai pensé toute la nuit vous me foutez la gerbe. Et puis j'ai reçu un SMS de ma mère, il faut que je vous abandonne plus vite que prévue ma maman ne vas pas très bien il faut que je passe par Lyon le plus vite possible.
- C'est dommage pour une fois que tu nous rends visite.
- C'est comme ça, je ne peux pas laisser maman seul il faut absolument que j'y passe avant de rentrer chez moi.
- C'est pas de chance et quand compte tu partir.
- Le plus vite possible, ça à l'air sérieux, il ne faut pas que je traîne.
- Décidément, ce n'est pas de chance.
- Vite je me prépare et je me sauve, mais promis, je repasserai.
- J’espère bien.
Du coup une heure après nous nous retrouvons tout les deux Marie et moi un peut interloqué par ce départ précipité , ne sachant pas très bien la véracité de cette histoire si oui ou non ça mère l'avait bien appelé. Marie qui connaissait bien Martine me jura qu'elle était incapable de mentir sur des sujets comme cela. Je la cru.
- Pour un week-end gâché, c'est un week-end gâché, elle devait rester trois jours et hop nous revoilà tous les deux.
- Tant pis, ce sera pour une autre fois.
- Dis donc tu as aimé hier dans le jardin ?
- C'était un peut hard mais je reconnais y avoir pris du plaisir.
- Ont recommence ? J'ai bien envie de punir encore ma petite salope.
- Non pas tout les jours.
- Si, j'ai envie donc tu n'a pas le choix.
- Arrête je ne suis même pas rasé rien, je n’aime pas.
- Vas te raser si tu veux mais dépêche toi ça ne pourras pas attendre.
- Ne pas attendre pourquoi ?
- Tu verras !
- Je file aux toilettes et je me ras après, comme tu veux.
- Non tu ne vas pas aux toilettes.
- Et pourquoi, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, j'ai très envie.
- Justement, c'est très bien comme cela. Tu fais comme je dis, vas te raser et rejoins moi dans la chambre.
Décidément qu'a telle derrière la tête cette fois si. Je sais quelle ne manque pas d'imagination pour les punitions mais la, je ne vois pas .ça vas encore dégénérer en séance de pipi c'est sur, j'y vois venir. Mais ce n’est pas envi de pipi moi pour le moment. Donc je vais à la salle de bain et me dépêche de me raser tout en me trémoussant d'une jambe sur l’autre. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, avec la séance d'hier, mes sphincters ne jouent plus vraiment leur rôles, Je la rejoins ensuite dans notre chambre. Elle m'attend assise en tailleur sur le lit, devant elle il y a une paire de bas, une petite culotte assortie et un soutien-gorge. Je reconnais le modèle l'ensemble est une sorte de tulle nylon transparente, j'adore le contact de ce tissus sur ma peau.
- Pour commencer, tu vas te changer pour la journée, j'ai envies de te voir habiller comme cela ce matin, en parfaite petite salope.
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