titput 2 - histoire érotique

SOUS SOL




Les deux filles quittent la pièce, je m'essuie le visage avec une serviette resté sur la table, commence à desservir et ranger un peut tout dans la cuisine, lorsque j’entends venant du sous sol.
- " Tit put" arrive, on a besoin de toi.
Je les rejoins au garage.
- Décidément, tu pue de plus en plus ma petite salope, enlève ta moto de ta fiole pour laisser la place à la voiture de Martine.
Je m'approche de la moto, effectivement elle tient beaucoup de place, je suis obligé de retrousser la combinaison jusqu'à la ceinture pour l'enfourche et m'apprête à la manœuvrer pour la déplacer.
- Regarde comme elle pas mignonne la dessus comme ca retroussé, ça me donne une idée. Ne bouge pas toi, je reviens de suite.
Qu’est ce qui lui a encore passé par la tête, maintenant, je me méfie de tout avec elle. En enjambant la moto, évidement la combinaison de nylon s'est remontée sur mon ventre et laisse ainsi apparaître mes bas jusqu'en haut de mes cuisses et vu la grosseur de l'engin je suis presque sur la pointe des pieds. Marie réapparais dans le garage notre appareil photo à la main.
- Tu fais très sexe comme ça, je vais faire des photos de toi comme ça imagine la tête de tes copains biker lorsqu'ils les verront… Allez prend la pose, Cambre toi, ... Regarde moi pour bien que l'on te reconnaisse … Tire la langue ...Lâche le guidon ... Retrousse-toi pour bien faire voir tes petits nichons ... Rabat moi ce sous tif et tire toi les bouts ..; Encore plus fort ... C'est bien, tu es une bonne pute.
Moi comme un robot j'obéi à ses directives, je relève ma combinaison sous mon menton et rabat les bonnets du soutien-gorge sur mon ventre, content voir même presque fière au fond de moi même de m'exhiber ainsi. Martine se marre de plus en plus dans son coin.
- Décidément, je n'en reviens pas de voir comme il t'obéi.
- Je te l'avais dit, c'est un maso de toute façon et puis avec tous ce que je sais sur lui maintenant, je le tiens.
Une fois la moto déplacer et mise au fond du garage. Martine entre ça nouvelle voiture, c'est vrais quelle est belle, elles fonts deux fois le tour. Marie prend le sac de voyage de Martine, me le donne et m'ordonne de le monter dans sa chambre et de la préparer pour ce soir, elle monte à la place du conducteur, sa copine la rejoins sur le siège passager elles referment les portières en continuant de discuter. Je ne peux plus suivre leur conversation. Je monte à l'étage.
- Tu ne crois pas que tu exagère avec lui quand même un peut.
- Tu rigole maintenant que je commence à le cerner, je sais que je peux aller très loin avec lui. Attend, je te raconte, tu ne sais pas tout ... Un jour, c'était un vendredi, je crois, il a un RTT tous les quinze jours, je suis revenue à la maison en milieux de matinée, il ne s'attendait pas du tout à mon retour, moi aussi non plus, ce n'était pas prémédité. Je suis rentré, il n'y avait pas un bruit, je n'en ais pas fait non plus, c'était bizarre. J'ai fait le tour et devine ou je l'ai trouvé. Il était devant le pc dans notre chambre en train de se branler.
- Non, je n’y crois pas.
- Attend ce n’est pas tout je continue. Je me suis approché de lui, à ma vue il c'est métamorphosé, je ne te dis pas, son érection est tombé d'un coup. Le mieux, je t'explique. Il était en soutien-gorge sûrement un truc qu'il a découpé lui même il n'y avait plus de bonnets, que l’entourage, ses seins sortaient en avant, de plus il avait des sortes de seringues au bout ses tétons, ils étaient aspirés dedans, ils étaient énorme, au moins trois centimètres de long. Il était avec des bas, tu sais le modèle auto fixant, renversé sur son siège. A coté de lui il y avait posé sur un tabouret des sortes de quilles en métal de différentes grosseurs,
- Non, ce n’est pas vrais.
- Attend le pire est à venir. Lorsqu’il m'a vue, il a fait mine de se relève. Je lui ai dit stop, ne bouge pas, qu'est ce que tu regarde d'abord avec tant d'intérêts. En fait il regardait des trucs un peut, même vachement hard, je veux dire un film ou les filles se faisaient pisser et caca dessus, tu vois le genre bien crade quoi. Il a commencé à balbutier des explications. Je lui ai demandé, c'est quoi ça, en lui montrant ses trucs métallique. Il c'est décomposé, mais il ne me répondait pas. J'ai insisté et dans un murmure il m'a dit. C'est pour me mettre dans le cul. La j'ai été sciée ...Quoi tu te fou ça dans le cul, mais tu ais vraiment grave toi. Imagine la taille des trucs, en plus le plus gros était au plus large qu’une cannette de coca, tu vois le morceau. J'avais du mal à l'imaginer avec ça dans le cul. Mais ce n'est pas le pire, lorsqu'il c'est relevé de son siège, celui qui était en train de l'enculé était encore plus gros. La j’étais estomaquée, qui ne c'est pas un jour ou l'autre mis un truc dans le cul pour voir. Mais alors la ça devait le déchirer et il avait l'air d'aimer ça, la preuve il bandait très fort. Moi il fallait que je reparte au boulot, je ne pouvais pas rester, tu comprends. Tout penaud il a retiré les trucs de ses seins aussi, ces tétons étaient énormes, tous violet, gros comme des doigts, un truc de dingue. Je lui ai dit que de toute façon ont reparlerait de ça le soir. Et je suis partie.
- Ben ça Alors, tu me sidère.
- Tu vois maintenant, il peut faire son fier devant ces copains du moto club, si ils savaient ils se moqueraient bien de sa pomme. Puis pleins d'autre chose encore j'ai découvert dans son armoire une valise avec pleins d'accessoires, toute une collection de gode de différente grosseur des pinces de tous les modèle, des chaînes en métal, des bracelets de toute sortes, des colliers en plastique épais apparemment tous des trucs qu'il a bricolé lui même. Je te dis, c'est un gros cochon. Tien il y a même un spéculum. Je suis sur qu'avec son ancienne femme il devait déjà jouer avec. Du reste il m'en a un peut parlé au début de notre rencontre.
- Ca alors, tu m'épate !
- Il m'a dit que de temps en temps, il adorait mettre des sous vêtements féminin. Et aussi des petite jupes et des chaussures de femme, enfin toute la panoplie quoi.
- Et tu supporte ça toi ?
- Bof pour moi, ce n'était pas bien méchant, au contraire. Je lui ai même acheté des trucs pour lui, pour lui faire plaisir. Je ne peux pas dire que cela m'enchante mais à part ces petits travers ont s'entend super bien. Tu sais par les temps qui courent, déjà un mec pas violent, à peut prés gentil, il ne faut pas demander l'impossible. Puis petit à petit, il faut dire que je me laisse prendre au jeu tu vois.
- Ca doit faire bizarre d'avoir une pute à la maison.
- Au début, je n’osais pas trop mais maintenant, je me lâche de plus en plus. Maintenant
que tu es la, je crois que je vais être très garce avec lui.
- Comment ça, maintenant que je suis la.
- Ben oui, son truc, c'est d'être humilié de ce faire traiter de tout les noms d'être soumis quoi. Même des trucs crade, tu vois il me semble qu'a deux ont pourrait avoir plus d’idées.
- Bof, je n'y ai jamais vraiment pensé et puis c'est un truc entre vous finalement.
- Mais si, tu vas voir, je suis sur que tu este encore plus vicieuse que moi. Viens on remonte… Que veut tu que l'on fasse cette après midi.
- Je pensais que l'on aurait pu faire les boutiques, un peut comme l'on faisait avant, non, quand penses-tu.
- Oui pourquoi pas, et "Tit put", on l'emmène ?
- Ont peut, oui !
Les deux femmes étaient dans le couloir, Marie me dit
- Tu as quinze minutes pour te laver, ensuite tu viens avec nous, dépêche toi.
Je file à la salle d’eau et m'active en vitesse. Qu’ont elles encore prévues toute les deux. Je ressors dans le temps imparti.
- Je suis prêt.