Expériences vécues au grand air épisode 1
Récit érotique écrit par Louis Dubreuil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Expériences vécues au grand air épisode 1
Courts récits relatant autant d’expériences réelles (seuls les prénoms ont été modifiés pour préserver notre anonymat).
D’autres suivront pour vous faire partager des moments intimes dans des lieux originaux ou des circonstances exceptionnelles.
Un jardin public accueille nos ébats Autant que possible, je déjeune avec ma femme une fois par semaine car ma vie professionnelle intense m’empêche de rentrer tôt et je consacre la majeure partie du temps restant à m’occuper de mes enfants. Ces déjeuners sont l’occasion de discuter de choses et d’autres et d’avoir des moments en tête à tête sans d’autre préoccupation que de nous retrouver ensemble. Nous n’allons pas systématiquement au restaurant et nous profitons de la clémence du temps pour également déjeuner en plein air. Nous remplaçons quelques fois le dessert par d’autres gâteries, brèves mais toujours intenses, comme une fellation sous un abri bus ou un coït sur la banquette arrière de notre voiture.
C’est l’un de ces déjeuners « pimentés » que je vais maintenant vous raconter.Nous nous étions donnés rendez-vous dans un jardin public coincé entre une voie de chemin de fer et les bâtiments désaffectés d’une ancienne fabrique. Ma femme, appelons la Morgane, était déjà arrivée et m’attendais sur un banc. Au lieu de m’asseoir à côté d’elle, je pris place sur le banc qui lui faisait face. Elle était habillée d’une longue robe noire sur laquelle était superposée une chemise beige. Elle se tenait assise, le dos bien calé contre le dossier, les jambes serrées et en grande partie recouverte par le bas de son vêtement. Nous engageâmes une conversation de part et d’autre de l’espace de terre battue qui nous séparait.
- Tu as passé une bonne matinée ? lui demandais je pour lancer la conversation
- Correcte et toi ?
- Pareil, sans plus.
Lorsqu’elle croisa les jambes et avant qu’elle ne remette en place ses oripeaux, je crus apercevoir furtivement le bout d’une jarretière élastique appartenant à un bas auto fixant. Morgane porte en effet très peu de collants auxquels elle reproche de trop la serrer à la taille et habille habituellement ses jambes de bas, pour mon plus grand plaisir même si ce n’est pas son intention initiale.
- Je vois que tu as mis des bas comme d’habitude
- Evidemment, et si tu veux tout savoir, j’en ai d’ailleurs filé un en les enfilant ce matin. Heureusement que je les achète toujours par deux ou trois boites identiques
- Tu es toujours d’une grande prévoyance. Soit dit en passant, je te suis surtout reconnaissant d’avoir une collection de slips bien achalandée, ce serait lassant à la longue de te voir toujours porter les mêmes culottes !
- Il n’y a pas de danger ! De toute façon, tu en serais en grande partie responsable car c’est toi qui achète la plus grande partie de ma lingerie,
- Sur tes directives uniquement, ma chérie ! répondis-je en pensant aux discussions sans fin au sujet du compromis parfait à trouver entre le confort des culottes de coton blanc et la beauté des strings ou autre tanga de dentelle
- C’est vrai !
- Fais voir ce que tu portes aujourd’hui ! enchaînais-je me doutant qu’elle avait choisi un ensemble noir acheté récemment et assorti à sa robe,
- Ca va pas non ?
- Ne sois pas stupide, on n’a jamais vu personne ici et tu tournes le dos à l’entrée du parc.
Amusée par ma requête et bien que ses tendances exhibitionnistes soient limitées à l’exposition de ses seins sur la plage et encore lorsqu’il n’y a pas trop de monde autour d’elle, Morgane releva lentement le bas de sa robe et dévoila successivement le haut de ses bas, la zone de peau entre jarretière et slip, et enfin ce dernier qui était effectivement celui auquel je pensais. Elle maintenait le bas de sa robe relevé sur ses hanches et exhibait, tout de même très pudiquement, ses dessous. Je me levais et m’approchais d’elle. Je la forçais à écarter légèrement ses jambes et me plaçait debout tout contre elle. Elle appuya sa joue contre mon jeans et je commençais à lui masser doucement le cuir chevelu. Je savais qu’elle était très sensible à ce genre de caresses qui la détendaient.
Je quittait cette position pour me placer derrière elle et recommençait mes massages en insistant cette fois sur son cou et ses épaules que j’avais dégagées en repoussant légèrement chemise, bretelles de robes et de soutien gorge. Elle avait sagement remis en place sa robe qui lui arrivait encore à mi-cuisse et Morgane s’était abandonnée à mes massages. J’allais clore la séance de relaxation, mon intention n’étant pas d’aller plus loin, lorsqu’elle pris ma main pour me forcer à repasser face à elle. Je retrouvais donc ma position initiale et allais recommencer à lui caresser la chevelure lorsque elle défit brusquement ma ceinture et ouvrit les boutons de ma braguette. Mon sexe, tel un arc, se banda immédiatement. Morgane le caressa brièvement à travers mon caleçon avant de baisser toutes ces entraves de tissu et ainsi libérer l’accès à ma verge. Elle entreprit une fellation dont elle a le secret. En plus des sensations procurées par sa bouche et ses mains qui me caressaient les fesses et la zone très érogène située entre bourses et anus, une brise légère me procurait des émotions encore jamais rencontrées.
De temps en temps, je jetais des coups d’œil furtifs vers l’entrée du parc pour m’assurer que personne n’était susceptible de nous surprendre dans cette situation scabreuse. Je lui demandais de se caresser devant moi, ce spectacle érotique « live » ayant le don de renforcer ma propre excitation.
Elle me repoussa un court instant pour ôter sa culotte et écartant ses lettres intimes, commença à former des cercles concentriques autour de son clitoris. Il est habituellement tellement sensible qu’il est strictement impossible de le lécher ou de le caresser directement. Au bout de quelques minutes de ce traitement délicieux, je savais que ma résistance était très émoussée et demandait à ma femme de prendre toutes les précautions nécessaires pour ne pas que les jets imminents de mon sperme ne tachent sa robe. Au lieu de continuer ses baisers et caresses, elle ouvrit largement les jambes et dirigea mon braquemart vers son puit intime. Pour que nos sexes soient positionnés l’un en face de l’autre, je pris appuis sur le haut du dossier en y posant mes mains.
La position était plus qu’acrobatique mais Morgane m’empêchait de m’échapper, ayant enserré ma taille avec ses jambes. Elle n’avait pas cessé de se caresser et nous jouîmes presque simultanément. Je me retirais rapidement de risque de m’écraser sur mon épouse. Morgane s’était déjà levée et rajustée lorsque je fus prêt à partir. Un rapide baiser et elle parti retrouver son bureau et les tracas associés.En jetant un coup d’œil pour m’assurer que rien n’était tombé de mes poches, je remarquais son slip que je ramassais et fourrais dans ma poche. Je lui rendrais ce soir mais j’aurais tant voulu voir sa tête lorsqu’elle se rendrait compte que son sexe était nu sous sa robe.
D’autres suivront pour vous faire partager des moments intimes dans des lieux originaux ou des circonstances exceptionnelles.
Un jardin public accueille nos ébats Autant que possible, je déjeune avec ma femme une fois par semaine car ma vie professionnelle intense m’empêche de rentrer tôt et je consacre la majeure partie du temps restant à m’occuper de mes enfants. Ces déjeuners sont l’occasion de discuter de choses et d’autres et d’avoir des moments en tête à tête sans d’autre préoccupation que de nous retrouver ensemble. Nous n’allons pas systématiquement au restaurant et nous profitons de la clémence du temps pour également déjeuner en plein air. Nous remplaçons quelques fois le dessert par d’autres gâteries, brèves mais toujours intenses, comme une fellation sous un abri bus ou un coït sur la banquette arrière de notre voiture.
C’est l’un de ces déjeuners « pimentés » que je vais maintenant vous raconter.Nous nous étions donnés rendez-vous dans un jardin public coincé entre une voie de chemin de fer et les bâtiments désaffectés d’une ancienne fabrique. Ma femme, appelons la Morgane, était déjà arrivée et m’attendais sur un banc. Au lieu de m’asseoir à côté d’elle, je pris place sur le banc qui lui faisait face. Elle était habillée d’une longue robe noire sur laquelle était superposée une chemise beige. Elle se tenait assise, le dos bien calé contre le dossier, les jambes serrées et en grande partie recouverte par le bas de son vêtement. Nous engageâmes une conversation de part et d’autre de l’espace de terre battue qui nous séparait.
- Tu as passé une bonne matinée ? lui demandais je pour lancer la conversation
- Correcte et toi ?
- Pareil, sans plus.
Lorsqu’elle croisa les jambes et avant qu’elle ne remette en place ses oripeaux, je crus apercevoir furtivement le bout d’une jarretière élastique appartenant à un bas auto fixant. Morgane porte en effet très peu de collants auxquels elle reproche de trop la serrer à la taille et habille habituellement ses jambes de bas, pour mon plus grand plaisir même si ce n’est pas son intention initiale.
- Je vois que tu as mis des bas comme d’habitude
- Evidemment, et si tu veux tout savoir, j’en ai d’ailleurs filé un en les enfilant ce matin. Heureusement que je les achète toujours par deux ou trois boites identiques
- Tu es toujours d’une grande prévoyance. Soit dit en passant, je te suis surtout reconnaissant d’avoir une collection de slips bien achalandée, ce serait lassant à la longue de te voir toujours porter les mêmes culottes !
- Il n’y a pas de danger ! De toute façon, tu en serais en grande partie responsable car c’est toi qui achète la plus grande partie de ma lingerie,
- Sur tes directives uniquement, ma chérie ! répondis-je en pensant aux discussions sans fin au sujet du compromis parfait à trouver entre le confort des culottes de coton blanc et la beauté des strings ou autre tanga de dentelle
- C’est vrai !
- Fais voir ce que tu portes aujourd’hui ! enchaînais-je me doutant qu’elle avait choisi un ensemble noir acheté récemment et assorti à sa robe,
- Ca va pas non ?
- Ne sois pas stupide, on n’a jamais vu personne ici et tu tournes le dos à l’entrée du parc.
Amusée par ma requête et bien que ses tendances exhibitionnistes soient limitées à l’exposition de ses seins sur la plage et encore lorsqu’il n’y a pas trop de monde autour d’elle, Morgane releva lentement le bas de sa robe et dévoila successivement le haut de ses bas, la zone de peau entre jarretière et slip, et enfin ce dernier qui était effectivement celui auquel je pensais. Elle maintenait le bas de sa robe relevé sur ses hanches et exhibait, tout de même très pudiquement, ses dessous. Je me levais et m’approchais d’elle. Je la forçais à écarter légèrement ses jambes et me plaçait debout tout contre elle. Elle appuya sa joue contre mon jeans et je commençais à lui masser doucement le cuir chevelu. Je savais qu’elle était très sensible à ce genre de caresses qui la détendaient.
Je quittait cette position pour me placer derrière elle et recommençait mes massages en insistant cette fois sur son cou et ses épaules que j’avais dégagées en repoussant légèrement chemise, bretelles de robes et de soutien gorge. Elle avait sagement remis en place sa robe qui lui arrivait encore à mi-cuisse et Morgane s’était abandonnée à mes massages. J’allais clore la séance de relaxation, mon intention n’étant pas d’aller plus loin, lorsqu’elle pris ma main pour me forcer à repasser face à elle. Je retrouvais donc ma position initiale et allais recommencer à lui caresser la chevelure lorsque elle défit brusquement ma ceinture et ouvrit les boutons de ma braguette. Mon sexe, tel un arc, se banda immédiatement. Morgane le caressa brièvement à travers mon caleçon avant de baisser toutes ces entraves de tissu et ainsi libérer l’accès à ma verge. Elle entreprit une fellation dont elle a le secret. En plus des sensations procurées par sa bouche et ses mains qui me caressaient les fesses et la zone très érogène située entre bourses et anus, une brise légère me procurait des émotions encore jamais rencontrées.
De temps en temps, je jetais des coups d’œil furtifs vers l’entrée du parc pour m’assurer que personne n’était susceptible de nous surprendre dans cette situation scabreuse. Je lui demandais de se caresser devant moi, ce spectacle érotique « live » ayant le don de renforcer ma propre excitation.
Elle me repoussa un court instant pour ôter sa culotte et écartant ses lettres intimes, commença à former des cercles concentriques autour de son clitoris. Il est habituellement tellement sensible qu’il est strictement impossible de le lécher ou de le caresser directement. Au bout de quelques minutes de ce traitement délicieux, je savais que ma résistance était très émoussée et demandait à ma femme de prendre toutes les précautions nécessaires pour ne pas que les jets imminents de mon sperme ne tachent sa robe. Au lieu de continuer ses baisers et caresses, elle ouvrit largement les jambes et dirigea mon braquemart vers son puit intime. Pour que nos sexes soient positionnés l’un en face de l’autre, je pris appuis sur le haut du dossier en y posant mes mains.
La position était plus qu’acrobatique mais Morgane m’empêchait de m’échapper, ayant enserré ma taille avec ses jambes. Elle n’avait pas cessé de se caresser et nous jouîmes presque simultanément. Je me retirais rapidement de risque de m’écraser sur mon épouse. Morgane s’était déjà levée et rajustée lorsque je fus prêt à partir. Un rapide baiser et elle parti retrouver son bureau et les tracas associés.En jetant un coup d’œil pour m’assurer que rien n’était tombé de mes poches, je remarquais son slip que je ramassais et fourrais dans ma poche. Je lui rendrais ce soir mais j’aurais tant voulu voir sa tête lorsqu’elle se rendrait compte que son sexe était nu sous sa robe.
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