Expériences vécues au grand air épisode 2
Récit érotique écrit par Louis Dubreuil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Expériences vécues au grand air épisode 2
Courts récits relatant autant d’expériences réelles (seuls les prénoms ont été modifiés pour préserver notre anonymat). D’autres suivront pour vous faire partager des moments intimes dans des lieux originaux ou des circonstances exceptionnelles.
Des massages dégénèrent dans un jardin privé.
Nous passions quelques jours dans une maison familiale qui avait la particularité d’être à la fois en plein centre du village et entourée de jardins, de telle sorte que le premier vis-à-vis se trouvait à plus de 30 mètres. Nous avions donc tous les avantages de la proximité des commerçants tout en bénéficiant d’un calme olympien. Pendant ces vacances bien méritées, j’avais pris l’habitude de faire une sieste réparatrice sous un arbre fruitier. Cet après midi là n’échappait pas à la règle et je m’étais assoupi lorsque ma femme me rejoignit.
- tu dors ?- ….
- Louis, tu dors ?
- Plus maintenant ! Qu’est ce que tu fais là ? Je croyais que tu tricotais dans la salle à manger en matant la télé,
- Je n’ai plus de laine pour continuer et les magasins sont fermés à cette heure, pousse toi un peu que je m’assoie pour me faire les ongles des pieds.
Je lui laissais royalement dix centimètres carrés de ma serviette en bougonnant et recherchais le sommeil envolé. Morgane tailla, lima, décapa et enfin enduit les ongles de ses pieds d’un vernis rouge vif. Le bruit, ses commentaires et l’odeur du dissolvant avaient fini de me réveiller et je n’attendais qu’une chose : qu’elle parte vaquer à d’autres occupations afin que je puisse dormir. Sans me demander mon avis, elle me passa un nécessaire à pédicure afin que je lui rende les pieds tout doux. Après avoir râpé les parties dures de son épiderme et passé une crème adoucissante, je me précipitais vers les bras de Morphée sans aucun scrupule tandis qu’elle se levait. Avant de m’endormir, je la vis s’éloigner vêtue d’un débardeur à fines bretelles bleu clair et d’une jupe portefeuille beige que les rayons du soleil n’avaient aucun mal à traverser, la rendant ainsi transparente et ne laissant aucun doute sur le fait qu’elle portait une sage culotte blanche. L’ayant entre aperçue dans la salle de bain ce matin, je savais qu’elle portait quelques broderies sur le devant mais elle n’avait rien à faire damner un saint.Je n’avais pas fermé les yeux que ma femme revint vers moi en grognant.
-Va me chercher mon maillot de bain bleu s’il te plait, je ne peux pas sortir la valise du coffre de la voiture tellement elle est lourde,
- Tu as deux maillots de bain dans le sac qui est dans notre chambre, prends un de ces deux là !
- Non ! Je veux mon maillot de bain bleu car les deux autres sont des deux pièces,
-J’irais le chercher plus tard. Les enfants ne sont pas encore réveillés. J’aurais le temps pendant que tu leur donnera un goûter avant qu’on aille se baigner à la base de loisir,
-Vas-y maintenant s’il te plait, je veux bronzer,
-Tu me casses les pieds ! Soit tu passe un maillot deux pièces, soit tu te débrouilles pour aller chercher ton une pièce toute seule. Et d’abord, pourquoi veux tu absolument bronzer en une pièce ?
- Je ne vais pas tout de même pas m’exposer en plein village avec l’un des maillots dont tu parles !
- Il n’y a pas âme qui vive à 100 mètres à la ronde et je ne vois pas comment tu vas bronzer à travers le tissu de ton maillot,
- Si tu fais preuve de mauvaise volonté, je me mets en culotte,
- Tu fais comme tu veux ! Personnellement cela ne me gène aucunement !Persuadé qu’elle allait réfléchir et se ranger à une de mes propositions, je me retournais pour me rendormir quand je l’entendis me parler
- Tu me passes de la crème sur les jambes s’il te plait,
- Et ton maillot ?
- J’ai dit que je me bronzerais en slip, je me mets en slip ! dit elle en enlevant sa jupe et en s’allongeant à mes côtés sur le ventre.
Je savais que sa demande de passer de la protection solaire n’était qu’un prétexte pour obtenir que je la masse et je commençais à faire coulisser mes mains le long de ses mollets et cuisses en prenant bien garde à ne pas dépasser le bas de ces fesses. Une fois ces jambes enduites, je m’attaquais à ces épaules et à son cou. Enfin, je m’attaquais à la zone étroite de peau située entre l’élastique de sa culotte et le bas de son top lorsqu’elle l’ôta en m’avouant humblement que ce n’était que pour allonger la séance de relaxation par un massage de son dos. Toutes les techniques de massage que je connaissais y passèrent et bientôt la peau de son dos fut toute rouge. Désirant terminer en beauté, je rajoutais un peu de crème solaire mais la pression sur la bouteille fut trop forte et une giclée conséquente atterrit sur le bas de son dos. Morgane m’invita à passer l’excédent du fluide sur ses fesses car même s’il n’y avait aucun risque qu’elles ne brûlent car protégées par le tissu blanc de sa culotte, sa peau sèche réclamait toujours une hydratation complémentaire. Je dégageais donc les deux globes de chair de leur gangue de coton, la transformant ainsi en un brésilien très seyant. Mes massages continuèrent en faisant attention à ne pas caresser la face interne de ses cuisses qui est très érogène chez elle. Je n’avais qu’une idée en tête, dormir. Il serait temps de penser aux galipettes le soir venu. Je pelotais allégrement les fesses de mon épouse pendant un bon moment avant de remettre sa culotte en place. J’avais à peine terminé qu’elle se retournait sur le dos et me demandait de subir, si je puis dire, le même traitement sur le côté pile cette fois. N’écoutant que mon courage et pressé d’en finir, je passais de la crème successivement sur ses jambes, ventre, seins dont les bouts s’érigèrent fièrement, bras etc. Je m’arrêtais la bouteille vide.Je repris ma position mais il était dit que je ne dormirai pas cet après midi là. Morgane, après avoir posé sa tête sur mon épaule commença à me caresser le torse, préambule classique chez elle lorsqu’elle avait envie de faire l’amour.
-Je te préviens ! Aujourd’hui c’est toi qui prends les choses en main si je puis dire. Je suis crevé et en plus, je viens de te masser pendant une demie heure !
- Et qu’est ce que tu veux que je te fasse ?
- Ne fais pas l’idiote. Cela fait 15 ans qu’on vit ensemble. Ce n’est tout de même pas la première fois qu’on fait un câlin et je pense que tu sais me donner du plaisir sans que je t’explique comment faire. Tu n’as qu’à faire ce dont tu as envie !
- En fait, j’ai envie que tu me prenne maintenant ! dit elle,
- Comme ça ? Sans que je ne te caresse, sans rien ?
- Non, j’ai envie que tu me fasses l’amour,
- Ok ! dis je en me levant et en commençant à me diriger vers la maison où je m’imaginais la prenant sur la table de la cuisine qui semblait avoir été faite pour cela.
En effet, que Morgane soit sur le dos, les fesses au ras du bord, où bien penchée en avant, les mains en appui sur le plateau, mon sexe était à l’exacte hauteur pour que je la pénètre sans contorsion inconfortable.
- Où tu vas ?
- A la maison pardi !
- Restes là et prends moi, personne ne peut nous voir (ce qui était entièrement vrai)Je lui enlevai sa culotte.
Toujours sur le dos, elle ramena légèrement les jambes vers sa poitrine et me je plaçait perpendiculairement à elle. Appuyé sur mon avant-bras gauche, je me glissais sous le pont constitué de ses jambes repliées de telle sorte que mon sexe pointe directement vers l’entrée de son vagin. Je n’avais même pas pris le temps de baisser mon caleçon et m’étais contenté de sortir mon phalus par la braguette déboutonnée. Je la pénétrais sans plus de cérémonie, son cylindre de chair étant largement lubrifié. Ma position me laissait tout le loisir de profiter du spectacle de mon mandrin allant et venant dans son puit qui se détendait au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Je plaçait un coussin qui traînait pour que Morgane puisse se redresser un peu. Elle pourrait ainsi se caresser à loisir. µ
Des contractions des muscles de son vagin et quelques coups de reins inhabituels chez elle ponctuèrent un orgasme dont la soudaineté me surprit. Ne sachant que faire, je cessais mes mouvements, mon sexe enfoncé au plus profond de son être. Une fois les limbes de son plaisir évanouies, elle s’aperçu que mon sexe était encore turgescent et me demanda un peu angoissée pourquoi je n’avais pas éjaculé. Apaisant ces craintes, je lui dis simplement que nous n’avions pas été synchrones et la rassurais. Elle me conseilla de continuer à bouger en elle afin que je jouisse à mon tour. Je repris donc mes va-et-vient pendant qu’elle décuplait mes sensations en griffant légèrement mes testicules avec ses ongles. Je n’avais aucune envie de faire de la résistance inutile et me laissais tout aller à mon plaisir, lorsque prise d’une inspiration subite, Morgane enduit son index de salive afin de faciliter son introduction dans mes tréfonds.
Malgré mes demandes répétées, c’était la première fois qu’elle me sodomisait de la sorte. Je jouis dès que son doigt força cet accès jusqu’ici inviolé, mon pubis écrasant sa vulve dans un dernier coup de rein incontrôlé.Après m’avoir nettoyé le sexe luisant de sperme et d’autres liquides intimes avec une lingette parfumée, elle l’embrassa, me reboutonna et s’en retourna vers la maison, la culotte à la main et le sourire aux lèvres.
Elle me laissait enfin en paix pour que je me repose un peu, mais je ne regrettais pas que ma sieste aie été écourtée.
Des massages dégénèrent dans un jardin privé.
Nous passions quelques jours dans une maison familiale qui avait la particularité d’être à la fois en plein centre du village et entourée de jardins, de telle sorte que le premier vis-à-vis se trouvait à plus de 30 mètres. Nous avions donc tous les avantages de la proximité des commerçants tout en bénéficiant d’un calme olympien. Pendant ces vacances bien méritées, j’avais pris l’habitude de faire une sieste réparatrice sous un arbre fruitier. Cet après midi là n’échappait pas à la règle et je m’étais assoupi lorsque ma femme me rejoignit.
- tu dors ?- ….
- Louis, tu dors ?
- Plus maintenant ! Qu’est ce que tu fais là ? Je croyais que tu tricotais dans la salle à manger en matant la télé,
- Je n’ai plus de laine pour continuer et les magasins sont fermés à cette heure, pousse toi un peu que je m’assoie pour me faire les ongles des pieds.
Je lui laissais royalement dix centimètres carrés de ma serviette en bougonnant et recherchais le sommeil envolé. Morgane tailla, lima, décapa et enfin enduit les ongles de ses pieds d’un vernis rouge vif. Le bruit, ses commentaires et l’odeur du dissolvant avaient fini de me réveiller et je n’attendais qu’une chose : qu’elle parte vaquer à d’autres occupations afin que je puisse dormir. Sans me demander mon avis, elle me passa un nécessaire à pédicure afin que je lui rende les pieds tout doux. Après avoir râpé les parties dures de son épiderme et passé une crème adoucissante, je me précipitais vers les bras de Morphée sans aucun scrupule tandis qu’elle se levait. Avant de m’endormir, je la vis s’éloigner vêtue d’un débardeur à fines bretelles bleu clair et d’une jupe portefeuille beige que les rayons du soleil n’avaient aucun mal à traverser, la rendant ainsi transparente et ne laissant aucun doute sur le fait qu’elle portait une sage culotte blanche. L’ayant entre aperçue dans la salle de bain ce matin, je savais qu’elle portait quelques broderies sur le devant mais elle n’avait rien à faire damner un saint.Je n’avais pas fermé les yeux que ma femme revint vers moi en grognant.
-Va me chercher mon maillot de bain bleu s’il te plait, je ne peux pas sortir la valise du coffre de la voiture tellement elle est lourde,
- Tu as deux maillots de bain dans le sac qui est dans notre chambre, prends un de ces deux là !
- Non ! Je veux mon maillot de bain bleu car les deux autres sont des deux pièces,
-J’irais le chercher plus tard. Les enfants ne sont pas encore réveillés. J’aurais le temps pendant que tu leur donnera un goûter avant qu’on aille se baigner à la base de loisir,
-Vas-y maintenant s’il te plait, je veux bronzer,
-Tu me casses les pieds ! Soit tu passe un maillot deux pièces, soit tu te débrouilles pour aller chercher ton une pièce toute seule. Et d’abord, pourquoi veux tu absolument bronzer en une pièce ?
- Je ne vais pas tout de même pas m’exposer en plein village avec l’un des maillots dont tu parles !
- Il n’y a pas âme qui vive à 100 mètres à la ronde et je ne vois pas comment tu vas bronzer à travers le tissu de ton maillot,
- Si tu fais preuve de mauvaise volonté, je me mets en culotte,
- Tu fais comme tu veux ! Personnellement cela ne me gène aucunement !Persuadé qu’elle allait réfléchir et se ranger à une de mes propositions, je me retournais pour me rendormir quand je l’entendis me parler
- Tu me passes de la crème sur les jambes s’il te plait,
- Et ton maillot ?
- J’ai dit que je me bronzerais en slip, je me mets en slip ! dit elle en enlevant sa jupe et en s’allongeant à mes côtés sur le ventre.
Je savais que sa demande de passer de la protection solaire n’était qu’un prétexte pour obtenir que je la masse et je commençais à faire coulisser mes mains le long de ses mollets et cuisses en prenant bien garde à ne pas dépasser le bas de ces fesses. Une fois ces jambes enduites, je m’attaquais à ces épaules et à son cou. Enfin, je m’attaquais à la zone étroite de peau située entre l’élastique de sa culotte et le bas de son top lorsqu’elle l’ôta en m’avouant humblement que ce n’était que pour allonger la séance de relaxation par un massage de son dos. Toutes les techniques de massage que je connaissais y passèrent et bientôt la peau de son dos fut toute rouge. Désirant terminer en beauté, je rajoutais un peu de crème solaire mais la pression sur la bouteille fut trop forte et une giclée conséquente atterrit sur le bas de son dos. Morgane m’invita à passer l’excédent du fluide sur ses fesses car même s’il n’y avait aucun risque qu’elles ne brûlent car protégées par le tissu blanc de sa culotte, sa peau sèche réclamait toujours une hydratation complémentaire. Je dégageais donc les deux globes de chair de leur gangue de coton, la transformant ainsi en un brésilien très seyant. Mes massages continuèrent en faisant attention à ne pas caresser la face interne de ses cuisses qui est très érogène chez elle. Je n’avais qu’une idée en tête, dormir. Il serait temps de penser aux galipettes le soir venu. Je pelotais allégrement les fesses de mon épouse pendant un bon moment avant de remettre sa culotte en place. J’avais à peine terminé qu’elle se retournait sur le dos et me demandait de subir, si je puis dire, le même traitement sur le côté pile cette fois. N’écoutant que mon courage et pressé d’en finir, je passais de la crème successivement sur ses jambes, ventre, seins dont les bouts s’érigèrent fièrement, bras etc. Je m’arrêtais la bouteille vide.Je repris ma position mais il était dit que je ne dormirai pas cet après midi là. Morgane, après avoir posé sa tête sur mon épaule commença à me caresser le torse, préambule classique chez elle lorsqu’elle avait envie de faire l’amour.
-Je te préviens ! Aujourd’hui c’est toi qui prends les choses en main si je puis dire. Je suis crevé et en plus, je viens de te masser pendant une demie heure !
- Et qu’est ce que tu veux que je te fasse ?
- Ne fais pas l’idiote. Cela fait 15 ans qu’on vit ensemble. Ce n’est tout de même pas la première fois qu’on fait un câlin et je pense que tu sais me donner du plaisir sans que je t’explique comment faire. Tu n’as qu’à faire ce dont tu as envie !
- En fait, j’ai envie que tu me prenne maintenant ! dit elle,
- Comme ça ? Sans que je ne te caresse, sans rien ?
- Non, j’ai envie que tu me fasses l’amour,
- Ok ! dis je en me levant et en commençant à me diriger vers la maison où je m’imaginais la prenant sur la table de la cuisine qui semblait avoir été faite pour cela.
En effet, que Morgane soit sur le dos, les fesses au ras du bord, où bien penchée en avant, les mains en appui sur le plateau, mon sexe était à l’exacte hauteur pour que je la pénètre sans contorsion inconfortable.
- Où tu vas ?
- A la maison pardi !
- Restes là et prends moi, personne ne peut nous voir (ce qui était entièrement vrai)Je lui enlevai sa culotte.
Toujours sur le dos, elle ramena légèrement les jambes vers sa poitrine et me je plaçait perpendiculairement à elle. Appuyé sur mon avant-bras gauche, je me glissais sous le pont constitué de ses jambes repliées de telle sorte que mon sexe pointe directement vers l’entrée de son vagin. Je n’avais même pas pris le temps de baisser mon caleçon et m’étais contenté de sortir mon phalus par la braguette déboutonnée. Je la pénétrais sans plus de cérémonie, son cylindre de chair étant largement lubrifié. Ma position me laissait tout le loisir de profiter du spectacle de mon mandrin allant et venant dans son puit qui se détendait au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Je plaçait un coussin qui traînait pour que Morgane puisse se redresser un peu. Elle pourrait ainsi se caresser à loisir. µ
Des contractions des muscles de son vagin et quelques coups de reins inhabituels chez elle ponctuèrent un orgasme dont la soudaineté me surprit. Ne sachant que faire, je cessais mes mouvements, mon sexe enfoncé au plus profond de son être. Une fois les limbes de son plaisir évanouies, elle s’aperçu que mon sexe était encore turgescent et me demanda un peu angoissée pourquoi je n’avais pas éjaculé. Apaisant ces craintes, je lui dis simplement que nous n’avions pas été synchrones et la rassurais. Elle me conseilla de continuer à bouger en elle afin que je jouisse à mon tour. Je repris donc mes va-et-vient pendant qu’elle décuplait mes sensations en griffant légèrement mes testicules avec ses ongles. Je n’avais aucune envie de faire de la résistance inutile et me laissais tout aller à mon plaisir, lorsque prise d’une inspiration subite, Morgane enduit son index de salive afin de faciliter son introduction dans mes tréfonds.
Malgré mes demandes répétées, c’était la première fois qu’elle me sodomisait de la sorte. Je jouis dès que son doigt força cet accès jusqu’ici inviolé, mon pubis écrasant sa vulve dans un dernier coup de rein incontrôlé.Après m’avoir nettoyé le sexe luisant de sperme et d’autres liquides intimes avec une lingette parfumée, elle l’embrassa, me reboutonna et s’en retourna vers la maison, la culotte à la main et le sourire aux lèvres.
Elle me laissait enfin en paix pour que je me repose un peu, mais je ne regrettais pas que ma sieste aie été écourtée.
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