Explosé
Récit érotique écrit par Ffgbear [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Explosé
Il m'avait demandé si j'avais du matos, j'avais dit oui sans préciser vraiment. Il avait l'air motivé qui éviterait peut-être un lapin. J'ai donc préparé la playroom. J'ai étalé sur la grande table basse les godes et plugs dont je disposeJe lui ai écrit : viens comme tu le sens, mais je ne fantasme pas sur les tenues.
Lui, a écrit que ce qu'il voulait c'est avoir le cul explosé.
Quand il a sonné, j'ai tout de suite constaté qu'il avait braqué un accessoiriste moto. Tout cuir ! En riant, j'ai juste jeté un coup d'oeil sous les zips. Il avait toutes les pelures comme un oignon d'hiver, trois sur les fesses, deux au moins sur le dos. mon rire l'a un peu désarçonné. « Tu enlèves tout, comme ça on risque pas de pourrir ta collection . Tu seras aussi plus à l'aise pour faire le ménage à la fin. » C'est vrai, j'en ai ras le cul d'être seul à éponger les bousées et filaments de J Lube et autres...
L'épluchage promettait d'être long, je me suis installé avec Karmacoma et un whisky bien tourbé.
Stéphane, il s'appelle comme ça, est entré tout nu, Il fait plus freluquet que quand il est arrivé. Il m'avait dit trente ans, c'est plutôt dans les quarante, pas de problème je me fous de l'age des partenaires et lui me plait bien. Je ne voulais pas qu'il se sente mal à l'aise, vexé, par mon rire, mon truc c'est pas l'humiliation. J'ai passé mon bras sur ses épaules et je l'ai poussé vers la table basse. Il est resté en arrêt, les yeux brillants comme ceux d'un gosse dans une confiserie. Il a flashé sur le rayon godes et plugs. J'en ai une collection pour satisfaire tous les appétits. Il a gros appétit me semble-t-il.
Putain, t'en as des gros ! J'aimerais bien essayerChoisisTu veux bien qu'on commence par un fist ? Le gode, là bas me paraît plus impressionnant que tes paluches... on verra après.
Grimpe sur le sling et mets bien tes fesses en avant du cuir. T'es nickel ?
Ben, oui, j'y ai passé trois heures !
Sa rosette rose pourpre est froncée et palpitante. Elle se rétracte serrée puis se gonfle en se déplissant exposant la dépression plus sombre où je vais introduire un doigt. Le J Lube voile un peu le paysage, et ses couilles volumineuses sont parcourues des filaments inévitables du lubrifiant, comme dans une résille aux dentelles mobiles.
Un doigt seulement pour aller caresser le petit dôme prostatique et déjà il soupire d'aise. Le massage est doux, délicat. Comme c'est tentant de pénétrer plus largement. Le plaisir du massage a assoupli l'anus et je peux jouer avec quatre doigts dans son délicieux vestibule, tapissé de velours que je perçois écarlate lorsque mes doigts se retirant partiellement je peux avoir un regard dans son intimité. Ma main manoeuvre comme une godille (je parle, là, pour les marins qui comprendront le mouvement), l'intérieur des doigts, sensibles, caressent toute la douce paroi grâce à une souple et lente rotation du poignet. Parfois mes doigts se retirent entraînant un chevelu de lubrifiant, c'est un moment de bonheur particulier que ces retraits, et Stéphane gémit de plaisir. Il semble alors suspendu à l'attente de mes doigts à nouveau en lui. Ce jeu charmant il ne s'en lasse pas, et lorsque mes doigts libres jouent et le caressent à l'entrée de son anus, dans les replis de sa rondelle toute froncée , prolongeant son attente de me sentir à nouveau plonger en lui, il gémit d'un autre bonheur. Si j'étais compositeur, sans doute, pourrai-je créer un adagio à l'aide de ses soupirs modulés.
Plus la moindre trace de tonus musculaire dans ce corps, là, abandonné à mes doigts. Il a du me sentir rassurant.
Je replis mon pouce à l'intérieur de ma paume et continue ainsi mes caresses dans son vestibule. Ma main s'appuie un peu à l'entrée mais le ressaut du pouce gène la pénétration directe. Il suffit que je presse un peu ma main ouverte, seule l'articulation fait un peu obstacle. Il le sent et attend de moi que je lève tous les obstacles. Ma main en pression douce attend simplement que le sphincter se relâche juste un peu. Il n'y peut rien, sa contraction ne peut être continue et à chaque relaxation ma main progresse un peu. On peut aller plus vite, bien sûr, mais j'aime que son corps appelle ma main. Dans un instant elle va glisser en lui, comme aspirée, sans même que le passage du détroit entraîne un gémissement, seulement, au moment du glissement, un soupir d'assouvissement. Sa main caresse mon avant bras qui plonge vers lui, remerciement discret pour sa volupté.
Ma main est libre à l'intérieur, son sphincter palpite sur mon poignet. Mes doigts immobiles dans un premier temps lui permettent d'accorder son esprit à cette sensation de réplétude inaccoutumée. Ensuite seulement, je peux commencer à me mouvoir, explorer, sentir au fond, la paroi poussée vers le rachis, la troublante pulsation de son aorte dorsale. Vers le dos, chercher de mes doigts allongés l'entrée du second compartiment rectal, y pénétrer en repoussant le repli qui le cache, et jouer là aussi dans la douceur chaude de son être. Revenir un peu et fermer le poing, afin qu'il se sente plus encore habité. Parfois une pression un peu plus forte le fait émettre un petit jet d'urine que je lappe. Par de nouvelles poussée, j'en provoque de nouveaux et m'y désaltère en m'abouchant à son sexe que je sens durcir. J'aime l'abandon dans lequel il est, prononçant indistinctement des mots sans suite, parfois même des mots d'amour irréfléchis, il gazouille. C'est toujours ses râles et gémissements de plaisir qui guident ma main. Je suis attentif à la moindre crispation de son visage qui traduirait une douleur, même légère. Mon objectif est son bonheur, pas sa souffrance. Je ne cherche pas les pénétrations extrêmes qui allant trop profond dans des zones non innervées et fragiles peuvent être dangereuse et ne donnent pas plus de plaisir. Les sensations plus fortes sont à l'entrée, par la dilatation, ensuite c'est doux et diffus, délicieux et l'on passerait des heures habité ainsi.
Il grogne, gémit, ahane, soupire de plaisir et son visage détendu aux yeux fermés atteste de son bonheur. Il n'a même pas pris de poppers, il ne semble pas avoir besoin d'un accélérateur pour grimper dans son septième ciel.
Donner du plaisir est pour moi le plus efficace aphrodisiaque qui soit. Faire gémir de volupté un partenaire me met dans une érection durable et rigide. D'une main j'ai un peu de mal à me défaire de mon vieux bas de jogging pourri, gluant de J Lube. Encore plus difficulté à enfiler une capote et mon sexe peut, en forçant à peine, se glisser parallèle à mon avant-bras. Il pénètre sa chaleur, ma main se refermant sur mon propre gland pourrait me branler en lui. Pour beaucoup, rester bandé pendant une pénétration n'est pas possible, mais en me penchant sur lui, je peux sucer son sexe flacide. Il retrouve bientôt dans ma bouche une rigidité et je sens sur ma queue et mon avant bras son sphincter se relâcher un peu comme s'il voulait m'avaler plus encore.
C'est très différent bien sûr, que de l'être soi-même, mais j'ai aussi un très grand plaisir à fister un partenaire réactif comme celui là. J'ai toujours été étonné que quelquefois le Fist soit classé dans les pratiques SM, c'est seulement le stade ultime du bonheur d'être pénétré.
Il suffit d'éviter les brutes.
Il semble un peu fatigué, Je me retire et l'aide à descendre du sling. Je le porte dans mes bras, ses jambes ne le soutiennent plus. Je l'allonge sur le canapé, lui sert un whisky. Sa tête sur mes genoux, il n'a pas encore ré-atterri. Les yeux fermés il reprend doucement ses esprits.
On s'y voit à peine dans cette pièce, la musique, très basse est en boucle et je crois bien que nous nous sommes endormis. Je me suis réveillé vers deux heures du matin, il dormait sur moi, ses bras enserrant ma taille. Je l'ai doucement désenlacé et suis allé faire du café.
A mon retour, il est éveillé, reposé, les mains derrière la tête il me regarde amener le café fumant. On est tous les deux à poil, et la situation lui donne une petite émotion pénienne. Il se lève, va changer le disque mais finalement, il a la flemme de chercher et laisse le même, relax.
Au passage il avise à nouveau mes godes et tombe en arrêt sur un gros « Greg » en latex noir: neuf cm de diamètre pour le corps mais quand même huit pour le gland dont la circonférence un peu évasée au dessus du sillon rend la pénétration difficile. Je le sais, je l'ai fait.
Il a envie de l'essayer, c'est vrai, pour un amateur de dilatation c'est sûrement une sorte de Graal, avant d'en trouver un plus large encore. Je lui déconseille, cours de géométrie à l'appui. Je lui explique que ce gros gode n'est pas une grande main, et de loin !
« Ma main est large mais fine pour se glisser en toi, 20 cm maxi de périmètre, le gode cylindrique, presque rigide est très épais, 26cm au moins de périmètre..... ça oblige ta petite chatte à une élasticité qu'elle n'a sans doute pas encore ».
Il y tient, retour sur le sling. Je noie le gode dans le lube et essaie de le rentrer, évidemment ça ne passe pas. J'essaie d'orienter la bordure du gland pour que la moitié rentre et l'orienter à l'inverse pour faire rentrer l'autre partie de la collerette du gland. Après plusieurs minutes et des cris qui ne sont pas de plaisir, il pénètre finalement mais l'anus se referme immédiatement sur le sillon et là, pas question de le faire pénétrer plus avant. Stéphane gueule déjà comme un âne. On est loin du plaisir de tout à l'heure. Il va falloir le sortir et ça va être douloureux aussi, en pratiquant comme l'introduction et en rajoutant une bonne dose de lube.
Stéphane est trempé de sueur. Enfin,le gode sort, lui faisant pousser un dernier cri.
Retour au réalisme. Mes gestes sont très doux, léger massage anal pour faire passer la douleur résiduelle. Je caresse son anus exerçant une pression légère du bout de mes doigts enduis de lubrifiant. Cette pression minime le fait s'ouvrir déjà, et agrippant mon bras, il m'introduit en lui, secoué par un frisson de plaisir. Bandé, je m'interromps un instant pour passer un préservatif et à nouveau le pénétrer de mon sexe, le long de mon bras. Je me penche sur lui et gobe sa queue encore inerte. Le travail de ma langue n'est pas long à le rigidifier. Son cul est béant, plein de ma main et de mon sexe gonflé. Je prends son sexe entièrement dans la bouche. Il coulisse dans ma salive de la hampe au gland turgescent, nappé de ma langue, je le mène à un orgasme qui va être violent, tant son corps entier se cambre et se raidit sur le sling, tandis qu'un flot de mots orduriers m'interpellent. Dans son cul, ma main s'est refermée sur mon gland et se sont ses mouvements désordonnés qui me branlent. Sa jouissance en longues et lourdes fusées, il aurait pu les boire quand elles s'écrasèrent sur son visage. Les miennes contenues dans le latex, n'en finissaient pas, quand au moment de son orgasme son anus s'est brutalement contracté sur moi.
Nous faisions un peu pantins désarticulés, moi affalé sur lui et lui comme inconscient, bras ballants, après nos petites morts ainsi qu'autrefois on appelait les orgasmes.
Lui, a écrit que ce qu'il voulait c'est avoir le cul explosé.
Quand il a sonné, j'ai tout de suite constaté qu'il avait braqué un accessoiriste moto. Tout cuir ! En riant, j'ai juste jeté un coup d'oeil sous les zips. Il avait toutes les pelures comme un oignon d'hiver, trois sur les fesses, deux au moins sur le dos. mon rire l'a un peu désarçonné. « Tu enlèves tout, comme ça on risque pas de pourrir ta collection . Tu seras aussi plus à l'aise pour faire le ménage à la fin. » C'est vrai, j'en ai ras le cul d'être seul à éponger les bousées et filaments de J Lube et autres...
L'épluchage promettait d'être long, je me suis installé avec Karmacoma et un whisky bien tourbé.
Stéphane, il s'appelle comme ça, est entré tout nu, Il fait plus freluquet que quand il est arrivé. Il m'avait dit trente ans, c'est plutôt dans les quarante, pas de problème je me fous de l'age des partenaires et lui me plait bien. Je ne voulais pas qu'il se sente mal à l'aise, vexé, par mon rire, mon truc c'est pas l'humiliation. J'ai passé mon bras sur ses épaules et je l'ai poussé vers la table basse. Il est resté en arrêt, les yeux brillants comme ceux d'un gosse dans une confiserie. Il a flashé sur le rayon godes et plugs. J'en ai une collection pour satisfaire tous les appétits. Il a gros appétit me semble-t-il.
Putain, t'en as des gros ! J'aimerais bien essayerChoisisTu veux bien qu'on commence par un fist ? Le gode, là bas me paraît plus impressionnant que tes paluches... on verra après.
Grimpe sur le sling et mets bien tes fesses en avant du cuir. T'es nickel ?
Ben, oui, j'y ai passé trois heures !
Sa rosette rose pourpre est froncée et palpitante. Elle se rétracte serrée puis se gonfle en se déplissant exposant la dépression plus sombre où je vais introduire un doigt. Le J Lube voile un peu le paysage, et ses couilles volumineuses sont parcourues des filaments inévitables du lubrifiant, comme dans une résille aux dentelles mobiles.
Un doigt seulement pour aller caresser le petit dôme prostatique et déjà il soupire d'aise. Le massage est doux, délicat. Comme c'est tentant de pénétrer plus largement. Le plaisir du massage a assoupli l'anus et je peux jouer avec quatre doigts dans son délicieux vestibule, tapissé de velours que je perçois écarlate lorsque mes doigts se retirant partiellement je peux avoir un regard dans son intimité. Ma main manoeuvre comme une godille (je parle, là, pour les marins qui comprendront le mouvement), l'intérieur des doigts, sensibles, caressent toute la douce paroi grâce à une souple et lente rotation du poignet. Parfois mes doigts se retirent entraînant un chevelu de lubrifiant, c'est un moment de bonheur particulier que ces retraits, et Stéphane gémit de plaisir. Il semble alors suspendu à l'attente de mes doigts à nouveau en lui. Ce jeu charmant il ne s'en lasse pas, et lorsque mes doigts libres jouent et le caressent à l'entrée de son anus, dans les replis de sa rondelle toute froncée , prolongeant son attente de me sentir à nouveau plonger en lui, il gémit d'un autre bonheur. Si j'étais compositeur, sans doute, pourrai-je créer un adagio à l'aide de ses soupirs modulés.
Plus la moindre trace de tonus musculaire dans ce corps, là, abandonné à mes doigts. Il a du me sentir rassurant.
Je replis mon pouce à l'intérieur de ma paume et continue ainsi mes caresses dans son vestibule. Ma main s'appuie un peu à l'entrée mais le ressaut du pouce gène la pénétration directe. Il suffit que je presse un peu ma main ouverte, seule l'articulation fait un peu obstacle. Il le sent et attend de moi que je lève tous les obstacles. Ma main en pression douce attend simplement que le sphincter se relâche juste un peu. Il n'y peut rien, sa contraction ne peut être continue et à chaque relaxation ma main progresse un peu. On peut aller plus vite, bien sûr, mais j'aime que son corps appelle ma main. Dans un instant elle va glisser en lui, comme aspirée, sans même que le passage du détroit entraîne un gémissement, seulement, au moment du glissement, un soupir d'assouvissement. Sa main caresse mon avant bras qui plonge vers lui, remerciement discret pour sa volupté.
Ma main est libre à l'intérieur, son sphincter palpite sur mon poignet. Mes doigts immobiles dans un premier temps lui permettent d'accorder son esprit à cette sensation de réplétude inaccoutumée. Ensuite seulement, je peux commencer à me mouvoir, explorer, sentir au fond, la paroi poussée vers le rachis, la troublante pulsation de son aorte dorsale. Vers le dos, chercher de mes doigts allongés l'entrée du second compartiment rectal, y pénétrer en repoussant le repli qui le cache, et jouer là aussi dans la douceur chaude de son être. Revenir un peu et fermer le poing, afin qu'il se sente plus encore habité. Parfois une pression un peu plus forte le fait émettre un petit jet d'urine que je lappe. Par de nouvelles poussée, j'en provoque de nouveaux et m'y désaltère en m'abouchant à son sexe que je sens durcir. J'aime l'abandon dans lequel il est, prononçant indistinctement des mots sans suite, parfois même des mots d'amour irréfléchis, il gazouille. C'est toujours ses râles et gémissements de plaisir qui guident ma main. Je suis attentif à la moindre crispation de son visage qui traduirait une douleur, même légère. Mon objectif est son bonheur, pas sa souffrance. Je ne cherche pas les pénétrations extrêmes qui allant trop profond dans des zones non innervées et fragiles peuvent être dangereuse et ne donnent pas plus de plaisir. Les sensations plus fortes sont à l'entrée, par la dilatation, ensuite c'est doux et diffus, délicieux et l'on passerait des heures habité ainsi.
Il grogne, gémit, ahane, soupire de plaisir et son visage détendu aux yeux fermés atteste de son bonheur. Il n'a même pas pris de poppers, il ne semble pas avoir besoin d'un accélérateur pour grimper dans son septième ciel.
Donner du plaisir est pour moi le plus efficace aphrodisiaque qui soit. Faire gémir de volupté un partenaire me met dans une érection durable et rigide. D'une main j'ai un peu de mal à me défaire de mon vieux bas de jogging pourri, gluant de J Lube. Encore plus difficulté à enfiler une capote et mon sexe peut, en forçant à peine, se glisser parallèle à mon avant-bras. Il pénètre sa chaleur, ma main se refermant sur mon propre gland pourrait me branler en lui. Pour beaucoup, rester bandé pendant une pénétration n'est pas possible, mais en me penchant sur lui, je peux sucer son sexe flacide. Il retrouve bientôt dans ma bouche une rigidité et je sens sur ma queue et mon avant bras son sphincter se relâcher un peu comme s'il voulait m'avaler plus encore.
C'est très différent bien sûr, que de l'être soi-même, mais j'ai aussi un très grand plaisir à fister un partenaire réactif comme celui là. J'ai toujours été étonné que quelquefois le Fist soit classé dans les pratiques SM, c'est seulement le stade ultime du bonheur d'être pénétré.
Il suffit d'éviter les brutes.
Il semble un peu fatigué, Je me retire et l'aide à descendre du sling. Je le porte dans mes bras, ses jambes ne le soutiennent plus. Je l'allonge sur le canapé, lui sert un whisky. Sa tête sur mes genoux, il n'a pas encore ré-atterri. Les yeux fermés il reprend doucement ses esprits.
On s'y voit à peine dans cette pièce, la musique, très basse est en boucle et je crois bien que nous nous sommes endormis. Je me suis réveillé vers deux heures du matin, il dormait sur moi, ses bras enserrant ma taille. Je l'ai doucement désenlacé et suis allé faire du café.
A mon retour, il est éveillé, reposé, les mains derrière la tête il me regarde amener le café fumant. On est tous les deux à poil, et la situation lui donne une petite émotion pénienne. Il se lève, va changer le disque mais finalement, il a la flemme de chercher et laisse le même, relax.
Au passage il avise à nouveau mes godes et tombe en arrêt sur un gros « Greg » en latex noir: neuf cm de diamètre pour le corps mais quand même huit pour le gland dont la circonférence un peu évasée au dessus du sillon rend la pénétration difficile. Je le sais, je l'ai fait.
Il a envie de l'essayer, c'est vrai, pour un amateur de dilatation c'est sûrement une sorte de Graal, avant d'en trouver un plus large encore. Je lui déconseille, cours de géométrie à l'appui. Je lui explique que ce gros gode n'est pas une grande main, et de loin !
« Ma main est large mais fine pour se glisser en toi, 20 cm maxi de périmètre, le gode cylindrique, presque rigide est très épais, 26cm au moins de périmètre..... ça oblige ta petite chatte à une élasticité qu'elle n'a sans doute pas encore ».
Il y tient, retour sur le sling. Je noie le gode dans le lube et essaie de le rentrer, évidemment ça ne passe pas. J'essaie d'orienter la bordure du gland pour que la moitié rentre et l'orienter à l'inverse pour faire rentrer l'autre partie de la collerette du gland. Après plusieurs minutes et des cris qui ne sont pas de plaisir, il pénètre finalement mais l'anus se referme immédiatement sur le sillon et là, pas question de le faire pénétrer plus avant. Stéphane gueule déjà comme un âne. On est loin du plaisir de tout à l'heure. Il va falloir le sortir et ça va être douloureux aussi, en pratiquant comme l'introduction et en rajoutant une bonne dose de lube.
Stéphane est trempé de sueur. Enfin,le gode sort, lui faisant pousser un dernier cri.
Retour au réalisme. Mes gestes sont très doux, léger massage anal pour faire passer la douleur résiduelle. Je caresse son anus exerçant une pression légère du bout de mes doigts enduis de lubrifiant. Cette pression minime le fait s'ouvrir déjà, et agrippant mon bras, il m'introduit en lui, secoué par un frisson de plaisir. Bandé, je m'interromps un instant pour passer un préservatif et à nouveau le pénétrer de mon sexe, le long de mon bras. Je me penche sur lui et gobe sa queue encore inerte. Le travail de ma langue n'est pas long à le rigidifier. Son cul est béant, plein de ma main et de mon sexe gonflé. Je prends son sexe entièrement dans la bouche. Il coulisse dans ma salive de la hampe au gland turgescent, nappé de ma langue, je le mène à un orgasme qui va être violent, tant son corps entier se cambre et se raidit sur le sling, tandis qu'un flot de mots orduriers m'interpellent. Dans son cul, ma main s'est refermée sur mon gland et se sont ses mouvements désordonnés qui me branlent. Sa jouissance en longues et lourdes fusées, il aurait pu les boire quand elles s'écrasèrent sur son visage. Les miennes contenues dans le latex, n'en finissaient pas, quand au moment de son orgasme son anus s'est brutalement contracté sur moi.
Nous faisions un peu pantins désarticulés, moi affalé sur lui et lui comme inconscient, bras ballants, après nos petites morts ainsi qu'autrefois on appelait les orgasmes.
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