Faible Christine 2

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Faible Christine  2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Faible Christine 2
Je me suis retranché dans la salle d'eau. Les amants du jour, quittant le séjour, viennent d'entrer dans ma chambre à coucher. Evidemment c'est aussi la chambre à coucher de Christine, ma femme. Le chantage de Georges a eu raison de sa résolution de mettre fin à leur liaison toute récente puisque "vieille " de 72 heures seulement. Et moi, Jean, le cocu de l'histoire, entré discrètement pendant que Georges frottait flanc et cuisse au postérieur de Christine penchée à la fenêtre sur rue. J'ai surtout entendu leurs échanges.

J'ai acquis la certitude que le petit-fils de madame Berlin, la dame du sixième étage, avait su exploiter l'envie de rendre service de Christine. Elle avait gentiment accepté de l'aider dans la recherche d'un emploi. Ainsi s'était établi une proximité favorable à toutes les audaces d'un garçon mû par son instinct sexuel plus que par la nécessité de trouver du travail. Le jeune-homme avait tenté le coup,et il avait un peu bousculé avec l'inconscience de son âge mon épouse de 37 ans. L'hommage du garçon de 25 ans avait surpris la femme mûre. Sans réfléchir, inconsciemment séduite par l'élan du jeune étalon, elle l'avait laissé agir. De baisers en caresses, de caresses en masturbations puis en pénétrations orales, il était parvenu à une possession vaginale couronnée d' orgasmes tremblants. Georges occupe en ce moment un emploi de gigolo !

Son succès lui était monté à la tête et après un court répit il avait osé une levrette endiablée. Plus Christine exprimait le plaisir qui la submergeait véritablement, plus le conquérant se sentait approuvé et encouragé à défoncer cette femelle soudain révélée aux "extra" du sexe. Plus l'homme s'acharnait sur son clitoris, plus elle geignait, demandait grâce et plus il éprouvait le sentiment de distribuer à cette femme le véritable bonheur sexuel. Il pouvait s'enorgueillir de donner du bonheur à une femme mûre !

Ils s'étaient quittés difficilement. Lui triomphant, elle à la fois heureuse, comblée et consternée. Le jeune coq s'était "fait" une femme magnifique d'âge mur. La mature était sortie de l'expérience inattendue l'esprit bouleversé. Elle se souvenait tout à coup qu'elle était mariée, pensait aux conséquences possibles de son égarement. Une voix intérieure lui rappelait son serment de fidélité et le remords entamait la joie passagère du plaisir interdit. En hâte elle avait remis l'appartement en état. Il ne fallait pas que son mari découvre des traces du passage de l'ouragan sexuel
Si elle regrettait sincèrement la faiblesse de sa défense face à l'ardeur de cet amant de passage, si le remords commençait à gâcher le souvenir de ses orgasmes, comment expliquer que, le lendemain, Christine ait ouvert sa porte à Georges qui insistait sur la sonnette. Se sentait-elle assez forte pour résister à une nouvelle tentative ou souhaitait-elle secrètement que le jeune Georges renouvelle ses attaques et vainque sa vertu défaillante ? La question me tourmente au moment où j'attends de savoir.. Le plus incompréhensible, après les rapports sexuels renouvelés du deuxième jour, c'est que ma femme, dont j'ai entendu qu'elle m'aimait et qu'elle ne voulait plus commettre l'adultère, une nouvelle fois, ait fait entrer le tentateur et vainqueur des deux jours précédents. Vice ou inconséquence féminine ?

Car, au coup de sonnette, Christine n'ignore pas ce que Georges exigera d'elle dès qu'il aura franchi le seuil. Le loup entré dans la bergerie mangera la brebis imprudente. J'ai l'impression que la brebis aime être consommée toute crue. Elle souhaite tomber dans la gueule du loup avant de se prêter à ses assauts pour connaître les grands frissons. Voilà ce qui contredit ses déclarations, si vite oubliées, d'amour conjugal. Elle vit en pleine contradiction, proclame qu'elle m'aime mais se soumet à la volonté du bouillant amant. C'est à croire que le chantage de Georges convient à Christine. Elle jouira et pourra attribuer la responsabilité des accouplements au maître chanteur. C'est moralement confortable pour l'infidèle "malgré elle".

De mon réduit, situé à 5 mètres de la porte de ma chambre, j'entends que le festin démarre. Le morveux sûr de sa victoire commente :
- Ma chérie, ne pense qu'à ton plaisir. Pour apéritif je t'offre ma queue. Ouvre ton appétit en la prenant entre tes lèvres. Quand tes papilles reconnaîtront mon odeur, instinctivement tu saliveras et tu souhaiteras boire mon sperme. Agenouille-toi, caresse mon sexe, repousse mon prépuce et lèche mon gland pour débuter. L'envie de me sucer et de m'attirer au fond de ta gorge naîtra automatiquement de ces premières gâteries.

- Faut-il vraiment ? Tu es déjà terriblement excité et tu éjaculeras trop vite. Nous pourrions passer immédiatement à l'union que tu m'imposes sous la menace.

La réponse rappelle qu'elle agit contrainte et forcée. Christine garde un certain degré de lucidité, elle souffre de la situation ou elle s'enfonce pourtant. Puisqu'il faut y passer, elle aimerait que les choses se déroulent au plus vite. Que le garçon la pénètre, qu'il la défonce et qu'il la libère au plus tôt. Lui ne l'entend pas de la même oreille. C'est la dernière fois, il faut en faire un long feu d'artifice. L'événement doit marquer la mémoire se sa vieille maîtresse. Et qui sait, peut-être lui arrachera-t-elle la promesse de prolongations tant elle aura apprécié? Il l'exprime crument :
- Ne fais pas ta bégueule. Tu meurs d'envie de te faire sauter. Ne sois pas trop pressée. Ne m'énerve pas par des subterfuges destinés à raccourcir la séance. Je compte bien jouir longuement et te procurer un maximum d'orgasmes. Je tiens à te laisser le souvenir de rapports sexuels inoubliables et formateurs. Alors obéis et profite au lieu d'essayer de te soustraire aux délices de l'amour.

- Tu me forces. Mais je ne t'aime pas. Tu aurais dû te contenter de ce que tu avais obtenu par force et par ruse. Il est cruel de réclamer de nouvelles joutes amoureuses sous la menace. Je me soumets mais ce n'est pas de bon coeur. Que pensera de moi Jean lorsqu'il apprendra ce que je fais avec toi. Il sera si malheureux
Cocu, malheureux de l'être, cette déclaration m'apitoie. Elle ne dissout pas toutes mes interrogations. Lequel des deux vaincra ? Lui ? L'attendrira-t-elle ? Pour l'instant il domine :
- Aime l'amour, fous-toi du reste et je respecterai ma promesse de silence. Jean ne saura rien par moi. Le péché - si l'amour est un péché - est consommé, tout ce qui suit en fait partie et n'en est que la conséquence normale. Aussi peux-tu te livrer le coeur léger sans frein à tes envies les moins avouables. Baise, baise et baise encore ! Et Jouis ! Ton engagement actuel n' alourdira pas tes regrets. N'exagère pas ton prétendu désintérêt, hier et avant-hier je t'ai vue en transes tellement fortes que je reste persuadé de te fournir la meilleure occasion de t'éclater. J'apporte dans ta vie terne les éclats de lumière dont tu avais besoin. Toutefois sache que ma promesse reste tributaire de ta soumission à mes désirs.Bien, tais-toi et suce.

Sur les chaussettes je glisse jusqu'à la porte. Si on découvre ma présence qui osera se plaindre; je suis chez moi ? A deux mètres de la porte, sur ma gauche, debout de dos, jambes écartées, muscles saillants, Georges se tient face à ma femme. Elle est de l'autre côté de l'amant, cachée en partie. A terre ses genoux passent entre les pieds de l'homme. Plus visibles, ses mains aux ongles vernis serrent les fesses et tirent dessus pour rapprocher de sa bouche les couilles du mâle dont elle mâche le sexe. Elle relâche son effort, le dos recule, elle attire le bassin à elle, le bassin repart vers elle. Le dos de Georges décrit un incessant mouvement de balance. Cela plaît à l'heureux jeune-homme.Il le dit triomphant:
- Il suffisait de te mettre au diapason, tu es parfaite. Tiens complète ta formation. Essaie de me prendre au fond de ta gorge.

Je devine au mouvement des coudes de Georges qu'il serre la tête de ma femme pour la maintenir pendant qu'il lui enfonce la bite au plus profond, dans la gorge. Il tend ses muscles, se raidit quelques longues secondes. Enfin il relâche. Christine tousse, Georges applaudit:
- Quels progrès. En trois jours tu as réussi à avaler le morceau entier et à coller tes lèvres dans les poils de mon pubis. Ce n'était pas acquis, tu es une élève appliquée.Tu baves, tu recraches, tes yeux pleurent, mais tu peux être fière du succès qui fait de toi une reine de la fellation. Grâce à moi, ton mari disposera d'une femme géniale, capable d'exploits inhabituels avec sa bouche. Ton entrainement avec moi aura les meilleurs effets sur lui. Ne t'inquiète pas, je ne mendierai pas ses félicitations. Il suffira que tu lui fasses la démonstration de ce talent naturel mis à jour enfin. Cela réveillera sa libido.

- Ce ne sera pas aussi facile car le sexe de Jean est bien plus épais que ta longue tringle assez mince . Quand son gland atteint ma luette, il est bloqué à cause de son diamètre. Tu passes plus facilement que lui ne pourrait le faire. Alors reste modeste, petit saloupiot
- Avec de l'exercice tu ingurgiteras les plus grosses verges à l'avenir. Sinon, appelle-moi pour compléter ton apprentissage.
Passons à autre chose. Couche-toi au milieu du lit, ouvre les cuisses et étale ton sexe. Remonte les genoux, je veux mieux voir ta fente au milieu des bourrelets de ta vulve gonflée de sang. L'intérieur de tes jambes commence à devenir lourd de graisse. Est-ce que tu t'es déjà masturbée devant ton mari ?

- Me masturber devant Jean ? Tu es malade ? Pourquoi ferais-je ça ?

- Tu pourrais avoir essayé d'exciter Jean en te frottant les parties génitales alors qu'il te regardait. Jure-moi que jamais tu ne t'es masturbée au cours de ta vie. Selon moi c'est impossible.

- Comme toutes les filles, il m'est arrivé de chatouiller ma fente avec mes doigts. Adolescente j'ai eu des curiosités. Elles m'ont intriguée, j'ai fait seule la découverte des sensations liées à ma féminité. Ca passait par des caresses timides, puis de plus en plus appuyées et hardies Mais c'est quelque chose de trop intime pour le montrer à des témoins, même à un mari.

- Ta réponse ne me surprend pas. Eh ! Bien, voilà encore un tabou à renverser. Partage avec les autres. Ils t'en seront reconnaissants.Commence avec moi qui t'initie, tu sauras ensuite faire la joie de ton mari au moins et pourquoi pas d'amis, hommes ou femmes avec lesquels tu te sentiras libérée des excès de pudeur paralysants dont tu souffres actuellement. Mon aide fera de toi une femme libérée. Or tu es en position idéale. Donne ta patte droite. Je la pose sur ton pubis. Fais le nécessaire pour terminer le parcours. Allonge tes doigts, bouge leur extrémité comme au temps de ta jeunesse inventive.Caresse-toi jusqu'à l'orgasme. C'est merveilleux, si j'insiste, vas-y!

- Ah! Non ! Tu te moques de moi. S'il te plaît, pas ça.

- Tu n'es pas en situation de refuser. Enfin, dernier rappel, tu as le choix entre une masturbation bien menée ou la rupture de ma promesse... Ah ! Tu comprends... Mais oui, descends vers le petit bouton, fais le sortir de son capuchon. Depuis longtemps je rêvais d'assister à ce spectacle d'une fille qui se fait du bien toute seule. Continue. C'est beau à voir. Il faut que j'entretienne mon érection.

Georges s'est installé sur le matelas, assis sur ses talons, perpendiculairement au corps de ma épouse. Il se penche sur un sein, il examine le visage en pleine transformation sous l'effet des caresses. Moi aussi j'assiste à ce spectacle rare d'une masturbation féminine. Les simples frottements sur le sexe ne satisfont pas l"amant vicieux, il donne des indications de connaisseur :
- N'aie pas peur d'introduire un doigt ou deux entre tes nymphes. Ecarte et pousse. Ah: ha,ha!. On reconnait tout de suite la spécialiste. Tu cachais bien ton jeu, vieille cochonne. C'est ça, va plus profond, les doigts en crochets, secoue-moi ces chairs. Voilà, ça commence à briller, tu mouilles ma chérie, continue, accélère. Enfin, tout ton corps participe. Ca m'excite
C'est vrai, le ventre ondule, les talons poussent sur le matelas, le ventre se cabre, les fesses décollent, tombent et remontent. Christelle halète bruyamment, se tord sur le drap, bouche ouverte et ses doigts de plus en plus invasifs s'agitent furieusement dans l'entrée du vagin. Longtemps après le début hésitant, après une sorte de torture éprouvante pour l'actrice devenue complètement active, un cri étouffé annonce le sommet de l'excitation, il est suivi d'un long râle. Les doigts quittent la fente rose, l'homme les saisit pour les porter à sa bouche. Il déguste le jus épais collé aux phalanges. Le dos de Christine s'est immobilisé, ses jambes se sont instinctivement refermées. Elle peine à retrouver son souffle. Ses paupières s'ouvrent, elle se plaint d'avoir dû montrer le plus intime de sa vie et lâche :
- Tu es un petit salaud. T'es content de toi ? Moi j'ai honte.

- Mais tu l'as fait! Tu te souviendras que c'est la meilleure façon de lubrifier son vagin avant une pénétration sans douleur. Puisque ton Jean en a une épaisse selon toi, tu penseras à te préparer pour mieux l'accueillir dans ton ventre. Profite de la leçon et sache utiliser tes doigts pour votre bien être. Un vagin bien lubrifié est la condition première d'une copulation réussie et appréciée des deux partenaires. Ne parle plus de honte. Tu produis de façon naturelle le lubrifiant que d'autres sont obligés d'acheter pour glisser facilement vers l'orgasme libérateur. Sois plutôt fière de mieux connaître les ressources de ton corps. La nature est la plus sure source de plaisir.

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