Faites l'amour... et la guerre // 2

- Par l'auteur HDS Landsknecht -
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Récit libertin : Faites l'amour... et la guerre // 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Faites l'amour... et la guerre // 2
Faites l’amour... et la guerre // II


« Ost et toi, a dit le sergent en me pointant du doigt, vous allez chercher les rations. Dépêchez-vous de partir tant qu’il fait encore nuit.
- Bordel, c’est pas juste, a râlé Ost. La semaine dernière, c’était déjà moi !
- Tu veux y retourner encore la prochaine ? Non ? Alors, ta gueule, et magnes-toi de partir ! »

Nous avons pris nos flingues et, deux sacs vides sur nos épaules, nous sommes partis vers l’intendance, alors que l’obscurité de la nuit s’étendait sur la ligne de front.
Ce n’était pas loin, mais de nuit, entre les trous d’obus, les ruines et les barbelés, c’est pas évident d’y aller, même si, à force de le faire, on connaît bien le chemin. Une fois arrivés, nous avons trouvé, sans difficulté, l’adjudant d’unité. Il nous a filé les rations du groupe pour la semaine, qu’on a empilées dans les sacs, et en avant pour retourner aux tranchées, bien trop lourdement chargés.


Putain, c’est rude. Même si la lune nous éclaire pas mal, le chemin est jonché de caillasses et de débris. Sous ma casquette, je ne tarde pas à suer à grosses gouttes. Les courroies du sac me scient les épaules. Ces putains de rations pèsent un âne mort ! Je jette un regard à Ost, qui galère entre les murs écroulés, quelques mètres derrière moi. A bout de souffle, je lui halète :
«Hé, vieux... ça te dit pas qu’on se pose... un moment ? »
Il me répond rien, hoche juste la tête. Le temps de trouver une baraque pas trop détruite, j’en pousse la porte, qui ne tient que sur un gond. Le toit est enfoncé, on y voit assez pour que je me glisse dans un coin. Avec un soupir de soulagement, je largue mon sac, m’étire le dos, les épaules, puis je file un coup de main à Ost.


Assis sur nos musette, on souffle quelques trop brèves minutes.
« Bon, il dit, va pas falloir tarder à y retourner, non ? »
J’acquiesce de la tête. Mais, au moment où je me lève, un bruit soudain me fait sursauter. Je braque mon arme dans le coin d’où ça vient, Ost allume rapidement sa lampe. Dans le faisceau lumineux, à moitié dissimulée derrière les débris d’une table, nous voyons une fille, pas très vieille, qui se cache les yeux, éblouie par la lampe.
« Bah qu’est-ce que tu fous ici, toi ? demande Ost.
- Me faites pas d’mal, les gars ! elle répond. J’cherchais que des trucs à manger. Parfois, des soldats m’en donnent. »


Je regarde Ost, qui me regarde. Il éteint sa lampe. Je fouille une poche de mon treillis, y trouve une conserve, que je gardai en prévision de mon tour de garde de la nuit prochaine. Je la tends à la fille :
« Tu la veux ? »
Elle hoche la tête.
« Tu nous donnes quoi, en échange ? »
Les yeux brillants, elle s’approche de nous en jouant des hanches, nous regarde l’un après l’autre en se mordillant les lèvres.
« Si tu m’la donnes, je te fais jouir avec ma main. Si vous voulez plus, ajoute-elle en déboutonnant sa chemise, faut me donner plus. »
Elle ouvre sa liquette. Par le toit crevé, la lumière de la lune éclaire une belle paire de seins, gros comme des pommes. Elle les exhibe, nous les tends, tord les tétons en soupirant. La garce me donne un coup de chaud : je sens que dans mon froc, ça frétille ! Ost tient encore moins que moi : s’affalant sur son sac, il en tire deux rations, qu’il pose sur le sol. Les jambes écartées, il ouvre son froc, en sort son chibre qu’il commence à branler.


La nana se glisse à quatre pattes, approche d’Ost en se léchant les lèvres. Elle se glisse entre ses cuisses, s’empare de sa queue, la caresse de la paume, titille le gland du pouce. Doucement, elle y pose quelques bisous, suit de la langue les veines qui se dessinent, l’engouffre d’un coup au fond de sa gorge. La verge grossit entre ses doigts habiles, elle est plutôt courte, mais très épaisse. La tête renversée, les mains agrippées sur l’arrière du crâne de la fille, Ost émet de petits gémissements :
« Putain, c’est bon... Oh, bordel, t’arrêtes pas ! »

Les reins cambrés de la donzelle attirent mon regard. Son cul tendu est recouvert d’une jupe longue, que je trousse rapidement, découvrant une peau pâle vêtue de bas de laine, montant jusqu’au dessus de ses genoux.

A mon tour, par dessus mon pantalon de treillis, je me caresse, puis je laisse courir mes mains sur ses cuisses, ses fesses rondes, glisse mon doigt sur sa chatte, d’où je sens déjà perler une humidité prometteuse.

Alors que l’odeur de femme qui en monte me fait déjà bander, je me mets à genoux derrière elle, écarte les deux globes de son cul et lèche la peau douce de l’intérieur de ses cuisses. Je pénètre d’un doigt, puis de deux, sa chatte qui se mouille. Tandis que Ost force sa queue dans sa gorge, la faisant tousser et cracher, je joue sur son clitoris dressé.
Puis ma langue remonte, se glisse dans sa raie, vient agacer son anus, mon pouce s’y ajoute, étirant doucement le muscle.

Des gémissements de plaisir se mêlent à sa respiration hachée. Oh, bordel, que c’est bon de l’entendre ainsi !


Elle ne tient plus, se cambre en feulant.
« Putain, baisez-moi » lâche-t-elle.

Ost la saisit par les hanches, il la traîne sur lui. Frénétique, elle saisit sa queue, la guide dans sa chatte. Avec un long soupir de plaisir, elle s’empale sur la bite épaisse et la chevauche.
Putain, on avait faim, mais je croit que elle aussi n’avait qu’une idée en tête, se faire baiser !

Ost s’est emparé des seins, en tord les tétons, les gifle, les meurtrit pendant qu’il la bourre à grands coups. De temps à autre, il la fesse rudement, rougissant son pétard rond alors qu’elle qu’elle crie son plaisir.
La bestialité crue de cette scène m’excite à n’en plus pouvoir. Je baisse mon froc, approche mon chibre du cul qui tressaute tout près de moi. Je pose mes mains dessus, le forçant à stopper sa danse, pointe ma queue bandée vers l’anus offert.

Elle comprend vite ce que je m’apprête à faire et, loin de se refuser, m’offre son petit trou en creusant les reins. Je le pénètre doucement, profitant de chaque moment de cet instant délicieux : s’enfoncer dans l’orifice offert d’une femme.
Je sens, à mesure que je progresse dans les entrailles brûlantes, la bite tendue à exploser d’Ost. Le conduit en est d’autant plus étroit, mais que c’est bon d’y fourrer ma queue !
La fille arque son dos, sa gorge, sa bouche est grande ouverte dans un cri silencieux. Dommage qu’on n’est pas un troisième larron avec nous , certain qu’il se ferait un plaisir d’enfoncer son grand chauve dans la gorge, et certain qu’elle le prendrait volontiers !


Désarticulée par le plaisir, la fille n’est plus qu’un pantin qui s’offre à nos coups de boutoir. Elle n’est plus qu’une jouissance continue. Mais je sens qu’Ost grogne de plus en plus fort, et je ne peux pas me retenir non plus. Je sens le sperme monter dans ma queue, défonce son petit cul d’encore quelques coups puissants. Dans un râle, j’expulse mon jus dans les entrailles de la fille, en même temps qu’Ost.
C’en est trop pour elle, elle pousse un dernier cri et s’écroule sur mon pote, dans les vapes.


« Oh, bordel de bordel, c’était trop bon... J’vais pas m’remettre, souffle-t-il.
- Y’a plutôt intérêt, pourtant, dis-je en me rhabillant. On est déjà assez à la bourre. »
Je boucle la ceinture de mon falzard, ramasse les trucs tombés de mes poches. Ost pousse la fille sur le côté, se refroque à son tour. Avant de remettre mon lourd sac sur mes épaules endolories, je m’assure qu’elle va bien. Elle s’est endormie, repu de sexe et de jouissance. Je l’allonge, tire sa jupe sur ses jambes. Ost se charge de son sac, m’aide à installer le mien.


Sans perdre plus de temps, nous repartons dans la ville en ruine.
« Hé, me lance Ost après quelque temps, c’est toi qui expliqueras au sergent pourquoi qu’il nous manque deux rations.
- Il nous manque rien, gros malin, je lui réponds. Je les remises dans dans ton sac pendant que tu végétais et qu’elle était dans les vapes. »

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