Faites l'amour... et la guerre // I

- Par l'auteur HDS Landsknecht -
Auteur .
  • • 2 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Landsknecht ont reçu un total de 2 097 visites.
Récit libertin : Faites l'amour... et la guerre // I Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 037 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Faites l'amour... et la guerre // I
// I

J’étais endormi, complètement dans les vapes, à rêver d’une jolie brune au petit cul, quand on m’a réveillé en me secouant par l’épaule. Ouvrant un œil, j’ai reconnu Ost. Ses yeux cernés, ses joues pas rasées, son casque de travers lui faisait une drôle de gueule, celle d’un gazier épuisé par des jours de combats incessants. Je devais avoir la même, le casque en moins ; je préfère une casquette, plus léger, et tant pis pour les risques.
« Réveil, qu’il m’a dit, à ton tour de prendre la garde. »

En grognant, je me suis levé, j’ai rincé ma ganache dans mon quart et je me suis dirigé, mon fusil à la main, d’un pas lourd de fatigue, vers l’escalier qui montait, direction la sortie de l’abri.

L’air frais de la tranchée m’a fait du bien, chassant de mes yeux bouffis les restes d’un sommeil trop court. Une dizaine de mètres plus loin, j’ai atteint le poste de la sentinelle, qui surplombe une petite vallée. Il faisait nuit, je ne voyais pas grand-chose au-delà de notre ligne de barbelé, mais qu’importe ! Je connais par cœur la ville qui s’étend à mes pieds. Enfin, une ville... Jadis, une ville. Des bâtiments calcinés aux façades effondrées, des carcasses de bagnoles rouillées, des barricades en travers des rues, des cadavres abandonnés qui pourrissent. Pas de nanas qui bronzent à poil ou qui se broutent le minou. Rien que de la destruction. Rien qui mérite d’être vu, donc pas besoin d’y voir.

Et puis, la nuit, ils ne nous attaquent jamais. Ils flippent trop. J’suis là, bloqué à surveiller le noir, alors que je pourrais être à coincer la bulle ou, mieux encore, à gamahucher une donzelle pas trop farouche.

Je suis resté un bout de temps, à tourner ces pensées dans ma caboche, lorsqu’un léger bruit vient me tirer de mes réflexions. Devant moi, à peu de distance, j’entends qu’on gratte le sol, triture les barbelés. Une patrouille qui rentre ? Ça m’étonnerait ! Je braque mon flingue, je chuchote :
« Qui va là ?
- Tire pas ! » qu’une voix de femme me répond sur le même ton.
Elle continue :
« Tire pas, j’veux pas mourir, j’veux fuir de là-bas ! »
Une femme ! Qu’a traversé la ligne de front pour venir échouer ici ? C’est quoi, ce bail ? je me demande.
« Arrive dans la lumière, fais voir tes mains ! », je lui ordonne.
J’entends qu’elle rampe encore un peu, puis je distingue une forme humaine qui s’avance à quatre pattes sur un espace éclairé d’un rayon de lune.
« J’ai pas d’arme, tire pas ! », elle répète.
Bordel, elle a une voix ! Douce, avec cette pointe d’accent de là-bas qui la rend plus sensuelle encore. D’un coup, elle me rappelle les putes que j’allais voir, avant la guerre. Que des canons aux cheveux blonds, qui savent s’y prendre pour te faire cracher, rien qu’en te suçant : elles te mirent droit dans les yeux, d’un regard luisant de sexe. Pas besoin de plus pour tenir le gars à leur merci !
Rien que de l’entendre, cette voix, ça me rappelle ces nuits d’orgie, et voilà que ça se met à frétiller dans mon froc.
Bordel, c’est pas le moment de penser à ça ! Déjà, qu’est-ce qu’elle vient foutre ici ? Elle aurait pas une bombe sur elle, des fois ?
D’une voix dure, je chuchote :
« Lève-toi, soulève ta liquette et tourne-toi ! »
Elle se redresse. Je la distingue mieux : elle est jeune, vêtue d’une chemise claire et d’un pantalon sombre, assez large. Ses cheveux brillent d’un éclat argenté sous la douce lumière de l’astre nocturne, ils paraissent presque blancs. Elle ouvre sa chemise, un morceau de tissu grisâtre en mauvais état, en écarte largement les pans. Je n’y vois pas grand-chose, son ventre a l’air plat, pas de ceinture d’explosif. Elle se tourne, la chemise toujours en l’air. Putain, son cul ! Même si son pantalon est ample, il ne peut cacher la rondeur de ses formes.
« Approche, j’vois pas. »
Par les dieux, c’est quoi, cette histoire ? Pourquoi qu’une pépée roulée comme elle débarquerait au milieu de la nuit ?
Elle pourrait avoir une lame sur elle, ou être là rien que pour me distraire, pendant qu’ils viennent me faire le cul. Et alors, aller simple pour le grand banquet des guerriers pour ma pomme !

Mon regard nerveux parcourt le terrain environnant. Le vent souffle doucement, agitant les quelques branches qui restent aux arbres environnants. L’obscurité n’est plus si profonde, avec le lever de la lune, dans mon dos ; elle éclaire bien la zone grise devant moi. Le silence, presque absolu, est seulement rompu par les habituels piaillements des rats.
Rien, vraiment rien qui éveillerait ma méfiance.
Pendant que je gambergeais, elle s’est approchée de moi, tenant toujours écartés sa chemise, qui ne lui couvre que les seins. Je les devine gros et lourds. Ça fait plus que frétiller, maintenant. Depuis au moins un mois, que j’ai pas baisé ! D’une main, je place un peu mieux mon braquemart qui gonfle.
« Descends par ici, que j’te vois de plus près. »
Elle s’approche de l’échelle, je m’éloigne un peu, on est jamais trop prudent.
D’un bond, elle saute dans la tranchée et me regarde en souriant d’un air espiègle :
« Vous êtes rassuré ? Vous voyez bien que je n’ai pas d’arme. »
Bordel, cette voix !

Tout en parlant, elle a ouvert largement sa chemise, m’exposant ses nibards dans la lumière de la lune. Je dois rêver. Je rêve ! Sa peau est d’albâtre, hormis ses tétons, sombres et érigés. Son ventre est plat, musclé. Ses hanches larges soulignent la finesse de sa taille.
Je me mords violemment la langue. Non, je ne rêve pas. J’ai jamais vu un canon pareil, jamais !
Hypnotisé que je suis par ses seins, pleins et lourds, par les mamelons dardés, je ne peux penser qu’à deux choses : les lécher pendant des heures, d’abord, lui bourrer ma pine dans la chatte, ensuite. Si c’est un piège, tant pis. Je veux bien crever, si d’abord je me farcis un pareil morceau.
En souriant, elle s’approche, vient se coller à moi, m’offrant sa poitrine de ses mains en coupole. Ni une, ni deux, je la saisi par les cheveux, à l’arrière du crâne, lui tire la tête en arrière et écrase mes lèvres sur les siennes. Mes dents les mordent, bordel, qu’elle est douce ! Sa langue s’enroule autour de la mienne, nos souffles et nos salives se mêlent tandis que je pétris son cul de mes deux mains avides.
Je luis caresse les hanches. Par les dieux, qu’elle est fine ! Mes poignes font presque le tour d’elle ! Je l’imagine avec ma bite au fond du ventre, moyen que j’lui touche le nombril !
Je presse son corps chaud contre le mien. Elle sent ma verge dressée, me saisit le paquet, le caresse, gémit dans l’anticipation de son plaisir. Mes mains montent de sa taille à ses seins, ils sont fermes et lourds. Je pince les tétons érigés entre mes doigts, les fait rouler, elle gémit encore.
Nos lèvres se désaccouplent, elle tombe à genoux, ouvre ma ceinture, baisse mon pantalon. Ma bite bandée jaillit, lui frappe le visage. Elle ouvre la bouche et l’engloutit.
Bordel, c’est trop bon ! Sa bouche chaude est un fourreau pour ma queue, sa langue s’agite et joue avec mon gland, tandis qu’elle me branle d’une main et caresse mes bourses de l’autre. La vache, elle sait s’y prendre, la pute !

Tout en profitant de la caresse de ses lèvres et de sa langue, je jette un regard aux alentours. Tout est calme. Si c'est un piège, ils sont doués !
Je me laisse faire un petit moment, puis lui pose mes mains à l’arrière du crâne. Tout en lui maintenant la tête, je lui enfonce mon braquemart dans la gorge, à plusieurs reprises. Je lui baise la bouche, lui laissant à peine le temps de reprendre son souffle. Un mélange de bave et de liquide séminal lui coule des lèvres, tombe sur son chemisier, ses nibards dressés.
Je force ma pine gonflée à bloc au fond de sa gorge, l’y maintient de longues et délicieuses secondes, mais je peux pas tenir beaucoup plus longtemps.
Dans un grognement de soulagement venu du fond de mes tripes, je lâche une belle rafale de foutre qui va s’écraser dans sa gorge, sur ses lèvres, ses seins arrogants.
A la lumière argentée de la lune, c’est un joli collier de perle que ça lui fait, à cette catin !

Alors qu’elle me branle doucement, extirpant de ma queue les dernières gouttes de mon jus, qu’elle vient lécher de sa langue, je sens soudain une lame froide et effilée se poser sur mon cou.
Bordel.
La salope.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
C'est vrai que nos nichons peuvent être des armes redoutables surtout dans le cas de cette histoire où ce pauvre soldat n'a pas touché une fille depuis au moins un mois

Histoire Libertine
Cette histoire montre que dans ce genre de guerre nos nibards comme vous dites messieurs peuvent être plus efficaces qu'un simple fusil

Histoire Erotique
non pas coule mai ayant fait la guerre d'algerie cett histoire réveille beaucoup de souvenirs sans finir par un drame mais pas loin

Histoire Erotique
Bigre ... Pas cool la fin



Texte coquin : Faites l'amour... et la guerre // I
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Landsknecht

Faites l'amour... et la guerre // 2 - Récit érotique publié le 14-11-2023
Faites l'amour... et la guerre // I - Récit érotique publié le 01-10-2023