Fanette ou l'apprentissage à la soumission
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fanette ou l'apprentissage à la soumission
Fanette
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Nous étions deux amis d'enfance, voisins depuis toujours, partageant nos joies et nos peines et certains de nos secrets. Nous avions fait mille et un coups ensemble, parfois gentils, parfois même dangereux. Le pire fut lorsque nous avions décidé d'explorer une grotte sans en avertir nos parents. Nous avions acheté, secrètement, des cordes et quelques provisions pour jouer aux grands explorateurs. Prétextant une journée de ballade, nous étions partis de bon matin, fièrement chargés de nos équipements. Nous avions, durant toute une journée, traversé de magnifiques salles inconnues de nous dans un endroit interdit pour déboucher sur un boyau de plus en plus étroit. Après une lente progression, rampant de plus en plus péniblement entre ces parois froides, parfois tranchantes et de plus en plus humides, durant plusieurs heures dans la pénombre, la lumière déclinante de la fin du jour se profila au loin. A la limite du désespoir et de la prise de conscience de la débilité de notre aventure, nous nous étions retrouvés au bord d'une falaise à pic. Heureusement, les cordes aidant, nous avions réussi à nous accrocher et à descendre de cet endroit escarpé. Jamais, nous n'avons osé en parler à nos parents respectifs.
Toutes ces folies nous rapprochaient et solidifiaient notre amitié jusqu'au jour où, maintenant jeunes adultes, un défi de taille nous affronta. Nous sommes, tous deux, tombés follement amoureux de la même fille.
Elle s'appelle Fanette, elle est belle, sublime, une fille génial et si spirituelle, si amusante. Elle a une culture générale importante même si elle l'affiche peu publiquement… L'amie parfaite!
Pascal et moi sommes devenus un peu plus distant durant une semaine et, lorsque nous avons parlé ensemble des causes de cet éloignement, nous avons réalisé notre problème, notre profond amour pour Fanette. Loin d'entrer dans une dispute, nous en avons discuté longuement, recherchant une solution. Il n'est pas question que je me brouille avec Pascal, lui non plus ne veut pas de querelle. Notre choix est d'en parler librement et tous ensemble avec… l'intéressée.
Nous nous réunissons tous les trois au bord de la rivière. Chacun son tour, tranquillement, nous déclarons nos sentiments pour Fanette, annoçant clairement la force de cet amour. Fanette ne bronche pas, écoutant impassiblement chacun d'entre nous. A la fin, Fanette déclare sagement qu'elle va étudier ce problème et elle promet de présenter une solution dans la semaine. Confiant, nous rentrons chez nous. Au cours de la semaine, malgré une nervosité croissante, je continue à rencontrer Pascal comme deux bons amis. Je découvre progressivement son attachement presque obsédé pour Fanette et réalise que le mien n'est pas mieux. Nous parlons même ensemble comment nous allons accepter ce choix, comment "l'autre" va survivre à ce drame.
Il est évident que, même si notre amitié est très forte, ce genre d'épreuve ne nous est jamais arrivé. Nous avons déjà envisagé une séparation pour un mariage, chacun de son côté. Nous sommes certains que, même si une séparation physique peut être supportable, nous resterons immanquablement en contact et ce, sans doute, pour la vie entière.
Le jour fatidique arrive et Fanette, toujours détendue, propose de définir son choix lors d'une semaine de vacances à la campagne durant laquelle elle nous évaluera, nous testera, nous comparera. Après un échange de regard, de surprise et un sourire, Pascal et moi acceptons en unisson. Toujours avec une entente parfaite, nous nous sommes préparés pour cette "épreuve" comme deux bons amis partant ensemble pour la guerre.
Jour J
Toujours de bonne humeur, nous prenons le bus pour nous rendre au point de rendez-vous, amusés et excités par cette nouvelle aventure même si l'enjeu est de taille. Jamais, nous n'avons pensé à nous bagarrer et je crois même que, tous deux, nous sommes prêts à laisser la place afin d'assurer le bonheur de l'autre. Nous sommes, je crois, ce que pouvons appeler de VRAIS amis.
Après une petite heure de bus et une dizaine de minutes de marches, quelle n'est pas notre surprise de découvrir, à la place d'une grande demeure parentale, une magnifique vieille ferme devant laquelle Fanette nous accueille avec un large sourire et des yeux pétillants. Dans sa petite robe jaune et face à un soleil qui l'entoure d'une aura angélique, elle est encore plus admirable, plus attrayante… un ange.
Je dois avouer que Pascal et moi sommes toujours, tous deux, des puceaux. Notre amitié a pris tant de place dans nos vies respectives que jamais une fille n'a pu s'y intégrer. La sexualité n'a pas eu sa place non plus, nous sommes, quelque part, plutôt purs, voire naïfs. Fanette n'est pas, pour nous deux (nous en avions parlé tant de fois), un être physique, encore moins un objet sexuel, mais plutôt comme un rêve à vivre pleinement, une symbiose naturelle entre deux esprits humains.
Pour en revenir à mon émerveillement, cette vue est si inattendue, si extraordinaire, si irréelle, que je sens directement un curieux picotement entre mes jambes et un étrange étourdissement jamais encore ressenti encore. Je suis hypnotisé, je sens mes jambes flageller et je me sens fondre. Ce n'est que lorsqu'elle crie un bonjour parfumé que je reprends mes esprits et réalise une situation apparemment similaire chez mon ami Pascal. Je suis sidéré, comment un être, une humaine, une fille peut-elle provoquer un tel émoi? En quelques secondes seulement, cette vue fait chavirer des années de construction d'une amitié profonde. Je veux être l'élu, je veux être choisi par cette déesse, je veux me battre pour vaincre. Je ne veux pas perdre cette amitié ancrée… mais ce nouveau besoin plus physique, plus matériel, plus sexuel?... semble plus fort.
Le cœur palpitant et battant à dix milles à l'heure, je savoure le doux baiser que Fanette dépose délicatement sur ma joue gauche, encore trop absorbé pour réagir et lui rendre la pareille. Fanette nous prend alors par la main et, nous expliquant le déroulement de la semaine dans les grandes lignes, elle nous emmène vers le logement central. Avançant dans la cour intérieure du bâtiment en "U", elle nous explique que l'aile gauche m'est réservée, tandis que la droite est pour Pascal. Elle insiste sur le fait que, durant cette semaine, aucun contact entre nous deux ne sera autorisés sans son approbation et, sans vraiment réfléchir, nous acceptons.
Chacun de son côté, nous partons déballer nos affaires. Je découvre un ensemble de salles en pierre non aménagées, mais je suis au centre de la nature et le parfum de vieux bois et de pierres est là pour me ravir. Avec stupéfaction, je réalise que je n'ai jamais pu sortir Fanette de ma tête. Peu importe mes activités, elle reste toujours présente. J'ai à peine vidé mon sac que la cloche retentit, signalant, comme annoncé, que Fanette nous appelle dans ses quartiers, le bâtiment central, le seul réellement aménagé. Je me précipite pour arriver le premier mais Pascal me devance et je jure, en moi-même, de faire mieux la prochaine fois. Fanette nous propose de partager un simple repas léger fait de pain, de légumes et de fruits et je dévore tout ce qui m'est présenté… aussi la Fanette, Ma Fanette, mais uniquement du regard. Pascal fait de même.
Fanette nous signale que la préparation de ce petit dîner est la première et la dernière tâche qu'elle fera cette semaine et nous acquiesçons tout deux. A la fin du repas, Fanette nous propose de faire la vaisselle et nous nous précipitons, une fois de plus, pour lui plaire. D'un ton un peu plus autoritaire, elle déclare vouloir voir nos musculatures et nous demande de faire la vaisselle en slip. Surpris, mais pas du tout gêné (j'ai déjà vu mon ami Pascal maintes fois en maillot de bain, une fois même nu), je retire mon T-shirt tandis que Pascal fait de même. Ensuite, je commence à baisser mon pantalon lorsque je réalise, et seulement alors, que j'ai une incroyable bandaison. Un instant d'hésitation, les joues rouges, je regarde du coin de l'œil le visage de Fanette, puis celui de Pascal et de retour vers mon bombement et je remarque même, à ce moment-là, une tâche humide. Paralysé, je recommence à scruter plus autour de moi, observant plus précisément et notant une sourire intriguant sur le visage de Fanette, puis une rougeur écarlate sur le visage de Pascal qui semble dans le même état de moi. Reprenant mon courage et voulant marquer des points, je me retire le premier mon pantalon et me redresse pour afficher, plus ou moins fièrement, la "preuve" de mon amour.
Je me retrouve, ainsi, debout, légèrement cambré et provoquant pour exhiber ma virilité sous les yeux amusés de Fanette. Pascal vient se coller contre moi et je peux voir les yeux comparateurs de notre Amour scintiller tandis que, instinctivement sans doute, sa langue humidifie ses lèvres.
Alors que nous nous pavanons devant la première fille de notre vie, un "ordre" éclate. Fanette nous rappelle que le but est de faire la vaisselle et non pas de frimer. Humblement, nous nous mettons au travail, oubliant quelques instants notre nouvelle rivalité pour nous concentrer sur la qualité de notre travail malgré un regard soutenu que je peux sentir derrière nous. La vaisselle se passe bien sous quelques ricanements ou ronronnements de Fanette, mais je les considère comme des appréciations.
Une fois la vaisselle terminée, Fanette nous propose de venir s'asseoir de chaque côté d'elle, toujours en slip. Nous parlons de tout et de rien, de musique et de cinéma mais rien ne fait disparaître ma bandaison. C'est pire lorsque, au milieu de la conversation, je sens la main de Fanette se poser sur ma cuisse et, comme je regarde intensément le visage toujours pourpre de Pascal afin d'éviter de penser à ce geste si intensément bon, je comprends que mon ami souffre du même phénomène. Je me sens alors si ardemment excité que je tente de déplacer ma main de la table, mais tout mouvement est automatiquement et immédiatement réprimandé par une sévère remarque. Je me résous, Pascal aussi, à laisser notre Amour prendre toute initiative afin de ne pas lui déplaire.
Au fur et à mesure de la soirée, malgré le contraste entre la conversation et les tendres gestes subtils des douces mains de Fanette, je me retrouve au bord d'un orgasme qui est brutalement stoppé par une légère claque sur ma cuisse comme Fanette se lève et déclare qu'elle va se coucher… seule. Elle ajoute, à mon grand désarroi, qu'elle espère que nous n'allons pas profiter d'être seuls pour jouer avec nos 'petits' sexes tendus et je sens une vague de rougeur encore plus intense m'envahir par l'idée et, surtout, par le fait qu'une fille puisse me parler si ouvertement de cela. Mon amour, mon envie et mon désir pour elle n'en est que renforcé. Je la regarde s'éloigner avec une certaine frustration, puis j'observe mon ami Pascal, sentant malgré tout un peu de jalousie de la preuve bien visible de ses propres sentiments. Je le quitte pourtant aimablement et passe une nuit bien agitée où je ne dors pas beaucoup, je suppose que vous comprenez pourquoi. Avec cela, j'oublie de vous dire qu'elle nous attendra au même endroit le lendemain matin et… dans la même tenue.
Fin JOUR J... A venir JOUR 2
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."
Nous étions deux amis d'enfance, voisins depuis toujours, partageant nos joies et nos peines et certains de nos secrets. Nous avions fait mille et un coups ensemble, parfois gentils, parfois même dangereux. Le pire fut lorsque nous avions décidé d'explorer une grotte sans en avertir nos parents. Nous avions acheté, secrètement, des cordes et quelques provisions pour jouer aux grands explorateurs. Prétextant une journée de ballade, nous étions partis de bon matin, fièrement chargés de nos équipements. Nous avions, durant toute une journée, traversé de magnifiques salles inconnues de nous dans un endroit interdit pour déboucher sur un boyau de plus en plus étroit. Après une lente progression, rampant de plus en plus péniblement entre ces parois froides, parfois tranchantes et de plus en plus humides, durant plusieurs heures dans la pénombre, la lumière déclinante de la fin du jour se profila au loin. A la limite du désespoir et de la prise de conscience de la débilité de notre aventure, nous nous étions retrouvés au bord d'une falaise à pic. Heureusement, les cordes aidant, nous avions réussi à nous accrocher et à descendre de cet endroit escarpé. Jamais, nous n'avons osé en parler à nos parents respectifs.
Toutes ces folies nous rapprochaient et solidifiaient notre amitié jusqu'au jour où, maintenant jeunes adultes, un défi de taille nous affronta. Nous sommes, tous deux, tombés follement amoureux de la même fille.
Elle s'appelle Fanette, elle est belle, sublime, une fille génial et si spirituelle, si amusante. Elle a une culture générale importante même si elle l'affiche peu publiquement… L'amie parfaite!
Pascal et moi sommes devenus un peu plus distant durant une semaine et, lorsque nous avons parlé ensemble des causes de cet éloignement, nous avons réalisé notre problème, notre profond amour pour Fanette. Loin d'entrer dans une dispute, nous en avons discuté longuement, recherchant une solution. Il n'est pas question que je me brouille avec Pascal, lui non plus ne veut pas de querelle. Notre choix est d'en parler librement et tous ensemble avec… l'intéressée.
Nous nous réunissons tous les trois au bord de la rivière. Chacun son tour, tranquillement, nous déclarons nos sentiments pour Fanette, annoçant clairement la force de cet amour. Fanette ne bronche pas, écoutant impassiblement chacun d'entre nous. A la fin, Fanette déclare sagement qu'elle va étudier ce problème et elle promet de présenter une solution dans la semaine. Confiant, nous rentrons chez nous. Au cours de la semaine, malgré une nervosité croissante, je continue à rencontrer Pascal comme deux bons amis. Je découvre progressivement son attachement presque obsédé pour Fanette et réalise que le mien n'est pas mieux. Nous parlons même ensemble comment nous allons accepter ce choix, comment "l'autre" va survivre à ce drame.
Il est évident que, même si notre amitié est très forte, ce genre d'épreuve ne nous est jamais arrivé. Nous avons déjà envisagé une séparation pour un mariage, chacun de son côté. Nous sommes certains que, même si une séparation physique peut être supportable, nous resterons immanquablement en contact et ce, sans doute, pour la vie entière.
Le jour fatidique arrive et Fanette, toujours détendue, propose de définir son choix lors d'une semaine de vacances à la campagne durant laquelle elle nous évaluera, nous testera, nous comparera. Après un échange de regard, de surprise et un sourire, Pascal et moi acceptons en unisson. Toujours avec une entente parfaite, nous nous sommes préparés pour cette "épreuve" comme deux bons amis partant ensemble pour la guerre.
Jour J
Toujours de bonne humeur, nous prenons le bus pour nous rendre au point de rendez-vous, amusés et excités par cette nouvelle aventure même si l'enjeu est de taille. Jamais, nous n'avons pensé à nous bagarrer et je crois même que, tous deux, nous sommes prêts à laisser la place afin d'assurer le bonheur de l'autre. Nous sommes, je crois, ce que pouvons appeler de VRAIS amis.
Après une petite heure de bus et une dizaine de minutes de marches, quelle n'est pas notre surprise de découvrir, à la place d'une grande demeure parentale, une magnifique vieille ferme devant laquelle Fanette nous accueille avec un large sourire et des yeux pétillants. Dans sa petite robe jaune et face à un soleil qui l'entoure d'une aura angélique, elle est encore plus admirable, plus attrayante… un ange.
Je dois avouer que Pascal et moi sommes toujours, tous deux, des puceaux. Notre amitié a pris tant de place dans nos vies respectives que jamais une fille n'a pu s'y intégrer. La sexualité n'a pas eu sa place non plus, nous sommes, quelque part, plutôt purs, voire naïfs. Fanette n'est pas, pour nous deux (nous en avions parlé tant de fois), un être physique, encore moins un objet sexuel, mais plutôt comme un rêve à vivre pleinement, une symbiose naturelle entre deux esprits humains.
Pour en revenir à mon émerveillement, cette vue est si inattendue, si extraordinaire, si irréelle, que je sens directement un curieux picotement entre mes jambes et un étrange étourdissement jamais encore ressenti encore. Je suis hypnotisé, je sens mes jambes flageller et je me sens fondre. Ce n'est que lorsqu'elle crie un bonjour parfumé que je reprends mes esprits et réalise une situation apparemment similaire chez mon ami Pascal. Je suis sidéré, comment un être, une humaine, une fille peut-elle provoquer un tel émoi? En quelques secondes seulement, cette vue fait chavirer des années de construction d'une amitié profonde. Je veux être l'élu, je veux être choisi par cette déesse, je veux me battre pour vaincre. Je ne veux pas perdre cette amitié ancrée… mais ce nouveau besoin plus physique, plus matériel, plus sexuel?... semble plus fort.
Le cœur palpitant et battant à dix milles à l'heure, je savoure le doux baiser que Fanette dépose délicatement sur ma joue gauche, encore trop absorbé pour réagir et lui rendre la pareille. Fanette nous prend alors par la main et, nous expliquant le déroulement de la semaine dans les grandes lignes, elle nous emmène vers le logement central. Avançant dans la cour intérieure du bâtiment en "U", elle nous explique que l'aile gauche m'est réservée, tandis que la droite est pour Pascal. Elle insiste sur le fait que, durant cette semaine, aucun contact entre nous deux ne sera autorisés sans son approbation et, sans vraiment réfléchir, nous acceptons.
Chacun de son côté, nous partons déballer nos affaires. Je découvre un ensemble de salles en pierre non aménagées, mais je suis au centre de la nature et le parfum de vieux bois et de pierres est là pour me ravir. Avec stupéfaction, je réalise que je n'ai jamais pu sortir Fanette de ma tête. Peu importe mes activités, elle reste toujours présente. J'ai à peine vidé mon sac que la cloche retentit, signalant, comme annoncé, que Fanette nous appelle dans ses quartiers, le bâtiment central, le seul réellement aménagé. Je me précipite pour arriver le premier mais Pascal me devance et je jure, en moi-même, de faire mieux la prochaine fois. Fanette nous propose de partager un simple repas léger fait de pain, de légumes et de fruits et je dévore tout ce qui m'est présenté… aussi la Fanette, Ma Fanette, mais uniquement du regard. Pascal fait de même.
Fanette nous signale que la préparation de ce petit dîner est la première et la dernière tâche qu'elle fera cette semaine et nous acquiesçons tout deux. A la fin du repas, Fanette nous propose de faire la vaisselle et nous nous précipitons, une fois de plus, pour lui plaire. D'un ton un peu plus autoritaire, elle déclare vouloir voir nos musculatures et nous demande de faire la vaisselle en slip. Surpris, mais pas du tout gêné (j'ai déjà vu mon ami Pascal maintes fois en maillot de bain, une fois même nu), je retire mon T-shirt tandis que Pascal fait de même. Ensuite, je commence à baisser mon pantalon lorsque je réalise, et seulement alors, que j'ai une incroyable bandaison. Un instant d'hésitation, les joues rouges, je regarde du coin de l'œil le visage de Fanette, puis celui de Pascal et de retour vers mon bombement et je remarque même, à ce moment-là, une tâche humide. Paralysé, je recommence à scruter plus autour de moi, observant plus précisément et notant une sourire intriguant sur le visage de Fanette, puis une rougeur écarlate sur le visage de Pascal qui semble dans le même état de moi. Reprenant mon courage et voulant marquer des points, je me retire le premier mon pantalon et me redresse pour afficher, plus ou moins fièrement, la "preuve" de mon amour.
Je me retrouve, ainsi, debout, légèrement cambré et provoquant pour exhiber ma virilité sous les yeux amusés de Fanette. Pascal vient se coller contre moi et je peux voir les yeux comparateurs de notre Amour scintiller tandis que, instinctivement sans doute, sa langue humidifie ses lèvres.
Alors que nous nous pavanons devant la première fille de notre vie, un "ordre" éclate. Fanette nous rappelle que le but est de faire la vaisselle et non pas de frimer. Humblement, nous nous mettons au travail, oubliant quelques instants notre nouvelle rivalité pour nous concentrer sur la qualité de notre travail malgré un regard soutenu que je peux sentir derrière nous. La vaisselle se passe bien sous quelques ricanements ou ronronnements de Fanette, mais je les considère comme des appréciations.
Une fois la vaisselle terminée, Fanette nous propose de venir s'asseoir de chaque côté d'elle, toujours en slip. Nous parlons de tout et de rien, de musique et de cinéma mais rien ne fait disparaître ma bandaison. C'est pire lorsque, au milieu de la conversation, je sens la main de Fanette se poser sur ma cuisse et, comme je regarde intensément le visage toujours pourpre de Pascal afin d'éviter de penser à ce geste si intensément bon, je comprends que mon ami souffre du même phénomène. Je me sens alors si ardemment excité que je tente de déplacer ma main de la table, mais tout mouvement est automatiquement et immédiatement réprimandé par une sévère remarque. Je me résous, Pascal aussi, à laisser notre Amour prendre toute initiative afin de ne pas lui déplaire.
Au fur et à mesure de la soirée, malgré le contraste entre la conversation et les tendres gestes subtils des douces mains de Fanette, je me retrouve au bord d'un orgasme qui est brutalement stoppé par une légère claque sur ma cuisse comme Fanette se lève et déclare qu'elle va se coucher… seule. Elle ajoute, à mon grand désarroi, qu'elle espère que nous n'allons pas profiter d'être seuls pour jouer avec nos 'petits' sexes tendus et je sens une vague de rougeur encore plus intense m'envahir par l'idée et, surtout, par le fait qu'une fille puisse me parler si ouvertement de cela. Mon amour, mon envie et mon désir pour elle n'en est que renforcé. Je la regarde s'éloigner avec une certaine frustration, puis j'observe mon ami Pascal, sentant malgré tout un peu de jalousie de la preuve bien visible de ses propres sentiments. Je le quitte pourtant aimablement et passe une nuit bien agitée où je ne dors pas beaucoup, je suppose que vous comprenez pourquoi. Avec cela, j'oublie de vous dire qu'elle nous attendra au même endroit le lendemain matin et… dans la même tenue.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire j'attends la suite avec impatience.