Fantasme d'un soumi handicapé. (partie 2)

- Par l'auteur HDS Sauros -
Récit érotique écrit par Sauros [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasme d'un soumi handicapé. (partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fantasme d'un soumi handicapé. (partie 2)
Part. 2

Je passe un long moment à rêver d’elle, à fantasmer. À chaque inspiration son odeur me rappel ce délicieux moment. Je suis à la fois terriblement excité et tellement frustré. J’ai une forte érection, je vois la bosse sous mes draps. Malheureusement il m’est impossible de me soulager. Pas moyen de me toucher… Seul mon esprit peut voyager, mon imagination déborde de scénarios que je me revis durant plusieurs heures avant de m’endormir.

Epuisé par ma courte nuit, Je me réveil en sursaut lorsque la sonnette retentie. À peine entré, elle me rejoint, allume la lumière et introduit sa culotte sale de la veille dans ma bouche. Puis elle repart dans le salon. Son goût me rappel la douceur de ses lèvres. Je salive énormément pour la laver du mieux que je peux.

Je l’entends poser ses affaires et se mettre à l’aise dans la pièce d’à côté. Elle fait chauffer la bouilloire pour le thé et le prépare. Je l’entends se rassoir. Durand un long moment je l’attends patiemment qu’elle termite de boire sa tasse. Lorsqu’ elle me ramène mon thé, il est froid.

Après mon repas elle m’emmena à la douche. M’allonge sur le chariot douche et se met debout dans le chariot avec, un pied de chaque côté. Elle remonte doucement pour être au-dessus de ma tête. Elle commence à uriner, ça me coule partout sur la figure. Dans la bouche… Je tourne la tête pour éviter le jet mais elle s’amuse à m'arroser le milieu de mon visage.

Elle s'agenouille autour de mon visage pour me présenter son sexe. Elle recommence à m'uriner dessus en visant ma bouche.

-- "je veux que tu en avale !"
J'avale une gorgée, une deuxième avant de tourner la tête

--"encore un peu !" dit-elle en redressant le visage face à son intimité.

J'avale encore quelques gorgées et me détourne de dégoût.

--"c'est un début, demain tu en aura un peu plus. On va augmenter tous les jours. Ce sera notre rituel du matin jusqu'à temps que tu arrives à tout boire proprement. "

Elle finit le reste de son envie sur le visage et les cheveux et me donna ma douche, arrive à mon sexe elle prit un malin plaisir à me masturber et arrêter juste avant l'orgasme. Elle regarde avec un petit sourire sadique... puis fini son travail.

Elle fait à manger. Elle se sert une grosse assiette et mange. Lorsque les morceaux de viande son trop gras elle recrache toute sa bouché dans un coin de l'assiette. Aux trois quarts de son plat elle me regarde et dit qu'elle a plus faim. Elle but un verre d'eau et me donna à manger en prenant soins de commencer par ce qu'elle a recraché.

--" prouve-moi ta soumission petite bite"

Après un moment d'hésitation je lui obéis et mange tout ce qu'elle me donne.

Toute la semaine fut identique. Le matin elle m’entraine à boire son Champagne. Grosse frustration lors de ma toilette intime. Humiliation en tous genre la journée. Le soir elle m'exerce à l'art du cunnilingus et je m'endorme avec le jus de son plaisir qui sèche mon visage. Le vendredi lors de ma douche elle m'autorisa à jouir.

Son absence du week-end fut longue. Il me tardait de la revoir. J’aimais cet état de soumission mais encore plus de ma maitresse.

Le lundi suivant Notre rituel reprit. Nous allons faire les courses, elle prend un panier et me dit qu'elle va faire ses courses en même temps. On se dirige vers les sous-vêtements elle en met quelques un dans son panier. D'autres sur mes genoux. On va ensuite voir les smartphones et elle s'en choisit un. Tout le long des courses elle dépose mes articles sur moi et siennes dans le panier.

Arrivé à la caisse sa carte ne passe pas et elle me demande sèchement :

-"Paye les moi je te rembourse plus tard.
-Oui Madame" je répondit en baissant les yeux.

Sur le chemin du retour elle me demande le montant de mon allocation et ce que J'avais touché de l'assurance lors de mon accident. Je lui explique qu'avec cet argent J'ai pu m'acheter, en plus du miens, un deuxième appartement que je loue. Et qu'en tout je gagnais 1800€.

- Et comment tu payes l'agence d'auxiliaire de vie ?
- C'est pris en charge par l'état.
- du coup ne t'es pas pressé que je te rembourse" dit-elle en rigolant.
-"Non Madame, ça peut attendre"
-Un vrai soumis me les aurait offerts.
-Pardonné moi Madame. Je vous les offres avec plaisir.
- Je préfère ça petite bite. Pour t'apprendre les bonnes manières tu vas me les offrir toutes les semaines.
- Oui Madame, comme il vous plaira"

Un soir elle arrive accompagné d'un homme et m'explique que son ami l'a gentiment déposé pour qu'elle vienne s'occuper de moi. Par conséquent je devais le remercier. à ses mots l'homme baissa son pantalon et je vis pour la fois le un sexe d'un autre homme. Je comprends mieux pour Madame aime m'appeler petite bite.

- "Je suis hétéro... Je n'ai jamais sucé..." osais-je dire timidement tout bas
- Ferme-la et obéis ! "

L'homme mit un genou sur chacun des accoudoirs de mon fauteuil roulant et me présenta son chibre complètement au repos. Il me l'introduit dans la bouche. Je le caresse de la langue, joue avec. Je salive au maximum pour bien l'humidifier. Je le sens se gonfler de plus en plus jusqu'à me remplir la bouche. J'aspire son sexe en suivant le rythme de son bassin. Au bout de plusieurs minutes il se retire et m'éjacule sur le visage. Il se rhabille et dit à Madame qu'il peut la dépanner comme cela dès qu'elle le souhaite. Et il partit.

Madame attrape le martinet dans son sac et me dit :

- Tu m'a mis mal à l'aise devant mon ami. Tu vas recevoir 10 coups de fouet.
- D’accord Madame, je vous demande pardon.
Apres chaque coup je comptais à voix haute et la remercie pour son indulgence. Puis elle me passa une lingette pour me nettoyer le visage.


Le Lundi d'après dans la galerie marchande de Leclerc, une fois les courses finies. Elle se dirige vers les toilettes. Elle me fait signe d'entré dans celle destiné aux handicapés. À l'intérieur elle m'ordonne d'allonger le dossier de mon fauteuil roulant électrique. Elle dit qu'elle ne veut pas s'assoir sur une cuvette sale et j'ai été entraîné justement pour des moments comme celui-là. Elle me chevauche la tête et place son sexe devant ma bouche. Je sens son nectar couler dans ma bouche. Je fais très attention à tout boire sans en perdre une seule goutte. Lorsqu'elle a terminé je la lèche bien partout autour de ses lèvres pour la nettoyer.



Quelques semaines passèrent et petit à je suis tombé amoureux de Madame Koudia. J'ai osé lui avouer que je ne pouvais plus me passer d'elle...
Le lendemain matin elle revient avec une pile de document.

« - J'ai bien réfléchis à ce que tu m'as dit hier. je t'apprécie beaucoup également. Tu es bon soumis prometteur. Je ne gagne pas grand-chose en travaillant chez toi et j'ai un loyer hors de prix. Alors que toi tu ne fous rien de tes journées et tu gagnes plus du double. Tu a un grand appartement avec deux chambres. Je te propose donc de venir habiter chez toi. Tu clôture avec l'agence d'auxiliaires de vie et je m'occuperais de toi tous les jours. Je pense que tu es prête à passer à l'étape supérieur. On pourra vraiment s'amuser et aller plus loin...
J'ai préparé tous les papiers. C'est une décision importante, je te laisse 24h pour y réfléchir. Si tu es d'accord on fait les démarches demain, Sinon on en reste là. »

Sans hésiter j'accepte avec grand plaisir.

Le contrat qui me liais à l'agence d'auxiliaires de vie m'impose un mois de préavis pour le rompre. Avec Madame Koudia nous profitons de cette durée pour faire calmement toutes les démarches administrative. la cohabitation commencera officiellement à la fin du préavis.

la veille de son emménagement, en me levant Madame me dit qu'elle ne veux plus voir mon anus à chaque fois qu'elle s'occupe moi.

Dans la journée, elle nous conduisit dans un sex-shop. Elle se dirigea directement vers le vendeur, un homme d'age murs, bedonant, et lui demanda ;

- Bonjour, je cherche de quoi embélir le cul de soumis.

- Je vois, J'ai quelques produit qui pourrait le combler effetivement. Suivez moi.

Nous nous dirigeons vers le rayon concerné, ils nous montre quelques bijoux d'anus. Madame en choisi deux. Elle lui demande si il n'avait rien de plus gros avec un petit clin d’oeuil coquin.  Un peu plus loin dans l'allée, il désigne des plugs de différentes tailles.
Madame en choisis un de petite taille et un second plus gros.. Elle en caresse un enorme en me regardant dans les yeux et me dit que l'on verra plus tard pour celui-ci.

Le jour de son emménagement officiel. Après notre routine matinale elle m'insert le petit plug dans l'anus en me disant que j'aurais droit à une surprise ce soir. Elle m'installe au fauteuil habillé d'un porte-jarretelle avec des bas. Un petit string kangourou assortie à un soutien-gorge rembourrer. Après m'avoir maquillé, elle se félicite d'avoir fait de moi une jolie poupée. Ce sera mon rôle pour aujourd'hui. Ne pouvant pas les aider à déménager je serais juste décoratif. Elle m'ordonne de me mettre dans un coin du salon. De ne plus bouger et de me taire.

Quelques minutes après on sonne à la porte, un ami de Madame entrent. Elle l'accueille chaleureusement en l'embrassant. Lorsque sont regard se porta sur moi Maîtresse me présenta, en rigolant, comme un meuble qui allait avec l’appartement. Après avoir rigoler ils commencèrent à vider le camion que son ami a ramené. À chaque fois qu'ils remontent des cartons ils me lancent des regards en coins tout en souriant.

Le camion fut vidé en début soirée.
Madame Koudia et son ami s'installent dans le canapé et se servent l'apéro en attendant la livraison du repas. Madame m'autorisa à approcher d'eux. Elle nous servi un verre chacun. Madame raconta notre rencontre à son ami, notre relation... Sans rien dire j'écoutais. Je répondis aux questions mais Sans oublier ou est ma place. Elle me donna à boire en me disant que c'est un cocktail de sa création avec une surprise. Je reconnu très vite que, mélangé à l’alcole, son Champagne remplaçait le jus de fruit. Un peu après le livreur sonna. Elle me regarda en me disant :

- Va chercher ! C'est un bon chien. Reprit-elle lorsque je m'approcha de la porte.

J'ouvre la porte à l'aide de la domotique. Je ne sais pas lequel de nous deux et étaient le plus gêné. Je dis au livreur de poser le sac sur mes genoux et il sourit et bloqua quelques secondes en baissant la tête. Je fis de même et Je m'aperçus que mon sexe c'est tellement dressé qu'il remplissait la moitié de son écrin de tissu. Entre la honte d'être en érection devant lui et la honte qu'elle remplisse si peu de sa gaine, je n'osais pas relever la tête. Il posa le sac et je fis demi-tour en vitesse. Madame me prit le sac et en voyant mon état me dit :

- La petite pilule bleu que j'ai mise dans ton verre fait effet. En éclatant de rire.

Après le repas ou Madame me donna les restes, ils s'installent dans le canapé et commence à s'embrasser. Très vite leurs vêtements tombent. À voir le membre viril de son ami, une envie folle de le prendre en bouche m'envahie. Mais immobile dans mon fauteuil je ne pouvais que les regarder. Voire cet homme prendre la femme que j'aime me rendis jaloux et m'excita en même temps. Mes sentiments se bousculent…
Madame profite de notre proximité pour poser son pied sur mes genoux et appuyer sur mon sexe...
La pilule bleue a de plus en plus d'effets je ressens une "boule" dans le bas ventre. Je ne sais pas d'où ça vient exactement. De mon sexe ou de ma prostate ? Les deux peut-être... mais je n'ai qu'une envie, me toucher, me soulager. Mais pas moyen de faire le moindre mouvement. En désespoir de cause je me secoue les épaules pour faire bouger le plug sur ma prostate. à ce moment je senti une vague de chaleur et de plaisirs dans mon corps. Je commence alors à me trémousser pour prendre le peu de plaisir que je pouvais. Malgré cela je restais terriblement frustré. Et fatigué de dandiner autant.

Une fois leurs jouissances atteintes ils s'affalèrent sur le canapé.

- Le spectacle t'a plus ? Me demande Madame
- Oui beaucoup Madame mais c'est trop frustrant.
- Tu oses te plaindre après ce magnifique spectacle !
- Je vous demande pardon divine Maitresse.
- Et en plus je t'ai vu gigoter, pour bouger ton plug, il va vraiment falloir t'apprendre la frustration. Je vais reprendre ton éducation à la base. Vu que l'on doit s'occuper de toi comme d'un gamin. Je vais te punir comme un gamin. Tu vas aller te coucher. Tu ne finiras pas la soirée avec nous. Tu y réfléchiras avant de parler et de te trémousser la prochaine fois...

Elle se penche alors vers son ami et l'embrasse langoureusement en agitant son magnifique fessier sous mes yeux. Se relève et dit à son ami :

- Va prendre une douche bébé et fais comme chez toi. Je couche la poupée et te rejoins pour que l'on continue nos jeux.

Maitresse m’emmena dans ma chambre. Elle m’informe qu’elle va me porter car elle est trop pressé pour utiliser la lève personne Lors du transfert son odeur de transpiration me fit grimacer
Elle sourit, me regarde droit dans les yeux et me dit :
- tu vas apprendre à aimer mon odeur., sois patient.

Ses puissants bras me soulève et me pose délicatement dans mon lit. Elle me rejoint, me chevauche et s'allonge sur moi. Elle plaça mon visage. Son aisselle contre mon nez. Je fronçai le nez. Elle se décale Légèrement vers ma bouche.

- Lave moi, au moins tu serviras à quelques choses !

Timidement je m'exécute, je frotte mon visage dans le creux de son aisselle. Petit à petit je m'habitue à l'odeur. Sa pilosité naturelle me chatouille le nez.

- avec ta langue ! Et dépêche toi on m'attend.

Je lui obéis sans réfléchir, et lèche. Le goût salé ne me déplais pas. Je fus surpris d'apprécier ma punition. Je lape au maximum pour décoller le nectar. Je joue avec sa toison naturelle. Puis c'est au tour de la seconde. Une fois terminé elle se retire et dit :

- Ne t'inquiète pas, avec ma corpulence, il en reste ailleurs.

Elle leva un de sein et le posa sur mon visage. Effectivement, l'odeur était moindre, Mais ce délicieux dépôt salé était bien la...


- Bon, ça ira pour ce soir, vu comme tu bande et que c'est t'as première pilule bleue je vais être gentille même si tu ne le mérite pas.

Elle retira mon plug et introduisit deux doigts en moi et me caressa la prostate quelques secondes. Une vague de de soulagement me submergea. Si bref fut telle que j'en voulait plus. Un troisième doigts me pénétra et elle me dilata doucement l'annus. Lorsque je fus suffisamment ouvert elle m'introduit le second plug, d'une taille plus conséquente. Me rendit un plaisir trop succin à mon goût.

Bonne nuit ! Me dit-elle en sortant. Je laisse les portes ouvertes pour que tu puisses nous entendre.





Durant de longues heures je les entends prendre du plaisir puis rigoler et recommencer. Ils prennent un malin plaisir à crier pour m’exciter. Je fini par m'endormir tard dans la nuit le sexe dressé sous les draps, terriblement frustré

L'ami de Madame entra dans ma chambre.

- Koudia veux dormir elle me prête son nouveau jouet. À chaque fois qu'elle me donne une pilule bleue, je reste frustré la moitié de la nuit. Et sans la pilule je n'arrive pas à la satisfaire seul, elle est tellement insatiable.

Il monte sur lit et me pose son sexe encore mou sur le nez. Pas réveillé, je lèche doucement ce qui est à porter.

- suce-moi les couilles.

J'ouvris la bouche et tira la langue pour en attraper une du mieux que je pus et m'appliqua à lui faire plaisir. Au fil de ma succion je sens son sexe se développer sur mes yeux. Mon excitation me réveilla rapidement. La « boule » dans mon bas ventre réapparue. Était-elle vraiment partie ... ?
Il me présenta son sexe et sans me faire prier, j’attrape son gland et le lèche. Il m'enfonce doucement son sexe dans ma bouche. Je fais remonter ma salive sur ma langue pour bien la lubrifier. Après plusieurs minutes de va et vient il se retire de ma bouche. Un filet de bave reste accroché à sexe. Il me retourne et m'installe sur le ventre avec un coussin pour me relever les fesses. Il me masse légèrement le plug et un soupir de soulagement sort de ma bouche. Il monte sur lit puis pose un genou de chaque côté de mon basin.

- Mon pauvre, tu dois être au bout de ta vie, mais t'inquiète pas j'arrive te soulager.


Il me retire le plug et le remplace par deux doigts enduis de gel, puis un troisième. Il me travail doucement l’anus. Il me caresse la prostate du bout du doigt. Je n’en peux plus, je lui supplies :

- Prend moi ! J’en ai tellement envie, j’ai le cul en feu…

Je me surprends à parler comme ça. Ce langage ce n'est pas moi. Je suis plutôt timide et réservé d'habitude. Ce soir non, la pilule aidant, je me sens comme une chienne qui ne demande qu’à être prise.

Son sexe me pénètre enfin, il s'alonge sur mon dos, enroule ses bras autour de mes épaules et commence à onduler le bassin. Ses va et vient s'accélère doucement. Mon sexe, écrasé contre le cousin, frotte le tissu au rythme de ses mouvements... je sens le plaisir monté, très vite je cambre de bonheur, j'en veux d'autre ! Je lui cris :

- "Défonce moi !!!... C'est tellement bon !! ... je suis qu'une chienne !!! ... oh OUI !!! Labour moi !!!

Durand quelques longues minutes, J'étais dans un état second, un état de plaisir intense. Les dernières fois que j'ai ressenti l'orgasme lorsque je me masturbais dans ma chambre d'adolesent. Il était tellement bref, c'était comme un gros éternument d'à peine quelque seconde. Mais ce coup si, J'ai jouis durant plusieurs minutes. Je me sens éjaculer par l'anus.

Il continue à me pilonner avant de  gicler en moi.
Il me met sur le côté en position latérale de sécurité. Il se glisse derrière moi, m'enlace. On reste un moment l'un contre l'autres à reprendre notre souffle. Et s'endort dans mon dos,


les commentaires motive pour écrire la suite.
à bientôt

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