Fantasme d'un soumi handicapé.

- Par l'auteur HDS Sauros -
Récit érotique écrit par Sauros [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasme d'un soumi handicapé. Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fantasme d'un soumi handicapé.
Depuis bientôt 10 ans je suis paralysé des 4 membres suite à un accident de la route. Seuls mon cou et ma tête ont encore de la mobilités. Pour la moindre de mes envie ou besoin je dois demander de l’aide, ne serais-ce que pour boire, manger et même me gratter l’oreille… Je vie seul dans mon petit appartement en périphérie de bordeaux. Je ne travaille pas, je suis très casanier, je passe beaucoup sur mon ordinateur. Mes journées sont rythmé par le passage de mes auxiliaires de vie. Elles arrivent le matin à 9h pour me donner une douche, me faire manger, s’ occupé de l’appartement et touts les autre acte de la vie quotidienne. Elles repartent généralement vers 13h après le déjeuner pour revenir de 19 à 22h pour le dîner et me coucher. Grâce à la domotique et l'aide de mes auxiliaires je suis complètement autonome, pour faire mes courses, choisir mes repas et diverses sorties.


Nous sommes le vendredi 10 septembre 2019 vers 9h15. Comme touts les jours je suis réveillé depuis peut de temps lorsqu’elle sonne pour la première fois chez moi. Mon auxiliaire habituel à dus démissionner pour des raisons personnel. Je lui ouvre la porte à l’aide de la domotique, je lui laisse quelques instants pour entrée et poser ses affaires puis je lui demande de me rejoindre dans ma chambre.
Je suis allongé sur le dos, une des rare position qui me sois confortable. Entièrement nue sous mes draps pour éviter les escarres Une fois la lumière allumée je découvre une grande femme d’origine africaine, forte, d’une dizaine d’année de plus que moi, avec un jolie visage. Elle est habillé en jean avec avec des bottes qui lui remonte jusqu’au genoux, un pull en haut qui laissais deviner de jolies rondeudeures. Un léger décolleté surplombait une opulente poitrine.

- « Bonjour je suis Koudia, votre auxiliaire pour la journée, vous avez besoin de quelque chose ?
- Enchanté Koudia, moi c’est Mathieu. On va ce tutoyer ce sera plus simple.
- D’accord, j’ai l’habitude de travaillé avec des personnes âgées ou le vouvoiement est conseillé.
- Je veux bien un thé s’il te plais. tu trouvera tout dans la cuisine dans le placard au-dessus de l’évier. Tu peut te faire un café ou un thé si tu veux. »
Elle revient après quelques minutes avec deux tasses. je lui explique comment remonté le dossier de mon lit médicalisé, puis nous faisons connaissance en buvant tranquillement ce petit-déjeuner. Elle m’apprend qu’elle est congolaise, elle vie en France depuis quelques années. Cela fait six mois qu’elle travaille avec cette agence, et deux ans comme auxiliaire de vie. Elle connaît de ce faite les gestes pour me manipuler…
un peut avant 10h je lui demande de me doucher, pour cela elle doit me mettre sur le coté et glisser un filet dans mon dos. Une fois de retour à position initiale, elle accroche au lève-personne les quatre sangle du filet prévus à cet effet. À l’aide de la télécommande elle actionne la machine pour me lever doucement du lit. Elle n’a plus qu’à déplacer jusque dans la salle de bain et me déposer sur le chariot douche. (un brancard avec une housse en plastique qui remonte sur les barrières de chaque coté. Légèrement incliné et avec une évacuation d’eau aux pieds). Durant le trajet j’en profite pour admirer ses jolie courbes.
Après m’avoir installé et fait chauffé l’eau, elle m’arrose les pieds en me demandant si la température me convient. Je lui répond que je n’ai plus de sensibilité dans le corps, qu’il faut qu’elle remonte jusqu’aux épaules pour que je puisse sentir. Une fois l’eau réglé elle me lave entièrement en commençant par les cheveux, le visage puis en descendant progressivement. Lorsqu’elle arrive à ma toilette intime je tourne la tête vers le mur, par pudeur, gène ou timidité je ne sais pas trop, et je la laisse faire son travail. Nos regards se croisent timidement.
Elle me sèche, après que je lui ai dis quel vêtements je voulais mettre, elle m’habille et m’installe sur mon fauteuil roulant électrique. Pour finir elle m’a lavé les dents, coiffé et attaché les cheveux, j’ai les cheveux long depuis mon accident. Je me met ensuite sur mon ordinateur pour lire mes mail le temps qu’elle range l’appartement. Je ne peux m’empêcher de jeter de petits coups d’œil discrètement pour regarder ses formes. Elle m'a demandé ce que je voulais manger. Puis on a discuter de tout et de rien pendant que Koudia m’a préparé mon déjeuner et me l’a donné. avant de partir elle me dit qu’elle a aimé travailler ici, ça lui change des personnes âgés et qu’elle espère revenir.

Dans l’après-midi l’agence qui gère mes auxiliaires de vie m’appelle pour savoir comment cela c’est passé ce matin avec la remplaçante. Je le répond que tout c’est bien déroulé, qu’elle connaît son travail et est très professionnelle. Du coup l’agence la met sur mon planning un week-end sur deux. Elle commencera dès demain.

Le lendemain ce passa calmement, nous somme tout les deux timide et réservé, nous ne discutons pas beaucoup. Je regarde discrètement ses jolies formes, mais à un moment ou je m’y attendais pas elle c’est retourner alors que j’avais les yeux rivés sur son fessier. Je me suis senti gêné, honteux, je commençais même à rougir. Elle l’a vu et compris pourquoi. Elle a juste souri et on est passé à autre chose.
Le dimanche matin, Koudia m’installa à la douche. Elle lave le visage, puis le torse, une fois arrivé à la toilette intime, je tourne la tête comme d’habitude. Après une ou longues minutes elle me frottait toujours le sexe, intrigué je la regarde faire et je voie qu’une érection à débuter, je regarde ensuite son visage. Elle fixait le mur, plonger dans ses pensés le regard vide…
- « Je dois être suffisamment propre » lui dis-je pour la sortir de ses songe.
- « Désolé j’ai mal dormi cette nuit, j’ai du mal à me concentrer aujourd’hui » en voyant l’état de ma verge elle ajouta : « Je croyais que tu ne sentait rien ?
- C’est vrai je ne sens rien mais ça fonctionne toujours… - D’accord… Elle posa son doigt à la base de mon cou et me demande : - « tu le sens là ?
- Oui » elle descend son doigt d’un centimètre environ.
- « Et là ?
- Oui toujours »Elle continu comme jusqu’à être deux ou trois centimètres au-dessus du téton.
- « Et là ?
- Non je ne le sens plus.
- Ça doit faire bizarre - Le plus étrange c’est sur les bras, je vais sentir uniquement le contacte, mais pas la chaleur, la texture ni la douleur...
- Effectivement c’est étrange. Sinon tu as une copine ?
- Non je suis un célibataire endurcie, et toi ?
- Non je suis seule, je fais peur aux hommes apparemment . Tu est puceaux ?
Je commence à être gêné, à rougir, j’ai une éducation catholique ou le sexe était tabou.
- Non plus je suis célibataire depuis un peut plus de huit ans et on s’amusait bien. Comment ça tu fais peur aux hommes ? Moi je te trouve jolie.
- Ça j’ai bien vu ! Je suis trop exigeante. Et l’orgasme tu le ressens ?
- Non Malheureusement …  - Ça doit être dure… Tu ne dois plus être intéressé par le sexe alors...  - Si toujours, le psychologique joue beaucoup, je prend du plaisir autrement et j’aime donné du plaisir. » Je rougi de plus en plus, Elle le voie et souri.
- « Comment prends tu du plaisir ?
- Je suis très sensible au niveau du visage, du cou...
- J’arrête avec mes questions, je voie que tu est mal à l’aise. »
Elle a terminé ma toilette et mon installation au fauteuil en discutant de sujets des plus banale. Elle est revenue le soir pour mon repas et je ne l’ai pas revue durant quinze jours. Pendant son absence j’ai beaucoup pensé à elle. Je me posais plein de questions : est-ce que je lui plais ? J’ai une chance de la séduire ? Comment je dois m’y prendre ? La différence d’âge sera t-elle un problème ? Elle ne veux peut-être pas mélanger personnel et professionnelle… Et je sais très bien comment je vais réagir face à elle, je serais incapable de faire le premier pas, de lui faire comprendre mes envies. Je suis tellement réservé, à chaque fois ce son mes ex qui m’ont abordés.

Le week-end arriva enfin, elle sonna à 9h. J’étais déjà réveillé, je l’attendais. Koudia entre dans ma chambre avec un grand sourire. Elle est vêtue d’un chemisier noir avec un décolleté plongeant et une jupe qui lui arrive aux genoux. Après les politesses d’usage, elle me sert mon thé et pose un paquet de biscuits à coté ma tasse avant de s’asseoir à coté du lit.

- « Je t’ai apporté des gâteaux, il faut que tu mange un peut plus.
- C’est gentil, mais je n’ai vraiment pas faim le matin désole … - Ce n’est pas mon problème, regarde comme tu es maigre, on voie tes cotes, je vais te remplumer moi ! » dit-elle avec un grand sourire tout en me mettant un gâteau dans la bouche pour m’empêcher de répondre. Je ne supporte pas qu’on me dise quoi faire d’habitude, mais la, je ne sais pas pourquoi, j’ai pris sur moi et j’ai manger. Peut-être juste pour lui faire plaisir. Lorsqu’elle me donne à mangé j’ai les yeux juste en face de son décolleté. Je rêve d’y plonger la tête et d’embrasser se jolie poitrine. Après mon petit-déjeuner c’est l’heure de la douche. Elle commence part m’enlever le drap et les couvertures pour mettre le filet du lève-personne. En voyant mon érection elle souri et me dit : - « Je vois que ma tenue est efficace.
- Désolé je contrôle rien… » Je suis rouge de honte
Elle c’est mise a rigoler et m’a emmené à la douche, elle m’a lavé pendant que l’on discutais de tout et de rien. Au moment de ma toilette intime, comme à mon habitude, je détourne le regard. Du coin de l’’œil, je l’ai vu frotter tendrement ma verge et mes bourse jusqu’à ce qu’une seconde érection ce produise. Ce qui arriva relativement vite, trop timide pour réagir je la laisse faire sans dire, en espérant qu’elle aille plus loin. Malheureusement elle c’est arrêté la, puis elle m’a rincé et elle a pris le temps de finir de me préparer. Elle m’a demandé ce que je voulais manger, me l’a préparé puis donné avant de tout laver et de partir pour l’après-midi.
Le lendemain fut à peut près pareil. Elle me force à manger, et s’amuse à me faire bander durant la douche. Les quinze jours suivant sont long, le temps ne passe pas...

Le samedi arriva enfin, Koudia est habillé d’une robe qui met en valeur en ses formes. Elle me sert mon petit-déjeuner, et déjà le drap commence à bouger au niveau de mon entre jambe. Elle a attrapé ma verge à travers le drap et a fait quelques va et viens en me disant :
- « Je voie que tu est content de me voire ! » Elle relâche mon sexe et commence à me donner à manger.
Je suis rouge de honte mais je prend mon courage à deux mains pour lui répondre : - « ça me frustre que tu me touche comme ça et que tu t’arrête la, j’ai les hormones qui me travaillent … - C’est le but, j’aime excité les hommes, juste pour m’amuser.
- C’est dure, j’aimerais aller plus loin...
- Peut-être un jour, si tu est sage.
- C’est vrai ? Tu es dure en affaires !
- Oui ! J’aime avoir le contrôle. Que les hommes soit à mes pieds… si tu fais ce que je te dis tu serra peut-être récompensé… - D’accord je ferrais ce tu veux.
- Commence par me vouvoyer .
- D’accord si vous le souhaitez.  - Mange et tais toi maintenant. » Régulièrement durant le repas elle me caresse pour que mon érection ne redescende pas. Elle m’a ensuite emmené à la douche, en veillant à ce que je ne débande pas et ce tout le long de ma toilette. Une fois séché je lui demande : - « Tu… euh non Vous pourriez me mettre mon jean bleu avec ma chemise qui va avec ?
- Tu apprend vite. Je te propose quelque chose : Sois tu me fais confiance, tu me laisse faire et je vais te faire découvrir des plaisirs que tu n’aurais jamais imaginé... Sois on oublie cette matinée et on reprend une relation professionnelle.
- D’accord je vous fais confiance » Je lui ai répondu après un moment d’hésitation. Je ne savais pas à quoi m’attendre, mais depuis le temps que je n’ai pas eu de contacte physique j’étais prêt à tout.
- «  à partir de maintenant c’est moi qui contrôle tout, tu n’as plus ton mot à dire.
- D’accord.
- D’accord qui ? » Suivis d’une d’une petite gifle.
- « D’accord Madame Koudia - C’est mieux. » Elle à ensuite choisie mes vêtements et m’a habillé. Après m’avoir coiffé elle m’a fait une tresse. Elle sais que je n’aime pas ça, mais j’ai rien dis. Pour mon repas, je n’ai pas eu mon mot à dire, j’ai acquiescé. Le dimanche c’est passé de la même façon, Elle a tout décidé à ma place et je me suis fait giflé à chaque erreur ou début de rébellion. Pour la première fois j’ai aimé perdre le contrôle.

Dans les jours qui suivent, l’agence d’auxiliaires m’appelle pour me dire qu’il y a un changement dans planning. La personne qui travaille la semaine est en vacances, et comme Koudia a demandé à venir plus souvent chez moi, elle travaillera du lundi au vendredi durant au moins trois semaines. C’est avec le sourire aux lèvres que je raccroche.
Les quelques jours qui ont suivit m’ont parues interminable. J’étais à la fois impatient, inquiet et excité. Le dimanche soir je n’ai pas réussi à m’endormir avant 5h du matin. Lorsque J’entendis la sonnette retentir, je me suis réveillé en sursaut. L’excitation ma fais oublier la fatigue. Elle est entrée, habillé d’un jean et des cuissardes pour le bas, et un pull en haut. Elle m’a apporté mon petit-déjeuner, Je lui ai dis que l’on devra aller faire des course cette après-midi, comme touts les lundis, et qu’il faudrait me faire une liste pour ne rien oublier... Avec un grand sourire elle me répond qu’elle va s’ occupé de ça. À la fin de mon repas, Elle retira les draps qui me recouvrent, je suis entièrement nue. Elle enlève son pull pour me montrer un chemisier blanc à moitié transparent laissant deviner un soutien-gorge noir. Elle s’éloigna ensuite pour attrapé un papier et un crayon pour commencer la liste. Elle prend son temps pour faire l’inventaire de mes placards, et passer devant moi. Je commence à avoir froid et malgré cela je voie ma verge se redresser doucement. Une fois terminé elle m’emmène à douche, comme d’habitude elle m’excite pour que mon érection dure toute ma toilette. Elle m’habille, m’installe au fauteuil et me donne à mangé avant qu’on parte faire des courses.

Arrivé au magasin elle prend un panier et je la suis dans les rayons. Elle commence par se diriger vers les sous-vêtements féminin. Elle choisit un ensemble rouge, très aguichant, à sa taille et me caresse la joue avec en me demandant si j’aime cette texture. Je suis très mal à l’aise, je commence même à rougir. Je lui répond en bégayant que je trouve cela très agréable. Elle le pose sur mes genoux et en attrape un autre noir, tout aussi aguichant avec un tanga pour le bas. Elle le pose également sur la joue : - « Et celui-là ? Tu l’aime ?
- Oui beaucoup. »  Elle pose le deuxième sur mes genoux puis on ce dirige vers les cosmétiques féminin. Elle me choisit un gel douche qui sent bon la femelle comme elle aime dire. Elle prend également un rasoir et de la mousse, Je la suis ensuite récupérer e de la nourriture pour la semaine, lorsqu’elle attrape un avocat le lui dis que je n’aime pas ça. Elle m’a regardé avec un sourire en me disant qu’elle s’en fou. Je baisse les yeux et ne dis rien. Elle termine mes courses, je la suis, on se dirige vers les caisses. Elle vide le panier sur le tapis roulant. Timidement je lui dis .
- « Il reste la lingerie sur mes genoux.
- Ah oui tes sous-vêtements » cris t-elle pour me mettre mal à l’aise et elle à réussit.
Elle attrape ma carte bleu, paye puis on rentre chez moi. Le soir venue elle revient pour mon dîné. Elle me prépare l’avocat juste pour m’embêter. Elle pose l’assiette sur la table et me dit qu’elle a cadeau pour moi. Elle se dirige vers son sac, cherche un peut et y ressort un martinet qui a pour manche un gode d’un jolie diamètre. Elle me fouetta une fois sur chaque joues : - « Ça c’est pour avoir donné ton avis dans le magasin, Salope. Maintenant tu a intérêts à finir ton repas. » Je m’exécute, et je mange ce qu’elle me donne. Lentement, difficilement mais j’y arrive. Puis je mange le poisson et les légumes qu’elle m’a préparé. Elle fait la vaisselle, range et m’abandonne pour la nuit.

Le lendemain matin, après avoir préparé mon petit-déjeuner, elle le pose sur la table devant moi. Elle sort de sa poche une culotte qu’elle me pose sur le visage.
- « Tu aime mon odeur ? C’est celle que j’avais hier, j’ai bien mouillé dedans en me disant que tu allais me la nettoyer ce matin. Lèche la, tu va bosser un peut toi aussi. » En me disant cela elle s’applique à présenter à ma bouche la parti qui à caressé son intimité toute la journée de la veille. Une forte odeur a envahit mes narines. Je suis à la limite du haut de cœur mais je me retiens et je lèche le tissu du mieux que je peut. J’ai trop peur de me faire fouetter. Je l’humidifie avec ma salive et je continue à laver ce sous-vêtements. Après de longues minutes elle retire sa culotte de mon visage et me donne enfin à mangé.
Elle m’emmène ensuite à la douche et sort un rasoir pour me raser la barbe. Elle me dit qu’on ferra ça tous les matins, car elle souhaite que j’ai une peau de bébé. Ça va me changer moi qui ai l’habitude de faire ça à la tondeuse et moins d’une fois par mois. Puis elle descend sur le torse, je me retiens de justesse de protester, elle le voie.
- « Petit à petit je vais faire de toi une femelle, tu vas voire, tu vas aimer.
- Ça va loin la quand même, je ne m’attendais pas à ça… - à voire l’état de ton sexe depuis ce matin tu ne m’a pas l’aire mécontent. Je n’ai pas eu besoin de le toucher pour qu’il me fasse honneur.
- Oui mais. … - Tais toi, de toute façon tu n’a pas le chois. Sinon on arrête tout et je demande à bosser ailleurs.
- Bon d’accord vous pouvez continuer.
- Je préfère ça. » Une fois mon rasage intégrale terminé elle me donne ma douche. Avant de m’habiller elle me dit que je sens la femme, je suis imberbe comme elles, je devrais donc avoir les même vêtements. Elle va ensuite chercher les sous-vêtements noirs acheté la veille. Je n’avais pas fait attention mais ils sont à ma taille contrairement aux rouges qui sont à la sienne… Elle me met un jean et une chemise par dessus. En me disant qu’on va aller doucement. Après mon repas elle laisse à mon sort pour l’après-midi.

À son retour, le début de soirée ce passa calmement. Elle m’a donnée à mangé puis elle m’a mit au lit. Une fois installé et déshabillé, elle jette ma chemise sur mon visage, éteint la lumière puis sort de la chambre et ferme la porte. Je reste comme ça un long moment. Dans le noir, entièrement nu, le froid commence à me saisir. Je me demande si elle est encore la ou si elle est parti… Les yeux fermés, je m’endors doucement lorsque j’entends la la chasse d’eau ce déclencher. Elle me rejoint ensuite dans la chambre. Je sens le matelas bougé, elle monte sur le lit. La chemise remonte doucement, me découvrant bas du visage.
Je sens qu'elle me caresse la joue, elle passe sur mes lèvres. Lorsqu'elle force et entre dans ma bouche je comprend que c'est son pied. Elle me demande de le sucer. Malgré le dégoût je m'exécute et la laisse introduire son orteil que je caresse avec la langue. Un peu après elle se retire. Je sens qu'elle pose un genoux de chaque coté de mon visage. Ses fesses sur mon torse, sa délicate odeur intime m'enivre. Je ne peut pas me retenir de caresser doucement sa puissante cuisse avec ma joue. À son ordre j'avance la tête et je commence à lécher son sexe. Je découvre une pilosité naturelle très humide, au goût salé. Je recule lorsque je comprend.qu'elle ne s'est pas essuyé en sortant des toilettes.

◦ « lave moi je t'ai dis ! M'ordonne t'elle en me collant le visage contre son sexe. »
Je m’exécute et lèche du mieux que je peux, d’abord sur sa toison, je nettoie chaque goutte. Je lui caresse les lèvres du bout de la langue, de chaque coté. Je fais le tour de son clitoris. Puis je m’introduis, doucement, aussi loin que je peux pour laver l’intérieur. Une fois propre je continue à lécher pendant de longues minutes. Je suce son clito. Jusqu’au moment ou je sens son plaisir gicler dans ma bouche et sur mes joues. J’en avale une partie et je joue avec le reste. Je l’étale sur son sexe pour bien le lubrifier. Elle se frotte contre mon visage. Je sens sa jouissance couler sur ma figure. J’en ai partout. Elle se replace sur ma bouche et je reprend mes caresses. Lorsqu’elle fut satisfaite elle se relève et descend du lit. Je l’entend se nettoyer et se rhabiller. En me recouvrant du drap et des couvertures elle me dit :
- « Je laisse avec mon nectar sur le visage pour que tu pense à moi toute la nuit. »
Elle ferma la porte et sorti de l’appartement. Toute la nuit l’odeur me rappela ce délicieux moment. J’ai hâte d’être à demain matin pour la revoir.

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