Fantasme de petite bite

- Par l'auteur HDS Pbpc -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasme de petite bite Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fantasme de petite bite
1.



Je marche, les yeux dans le vide, l'air de ne pas sentir sur mes cheveux la fine pluie qui, tombant en gouttelettes, joue avec la lumière des lampadaires. Mon esprit papillonne trop vite d'une idée à l'autre, mesurant brusquement la réalité de ma situation. Fantasmer, même des années, sur un sujet précis n'engage à rien. Mais depuis quelques temps, mon fantasme est trop puissant, et j'ai fini par décider que je devais m'atteler à la réalisation de cette obsession qui déclenche en moi les orgasmes les plus violents. J'ai alors passé des annonces sur internet. Rien de bien intéressant au début. Des réponses de femmes vénales qui se surestiment autant que leurs tarifs ! Pas du tout ce que je cherche. J'ai besoin de trouver une femme qui en plus de comprendre mon fantasme, s'en amuse réellement et en joue avec moi. Et puis, un soir, vint le mail de Louison. Elle avait été intriguée et m'écrivait qu'elle serait curieuse d'en savoir un peu plus sur moi. Je n'osais tout d'abord répondre car si j'étais excité, j'avais aussi honte d'avance de m'imaginer livrer à une femme mon plus intime fantasme. Voici le contenu de mon annonce afin de bien comprendre ma situation....

Annonce paru sur le net en mars 2008 :

"Bel homme, 35 ans, courtois, petits pénis et testicules, aimerait se soumettre à une femme pour domination et humiliation soft de mes petits organes...Fantasme très cérébral, pas de SM classique"

En peu de temps Louison savait tout de moi et riait de bon cœur devant les photos de plus en plus ridicules qu'elle m'obligeait à prendre de ce qu'elle appelait :" Mon zizi pas grandi". Ces mails commençait toujours par :"Ma petite bite", ce qui suffisait à faire passer mon sexe de 3cm à 12cm en cinq secondes ! Et puis, après s'être à la foi moquée de moi et m'avoir même obligé à diffuser des photos de mon anatomie miniature sur le net (quelle honte...), nous avons vraiment sympathisé et je n'ai pu m'abstenir de lui proposer une rencontre réelle.
Elle avait accepté.
Et me voici aujourd'hui, à quelques pas de l'appartement d'une femme qui sait tout de mon secret. Il est encore temps de reculer me dis-je. Mais même si je sens mon mini trois pièces se ratatiné encore plus sous l'effet du stress conjugué au froid humide, ce qui devrait arracher des fous rires à Louison, cette sensation d'humiliation par est une femme est aussi ce qui m'excite au plus haut point.
Je dois y aller!
Je sonne à l'interphone. Une voix suave me répond.

-Oui?

-C'est pbpc, Louison...

-Entre je t'en prie.

La porte s'ouvre, découvrant une belle femme d'une quarantaine d'années élégamment vêtue d'un tailleur qui souligne ses formes athlétiques. Elle m'offre un large sourire.

-Te voici enfin...petite bite...

Je me sens rougir et elle me gratifie d'un clin d'œil malicieux tout en s'effaçant pour me laisser entrer.

- Installe-toi sur le canapé, je vais nous chercher à boire.

-J'ai ramené du champagne, si vous aimez?

-Avec plaisir. En voilà un petit zizi bien élevé!

Je sais qu'elle sait mais c’est la première fois qu'une femme m'appelle comme ça, et je ne sais quoi répondre. Dire que je me suis masturbé des centaines de fois en imaginant cette scène et que, le moment venu, je me retrouve figé et incapable de me désinhiber. J'engloutis ma coupe de champagne au risque de paraître impoli, et m'en sers une autre illico. L'alcool est un bon remède à la timidité. Mais Louison l'a sans doute prévu et ne tarde pas à rentrer dans le vif du sujet, me coupant toute retraite éventuelle!

-T'es tu préparé comme je te l'ai demandé petite bite?

-Oui Louison.

-Tu as donc un caleçon très moulant sous ton jean's. Et en -dessous se trouve bien la plus petite bite et les deux plus ridicules couilles que j'ai jamais vu, intégralement rasé bien entendu ?

Je rougis encore et ne parviens qu'à articuler un oui étouffé comme réponse.

-Je ne peux te croire sur parole reprend t-elle, tu vas enlever ton pantalon que je vérifie.

Je m'exécute et me réinstalle, jambes serrées, sur le sofa. Louison m'observe malicieusement en sirotant son verre.

-Approche ton fauteuil en face du mien veux tu?

Je me lève et déplace mon siège face à elle.

-Et maintenant remonte tes jambes sur toi.

Elle allume une cigarette et, après avoir inhalé une bouffée, s'avance et pose son menton sur mes genoux. Me regardant droit dans les yeux elle parle enfin.

-Et à présent, écarte grand les jambes.

Le moment est venu. Je suis surexcité mais je sens que je ne bande pas. Lentement j'entrouvre mes cuisses. Le caleçon de nylon blanc trop serré ne laisse plané aucun doute sur la taille de ce qui se trouve exposé au regard inquisiteur de Louison. Je hasarde un oeil et ne peux que constater l'ampleur du désastre. Imaginez une mini knacki et deux olives dans un maillot de bain moulant...
Un sourire s'élargit sur son visage.

-Incroyable. On dirait le slip d'un gamin de dix ans!

Louison éclate de rire. Elle s'esclaffe à n'en plus finir sans quitter mon entrejambe recroquevillé de honte du regard.

-Mets une main, une seule devrait suffire, dans ton caleçon et cache moi tout ça!

Je glisse ma main et m'empare de mes petites choses honteuses. Une décharge électrique parcours mon corps quand elle me dit :

- Lève-toi.

Je sais ce qu'elle va faire.
Je me tiens debout devant elle. Elle m'ôte alors le peu qui me cachait encore. Je suis nu devant cette femme, mais une main plus que suffisante tant je stress me sépare encore de l'humiliation suprême..

-Assied toi allons, me propose t-elle.

Je sens mon sexe battre d'excitation mais je le serre tellement fort qu'il ne peut grandir. Je veux que Louison me découvre au plus ridicule de mes possibilités. Cela fait partie de mon fantasme. J’attends le prochain ordre mais elle reprend notre conversation au sujet de notre belle région qu'est la côte d'azur, me laissant ainsi en position délicate comme si tout était normal. Après avoir terminé la bouteille ensemble et fumé une nouvelle cigarette elle me fixe à nouveau.

-Je crois que c’est l'heure mon petit zizi. Relève bien haut tes jambes. Tiens-les avec ton bras. Oh, en voilà un joli petit cul! Mais je crois qu'il y a plus intéressant sous cette main... Allez montre moi ce que tu caches!

Je crains que tout l'immeuble n’ai entendu le fou rire de Louison...



-Fantastique s'exclame Louison. En photo c’était déjà à mourir de rire mais là !



Elle avance la main et saisit mon petit gland qui, lorsqu'il est au repos, offre à peine la place de poser le pouce et l'index...Et puis elle essaie de me décalotter. Mais je suis si minuscule qu'elle finit par faire disparaitre mon micro pénis sous mon pubis, lui laissant un bout de prépuce fripé entre les doigts. Ce qui déclenche un nouveau fou rire. Elle s'amuse, tire sur la peau, m'écrase dans sa main tout en riant.



-Quelle petite bite molle en plus!



L'excitation me submerge et ma queue miniature s'érige jusque ses 12cm maxi.



-Tu peux bander, cela reste aussi ridicule!


Louison s'intéresse aussi à mes couilles. Elle les torture entre deux doigts l'une après l'autre, incrédule devant leur taille exceptionnellement petite.



-Ton pseudo de "pbpc" te va à ravir! Petite bite et petite couilles! Mais quelle honte! Il me semble que tu me faisais part dans un mail que tu pouvais faire totalement rentrer tes petites boules sous ton pubis. Montre-moi espèce de petite lopette sans rien dans le slip!



D'une main j'appuie doucement sur mes cacahouètes qui ne se font pas prier pour disparaitre. Me voici écartelé, sans pilosité, mon pénis écrasé dans la main de Louison peinant à atteindre 10cm et de surcroit avec un bout de peau vide en lieu et place du symbole de la virilité masculine!



-J'ai mal au ventre tellement je ris dis Louison. Me voici en train de tripoter ma première petite bite sans couilles!



Je gémis sous ses caresses et ses sarcasmes. Je suis excité comme jamais et je crois qu'en cet instant elle pourrait exiger ce qu'elle veut de moi! Elle pince très fort ma peau sans couilles tout en branlant à deux doigts mon asticot. C'est délicieux. Mon fantasme se réalise enfin!



-Louison...je vais jouir...



-Alors fini toi. Montre-moi comment tu fais jouir ce lamentable service trois pièces !



J'obéis et très vite ma semence jaillit, m'arrachant des cris de plaisir.



Louison me laisse reprendre mon souffle puis m'invite à profiter de sa douche.



-Je t’attends "rien dans le slip", car je n'en ai pas fini avec toi. Loin de là! Allez va laver ta misérable queue sans couilles!



Lorsque je reviens Louison fume tranquillement dans un fauteuil. Une bouteille de bourbon est posée sur la table. A côté un gode, des menottes et des pinces à linge...



A suivre...

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