Une petite bite à l'hopital...

- Par l'auteur HDS Pbpc -
Récit érotique écrit par Pbpc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une petite bite à l'hopital... Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une petite bite à l'hopital...
Vers vingt huit ans j’ai dû me faire opérer d’une pathologie assez banale, mais nécessitant une anesthésie générale.

Je me rends donc le matin même de l’opération à l’hôpital, où l’on me conduit dans une chambre. Peu après, une infirmière entre et me demande de me déshabillé, puis d’enfiler un vêtement se trouvant sur le lit. J’acquiesce et, attendant qu’elle soit sortie, je m’exécute.

Je gardais toutefois mon caleçon, réflexe de petite bite !

L’angoisse me vînt soudain. J’étais sûr que j’allais devoir me mettre entièrement nu sous ce trop petit bout de tissu hospitalier. Pour ceux qui n’ont jamais eu à subir d’actes médicaux importants, cela consiste en une sorte de tablier vous descendant jusqu’aux genoux, mais totalement ouvert côté verso, laissant nu vôtre fessier à peine strié de deux ficelles pour tenir la demi robe en place. Un geste brusque et votre anatomie est révélée dans son intégralité!

L’infirmière revient. Me voyant de dos, elle me précise que je dois tout enlever pour ne pas apporter de microbe en salle de chirurgie.

J’ai dû rougir…

Et là pas question d’attendre qu’elle parte. Elle m’attend avec le chariot pour m’emmener au bloc. Je me tourne donc face à elle pour me réfugier derrière ma tunique cache-misère mais, si elle ne voit rien,

(En tout cas pour le moment…),

Je ne peux m’empêcher d’apercevoir par le col élargi mon minuscule pénis recroquevillé par la gêne qui m’envahit. Et pour clôturer le tableau je sens la peau de mes petits testicules durcir et faire remonter presque entièrement ces dernières sous le pubis.

En clair deux centimètres de petit gland sous lequel ne pend plus rien du tout….

Là, elle m’ordonne de m’allonger afin qu’elle puisse me raser le pubis…

Imaginer l’angoisse de celui qui voit une infirmière muni d’un rasoir, alors qu’il sait, il sent, que ses organes génitaux sont aux plus petits de leurs tailles, essayant de rentrer pour se dissimuler au regard moqueur et goguenard de cette femme inconnue ! Je m'installe docilement sur le lit, la mort dans l'âme. L'heure de ma pire humiliation a sonné!

Subitement elle lève le drap et le morceau de toile qui couvre mon intimité sous dimensionnée, et pose fixement son regard sur le ridicule bout de peau qui se trouve en mes jambes. Le peu qui reste fini de disparaître entre les poils et je me retrouve, nu comme un ver, avec une femme qui entreprend d’attraper, comme si elle maniait une pince à épilé, mon sexe de nouveau-né entre le pouce et l’index pour raser autour.

Mais quelle honte, quelle gêne sans nom que de sentir ainsi soumis aux yeux d’une femme qui doit retenir de toutes ces forces un fou rire, imaginant déjà ce qu’elle va raconter à tout son service !

Je m’empêche de regarder même si j’en meurs d’envie. J’ai peur de rougir encore plus, mais aussi d’avoir une érection…

Comble du ridicule, une collègue de celle qui tient entre deux doigts mon micro-pénis, entre sans frapper dans la chambre. De prime abord elle ne me prête pas attention et pose une question à ma dominatrice médicale. Puis son regard se pose sur mon entrejambe, à présent imberbe, que la raseuse de pubis n’a même pas pensé à lâcher !

Mes yeux glissent vers mon sexe, ne pouvant que constater l’ampleur catastrophique de ma situation !.

En fait ce n’est pas mon gland qu’elle tient. Elle ne peut pas.

Trop petit…

Elle pince mon prépuce du bout des doigts, tirant légèrement dessus !

Je m’amuse souvent à me faire ça quand ma mini queue est au repos. Cela fait disparaître immédiatement, non seulement mon gland, mais aussi mes cacahuètes sous mon pubis. Reste donc un morceau de peau…

C’est ce que l’on appelle « rien dans la culotte » !

Je prends brutalement conscience de la scène dont je suis le principal acteur.

Mon fantasme se réalise en partie.

Quelle pire humiliation que d’être ainsi exposé aux regards de deux femmes, les jambes écartées, intégralement rasé…et intégralement minuscule aussi !

Je détourne le visage, tentant de retrouver une constance improbable, et laissant tout loisir aux deux collègues de s’échanger des regards complices et rieurs.

L’infirmière lâche enfin mon misérable pénis et, ne prenant même pas la peine de me recouvrir, me demande de me lever.

Puis je m’allonge sur le brancard, prenant soin que ma tenue d’opéré ne glisse malencontreusement, et l’on me descend au bloc.

Dans la salle adjacente de la chirurgie, j’attends. Me demandant quand va arriver la prochaine humiliation de mes ridicules organes ratatinés encore davantage par le feu du rasoir conjugué à l’eau froide.

Profitant d’être seul je soulève le drap.

Le spectacle est à mourir de rire, même pour moi malgré mon stress.

Mon pénis est tellement petit que, bien que je sois allongé, mon gland (ç’est tout ce qui reste..) est dressé tout droit, un centimètre et demi tout au plus. En dessous un bout de peau durci et plat comme un sexe de femme. Le tout débarrassé de pilosité.

J’enregistre avec angoisse ce que l’équipe de médecins, car ils sont plusieurs, et accompagnés d’aide soignantes…, va découvrir dans quelques minutes…

Une minuscule petite bite sans poil, mais aussi sans couilles !

Nonnnnnnnnn !! J’ai envie de me partir en courant, fuir ce cauchemar !

On vient me chercher. Je me retrouve dans la salle d’opération où deux hommes, et surtout deux femmes, se préparent. L’un d’eux m’explique comment va se dérouler l’anesthésie et, quelques instants plus tard, je m’endors.

Dans un sens j’étais content de ne pas avoir eu à subir l’humiliation de me retrouver nu avec tout ce monde scrutant mon micro pénis et retenant leurs rires. D’un autre côté j’aurais aimé….Mais je n’étais pas au bout de mon aventure !

Quand je refais surface, je suis dans ma chambre. Je suis tellement dans les vapes que je dors toute la journée. Le soir arrive et une infirmière me rend visite. Je pense que c’est pour changer mon pansement ou effectuer un changement de perfusion. Mais elle se contente de me demander si tout va bien et, s’étant approché de moi, elle soulève bien haut le drap qui me couvre et regarde franchement mon entrejambe.

Pour la première fois de la journée je réalise que je suis entièrement nu…

Mon sexe est égal à lui-même…ridicule !

Et puis elle me dit au revoir et sort !

Soudain je comprends qu’elle est simplement venue voir ma petite bite ! Incroyable ! La nouvelle a du faire le tour du service à peine mon opération terminée…

« Hé les filles ! Y’a un micro pénis à la 512, faut aller voir ça. Le mec à rien dans la culotte c’est à pisser de rire ! »

Je suis rouge de honte, mais aussi fou d’excitation. Je saisi mon gland entre deux doigts et commence à masturbé mon ver de terre tout en caressant mes boules pas plus grosses que des olives ! Et puis je sens quelque chose sur ma cuisse droite. Je regarde.

Nouvelle honte ! Il est clair que l’on m’a posé une perfusion à cinq centimètres à peine de mon service trois pièces microscopique. J’imagine brutalement tous ces gens autour de moi, morts de rire en pleine opération, chirurgicale !

Je suis sûr que l’un deux n’a pu s’empêcher de secouer mon asticot pour faire encore plus rire les femmes présentes…

J’ai à peine jouis et eu le temps de me rincer à l’eau froide, que deux infirmières entrent à nouveau. Là je me dis, c’est bon ça va être le défilé non stop pour admirer le cadeau empoisonné dont Dame Nature m’a gratifié !

« Bonsoir, me disent-elles. Nous venons pour la toilette. »

Je vois que l’une d’elles se détournent pour masquer le sourire qui éclaire son visage.

« Toilette ?? » me dis-je. Mais je peux me lever. Donc me laver seul.

Mais je suis muet, incapable d’aligner deux mots.

Elles m’entourent donc de part et d’autre du lit et, une énième fois depuis deux jours, je me retrouve nu exposé aux regards moqueurs de femmes voyeuses et vicieuses.

« Ne vous inquiétez pas, on va faire doucement. C’est que ça doit être fragile des petites choses comme ça… »

Elles ne peuvent s’empêcher d’émettre un petit rire bref qui en dit long…

Elles frottent tout d’abord doucement autour de mes organes, puis, la plus vieille s’enhardit et décide de me décalotter. Seul mon gland émerge encore…en bref une pince à escargot suffirait. Je me sens minuscule entre le pouce et l’index boudinés de cette femme et ma honte est d’une puissance rare ! L’autre se décide et commence à tripoter le bout de peau où devrait se trouver mes testicules rentrés depuis longtemps se réfugier sous mon pubis.

Mon fantasme se réalise au-delà de ce que j’avais imaginé !

L’une des deux infirmières branle franchement à présent mon sexe entre deux doigts pendant que l’autre s’amuse de ce bout de peau sans couilles.

L’excitation déferle en moi. J’écarte franchement les jambes pendant que mon pénis atteint en deux secondes les douze centimètres maxi !

La glace est brisée et toutes deux rigolent à présent de bon cœur devant ce qu’elles sont en train de faire. Ce qui ne fait qu’accroître mes pulsions !

Je suis ailleurs, ne comprenant même plus laquelle me parle.

- « Alors tu aimes ça qu’on tripote ton petit asticot sans couilles hein ! »

- « Oh oui, j’adore ! Encore ! »

-« T’es vraiment une petite bite ! Quelle honte ! »

L’autre renchérit :

-« Tu sais que tout l’hôpital te connaît ! Allez dis-nous que tu as une petite bite ridicule ! »

Je m’exécute avec plaisir !

-« J’ai une petite bite ridicule ! Rien dans la culotte ! »

Elles me font répéter tout un tas de phrases comme ça, éclatant de rire à chaque fois que je parle.

J’ai jouis comme jamais…

Gentilles, elles m’essuient mon petit bout, puis, comme si de rien n’était, me disent bonsoir et sortent.

Je les ai entendu s’esclaffer de l’autre côté de la porte…

Hélas je sortais le lendemain.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour,
J'ai lu vos autres histoires, et dans la dernière, vous écrivez que votre fantasme ne s'est jamais réalisé. Cette humiliation à l'hôpital est-elle aussi un fantasme ?
Il y a longtemps, j'ai eu l'occasion de devoir montrer mon intimité à des femmes à l'hôpital, et je n'ai ressenti aucune honte parce qu'elles se seraient moquées de moi.
Des soignantes trop professionnelles, et trop gentilles pour se laisser aller à humilier un patient ?
Un pénis finalement pas si ridiculement petit que cela ? Le mien est petit, mais pas micropénis
J'ai déjà plusieurs fois fait rire des femmes à mes dépens, mais jamais via mon sexe, et ce en rencontre physique

Histoire Erotique
Bonjour,
J ai apprécié la lecture de votre récit.
J ai moi même été opéré d'une hernie inguinale. J'ai également un petit zizi.J ai vécu plusieurs humiliation au cours de mon hospitalisation: rasage du puis pa une infirmière étudiante, port du tablier d'opération devant une aide soignante voyeuse douche à la bétadine, fesse à l'air, rires du chirurgien et des infirmières en début d 'opération et bouquet final, avant mon départ, bilan de l 'opération nu sur mon lit, enfin mes parties intimes devant une équipe de 10 personnes étudiante, infirmières, chirurgien, la honte de ma vie, ils regardaient tous ma petite bite pendant que le médecin faisait le bilan de l'opération. La honte de ma vie.



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