Fantasme sur une sportive qui dérape… (2ème partie)
Récit érotique écrit par Sbou2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fantasme sur une sportive qui dérape… (2ème partie)
Mardi passé, ce n’est pas sans une certaine appréhension que je me suis rendu au badminton. Il planait sur ma tête le « contrat » que je m’étais engagé à respecter : procurer un cunnilingus aux joueuses qu’Anouchka mettrait dans la confidence.
Françoise après avoir joué un premier match s’est approché de moi et m’a dit : ‘Je dois passer aux toilettes et je pense que toi aussi’.
Je l’ai suivie dans les toilettes en vérifiant à droite et à gauche que personne ne nous suivait.
« Ne trainons pas » m’a-t-elle dit. « Anouchka m’a dit que tu savais divinement bien utiliser ta langue, j’ai hâte de le vérifier ! ».
Elle a retiré son short et sa culotte. Comme exigé par Anouchka, j’ai alors retiré mon short mais quand Françoise s’est aperçue que je portais un string, elle m’a dit : « Non, reste comme cela pour l’instant, c’est la première fois que je vois un homme en string je souhaite en profiter. »
Je me suis mis alors à genou et j’ai déposé le bout de ma langue sur ses lèvres et puis j’ai commencé à l’introduire de plus en plus profond. Je me suis mis à exercer alors différents jeux de va et vient, de pression légère et plus appuyée. Le goût de sa chatte, un mélange de cyprine et de transpiration, était plus prononcé qu’Anouchka ou ma femme mais pas déplaisant. En peu de temps je l’ai sentie se crisper et là elle a saisi mon string et a tiré franchement dessus. Le peu de tissus qui marquait la frontière entre mes fesses s’est enfoncé pour partie dans mon anus. Je n’ai pu éviter un petit cri (plus de surprise que de douleur). Elle a fini par relâcher sa prise quelques secondes plus tard quand son corps s’est mis à trembler alors qu’elle jouissait en se mordant la main pour étouffer sa jouissance qui voulait s’exprimer. « Anouchka avait raison. Tu te débrouille plutôt bien avec ta langue. » « Lève-toi ! » m’a-t-elle ordonné. Elle a fixé mon entre-jambe et voyant que mon sexe était en érection, elle a mis sa main dans mon string pour sentir à quel point mon membre était bien dur. Constatant ma forte excitation, elle abaissa mon string pour voir et m’a dit : « A défaut d’avoir une grande bitte, tu en as une bien dure ! C’est chouette de voir à quel point ton rôle de « Lèche foufoune du club » te fait tant plaisir. Je compte bien continuer à profiter de tes services ! » a-t-elle conclu en se rhabillant. Et elle est sortie en laissant la porte ouverte.
J’ai vite fermé la porte de la toilette, j’ai remonté mon string et mon short et n’entendant personne de l’autre côté de la porte, je suis sorti et je me suis rapidement rincé le visage pour effacer au mieux l’odeur que mon visage dégageait. Quand je suis revenu vers les terrains pour trouver des partenaires pour un nouveau match, Anouchka est venu vers moi et m’a dit : « Que dis-tu d’un match avec moi contre Pierre et Sarah ? ». « Super » avais-je répondu. Pierre était un bon joueur un cran au-dessus de moi. Sarah quant à elle était une personne assez corpulente mais elle avait de la technique. Elle manquait donc de mobilité mais au filet avec Pierre pour assurer derrière, la partie devrait être assez équilibrée. Se dirigeant de notre côté du filet, Anouchka m’a glissé discrètement à l’oreille : « J’ai promis à Sarah un cunnilingus de ta part par point marquer par leur équipe. ». « Oh non » me suis-je écrié. « Pas ça, STP ». « Je ne veux pas que ton surnom soit galvaudé Olivier » m’a-t-elle dit en souriant. « Te voilà avec une cliente pour une bonne partie de l’année ». Anouchka a joué de manière engagée et on a même remporté le set … mais 21-18. J’étais donc bon pour offrir un cunnilingus pour les 18 semaines à venir à la fille la plus moche du club. Sarah, en plus d’être corpulente, n’avait pas non plus été fort gâtée au niveau de son visage et sa coupe de cheveux inégale n’arrangeait rien. Si quelqu’un apprenait un jour que je lui avais fait une fellation, je serai la risée de tous mes copains. Plutôt que de la suivre, je me suis dit que si je partais en premier personne de devrait rien soupçonner. J’ai donc remercié mes partenaires et je leur ai annoncé que je devais faire une pause. Les 3 toilettes étaient vides, je me suis mis dans la dernière et je n’ai pas dû attendre longtemps avant de voir Sarah qui entra et ferma la porte derrière elle. « Tu vas me permettre de réaliser un vieux fantasme, je compte bien en profiter. Bande-toi les yeux et mets-toi à genoux. ». Je n’ai donc pas vu à quoi ressemblait son sexe mais je n’étais de toute façon pas demandeur. Une fois en position et ayant entendu qu’elle s’était déshabillée, je me suis positionné mes mains sur ses grosses cuisses boudinées et me suis forcé à sortir la langue et m’approcher de sa vulve. Découvrant une toison bien fournie, je suis descendu plus bas et j’ai mis quelques secondes à trouver l’entrée, m’y enfonçant alors en essayant d’imaginer que j’offrais cet acte à ma femme ou Anouchka. Très vite j’ai senti des mains empoigner l’arrière de ma tête et venir m’écraser entre ses cuisses. « Vas-y, baise-moi avec ta bouche » m’a-t-elle dit. Et pendant 5 minutes, elle m’a imprégné un rythme effréné durant lequel je fus plus d’une fois au bord de la suffocation jusqu’à ce que je ressente qu’elle était prête à exploser et là j’ai senti des jets de cyprines qui m’inondèrent le visage et le cou. « Putain que c’était bon. Et dire que personne ne voulait m’offrir cela. » m’a-t-elle dit. « J’ai hâte d’être à la semaine prochaine. Mais peut-être faudra-t-il que je varie la façon de faire. Je devrais essayer en me présentant de dos et tu me lèchera bien profond avec ton nez qui viendra me titiller l’anus». Elle s’est rhabillé et est sorti discrètement. Refermant la porte j’ai essayé de retrouver mes esprits. Retirant mon bandeau, et sentant l’odeur qui m’imprégnait, j’ai vu que mon T-shirt n’était pas trempé uniquement de la transpiration du match. ’Merde’ comment allais-je effacer ces traces ? L’eau de l’évier ne ferait pas tout disparaître. Si je déposai ce T-shirt dans le sale linge, ma femme pourrait clairement se poser des questions quant à l’odeur suspecte. Il fallait que je lance une machine moi-même ou alors que je savonne au moins le T-Shirt avant de le faire laver. Je me suis rendu compte également qu’il était tard (déjà 22:30, l’heure vers laquelle j’avais l’habitude de rentrer). « A la douche » me suis-je dit. J’en profiterai pour y savonner vite fait mon T-Shirt. Me dirigeant vers le vestiaire des hommes, j’ai jeté un œil vers les terrains et je n’ai pas vu Anouchka. Je me suis dit qu’elle devait avoir terminé et être également sur le chemin du retour. J’ai fait au plus vite dans les vestiaires dans lesquels j’ai retrouvé Pierre et mon copain Luc qui jouait au ping-pong dans une autre salle le mardi également. Je suis parvenu à retirer discrètement mon string noir en même temps que mon short bleu marine sans que les deux autres s’aperçoivent de cette incongruité et je me suis précipité sur la douche en saluant Luc qui était en partance. 10 minutes plus tard, je sortais des vestiaires changé et douché avec dans mon sac un T-shirt encore plus trempé que d’habitude mais qui ne devrait pas créer de suspicions.
« Tu t’en vas maintenant ! » ai-je alors entendu apercevant Anouchka qui descendait l’escalier provenant de la buvette. « Sans me dire au revoir et sans m’honorer ? ». « Euh non, je pensais que tu étais partie » ai-je balbutié. « Et il se fait tard. Si je ne rentre pas maintenant, ma femme va se poser des questions ». « Il me semblait que le contrat était assez clair. Mais si tu veux rentrer vas-y, on accommodera cela sur plusieurs jours semaines pour que ce soit plus aisé pour toi. » « NON ! C’est bon, je vais m’arranger ». Je ne pouvais clairement pas prendre le risque d’être encore plus pris dans son jeu. « Je lui dirai que j’ai pris un verre avec un copain » (d’habitude je rentrai directement après m’être douché). Elle s’est dirigée vers les toilettes et je l’ai suivie. Elle a déposé son sac de sport à côté de l’évier et entra dans la première toilette dans laquelle je suis entré à sa suite.
« Enlève le bas et mets-toi à genoux. Tu dois bien connaitre la musique maintenant ». Une fois chaussures et chaussettes retirées, j’ai enlevé mon pantalon rouge et puis le caleçon blanc que j’avais mis pour m’habiller une fois le sport achevé. « Qu’est-ce que c’est que cela ? » m’a-t-elle dit- en se saisissant de mon caleçon. « Tu as accepté de retirer ton pantalon et ton string chaque fois que tu ferais un cunnilingus. Tu ne respectes vraiment pas ton engagement. Je vais être obligée de prendre des mesures ». « NON. » répondis-je. « C’est juste que je peux pas porter le string quand je me rhabille dans des vestiaires communs et que je pensais que j’allais renter chez moi ». « J’en ai rien à foutre de tes cachoteries. Tu te débrouilles ou tu assumes devant les autres mais je ne veux plus jamais voir que tu portes ces stupides caleçons blancs. Est-ce compris ? » « Oui » ai-je répondu de manière penaude. Je me suis dit qu’on moins pour la semaine prochaine je pourrais plutôt porter un boxer et avant tout m’arranger pour lécher la chatte d’Anouchka avant les douches. « Je veux bien accepter cette entorse mais elle ne peut rester impunie. Comprends-tu ? » . « Oui-oui » ai-je acquiescé en me disant que j’avais sans doute récupéré le coup mais en me demandant aussi ce qu’elle allait me réserver comme punition. « Pendant que je réfléchis à ta punition, va déjà me chercher ton string. » me dit-elle. Je l’ai alors regardé interloqué, j’étais la bite à l’air et mon sac était de l’autre côté de la porte à une dizaine de mètres. « Qu’est-ce que t’attends ? » ma-t-elle dit vertement. Je me suis dit alors qu’au point où j’en étais et vu le bruit qu’elle avait déjà fait, j’avais tout intérêt à m’exécuter au plus vite. Et en moins de 30 secondes, j’étais de retour avec mon string à la main. « On sent que tu as bien transpiré ! Ton string fouette plus que la culotte d’une chaudasse » « Rince le 3x dans l’eau de la cuvette et enfile le. » m’a-t-elle ordonné. J’ai fait comme demandé et j’ai enfilé mon string trempé. Elle m’a alors dit: « Je crois que tu n’as pas encore mérité de voir ma chatte, mets ton bandeau et renfile ton pantalon. Et grouille-toi ». Le bandeau étant dans la poche de mon short qui était dans mon sac, j’ai enfilé d’abord mon pantalon et j’ai couru attraper mon bandeau. Le fait que mon string était trempé par la flotte de la cuvette était dérangeant mais j’essayais de ne pas y penser. Je me suis mis en position et me suis approché d’elle. Constatant qu’elle était encore habillée, j’ai mis mes mains sous sa robe et j’ai descendu délicatement sa culotte que je lui ai remise. Quand j’ai enfoncé à nouveau ma langue dans son sexe, je n’ai pu m’empêcher de me sentir enivré et je l’ai butiné avec délectation. L’extase fut atteinte assez rapidement. « De ce côté-là, je dois reconnaitre que tu sais t’y prendre » m’a-t-elle dit. « Tu peux maintenant retirer ton bandeau ». Aveuglé légèrement par le retour de lumière, je l’ai entraperçu essuyer sa chatte avec mon caleçon et puis enfiler sa culotte. « Vu la manière dont tu t’es appliqué je serai indulgente pour ta punition » m’a-t-elle alors dit-elle. « Mais je pensais que c’était le fait d’avoir dû chercher mon string et le plonger dans la cuvette » ai-je répondu tout en me rendant compte avec horreur que mon string trempé avait humidifié mon pantalon se marquant par un rouge bien foncé et révélant clairement que non seulement ce que je portais en dessous était trempé mais en plus que l’humidité derrière ne se marquait que sur un triangle supérieur suivit d’une fine ligne. Me demandant encore comment j’allais me sortir de cette situation des plus gênantes, elle me dit : « Pour m’assurer que tu ne reviennes plus jamais avec un stupide caleçon blanc, tu vas l’utiliser pour briquer les toilettes. J’insiste pour que ce soit parfait. N’oublie pas le dessous de la planche et fait en sorte qu’il ne subsiste pas la moindre trace de poils ou de merde séchée. Tout doit être dans ton caleçon. Et après chaque toilette effectuée tu en prends une photo et tu concluras par une photo de toi avec ton caleçon sur la tête. Le fruit de ton travail devra être bien visible. Une fois chez toi, c’est à toi de voir si tu souhaites le récupérer ou le mettre à la poubelle. La 2ème option t’évitera que cet incident se reproduise. » m’a-t-elle alors dit en souriant.
J’ai pensé à un moment à une alternative mais je n’ai finalement pas osé prendre le risque et j’ai donc exécuté cette corvée qui m’était infligée. Avant de commencer j’avais retiré mon string trempé et une fois cette punition peu ragoutante achevée, la marque d’humidité était heureusement plus diffuse et moins marquée.
Je suis rentré chez moi à 23h15, et je me suis lavé le visage avant de passer embrasser ma femme et de lui expliquer la raison de mon retour plus tardif.
Clairement les choses m’échappent. Ce matin j’ai reçu un mail d’Anouchka qui m’informait qu’elle avait rencontré Julie H. qui me connaissait (c’est effectivement une copine) et qu’elle était sur le point de la convaincre de commencer le badminton.
Comment me sortir de ce guêpier ? Que me suggérez-vous ?
Françoise après avoir joué un premier match s’est approché de moi et m’a dit : ‘Je dois passer aux toilettes et je pense que toi aussi’.
Je l’ai suivie dans les toilettes en vérifiant à droite et à gauche que personne ne nous suivait.
« Ne trainons pas » m’a-t-elle dit. « Anouchka m’a dit que tu savais divinement bien utiliser ta langue, j’ai hâte de le vérifier ! ».
Elle a retiré son short et sa culotte. Comme exigé par Anouchka, j’ai alors retiré mon short mais quand Françoise s’est aperçue que je portais un string, elle m’a dit : « Non, reste comme cela pour l’instant, c’est la première fois que je vois un homme en string je souhaite en profiter. »
Je me suis mis alors à genou et j’ai déposé le bout de ma langue sur ses lèvres et puis j’ai commencé à l’introduire de plus en plus profond. Je me suis mis à exercer alors différents jeux de va et vient, de pression légère et plus appuyée. Le goût de sa chatte, un mélange de cyprine et de transpiration, était plus prononcé qu’Anouchka ou ma femme mais pas déplaisant. En peu de temps je l’ai sentie se crisper et là elle a saisi mon string et a tiré franchement dessus. Le peu de tissus qui marquait la frontière entre mes fesses s’est enfoncé pour partie dans mon anus. Je n’ai pu éviter un petit cri (plus de surprise que de douleur). Elle a fini par relâcher sa prise quelques secondes plus tard quand son corps s’est mis à trembler alors qu’elle jouissait en se mordant la main pour étouffer sa jouissance qui voulait s’exprimer. « Anouchka avait raison. Tu te débrouille plutôt bien avec ta langue. » « Lève-toi ! » m’a-t-elle ordonné. Elle a fixé mon entre-jambe et voyant que mon sexe était en érection, elle a mis sa main dans mon string pour sentir à quel point mon membre était bien dur. Constatant ma forte excitation, elle abaissa mon string pour voir et m’a dit : « A défaut d’avoir une grande bitte, tu en as une bien dure ! C’est chouette de voir à quel point ton rôle de « Lèche foufoune du club » te fait tant plaisir. Je compte bien continuer à profiter de tes services ! » a-t-elle conclu en se rhabillant. Et elle est sortie en laissant la porte ouverte.
J’ai vite fermé la porte de la toilette, j’ai remonté mon string et mon short et n’entendant personne de l’autre côté de la porte, je suis sorti et je me suis rapidement rincé le visage pour effacer au mieux l’odeur que mon visage dégageait. Quand je suis revenu vers les terrains pour trouver des partenaires pour un nouveau match, Anouchka est venu vers moi et m’a dit : « Que dis-tu d’un match avec moi contre Pierre et Sarah ? ». « Super » avais-je répondu. Pierre était un bon joueur un cran au-dessus de moi. Sarah quant à elle était une personne assez corpulente mais elle avait de la technique. Elle manquait donc de mobilité mais au filet avec Pierre pour assurer derrière, la partie devrait être assez équilibrée. Se dirigeant de notre côté du filet, Anouchka m’a glissé discrètement à l’oreille : « J’ai promis à Sarah un cunnilingus de ta part par point marquer par leur équipe. ». « Oh non » me suis-je écrié. « Pas ça, STP ». « Je ne veux pas que ton surnom soit galvaudé Olivier » m’a-t-elle dit en souriant. « Te voilà avec une cliente pour une bonne partie de l’année ». Anouchka a joué de manière engagée et on a même remporté le set … mais 21-18. J’étais donc bon pour offrir un cunnilingus pour les 18 semaines à venir à la fille la plus moche du club. Sarah, en plus d’être corpulente, n’avait pas non plus été fort gâtée au niveau de son visage et sa coupe de cheveux inégale n’arrangeait rien. Si quelqu’un apprenait un jour que je lui avais fait une fellation, je serai la risée de tous mes copains. Plutôt que de la suivre, je me suis dit que si je partais en premier personne de devrait rien soupçonner. J’ai donc remercié mes partenaires et je leur ai annoncé que je devais faire une pause. Les 3 toilettes étaient vides, je me suis mis dans la dernière et je n’ai pas dû attendre longtemps avant de voir Sarah qui entra et ferma la porte derrière elle. « Tu vas me permettre de réaliser un vieux fantasme, je compte bien en profiter. Bande-toi les yeux et mets-toi à genoux. ». Je n’ai donc pas vu à quoi ressemblait son sexe mais je n’étais de toute façon pas demandeur. Une fois en position et ayant entendu qu’elle s’était déshabillée, je me suis positionné mes mains sur ses grosses cuisses boudinées et me suis forcé à sortir la langue et m’approcher de sa vulve. Découvrant une toison bien fournie, je suis descendu plus bas et j’ai mis quelques secondes à trouver l’entrée, m’y enfonçant alors en essayant d’imaginer que j’offrais cet acte à ma femme ou Anouchka. Très vite j’ai senti des mains empoigner l’arrière de ma tête et venir m’écraser entre ses cuisses. « Vas-y, baise-moi avec ta bouche » m’a-t-elle dit. Et pendant 5 minutes, elle m’a imprégné un rythme effréné durant lequel je fus plus d’une fois au bord de la suffocation jusqu’à ce que je ressente qu’elle était prête à exploser et là j’ai senti des jets de cyprines qui m’inondèrent le visage et le cou. « Putain que c’était bon. Et dire que personne ne voulait m’offrir cela. » m’a-t-elle dit. « J’ai hâte d’être à la semaine prochaine. Mais peut-être faudra-t-il que je varie la façon de faire. Je devrais essayer en me présentant de dos et tu me lèchera bien profond avec ton nez qui viendra me titiller l’anus». Elle s’est rhabillé et est sorti discrètement. Refermant la porte j’ai essayé de retrouver mes esprits. Retirant mon bandeau, et sentant l’odeur qui m’imprégnait, j’ai vu que mon T-shirt n’était pas trempé uniquement de la transpiration du match. ’Merde’ comment allais-je effacer ces traces ? L’eau de l’évier ne ferait pas tout disparaître. Si je déposai ce T-shirt dans le sale linge, ma femme pourrait clairement se poser des questions quant à l’odeur suspecte. Il fallait que je lance une machine moi-même ou alors que je savonne au moins le T-Shirt avant de le faire laver. Je me suis rendu compte également qu’il était tard (déjà 22:30, l’heure vers laquelle j’avais l’habitude de rentrer). « A la douche » me suis-je dit. J’en profiterai pour y savonner vite fait mon T-Shirt. Me dirigeant vers le vestiaire des hommes, j’ai jeté un œil vers les terrains et je n’ai pas vu Anouchka. Je me suis dit qu’elle devait avoir terminé et être également sur le chemin du retour. J’ai fait au plus vite dans les vestiaires dans lesquels j’ai retrouvé Pierre et mon copain Luc qui jouait au ping-pong dans une autre salle le mardi également. Je suis parvenu à retirer discrètement mon string noir en même temps que mon short bleu marine sans que les deux autres s’aperçoivent de cette incongruité et je me suis précipité sur la douche en saluant Luc qui était en partance. 10 minutes plus tard, je sortais des vestiaires changé et douché avec dans mon sac un T-shirt encore plus trempé que d’habitude mais qui ne devrait pas créer de suspicions.
« Tu t’en vas maintenant ! » ai-je alors entendu apercevant Anouchka qui descendait l’escalier provenant de la buvette. « Sans me dire au revoir et sans m’honorer ? ». « Euh non, je pensais que tu étais partie » ai-je balbutié. « Et il se fait tard. Si je ne rentre pas maintenant, ma femme va se poser des questions ». « Il me semblait que le contrat était assez clair. Mais si tu veux rentrer vas-y, on accommodera cela sur plusieurs jours semaines pour que ce soit plus aisé pour toi. » « NON ! C’est bon, je vais m’arranger ». Je ne pouvais clairement pas prendre le risque d’être encore plus pris dans son jeu. « Je lui dirai que j’ai pris un verre avec un copain » (d’habitude je rentrai directement après m’être douché). Elle s’est dirigée vers les toilettes et je l’ai suivie. Elle a déposé son sac de sport à côté de l’évier et entra dans la première toilette dans laquelle je suis entré à sa suite.
« Enlève le bas et mets-toi à genoux. Tu dois bien connaitre la musique maintenant ». Une fois chaussures et chaussettes retirées, j’ai enlevé mon pantalon rouge et puis le caleçon blanc que j’avais mis pour m’habiller une fois le sport achevé. « Qu’est-ce que c’est que cela ? » m’a-t-elle dit- en se saisissant de mon caleçon. « Tu as accepté de retirer ton pantalon et ton string chaque fois que tu ferais un cunnilingus. Tu ne respectes vraiment pas ton engagement. Je vais être obligée de prendre des mesures ». « NON. » répondis-je. « C’est juste que je peux pas porter le string quand je me rhabille dans des vestiaires communs et que je pensais que j’allais renter chez moi ». « J’en ai rien à foutre de tes cachoteries. Tu te débrouilles ou tu assumes devant les autres mais je ne veux plus jamais voir que tu portes ces stupides caleçons blancs. Est-ce compris ? » « Oui » ai-je répondu de manière penaude. Je me suis dit qu’on moins pour la semaine prochaine je pourrais plutôt porter un boxer et avant tout m’arranger pour lécher la chatte d’Anouchka avant les douches. « Je veux bien accepter cette entorse mais elle ne peut rester impunie. Comprends-tu ? » . « Oui-oui » ai-je acquiescé en me disant que j’avais sans doute récupéré le coup mais en me demandant aussi ce qu’elle allait me réserver comme punition. « Pendant que je réfléchis à ta punition, va déjà me chercher ton string. » me dit-elle. Je l’ai alors regardé interloqué, j’étais la bite à l’air et mon sac était de l’autre côté de la porte à une dizaine de mètres. « Qu’est-ce que t’attends ? » ma-t-elle dit vertement. Je me suis dit alors qu’au point où j’en étais et vu le bruit qu’elle avait déjà fait, j’avais tout intérêt à m’exécuter au plus vite. Et en moins de 30 secondes, j’étais de retour avec mon string à la main. « On sent que tu as bien transpiré ! Ton string fouette plus que la culotte d’une chaudasse » « Rince le 3x dans l’eau de la cuvette et enfile le. » m’a-t-elle ordonné. J’ai fait comme demandé et j’ai enfilé mon string trempé. Elle m’a alors dit: « Je crois que tu n’as pas encore mérité de voir ma chatte, mets ton bandeau et renfile ton pantalon. Et grouille-toi ». Le bandeau étant dans la poche de mon short qui était dans mon sac, j’ai enfilé d’abord mon pantalon et j’ai couru attraper mon bandeau. Le fait que mon string était trempé par la flotte de la cuvette était dérangeant mais j’essayais de ne pas y penser. Je me suis mis en position et me suis approché d’elle. Constatant qu’elle était encore habillée, j’ai mis mes mains sous sa robe et j’ai descendu délicatement sa culotte que je lui ai remise. Quand j’ai enfoncé à nouveau ma langue dans son sexe, je n’ai pu m’empêcher de me sentir enivré et je l’ai butiné avec délectation. L’extase fut atteinte assez rapidement. « De ce côté-là, je dois reconnaitre que tu sais t’y prendre » m’a-t-elle dit. « Tu peux maintenant retirer ton bandeau ». Aveuglé légèrement par le retour de lumière, je l’ai entraperçu essuyer sa chatte avec mon caleçon et puis enfiler sa culotte. « Vu la manière dont tu t’es appliqué je serai indulgente pour ta punition » m’a-t-elle alors dit-elle. « Mais je pensais que c’était le fait d’avoir dû chercher mon string et le plonger dans la cuvette » ai-je répondu tout en me rendant compte avec horreur que mon string trempé avait humidifié mon pantalon se marquant par un rouge bien foncé et révélant clairement que non seulement ce que je portais en dessous était trempé mais en plus que l’humidité derrière ne se marquait que sur un triangle supérieur suivit d’une fine ligne. Me demandant encore comment j’allais me sortir de cette situation des plus gênantes, elle me dit : « Pour m’assurer que tu ne reviennes plus jamais avec un stupide caleçon blanc, tu vas l’utiliser pour briquer les toilettes. J’insiste pour que ce soit parfait. N’oublie pas le dessous de la planche et fait en sorte qu’il ne subsiste pas la moindre trace de poils ou de merde séchée. Tout doit être dans ton caleçon. Et après chaque toilette effectuée tu en prends une photo et tu concluras par une photo de toi avec ton caleçon sur la tête. Le fruit de ton travail devra être bien visible. Une fois chez toi, c’est à toi de voir si tu souhaites le récupérer ou le mettre à la poubelle. La 2ème option t’évitera que cet incident se reproduise. » m’a-t-elle alors dit en souriant.
J’ai pensé à un moment à une alternative mais je n’ai finalement pas osé prendre le risque et j’ai donc exécuté cette corvée qui m’était infligée. Avant de commencer j’avais retiré mon string trempé et une fois cette punition peu ragoutante achevée, la marque d’humidité était heureusement plus diffuse et moins marquée.
Je suis rentré chez moi à 23h15, et je me suis lavé le visage avant de passer embrasser ma femme et de lui expliquer la raison de mon retour plus tardif.
Clairement les choses m’échappent. Ce matin j’ai reçu un mail d’Anouchka qui m’informait qu’elle avait rencontré Julie H. qui me connaissait (c’est effectivement une copine) et qu’elle était sur le point de la convaincre de commencer le badminton.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire, j'adore. Je te suggère de bien continuer à obéir à Anouchka et à elle, je lui dis d'essayer de te faire lécher deux foufoune en même temps yeux bandés et mains attachés. Avec punition si tu n'es pas capable de reconnaître qui est qui ?
de la defier sur un autre match de la punir