Titre de l'histoire érotique : Fantasme sur une sportive qui dérape… (1ère partie)
Récit érotique écrit par Sbou2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Fantasme sur une sportive qui dérape… (1ère partie)
Le jeudi c’est ma soirée badminton. Il y a deux semaines, en fin de soirée, Anouchka cherchant un partenaire de jeu m’a demandé si je voulais encore faire un set avec elle.
Avant de poursuivre, je dois vous préciser qu’Anouchka a rejoint le club cette année-ci et qu’elle a une fine silhouette de rêve et surtout un visage d’ange avec une peau diaphane et des pommettes roses qui viennent souligner un sourire quasi permanent. Moi qui trouve qu’un sourire c’est déjà 50% de la beauté, quand je regarde Anouchka je dois me concentrer pour la regarder normalement.
Et donc au vue de sa proposition, je lui ai répondu que j’étais bien-sûr disponible mais comme les quelques joueurs restants étaient tous occupés, cela voulait dire qu’on jouerait un simple et que c’était beaucoup plus physique qu’un double. Elle m’a répondu : « Tu veux dire par là que tu penses que je n’aurais aucune chance contre toi ? ». Un peu mal à l’aise je lui ai dit : « Heu, non, ce que je veux dire avant tout c’est que c’est fort différent. Le but de toute façon c’est de prendre du plaisir ».
« Si tu penses gagner je suppose que tu ne seras donc pas contre pimenter le match. Que penses-tu d’un gage pour le perdant ? » m’a-t-elle sorti.
Là j’avoue que je fus estomaqué. Mais après je ne pus m’empêcher en regardant ce corps de rêve de me dire qu’a priori je ne risquais pas grand-chose (Mince elle débutait quand-même. Maintenant sa vitesse de progression était impressionnante, je la soupçonne d’être une très bonne joueuse de tennis). Je lui ai demandé: « A quel type de gage penses-tu ? ». Et elle me répondit : « Je te propose de noter le gage que tu désires sur un bout de papier et le vainqueur pourra choisir entre le sien ou celui que l’autre comptait demander ». Et là, entrevoyant la possibilité de voir ce corps splendide sans plus aucun vêtement, j’ai accepté son défi et j’ai noté sur un bout de papier : ‘Offrir un strip-tease’.
« C’est parti » me dit-elle. A peine commençais-je que je m’étais dit que j’avais peut-être fait une connerie. J’ai réalisé entre autre que sous mon short de sport je portais le string (ma femme apprécie bcp et finalement je trouve cela plutôt agréable mais je crains toujours que quelqu’un un jour s’en rende compte et m’en fasse une remarque désobligeante et très gênante). J’ai commis alors plusieurs erreurs, stressé par l’enjeu et ne pouvant m’empêcher de penser à la belle poitrine ferme qui devait se cacher sous son T-shirt. Arrivé à 16-12 pour moi, je m’étais dit que c’était dans la poche. Mais ne voilà-t-il pas que suite à un démarrage brusque, j’ai ressenti le début d’une crampe au mollet et que finalement j’ai raté un peu trop d’échanges et alors que j’aurais pu conclure quand je menais 20-19, j’ai fini par perdre 22-20.
Elle m’a alors regardé en se délectant de mon dépit et elle m’a alors lancé: « Il est l’heure de passer à l’addition ». Et elle souriait jusqu’aux oreilles. « Tu ne vas quand même pas te débiner ? ».
« Non » répondis-je dans un état second. « Je viens de perdre et j’assumerai donc ma défaite ».
Elle prit alors mon papier et me dit : « Un strip-tease … Je vais plutôt prendre mon choix. Tu vas devoir me laver dans la douche de la manière dont que l’exigerai. Est-ce clair ?»
« Oui » répondis-je. Différentes pensées se bousculèrent alors dans ma tête : « Quid si quelqu’un d’autre rentre dans les douches des femmes pendant que je suis occupé ? Super, je vais quand même voir son corps de rêve ! Que va-t-elle penser en me voyant le sexe bandé ?
Si la situation m’angoissait, je devais reconnaître qu’elle m’excitait également. Au moins je lui montrerai un sexe d’une taille pas trop gênante (au repos par contre j’étais bien plus en dessous de la moyenne).
Après être passé chercher mes affaires côté ‘homme’, je l’ai rejoint pour entrer dans les vestiaires des femmes dans lesquelles heureusement, il n’y avait personne d’autre si ce n’est quand même les affaires de deux autres joueuses.
« Déshabille-toi » me dit-elle pendant qu’elle retirait ses chaussures, chaussettes puis sa jupette pour m’offrir la vue de jolies cuisses et une belle petite culotte bleue avec ce qui m’a semblé un peu d’humidité à hauteur de sa toison. Était-ce de la transpiration ou autre-chose ?
De mon côté j’ai enlevé mon short en même temps que mon string pour qu’elle ne s’aperçoive de rien et puis le reste que j’ai déposé en boule sur le banc. Elle s’est mise alors à me scruter et mon sexe qui n’était déjà plus au repos s’est mis au garde à vous. Je l’ai regardé à la fois gêné et à la fois impatient de découvrir la suite. C’est alors qu’elle a sorti de son sac de sport des lunettes de plongée, qu’elle a déchiré un mouchoir en papier en deux et insérant une moitié dans chaque globe elle m’a dit : « Mets cela ».
CATASTROPHE ! Je ne verrai rien et elle, elle pourra s’amuser.
Elle m’a alors donné le savon, m’a tenu la main pour me guider et m’a dit : « Suis-moi sous la douche et commence par me savonner le dos ». Je me suis appliqué et je l’ai entendu manifester un léger gémissement de plaisir. Après quelques minutes est venue la demande suivante :
« Maintenant tu vas t’occuper de bien laver mes pieds mais en utilisant juste ta langue ». Je me suis mis donc à ses pieds et j’ai commencé à lui lécher un orteil puis un autre. « Passe bien entre chaque orteil. » me dit-elle. Et j’ai fait comme demandé trouvant la situation à la fois humiliante et à la fois excitante.
« Savonne-moi les jambes et rince ta bouche avec l’eau de la douche » fut l’ordre suivant.
Après vint : « Mets maintenant ta langue ici plus haut et lave moi au plus profonds » tout en positionnant son dos sur le mur de la douche et en écartant bien les jambes.
Découvrant alors avec ma langue, une toison coupée ras, j’ai commencé à lécher les lèvres de sa chatte que je devinais légèrement proéminente. Malgré le flux d’eau permanent de la douche, je pouvais déjà goûter sa cyprine qui avait un goût parfumé qui m’enivrait. J’ai alterné des coups de langue plus superficiels et plus profonds et j’ai varié le rythme tout en me délectant de son nectar. Au bout de 3-4 minutes je l’ai sentie en train de se crisper, j’ai redoublé d’effort et puis j’ai obtenu un fort gémissement qu’elle ne put maitriser et elle faillit tomber mais je l’ai retenue juste à temps. « Ca c’était pas mal de tout. Qu’en as-tu trouvé ? » m’a-t-elle alors demandé tout en récupérant ses esprits.
« J’ai également beaucoup apprécié. J’adore offrir une fellation. Ma femme malheureusement ne l’accepte que de temps en temps après s’être lavée et là je me suis régalé. Ça m’a énormément excité. ». « Je le vois. » me dit-elle en se saisissant de mon sexe tendu à l’extrême ce qui me fit pousser un petit cri. « Cela va te faciliter la suite car tu vas devoir maintenant me laver les seins avec ton sperme ».
J’étais alors en même temps gêner en pensant que j’allais devoir me masturber devant cette femme que je connaissais à peine et ravi de pouvoir me soulager au vu de la tension dans mon entre-jambe. « Arrange-toi pour ne rien perdre » a-t-elle jouté. Et en moins d’une minute, je suis parvenu à remplir mes mains de mon sperme et j’ai étalé ma semence sur ces deux petits seins bien fermes que je me suis mis à malaxer. C’était grisant.
Vint alors l’ordre suivant : « Maintenant tu vas tout rincer avec ta langue, et gare à toi si quand tu as fini cela colle encore ».
« Ah non » ai-je répondu. « Ça je ne peux pas ».
« Pour le gage j’ai écrit que c’est de la manière dont je l’exige. Pour l’éviter tu aurais dû gagner ou ne pas parier. Veux-tu me faire croire que tu n’as jamais goûté ton sperme ? »
« Juste un peu. Et je n’ai vraiment pas aimé.» ai-je répondu.
« Et tu n’as jamais demandé à ta femme de te sucer et d’avaler ?»
« Si mais elle refuse d’avaler ».
« Et pourtant tu ne trouveras pas dégoutant qu’une femme te suce et avale jusqu’à la dernière goute n’est-ce pas ? ».
Je ne pus alors m’empêcher de reconnaitre que ‘oui’.
« Il est donc légitime que tu goutes bien à ce que tu aimerais qu’on te fasse alors assumes ta défaite ! »
Je me suis approché avec réticence de sa poitrine quand elle m’a dit : « Commence par bien tirer la langue et tu la mets à hauteur de mon téton gauche. Voilà et tu me faits un grand sourire pour montrer comme cela te plait. Maintenant tu montes doucement avec ta langue et tu récolte bien ton sperme. ». « Tu vois que ce n’est pas difficile » m’a-t-elle dit. « Maintenant l’autre côté et puis tu nettoies tout parfaitement. ».
Alors que je me suis appliqué comme demandé. A un moment où l’eau de la douche venait de s’arrêter, je me souviens maintenant avoir entendu un petit bruit sec et m’être alors figé. Mais voyant ma réaction, elle a appuyé sur le bouton de la douche et m’a dit : « Ce n’est rien j’ai laissé tomber le capuchon du savon ».
Au bout de deux minutes supplémentaires, je lui ai dit : « Voilà s’est fait. ». Elle a vérifié et puis m’a pris mon index et l’a pressé sur une partie de son sein. « Tu ne sens pas que ça colle encore là ? ».
« Heu désolé, je vais peaufiner » ai-je répondu.
« Pas la peine, je vais m’en occuper mais pour te punir de ta négligence, tu vas devoir maintenant t’occuper de ma porte arrière ». Elle m’a mis à genou, m’a demandé de tirer la langue et de s’approcher doucement. Quand j’ai atteint la cible j’ai constaté que ces fesses étaient bien écartées pour que je puisse bien la nettoyer. Elle s’est tournée alors dans différentes positions et m’a demandé de continuer à lui lécher le cul et puis j’ai entendu: « Aller c’est bon, je suis propre, à ton tour de te laver ».
A peine avais-je trouvé le savon en cherchant à tâtons, que j’entendis une porte s’ouvrir et puis la voix de Florence, une des deux autres joueuses qui étaient encore sur le terrain quand on a conclu notre match qui entamait une discussion avec Anouchka.
« Horreur ! », me suis-je dit. Je me suis déplacé alors contre un des murs des douches en espérant qu’elle ne me verrait pas si elle prenait une des douches seules du côté droit. Une minute plus tard, le temps qu’elle se déshabille, j’ai entendu le son de l’eau qui coulait dans la partie droite des douches et cinq minutes après, l’eau s’était déjà éteinte. Et après avoir à nouveau échangé quelques propos avec Anouchka, j’ai entendu une porte se refermer. N’ayant pas entendu le moindre cri de surprise ou réflexion gênante, j’en ai déduit que je l’avais échappé belle.
« Viens elle est partie » m’a dit alors Anouchka. « En voulant préparer tes affaires, à côté de ton slip blanc tout propre, je suis tombé sur ce que tu portais pendant qu’on a joué ensemble » m’a-t-elle sorti. « Un homme qui porte le string, j’en avais jamais rencontré. Cela demande quelques éclaircissements.»
Là point de vue situation gênante, j’avais encore franchi un palier. Dans quelle galère j’avais bien pu me fourrer ? Ne sachant pas trop quoi répondre, je me suis dit après un temps de réflexion que le mieux c’était de répondre de manière très succincte et comme si finalement c’était relativement normal. Je lui ai confié alors que c’était suite à un pari perdu avec ma femme que j’avais dû m’acheter un string et que ma femme avait trouvé très sexy de me voir ainsi affublé. Et à la suite d’autres gages (je suis joueur), j’ai dû en porter de plus en plus souvent et ne trouvant finalement cela pas désagréable, j’en portais régulièrement pour lui faire plaisir et avoir notre petit secret coquin.
« Je veux voir cela. Enfiles le et fais un petit tour sur toi-même. » m’a-t-elle dit en me glissant dans une main mon string noir encore trempé de transpiration. J’étais conscient qu’a priori mon gage était fini mais vu qu’elle m’avait vu à poil et qu’elle savait que je portais le string, je me suis dit que je pouvais lui faire se plaisir. « Je suppose que je peux retirer mes lunettes maintenant ?» ai-je demandé alors. « Dans une minute » m’a-t-elle répondu. Et puis j’ai entendu un ‘click’.
Oh merde, elle me prenait en photo. Là on allait au-delà du gage. Je ne pouvais l’accepter. C’était en plus la porte ouverte à ce qu’elle ne s’arrête pas là. Je me rends compte maintenant que j’ai mis beaucoup de temps à réaliser que j’étais en train de me faire bien manipuler. A ce moment, j’ai enlevé les lunettes avec pour intention de me saisir, de force si nécessaire, de son GSM pour effacer les 2-3 photos compromettantes qu’elle venait de faire mais c’est alors que j’ai entendu des voix qui se rapprochaient de la porte des vestiaires et voyant ma serviette de bain sur le banc, je me suis précipité plutôt vers elle pour éviter de me retrouver en string devant d’autres personne. Et là Anouchka en a profité pour attraper son sac de sport et sortir en coup de vent en me disant : « A la semaine prochaine ! Et je te suggère de relever tes mails d’ici une petite heure.».
Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Qu’a-t-elle voulu dire par là ? Je ne lui ai même pas donné mon adresse email. ai-je alors pensé.
Je me suis souvenu néanmoins que pendant qu’on jouait elle m’avait dit qu’elle avait des problèmes avec sa boite mail Yahoo et qu’elle m’avait demandé chez qui j’étais. Je lui avais dit ‘Hotmail’. Elle connaissait également mon prénom et … pendant que je m’étais douché elle avait eu tout loisir de regarder dans mon portefeuille et donc de trouver également mon nom. Avec ces 3 éléments, elle pourrait sans doute deviner mon adresse mail …
Dans quoi je me suis embarqué ? J’ai eu alors l’impression que le sol s’était dérobé. Mais me rappelant alors que j’étais toujours quasi à poil dans les vestiaires des femmes, je me suis changé le plus rapidement possible et j’ai réussi à sortir des vestiaires sans que personne ne m’aperçoive. Sur le chemin de la maison, je m’étais dit qu’il devait encore y avoir moyen d’éviter que cela parte en vrille. Je devrais pouvoir raisonner Anouchka pour qu’elle efface les photos, au pire je n’aurais qu’à tout nier et dire que c’est un montage.
Rentré à la maison, j’ai embrassé ma femme et je lui ai expliqué que j’avais eu une bonne soirée et que j’avais joué avec toute une série de personnes différentes. Il était important de ne pas laisser transparaître ce qu’il s’était passé quelque chose d’inhabituelle. Cela devait rester secret. J’aime beaucoup ma femme et cette bêtise ne devait en rien impacter notre couple.
Après avoir rangé mes affaires, je me suis installé à mon bureau et j’ai relevé mes mails. J’ai vu un mail intitulé ‘Test’ provenant d’une adresse ‘a.badminton@yahoo.fr’. Dans les destinataires, j’ai vu 3 fois mon nom et prénom. Une fois séparé d’un point, le suivant d’un tiret et le dernier tout collé ensemble. Merde, Anouchka avait clairement trouvé mon adresse email.
Après sans doutes quelques minutes, mais cela me parut une heure avec l’angoisse qui m’habitait, j’ai reçu un nouveau mail s’intitulant ‘Quel spectacle !’ qui faisait 10 mégabytes. J’ai voulu lire d’abord le texte mais mon regard fut vite attiré par la première photo juste en dessous. Ce n’était même pas moi en string, c’était mon visage souriant avec la langue tirée remontant une bonne coulée de sperme sur un bout de sein. En dessous une photo de moi me masturbant, puis un zoom sur mon sexe après éjaculation revenu en position de repos pas très flatteuse et enfin ma langue fouillant bien son anus. Et malgré les lunettes qui cachaient mes yeux, on pouvait franchement me reconnaître sur ces photos. Je suis alors revenu au texte qui disait :
Olivier,
C’est beau de voir le plaisir que tu as à lécher ces différentes parties de corps. Comme tu m’as confié que tu prenais beaucoup de plaisir à cela, je te propose que tous les mardis soirs les joueuses intéressées que j’aurai mis dans la confidence pourront profiter de tes services en demandant une fellation que tu leur offriras dans les toilettes du club. Tu viendras avec un masque pour cacher tes yeux pour les plus pudiques, pour les autres, tu le feras en enlevant ton short et ton string pour bien être sur un niveau d’égalité.
A. qui te remercie encore pour ce que tu lui as offert.
Commençant à comprendre dans quelles griffes j’étais tombé, je me suis dit qu’il fallait absolument nier et refuser toute forme de chantage. Je n’avais qu’à parler d’une folle qui truquait des photos. Ce serait sa parole contre la mienne. J’ai donc répondu:
Chère ‘A.’,
Je ne vois pas de quoi vous voulez parler vous devez me confondre avec quelqu’un d’autre.
Merci de ne plus m’envoyer ce genre de courrier !
La réponse ne tarda pas :
Olivier,
J’ai du mal à comprendre ta réaction. Ce serait trop bête de ne pas faire en sorte que tes fantasmes profitent à quelques personnes.
Que penses-tu de partager différentes photos avec cette liste de personnes dont tu me fournirais les emails ?
A.
Et en dessous la photo d’une liste d’amis avec leur nom et adresse qui provenait de mon portefeuille.
« OH PUTAIN. J’étais foutu » ai-je pensé. J’ai regardé la liste et compris qu’elle sous-entend qu’elle pouvait facilement deviner les adresses d’une partie de ces personnes rien qu’avec leur nom et prénom. J’ai fait l’exercice moi-même et si heureusement cela ne fonctionnerait pas pour mon épouse, me suis rendu compte qu’elle atteindrait probablement 4-5 copines ainsi que ma belle-sœur très proche de mon épouse.
Je n’avais plus le choix. Pour éviter que mon épouse soit au courant il fallait que je lâche du terrain. Mais comment fixer une limite ?
J’ai fini pas répondre.
OK chère A., tu marques un point. Je ne suis néanmoins pas prêt à rentrer dans une spirale qui ne pourra que mal finir. Il y a des personnes qui ne doivent jamais rien savoir. Cela ne pourrait donc se faire dans une discrétion absolue avec des règles strictes sur ce que je pourrais faire et encore plus stricte sur le fait qu’il ne faut jamais en parler à qui que ce soit même entre joueuses dans la confidence.
O.
Et je vis s’afficher sur mon écran :
Nous resterons bien sûr discrètes. La limite sera bien ce que je te proposai dans mon premier mail.
Nous utiliserons un nom de code. Tu seras : ‘Le lèche foufoune du club’.
Pour être sûr que tu ne te débineras pas et comprenne les conséquences d’un refus, je remplis déjà une partie de ton agenda pour mardi prochain avec Françoise qui n’a vu qu’un avant-goût ce soir sous la douche.
A.
Je n’avais même pas échappé à cela finalement. Elle avait un témoin. Je ne voyais plus d’échappatoire que d’accepter son chantage qu’elle pourrait même nier avoir commis.
Et un nouvel mail arriva d’Anouchka (à partir de son adresse normale) vers Françoise et mon adresse non visible:
Chère Françoise,
Tu vas être la première à pouvoir profiter d’Olivier ‘Le lèche foufoune du club’. Il se fera un plaisir de t’envoyer au 7ème ciel avec sa langue dans les toilettes lors d’une pause pendant notre badminton mardi prochain. Cela doit rester un secret absolu entre nous. Je t’envoie déjà un teaser qu’il m’a demandé de t’envoyer. Tu dois néanmoins t’engager à l’effacer une fois l’œil rincé ;-).
Et là, j’ai vu 2 photos où j’étais en string, une de dos quand j’avais encore les lunettes et une où je venais de les enlever et me dirigeais vers Anouchka avant que je ne pense que qqn allait nous surprendre.
Avant de poursuivre, je dois vous préciser qu’Anouchka a rejoint le club cette année-ci et qu’elle a une fine silhouette de rêve et surtout un visage d’ange avec une peau diaphane et des pommettes roses qui viennent souligner un sourire quasi permanent. Moi qui trouve qu’un sourire c’est déjà 50% de la beauté, quand je regarde Anouchka je dois me concentrer pour la regarder normalement.
Et donc au vue de sa proposition, je lui ai répondu que j’étais bien-sûr disponible mais comme les quelques joueurs restants étaient tous occupés, cela voulait dire qu’on jouerait un simple et que c’était beaucoup plus physique qu’un double. Elle m’a répondu : « Tu veux dire par là que tu penses que je n’aurais aucune chance contre toi ? ». Un peu mal à l’aise je lui ai dit : « Heu, non, ce que je veux dire avant tout c’est que c’est fort différent. Le but de toute façon c’est de prendre du plaisir ».
« Si tu penses gagner je suppose que tu ne seras donc pas contre pimenter le match. Que penses-tu d’un gage pour le perdant ? » m’a-t-elle sorti.
Là j’avoue que je fus estomaqué. Mais après je ne pus m’empêcher en regardant ce corps de rêve de me dire qu’a priori je ne risquais pas grand-chose (Mince elle débutait quand-même. Maintenant sa vitesse de progression était impressionnante, je la soupçonne d’être une très bonne joueuse de tennis). Je lui ai demandé: « A quel type de gage penses-tu ? ». Et elle me répondit : « Je te propose de noter le gage que tu désires sur un bout de papier et le vainqueur pourra choisir entre le sien ou celui que l’autre comptait demander ». Et là, entrevoyant la possibilité de voir ce corps splendide sans plus aucun vêtement, j’ai accepté son défi et j’ai noté sur un bout de papier : ‘Offrir un strip-tease’.
« C’est parti » me dit-elle. A peine commençais-je que je m’étais dit que j’avais peut-être fait une connerie. J’ai réalisé entre autre que sous mon short de sport je portais le string (ma femme apprécie bcp et finalement je trouve cela plutôt agréable mais je crains toujours que quelqu’un un jour s’en rende compte et m’en fasse une remarque désobligeante et très gênante). J’ai commis alors plusieurs erreurs, stressé par l’enjeu et ne pouvant m’empêcher de penser à la belle poitrine ferme qui devait se cacher sous son T-shirt. Arrivé à 16-12 pour moi, je m’étais dit que c’était dans la poche. Mais ne voilà-t-il pas que suite à un démarrage brusque, j’ai ressenti le début d’une crampe au mollet et que finalement j’ai raté un peu trop d’échanges et alors que j’aurais pu conclure quand je menais 20-19, j’ai fini par perdre 22-20.
Elle m’a alors regardé en se délectant de mon dépit et elle m’a alors lancé: « Il est l’heure de passer à l’addition ». Et elle souriait jusqu’aux oreilles. « Tu ne vas quand même pas te débiner ? ».
« Non » répondis-je dans un état second. « Je viens de perdre et j’assumerai donc ma défaite ».
Elle prit alors mon papier et me dit : « Un strip-tease … Je vais plutôt prendre mon choix. Tu vas devoir me laver dans la douche de la manière dont que l’exigerai. Est-ce clair ?»
« Oui » répondis-je. Différentes pensées se bousculèrent alors dans ma tête : « Quid si quelqu’un d’autre rentre dans les douches des femmes pendant que je suis occupé ? Super, je vais quand même voir son corps de rêve ! Que va-t-elle penser en me voyant le sexe bandé ?
Si la situation m’angoissait, je devais reconnaître qu’elle m’excitait également. Au moins je lui montrerai un sexe d’une taille pas trop gênante (au repos par contre j’étais bien plus en dessous de la moyenne).
Après être passé chercher mes affaires côté ‘homme’, je l’ai rejoint pour entrer dans les vestiaires des femmes dans lesquelles heureusement, il n’y avait personne d’autre si ce n’est quand même les affaires de deux autres joueuses.
« Déshabille-toi » me dit-elle pendant qu’elle retirait ses chaussures, chaussettes puis sa jupette pour m’offrir la vue de jolies cuisses et une belle petite culotte bleue avec ce qui m’a semblé un peu d’humidité à hauteur de sa toison. Était-ce de la transpiration ou autre-chose ?
De mon côté j’ai enlevé mon short en même temps que mon string pour qu’elle ne s’aperçoive de rien et puis le reste que j’ai déposé en boule sur le banc. Elle s’est mise alors à me scruter et mon sexe qui n’était déjà plus au repos s’est mis au garde à vous. Je l’ai regardé à la fois gêné et à la fois impatient de découvrir la suite. C’est alors qu’elle a sorti de son sac de sport des lunettes de plongée, qu’elle a déchiré un mouchoir en papier en deux et insérant une moitié dans chaque globe elle m’a dit : « Mets cela ».
CATASTROPHE ! Je ne verrai rien et elle, elle pourra s’amuser.
Elle m’a alors donné le savon, m’a tenu la main pour me guider et m’a dit : « Suis-moi sous la douche et commence par me savonner le dos ». Je me suis appliqué et je l’ai entendu manifester un léger gémissement de plaisir. Après quelques minutes est venue la demande suivante :
« Maintenant tu vas t’occuper de bien laver mes pieds mais en utilisant juste ta langue ». Je me suis mis donc à ses pieds et j’ai commencé à lui lécher un orteil puis un autre. « Passe bien entre chaque orteil. » me dit-elle. Et j’ai fait comme demandé trouvant la situation à la fois humiliante et à la fois excitante.
« Savonne-moi les jambes et rince ta bouche avec l’eau de la douche » fut l’ordre suivant.
Après vint : « Mets maintenant ta langue ici plus haut et lave moi au plus profonds » tout en positionnant son dos sur le mur de la douche et en écartant bien les jambes.
Découvrant alors avec ma langue, une toison coupée ras, j’ai commencé à lécher les lèvres de sa chatte que je devinais légèrement proéminente. Malgré le flux d’eau permanent de la douche, je pouvais déjà goûter sa cyprine qui avait un goût parfumé qui m’enivrait. J’ai alterné des coups de langue plus superficiels et plus profonds et j’ai varié le rythme tout en me délectant de son nectar. Au bout de 3-4 minutes je l’ai sentie en train de se crisper, j’ai redoublé d’effort et puis j’ai obtenu un fort gémissement qu’elle ne put maitriser et elle faillit tomber mais je l’ai retenue juste à temps. « Ca c’était pas mal de tout. Qu’en as-tu trouvé ? » m’a-t-elle alors demandé tout en récupérant ses esprits.
« J’ai également beaucoup apprécié. J’adore offrir une fellation. Ma femme malheureusement ne l’accepte que de temps en temps après s’être lavée et là je me suis régalé. Ça m’a énormément excité. ». « Je le vois. » me dit-elle en se saisissant de mon sexe tendu à l’extrême ce qui me fit pousser un petit cri. « Cela va te faciliter la suite car tu vas devoir maintenant me laver les seins avec ton sperme ».
J’étais alors en même temps gêner en pensant que j’allais devoir me masturber devant cette femme que je connaissais à peine et ravi de pouvoir me soulager au vu de la tension dans mon entre-jambe. « Arrange-toi pour ne rien perdre » a-t-elle jouté. Et en moins d’une minute, je suis parvenu à remplir mes mains de mon sperme et j’ai étalé ma semence sur ces deux petits seins bien fermes que je me suis mis à malaxer. C’était grisant.
Vint alors l’ordre suivant : « Maintenant tu vas tout rincer avec ta langue, et gare à toi si quand tu as fini cela colle encore ».
« Ah non » ai-je répondu. « Ça je ne peux pas ».
« Pour le gage j’ai écrit que c’est de la manière dont je l’exige. Pour l’éviter tu aurais dû gagner ou ne pas parier. Veux-tu me faire croire que tu n’as jamais goûté ton sperme ? »
« Juste un peu. Et je n’ai vraiment pas aimé.» ai-je répondu.
« Et tu n’as jamais demandé à ta femme de te sucer et d’avaler ?»
« Si mais elle refuse d’avaler ».
« Et pourtant tu ne trouveras pas dégoutant qu’une femme te suce et avale jusqu’à la dernière goute n’est-ce pas ? ».
Je ne pus alors m’empêcher de reconnaitre que ‘oui’.
« Il est donc légitime que tu goutes bien à ce que tu aimerais qu’on te fasse alors assumes ta défaite ! »
Je me suis approché avec réticence de sa poitrine quand elle m’a dit : « Commence par bien tirer la langue et tu la mets à hauteur de mon téton gauche. Voilà et tu me faits un grand sourire pour montrer comme cela te plait. Maintenant tu montes doucement avec ta langue et tu récolte bien ton sperme. ». « Tu vois que ce n’est pas difficile » m’a-t-elle dit. « Maintenant l’autre côté et puis tu nettoies tout parfaitement. ».
Alors que je me suis appliqué comme demandé. A un moment où l’eau de la douche venait de s’arrêter, je me souviens maintenant avoir entendu un petit bruit sec et m’être alors figé. Mais voyant ma réaction, elle a appuyé sur le bouton de la douche et m’a dit : « Ce n’est rien j’ai laissé tomber le capuchon du savon ».
Au bout de deux minutes supplémentaires, je lui ai dit : « Voilà s’est fait. ». Elle a vérifié et puis m’a pris mon index et l’a pressé sur une partie de son sein. « Tu ne sens pas que ça colle encore là ? ».
« Heu désolé, je vais peaufiner » ai-je répondu.
« Pas la peine, je vais m’en occuper mais pour te punir de ta négligence, tu vas devoir maintenant t’occuper de ma porte arrière ». Elle m’a mis à genou, m’a demandé de tirer la langue et de s’approcher doucement. Quand j’ai atteint la cible j’ai constaté que ces fesses étaient bien écartées pour que je puisse bien la nettoyer. Elle s’est tournée alors dans différentes positions et m’a demandé de continuer à lui lécher le cul et puis j’ai entendu: « Aller c’est bon, je suis propre, à ton tour de te laver ».
A peine avais-je trouvé le savon en cherchant à tâtons, que j’entendis une porte s’ouvrir et puis la voix de Florence, une des deux autres joueuses qui étaient encore sur le terrain quand on a conclu notre match qui entamait une discussion avec Anouchka.
« Horreur ! », me suis-je dit. Je me suis déplacé alors contre un des murs des douches en espérant qu’elle ne me verrait pas si elle prenait une des douches seules du côté droit. Une minute plus tard, le temps qu’elle se déshabille, j’ai entendu le son de l’eau qui coulait dans la partie droite des douches et cinq minutes après, l’eau s’était déjà éteinte. Et après avoir à nouveau échangé quelques propos avec Anouchka, j’ai entendu une porte se refermer. N’ayant pas entendu le moindre cri de surprise ou réflexion gênante, j’en ai déduit que je l’avais échappé belle.
« Viens elle est partie » m’a dit alors Anouchka. « En voulant préparer tes affaires, à côté de ton slip blanc tout propre, je suis tombé sur ce que tu portais pendant qu’on a joué ensemble » m’a-t-elle sorti. « Un homme qui porte le string, j’en avais jamais rencontré. Cela demande quelques éclaircissements.»
Là point de vue situation gênante, j’avais encore franchi un palier. Dans quelle galère j’avais bien pu me fourrer ? Ne sachant pas trop quoi répondre, je me suis dit après un temps de réflexion que le mieux c’était de répondre de manière très succincte et comme si finalement c’était relativement normal. Je lui ai confié alors que c’était suite à un pari perdu avec ma femme que j’avais dû m’acheter un string et que ma femme avait trouvé très sexy de me voir ainsi affublé. Et à la suite d’autres gages (je suis joueur), j’ai dû en porter de plus en plus souvent et ne trouvant finalement cela pas désagréable, j’en portais régulièrement pour lui faire plaisir et avoir notre petit secret coquin.
« Je veux voir cela. Enfiles le et fais un petit tour sur toi-même. » m’a-t-elle dit en me glissant dans une main mon string noir encore trempé de transpiration. J’étais conscient qu’a priori mon gage était fini mais vu qu’elle m’avait vu à poil et qu’elle savait que je portais le string, je me suis dit que je pouvais lui faire se plaisir. « Je suppose que je peux retirer mes lunettes maintenant ?» ai-je demandé alors. « Dans une minute » m’a-t-elle répondu. Et puis j’ai entendu un ‘click’.
Oh merde, elle me prenait en photo. Là on allait au-delà du gage. Je ne pouvais l’accepter. C’était en plus la porte ouverte à ce qu’elle ne s’arrête pas là. Je me rends compte maintenant que j’ai mis beaucoup de temps à réaliser que j’étais en train de me faire bien manipuler. A ce moment, j’ai enlevé les lunettes avec pour intention de me saisir, de force si nécessaire, de son GSM pour effacer les 2-3 photos compromettantes qu’elle venait de faire mais c’est alors que j’ai entendu des voix qui se rapprochaient de la porte des vestiaires et voyant ma serviette de bain sur le banc, je me suis précipité plutôt vers elle pour éviter de me retrouver en string devant d’autres personne. Et là Anouchka en a profité pour attraper son sac de sport et sortir en coup de vent en me disant : « A la semaine prochaine ! Et je te suggère de relever tes mails d’ici une petite heure.».
Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Qu’a-t-elle voulu dire par là ? Je ne lui ai même pas donné mon adresse email. ai-je alors pensé.
Je me suis souvenu néanmoins que pendant qu’on jouait elle m’avait dit qu’elle avait des problèmes avec sa boite mail Yahoo et qu’elle m’avait demandé chez qui j’étais. Je lui avais dit ‘Hotmail’. Elle connaissait également mon prénom et … pendant que je m’étais douché elle avait eu tout loisir de regarder dans mon portefeuille et donc de trouver également mon nom. Avec ces 3 éléments, elle pourrait sans doute deviner mon adresse mail …
Dans quoi je me suis embarqué ? J’ai eu alors l’impression que le sol s’était dérobé. Mais me rappelant alors que j’étais toujours quasi à poil dans les vestiaires des femmes, je me suis changé le plus rapidement possible et j’ai réussi à sortir des vestiaires sans que personne ne m’aperçoive. Sur le chemin de la maison, je m’étais dit qu’il devait encore y avoir moyen d’éviter que cela parte en vrille. Je devrais pouvoir raisonner Anouchka pour qu’elle efface les photos, au pire je n’aurais qu’à tout nier et dire que c’est un montage.
Rentré à la maison, j’ai embrassé ma femme et je lui ai expliqué que j’avais eu une bonne soirée et que j’avais joué avec toute une série de personnes différentes. Il était important de ne pas laisser transparaître ce qu’il s’était passé quelque chose d’inhabituelle. Cela devait rester secret. J’aime beaucoup ma femme et cette bêtise ne devait en rien impacter notre couple.
Après avoir rangé mes affaires, je me suis installé à mon bureau et j’ai relevé mes mails. J’ai vu un mail intitulé ‘Test’ provenant d’une adresse ‘a.badminton@yahoo.fr’. Dans les destinataires, j’ai vu 3 fois mon nom et prénom. Une fois séparé d’un point, le suivant d’un tiret et le dernier tout collé ensemble. Merde, Anouchka avait clairement trouvé mon adresse email.
Après sans doutes quelques minutes, mais cela me parut une heure avec l’angoisse qui m’habitait, j’ai reçu un nouveau mail s’intitulant ‘Quel spectacle !’ qui faisait 10 mégabytes. J’ai voulu lire d’abord le texte mais mon regard fut vite attiré par la première photo juste en dessous. Ce n’était même pas moi en string, c’était mon visage souriant avec la langue tirée remontant une bonne coulée de sperme sur un bout de sein. En dessous une photo de moi me masturbant, puis un zoom sur mon sexe après éjaculation revenu en position de repos pas très flatteuse et enfin ma langue fouillant bien son anus. Et malgré les lunettes qui cachaient mes yeux, on pouvait franchement me reconnaître sur ces photos. Je suis alors revenu au texte qui disait :
Olivier,
C’est beau de voir le plaisir que tu as à lécher ces différentes parties de corps. Comme tu m’as confié que tu prenais beaucoup de plaisir à cela, je te propose que tous les mardis soirs les joueuses intéressées que j’aurai mis dans la confidence pourront profiter de tes services en demandant une fellation que tu leur offriras dans les toilettes du club. Tu viendras avec un masque pour cacher tes yeux pour les plus pudiques, pour les autres, tu le feras en enlevant ton short et ton string pour bien être sur un niveau d’égalité.
A. qui te remercie encore pour ce que tu lui as offert.
Commençant à comprendre dans quelles griffes j’étais tombé, je me suis dit qu’il fallait absolument nier et refuser toute forme de chantage. Je n’avais qu’à parler d’une folle qui truquait des photos. Ce serait sa parole contre la mienne. J’ai donc répondu:
Chère ‘A.’,
Je ne vois pas de quoi vous voulez parler vous devez me confondre avec quelqu’un d’autre.
Merci de ne plus m’envoyer ce genre de courrier !
La réponse ne tarda pas :
Olivier,
J’ai du mal à comprendre ta réaction. Ce serait trop bête de ne pas faire en sorte que tes fantasmes profitent à quelques personnes.
Que penses-tu de partager différentes photos avec cette liste de personnes dont tu me fournirais les emails ?
A.
Et en dessous la photo d’une liste d’amis avec leur nom et adresse qui provenait de mon portefeuille.
« OH PUTAIN. J’étais foutu » ai-je pensé. J’ai regardé la liste et compris qu’elle sous-entend qu’elle pouvait facilement deviner les adresses d’une partie de ces personnes rien qu’avec leur nom et prénom. J’ai fait l’exercice moi-même et si heureusement cela ne fonctionnerait pas pour mon épouse, me suis rendu compte qu’elle atteindrait probablement 4-5 copines ainsi que ma belle-sœur très proche de mon épouse.
Je n’avais plus le choix. Pour éviter que mon épouse soit au courant il fallait que je lâche du terrain. Mais comment fixer une limite ?
J’ai fini pas répondre.
OK chère A., tu marques un point. Je ne suis néanmoins pas prêt à rentrer dans une spirale qui ne pourra que mal finir. Il y a des personnes qui ne doivent jamais rien savoir. Cela ne pourrait donc se faire dans une discrétion absolue avec des règles strictes sur ce que je pourrais faire et encore plus stricte sur le fait qu’il ne faut jamais en parler à qui que ce soit même entre joueuses dans la confidence.
O.
Et je vis s’afficher sur mon écran :
Nous resterons bien sûr discrètes. La limite sera bien ce que je te proposai dans mon premier mail.
Nous utiliserons un nom de code. Tu seras : ‘Le lèche foufoune du club’.
Pour être sûr que tu ne te débineras pas et comprenne les conséquences d’un refus, je remplis déjà une partie de ton agenda pour mardi prochain avec Françoise qui n’a vu qu’un avant-goût ce soir sous la douche.
A.
Je n’avais même pas échappé à cela finalement. Elle avait un témoin. Je ne voyais plus d’échappatoire que d’accepter son chantage qu’elle pourrait même nier avoir commis.
Et un nouvel mail arriva d’Anouchka (à partir de son adresse normale) vers Françoise et mon adresse non visible:
Chère Françoise,
Tu vas être la première à pouvoir profiter d’Olivier ‘Le lèche foufoune du club’. Il se fera un plaisir de t’envoyer au 7ème ciel avec sa langue dans les toilettes lors d’une pause pendant notre badminton mardi prochain. Cela doit rester un secret absolu entre nous. Je t’envoie déjà un teaser qu’il m’a demandé de t’envoyer. Tu dois néanmoins t’engager à l’effacer une fois l’œil rincé ;-).
Et là, j’ai vu 2 photos où j’étais en string, une de dos quand j’avais encore les lunettes et une où je venais de les enlever et me dirigeais vers Anouchka avant que je ne pense que qqn allait nous surprendre.
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Les avis des lecteurs
superbe histoire vivement la suite et j espete que toute ses filles sauront récompense à sa juste valeur son travail