Fantasmes
Récit érotique écrit par Pépéoscar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fantasmes
En cette après-midi du mois de juin, il fait chaud, les femmes sont vêtues de robes légères. Nous avons rendez-vous dans le centre commercial à quinze heures. A mon habitude j'arrive quelques minutes en avance. Et toi bien entendu avec quelques minutes de retard. Tu sais que cela me fait enrager mais tu n'essaie pas de faire un effort de ponctualité. Dès ton arrivée je vérifie que tu n'as pas mis de culotte et que ta chatte est rasée de près. J'ai toujours eu horreur de ces femmes avec la chatte mangé par un tapis de poils. Je vois de suite que tu n'as pas mis de soutien gorge et que tes seins ballottent au grès de ta marche chaloupée. Nous parcourons les allées du centre commercial bras dessus bras dessous. Certains hommes se retournent sur notre passage, en apercevant ta poitrine libre de toute entrave. De savoir ces regards lubriques sur toi, tu commences déjà à mouiller. Après quelques temps dans ce centre commercial, il est temps d'aller à l'hôtel. Mais en sortant, on passe devant les toilettes de ce centre. Une envie subite me prend. Je te tire par la main et nous nous engageons dans les toilettes hommes. Tu sais ce qui va ce passer. Nous entrons dans une cabine. Je te fais asseoir sur la cuvette, tu descends ma braguette. Ma bite en jaillit tel un diable de sa boite. Tu la prends en bouche jusqu'au couilles. Et tu commences une bonne pipe dont tu as le secret. Ta langue fait le tour du gland, elle titille toute la hampe. Tes lèvres aspirent mes couilles, c'est divin. Mais je ne veux pas encore décharger l'après midi ne fait que commencer. En sortant des toilettes le regard des hommes nous transpercent. Mais ils ne sont que jaloux car ils se doutent bien que tu viens de me faire une pipe. Direction l'hôtel. Le réceptionniste échange avec moi un regard complice, car je n'ai demandé la chambre que jusqu'à dix huit heures. Il renifle le bon coup le garçon. Nous montons dans la chambre. Elle est spacieuse, décorée avec goût. Un grand lit, un placard et surtout une grande salle de bain avec jacuzzi. Tu enlèves la robe et tu m'apparais à poil. Tes seins pointent fièrement, de jolis seins en formes de poires, des aréoles brunâtres, des bouts qui bandent bien. Je les mordille, les triturent. Tu gémis, tes jambes flageolent. Mes lèvres courent sur tes seins, elles s'attardent sur leurs bouts pour que ces derniers bandent bien. Puis, je descends lentement, doucement. J'arrive sur ta chatte bien glabre. Un régal à manger une chatte sans poil. Je suce ton bouton d'amour. Je sens couler sur mes lèvres et mes joues toute ta liqueur. Tu n'es plus qu'une fontaine d'amour. Tu te liquéfies. Je n'arrive pas à avaler tout ce qui coule. C'est sucré et âpre à la fois. J'adore. Je bande comme cerf. Ma langue pénètre dans cette caverne. Tu remue des hanches comme si tu étais possédée du démon. Ma langue part alors à l'exploration de ton trou du cul. Ce dernier à un petit arrière goût poivré. C'est bon. Ta rosette est souple, mais ferme à la fois. Ma langue y pénètre avec un tout petit peu de difficulté mais sans difficulté le passage ton cul s'ouvre. Mon majeur vient remplacer la langue. Puis l'index va le rejoindre. Ils tournent, avancent, reculent. Ton cul s'ouvre, se dilate et tu rugis de plaisir. Je te fais maintenant mettre à quatre pattes. Ma bite vient se positionner à l'entrée de ton cul. Je pousse un petit peu, ma bite rentre sans problème. Tu te mets à feuler, à gémir, à crier. Ton excitation va crescendo. Tu te liquéfies. Ta main branle ton clito. Mes mains pétrissent tes seins, ma bite laboure ton fondement. Tu jouis plusieurs fois, tu me demandes d'arrêter car c'est trop fort. Tu ne sais plus qui tu es, ou tu es et ce que t'y arrive. Dix minutes de ce traitement et je sens monter dans mes reins le désir, je vais décharger dans ton cul. Une onde de désir part de mes reins, je t'inonde ce petit oeillet brun. Un dernier orgasme te secoue et tu retombes sur le lit comme un pantin désarticulé, moi aussi d'ailleurs. Nous nous s'assoupissons quelques minutes avant le prochain épisode.
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