sans titre

- Par l'auteur HDS Pépéoscar -
Auteur homme.
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Récit libertin : sans titre Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2003 dans la catégorie Dominants et dominés
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sans titre
Après ce repos bien mérité, nos lèvres se soudent pour un baiser brûlant d'amour. Nos langues se lient, se délient, nous nous aspirons, nous échangeons nos salives. Un délice cet échange de tendresse et de complicité. Avec ces échanges buccaux, tu recommences à mouiller, à couler telle les chutes du Niagara, je n'avais jamais croisé une nana qui soit aussi prolifique de mouille que toi. Tes lèvres partent à la découverte de mon corps. Elles aspirent mes seins, tu les fais durcir. Puis elles descendent vers mon sexe. Ta langue le lèche tel un esquimau glacé. Elle en fait le tour. Elle agace le gland, descends jusqu'aux couilles.
Puis tu le prends dans ta bouche, tu l'aspires. Tu arrêtes et vas vers le frigo, tu y prends un glaçon que tu t'introduis dans la bouche. Tu reviens vers moi et tu happes ma bite. Quel délice, quel bonheur, une pipe aux glaçons. C'est exquis, divin je n'ai pas assez de mots pour décrire cette sensation de bonheur et de plénitude. Tu continues, tu accélères et bientôt je jouis dans ta bouche. Tu avales tout mon sperme.
Puis avec acharnement tu absorbes avec ta langue les dernières gouttes qui restent sur ma queue. Le plaisir me fait défaillir, je suis quasiment dans le coma. Mais que c'était bon cette pipe. Je reprends mes esprits. Et à mon tour de te donner du plaisir. Je vais utiliser mes doigts et ma langue uniquement. Je commence par pincer tes seins, je les malaxe, les triture, les mordille. Tes bouts bandent comme une bite. Ils s'allongent. Tu commences à remuer. Tu commences à dégouliner. Et moi je bande faiblement mais l'érotisme, la sensualité me font bientôt bander tel un éléphant.
Je te fais mettre à quatre pattes et sans ménagement je t'encule. Tu cries, tu hurles sous la douleur de la pénétration. Mais je n'en ai cure et je continue ma pénétration jusqu'à ce que mes couilles touchent ta chatte, que je n'ai pas encore rasée. Ton oeillet enserre bien ma bite, elle est prisonnière d'un passage doux mais très ferme. Je reprends mes esprits. Cela va être ta fête. J'ouvre l'armoire pour récupérer le martinet. Tes yeux expriment la peur. Tu as peur de la souffrance. Tu as peur de ce qui va t'arriver. Tu n'as jamais goûté au martinet, aux lanières de cuir de ce vieil instrument.
Je te fais mettre à quatre pattes. Tu embrasses le manche, tu le prends dans ta bouche comme si c'était un sexe. Tu fais une pipe au martinet. Tu penses l'apprivoiser. Je te le retire violemment de la bouche. Et je t'en assène un léger coup sur ta croupe rebondie. Tu as un mouvement d'étonnement. Puis j'insiste par petits coups sur toute la surface de ton cul. Je te fais écarter les jambes. Et un coup part dans ton entrejambe, il vient caresser ta chatte qui est inondée. Tu sursaute de surprise, car le coup est léger. Mais j'accentue la violence des coups. Tu cries, tu te débats.
J'arrête pour une première expérience cela suffit. Tu viens te blottir dans mes bras. Nous nous embrassons furieusement. Puis je te retourne et je t'encule. Ton cul est lubrifié par les litres de mouille que tu viens de distiller. Ma bite rentre dans ton cul sans difficulté. Ta rondelle est souple, elle s'élargit pour livrer le passage à ma queue. Je te ramone durant de longues minutes. Tu râles, tu gémis, tu en demande encore plus loin, plus fort, plus profond. Tu es une chienne en rut, une chienne qui veut être prise par son mâle. Je me vide les couilles au plus profond de ton trou du cul.
Puis, je t'oblige à venir nettoyer ma pine couverte de toutes sortes de sécrétions. Tu la nettoies avec application, comme une femelle bien soumise. Une bonne douche, et nous partons faire quelques emplettes. Tu as le cul à l'air sous ta jupe courte. Tes seins libres de toutes contraintes ballottent au rythme de ta marche chaloupée. Nous allons au sex-shop acheter un gode qui nous permettra de varier nos jeux. Voici l'entrée du sex-shop, tu esquisse un mouvement de recul. Je te rassure par une pression de mes doigts sur ton bras. Tu entres la première. Les regards lubriques des hommes présents à l'intérieur te déshabillent. Nous nous promenons dans les allées. Puis nous nous arrêtons devant les godes. Tu ne sais pas lequel choisir.
J'en prends un long et gros. Tu me dis que c'est trop monstrueux pour ta chatte. Mais je ne tiens pas compte de tes récriminations. Puis nous en choisissons un autre plus petit, celui qui viendra bourrer ton cul. A la caisse, le patron me propose une substantielle réduction si tu essaie dans le magasin le matériel que nous venons de choisir. Tu deviens cramoisie. J'accepte. Nous allons dans une petite salle au fond. Il y a un petit lit. Je te fais enlever ta robe et tu apparais nue devant les clients et le patron du sex-shop. Ils apprécient le spectacle. Leurs pantalons gonflent.
Tu prends le gode, tu commences à le promener sur ton corps, en commençant par ton cou. Tu l'embrasses, tu le lèches, puis tu le prends en bouche pour une pipe. Tu le poses sur tes seins, leurs bouts se tendent. Ils deviennent durs, ils gonflent. Puis lentement, doucement tu le fais descendre vers ta chatte. Elle est bien rasée, on voit les perles d'amours qui commencent à arriver. Tu es toute mouillée. Puis avec une lenteur savamment calculée, tu commences à le faire pénétrer dans ta chatte. Mais il est gros, long, et il faut que tu distendes bien ta chatte.
Progressivement il rentre. Ta chatte humide le happe. Bientôt il est entièrement en toi. Et là tu te déchaînes, tu lui imprimes des mouvements de va et vient de plus en plus rapides. Tu as oublié l'endroit, les spectateurs. Tu es toute à ta jouissance. Tu jouis, ton corps se tend comme arc. Tu retombes sur le lit saoulée de plaisir. Certains spectateurs se sont branlés en même temps que toi. Ils s'essuient et rangent leur matériel dans leur pantalon.
Le patron me dit, quand vous voulez vous la ramener pour un spectacle tel que celui-ci. Mes clients ont été très contents, je vous offre les deux godes. Le patron me demande s'il peut te consommer. Là je dis non, car elle n'est que pour moi. La vue pour tout le monde, mais la consommation m'est uniquement réservée. Tu passes ta robe et nous quittons cet endroit.
Direction la maison pour essayer ces nouveaux jouets.

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