Fantasmes candaulistes - histoire érotique

Le sang bat à mes tempes… Je suis dans un état d’excitation comme jamais atteint. Il me reste juste un pas à franchir. Elle est là, endormie, inerte, nue au-dessus des draps. Ses cuisses blanches sur lesquelles je viens de remonter les bas noirs sans même qu’elle ne bronche sont écartées.
La semaine dernière déjà, j’ai essayé sur elle ce produit sous forme de gouttes qu’il m’a donné. Le résultat a été très probant. J’ai pu profiter de son corps sans retenue, lui faisant prendre des poses très obscènes et les immortalisant avec mon numérique. Je l’ai baisée bien sûr mais surtout j’ai laissé ma lubricité se défouler et elle qui n’avait jamais utilisé de sa vie de sextoys, s’est vu photographiée avec une magnifique courgette dans le sexe. J’en ai ainsi usé pendant au moins 2 heures et le lendemain, elle ne s’en souvenait pas. Je sais donc que mes envies les plus folles peuvent se concrétiser dès que je le déciderai.
Je regarde le corps un peu lourd mais assez bien conservé de cette petite femme de 55ans. Ces cuisses blanches rarement exposées, ces seins lourds et ce sexe qui n’a jamais connu d’autre visiteur que moi. Combien de fois ai-je rêvé de la voir dans les bras d’autres hommes ? Ce n’est pas que le sexe ne lui plaise pas, mais il ne faut surtout pas qu’il se fasse en dehors des sentiers battus.
Depuis des mois, mes fantasmes m’ont amenés là où j’en suis aujourd’hui, au bord de l’assouvissement. Passer du virtuel à la réalité, ce sera chose faite dans quelques minutes si j’ose franchir ce dernier pas. Lui aussi doit attendre, lui avec qui depuis des semaines j’ai échangé, lui a qui j’ai dévoilé mes envies et aussi d’une certaine manière l’intimité d’Eliane. Ce n’était bien sûr pas la première fois que je montrais des photos d’elle nue, mais avec lui c’était devenu pratiquement quotidien. Je le sentais très demandeur. Il m’était même arrivé souvent de brancher la webcam lorsqu’elle se trouvait à proximité et d’aller la caresser, dévoilant discrètement un sein ou une fesse. Dans ces moments là, il ne cachait pas son excitation et m’avouait se caresser. Notre complicité a vraiment commencée quand il m’a avoué l’avoir observée pendant son cours de gymnastique du mercredi soir et que pour prouver ces dires, il m’envoya plusieurs photos prises avec son téléphone sur laquelle on voyait clairement Eliane au milieu de ses comparses. J’ai d’abord eu un peu peur et le lendemain je ne me suis pas connecté, mais l’envie d’en savoir plus me taraudait et nous avons repris nos conversations. Il m’a avoué avoir très envie de lui faire l’amour. C’est du moins le terme qu’il employait à cette époque, les mots beaucoup plus crus et plus imagés ont rapidement suivi. Je me masturbais souvent le soir en le lisant, et lorsque je lui faisais l’amour, je m’imaginais que c’était lui qui la besognait.
Cela dure maintenant depuis 3 mois et j’ai l’impression qu’il la connait aussi bien que moi. Quand il m’a dit qu’il n’en pouvait plus, et qu’il fallait absolument qu’il la possède, j’ai trouvé cela presque légitime. Je n’ai pas dit non lorsqu’il a souhaité me rencontrer pour m’en parler et c’est à cette occasion qu’il m’a remis le flacon. Je l’ai trouvé sympathique et de ce jour-là, j’ai su que si un autre la baisait ce serait lui. Il m’a incité à cette expérience de la semaine dernière que nous avons largement commentée et dont il a pu admirer les clichés.
Elle n’a pas bougé… Je me lève après un regard sur son entrecuisse offert. Je vais vers la porte d’entrée et avec une boule dans l’estomac, je la déverrouille. J’appuie ensuite sur l’interrupteur qui commande l’éclairage extérieur. Voilà… c’est fait, le signal est donné. Je retourne près d’elle et je me penche sur son sexe que je commence à lécher. Lorsque j’entends la poignée extérieure s’ouvrir, je poursuis ce que j’ai si bien commencé et malgré son apparente apathie, Eliane semble apprécier.
J’entends dans le couloir derrière moi le froissement des vêtements dont il se débarrasse. La porte s’ouvre et je le devine plus que je ne l’entends. L’éclairage est relativement tamisé mais si elle ouvrait les yeux, elle découvrirait notre machination. Il pose sa main sur mon épaule pour me signifier sa présence et je me relève lui laissant découvrir ce fruit qu’il convoite. Il est tendu comme un arc et ce sexe violacé est nettement plus gros que le mien ; je réalise que là encore, elle risque de s’en apercevoir rapidement. Il se penche et sa bouche prend possession des lèvres délaissées. Je suis dans un état d’excitation que je n’ai pas connu depuis bien longtemps, j’observe tour à tour cette langue qui la fouille et cette barre de chair qui semble encore croître. Je me recule et tout en augmentant un peu l’éclairage, je me saisis de ma caméra. Je filme maintenant sans discontinuer en alternant les gros plans sur la langue qui s’applique, l’entrejambe de notre visiteur et ses mains qui pétrissent les seins d’Eliane. Soudain il se relève, et ses dents déchirent la protection du préservatif qu’il tenait posé à côté de lui. Malgré son état d’excitation, il enfile rapidement la protection…
Le voilà positionné à l’entrée de la grotte qu’il a lui-même humidifiée. Il se frotte un peu en écartant ainsi les lèvres, s’immobilise et lentement commence sa poussée. Voilà c’est fait…leurs toisons se rejoignent, ses couilles viennent buter sur les fesses de ma femme et lentement il commence ses va-et-vient. Je sens qu’il suffirait que je pose la main sur mon sexe pour exploser…
Ses mouvements sont réguliers, et je vois cette rougeur caractéristique sur le visage d’Eliane, cette légère sueur entre ses seins… Elle commence à haleter, j’ai un peu peur qu’elle n’ouvre les yeux. Ses mains viennent de se poser sur les bras de son visiteur et petit à petit ses ongles s’enfoncent dans la chair. Le râle monte tout aussi lentement, sa tête s’agite de gauche à droite de manière désordonnée. Et la jouissance arrive… son orgasme est violent. Lui aussi semble au bord de l’explosion. Il sort son sexe de celui de ma femme et arrache brutalement le préservatif. Il n’a que quelques gestes de la main à faire pour que son sperme vienne inonder le ventre et le sexe de sa partenaire. Il se lève lentement et disparait dans le couloir pendant que le cocu que je suis devenu se soulage à son tour, mêlant son sperme au précédent.
Il me reste à faire un peu de ménage…Quand je vais le rejoindre, il est déjà habillé. Avant que je ne ferme la porte derrière lui il a le temps de me glisser « ferme bien… quelqu’un d’autre pourrait en profiter.. !. A bientôt »