L'escalade (suite des évadés)
Récit érotique écrit par Hervé Cazin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'escalade (suite des évadés)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Etre obligé de bosser un samedi matin ce n’est quand même terrible. Enfin cet après-midi repos, il y a rugby à la télé, je ne vais pas bouger du reste de la journée. Il fait beau, la circulation est fluide et je suis rapidement arrivé dans mon petit lotissement. D’un seul coup je m’arrête à une trentaine de mètres de la maison. Mon cœur s’accélère. « Oh non… ». Dans la montée du garage stationne une voiture que je reconnais malheureusement. Ce break noir ne peut que m’apporter des bouleversements dans mes projets. Je me gare un peu n’importe comment et je me dirige rapidement vers la porte tout en lorgnant vers les habitations voisines. Pas de curieux aux fenêtres. Je rentre directement sans sonner et me dirige lentement vers le salon. Les bruits que j’entends ne laissent aucun doute sur ce qui s’y passe. Dans le canapé deux femmes d’une trentaine d’années fument tranquillement en regardant le spectacle qui se déroule devant elle. Ma femme, la robe relevée largement, les collants et la culotte sur les chevilles, subit les vigoureux assauts de Khaled qui la sodomise à grands coups de reins. Il se tourne vers moi « Ah tu es là… content de vous revoir, toi et le cul de ta femme ». Eliane, secouée au rythme des coups de boutoirs se mord les lèvres et s’agrippe aux bords de la table du salon. Elle ne me regarde pas. Dans un dernier assaut, Khaled se vide dans les entrailles de ma femme. Il sort lentement et s’essuie avec la nappe. « Bon passons aux choses sérieuses, le travail avant tout… les filles préparez-là. Je t’emprunte ta femme pour le week-end tu vas pouvoir te reposer. ». Comme j’ouvre la bouche pour répliquer il me calme rapidement. « Tu veux jouer au héros, lopette ?...N’oublie pas nos petites videos ».
Les deux filles emmènent Eliane vers la chambre, tandis que Khaled après s’être servi un whisky s’assied dans un fauteuil et allume une cigarette. « Ta salope représente un bon potentiel…ce serait dommage de ne pas en profiter. Si tu es sage on te la ramène demain soir ».
Au bout d’un quart d’heure, les deux femmes reviennent, poussant Eliane devant elles. Il est difficile de reconnaitre ma femme dans la créature qui vient d’entrer. Maquillée de manière très marquée, un collier de chien autour du cou, des bas résilles, une mini-jupe sous laquelle aucune culotte ne vient cacher le sexe à nouveau glabre, les hauts talons sur lesquelles elle chancèle et un body ajouré qui laisse à l’air libre les seins dont les pointes ont été colorées. Malgré moi je bande.
« Trouvez lui un pardessus pour sauver les apparences les filles…pas besoin que tout le quartier sache que c’est une pute ».Ils se dirigent tous les 4 vers la sortie. « Allez, t’inquiète on te la ramènera ».
Il va être 191h00 je suis seul depuis ce midi, torturé par ma lâcheté, tournant en rond dans la maison. Non, je pense qu’ils ne lui feront rien de mal, elle va bien finir par revenir. Le téléphone sonne et je me précipite. La voix de Khaled « Ah parfait j’espérais bien te trouver là – Que vous lui avez-vous fait ? Où est ma femme ? – T’occupe pas de ça. Tu vas la retrouver dans un moment mais avant tu vas aller me faire quelques courses… »
Me voilà roulant un peu vite pour aller retrouver Eliane. Dans le coffre de la voiture se trouvent les bouteilles de champagne et de whisky que Kahled m’a fait acheter.
L’adresse que Khaled m’a indiquée se trouve à l’extérieur de la ville. C’est une grande villa au milieu d’un parc avec visiblement beaucoup de terrain dont un grand parking. Je compte une vingtaine de véhicules auprès desquels je me gare.
Mon coup de sonnette provoque un peu de mouvement à l’intérieur. C’est Kharim qui m’ouvre et le regard méprisant qu’il me lance prouve qu’il n’a pas changé d’avis sur moi. « Décharge ce que tu as amené ! »Je m’exécute et il m’indique la cuisine où je dépose les cartons. Au terme de mon 5ème voyage, je me retrouve seul dans cette pièce. Il y a visiblement beaucoup d’animation dans les pièces d’à côté. Je me risque dans le couloir et je m’approche avec précaution de ce qui semble être le salon. Le spectacle est surprenant. Dans la pièce que je découvre, des hommes et des femmes sont enchevêtrés, par groupe de 2 ou 3 et semblent inventorier toutes les pages du kamasutra. J’aperçois Eric lui-même occupé à besogner une petite brune avec la même régularité que je lui ai vu baiser ma femme. Au fond de la pièce Khaled est assis sur un tabouret de bar et les deux femmes qui l’accompagnaient le sucent avec application. Pas de trace d’Eliane. Khaled promène les yeux sur l’assistance et semble pleinement satisfait. M’apercevant, il me fait signe d’approcher. Je traverse la pièce en enjambant parfois des corps et je m’approche de lui. « Tu as amené ce que je t’ai demandé ? – Oui…où est ma femme ? –Tu commences à m’énerver, mets-toi dans la tête qu’elle ne t’appartient que quand on te la laisse ! – où est-elle ? ». Il désigne une porte ouverte sur sa droite. « Si tu y tiens…elle est là. »
Je me dirige à l’endroit indiqué et je constate que derrière la porte se trouvent 2 escaliers, l’un montant, l’autre descendant. Poussé par mon instinct, je commence à descendre. La cave dans laquelle j’arrive doit ouvrir toute la surface de la maison. Les murs sont garnis d’une foule d’objets dont la destination ne fait aucun doute. Les croix de St André, les fouets les godes sont alignés, mais ce qui attire tout de suite mon attention c’est le groupe qui se trouve au fond de la cave. Je dénombre 7 hommes qui me tournent le dos. En m’approchant je découvre ce qui motive leur attention. Une femme est au pilori et je ne vois pas son visage. Derrière elle un gros bonhomme s’active, la pilonnant sans retenue tout en l’insultant. Je contourne le groupe, derrière les autres hommes qui attendent leur tour. Aucun n’est un prix de beauté et je comprends pourquoi ils sont là ; une pancarte indique « Pas partenaire ? Celle-ci est à vous. Servez-vous. » Au passage je note les fesses blanches, zébrées de coups de cravaches, les poids accrochés aux seins qui balancent au rythme de son partenaire. Les bas sont déchirés, maculés de sperme et c’est en les voyant que je comprends. C’est bien Eliane que je découvre, le maquillage se mêlant au sperme qui couvre son visage et ses cheveux. Un autre homme occupe sa bouche et visiblement il n’est pas le premier.
« Tu vois qu’elle a du potentiel !...c’est au moins le trentième qui la baise depuis ce début d’après-midi ». Khaled vient de me rejoindre, l’envie de m’humilier est trop forte. « Dans une demi-heure on lui fera faire une pause et on la rafraîchira…le week-end ne fait que commencer ». Il me regarde en souriant. « Mais peut-être que l’expérience te tente ? Sache qu’à l’étage il y a une salle équipée comme celle-ci mais on y propose des lopes dans ton genre…Ton copain Paulo serait sûrement content de te retrouver…Bon allez dégage, laisse là bosser. »
Je quitte la cave par le même chemin. Je remonte lentement, les pensées se bousculent. Je revois le sexe de Paulo forçant ma bouche et mes reins…et le plaisir que j’ai éprouvé à être humilié. Arrivé sur le palier, je sais déjà que ma décision est prise et c’est avec une boule au ventre que je m’engouffre dans l’escalier montant…
Etre obligé de bosser un samedi matin ce n’est quand même terrible. Enfin cet après-midi repos, il y a rugby à la télé, je ne vais pas bouger du reste de la journée. Il fait beau, la circulation est fluide et je suis rapidement arrivé dans mon petit lotissement. D’un seul coup je m’arrête à une trentaine de mètres de la maison. Mon cœur s’accélère. « Oh non… ». Dans la montée du garage stationne une voiture que je reconnais malheureusement. Ce break noir ne peut que m’apporter des bouleversements dans mes projets. Je me gare un peu n’importe comment et je me dirige rapidement vers la porte tout en lorgnant vers les habitations voisines. Pas de curieux aux fenêtres. Je rentre directement sans sonner et me dirige lentement vers le salon. Les bruits que j’entends ne laissent aucun doute sur ce qui s’y passe. Dans le canapé deux femmes d’une trentaine d’années fument tranquillement en regardant le spectacle qui se déroule devant elle. Ma femme, la robe relevée largement, les collants et la culotte sur les chevilles, subit les vigoureux assauts de Khaled qui la sodomise à grands coups de reins. Il se tourne vers moi « Ah tu es là… content de vous revoir, toi et le cul de ta femme ». Eliane, secouée au rythme des coups de boutoirs se mord les lèvres et s’agrippe aux bords de la table du salon. Elle ne me regarde pas. Dans un dernier assaut, Khaled se vide dans les entrailles de ma femme. Il sort lentement et s’essuie avec la nappe. « Bon passons aux choses sérieuses, le travail avant tout… les filles préparez-là. Je t’emprunte ta femme pour le week-end tu vas pouvoir te reposer. ». Comme j’ouvre la bouche pour répliquer il me calme rapidement. « Tu veux jouer au héros, lopette ?...N’oublie pas nos petites videos ».
Les deux filles emmènent Eliane vers la chambre, tandis que Khaled après s’être servi un whisky s’assied dans un fauteuil et allume une cigarette. « Ta salope représente un bon potentiel…ce serait dommage de ne pas en profiter. Si tu es sage on te la ramène demain soir ».
Au bout d’un quart d’heure, les deux femmes reviennent, poussant Eliane devant elles. Il est difficile de reconnaitre ma femme dans la créature qui vient d’entrer. Maquillée de manière très marquée, un collier de chien autour du cou, des bas résilles, une mini-jupe sous laquelle aucune culotte ne vient cacher le sexe à nouveau glabre, les hauts talons sur lesquelles elle chancèle et un body ajouré qui laisse à l’air libre les seins dont les pointes ont été colorées. Malgré moi je bande.
« Trouvez lui un pardessus pour sauver les apparences les filles…pas besoin que tout le quartier sache que c’est une pute ».Ils se dirigent tous les 4 vers la sortie. « Allez, t’inquiète on te la ramènera ».
Il va être 191h00 je suis seul depuis ce midi, torturé par ma lâcheté, tournant en rond dans la maison. Non, je pense qu’ils ne lui feront rien de mal, elle va bien finir par revenir. Le téléphone sonne et je me précipite. La voix de Khaled « Ah parfait j’espérais bien te trouver là – Que vous lui avez-vous fait ? Où est ma femme ? – T’occupe pas de ça. Tu vas la retrouver dans un moment mais avant tu vas aller me faire quelques courses… »
Me voilà roulant un peu vite pour aller retrouver Eliane. Dans le coffre de la voiture se trouvent les bouteilles de champagne et de whisky que Kahled m’a fait acheter.
L’adresse que Khaled m’a indiquée se trouve à l’extérieur de la ville. C’est une grande villa au milieu d’un parc avec visiblement beaucoup de terrain dont un grand parking. Je compte une vingtaine de véhicules auprès desquels je me gare.
Mon coup de sonnette provoque un peu de mouvement à l’intérieur. C’est Kharim qui m’ouvre et le regard méprisant qu’il me lance prouve qu’il n’a pas changé d’avis sur moi. « Décharge ce que tu as amené ! »Je m’exécute et il m’indique la cuisine où je dépose les cartons. Au terme de mon 5ème voyage, je me retrouve seul dans cette pièce. Il y a visiblement beaucoup d’animation dans les pièces d’à côté. Je me risque dans le couloir et je m’approche avec précaution de ce qui semble être le salon. Le spectacle est surprenant. Dans la pièce que je découvre, des hommes et des femmes sont enchevêtrés, par groupe de 2 ou 3 et semblent inventorier toutes les pages du kamasutra. J’aperçois Eric lui-même occupé à besogner une petite brune avec la même régularité que je lui ai vu baiser ma femme. Au fond de la pièce Khaled est assis sur un tabouret de bar et les deux femmes qui l’accompagnaient le sucent avec application. Pas de trace d’Eliane. Khaled promène les yeux sur l’assistance et semble pleinement satisfait. M’apercevant, il me fait signe d’approcher. Je traverse la pièce en enjambant parfois des corps et je m’approche de lui. « Tu as amené ce que je t’ai demandé ? – Oui…où est ma femme ? –Tu commences à m’énerver, mets-toi dans la tête qu’elle ne t’appartient que quand on te la laisse ! – où est-elle ? ». Il désigne une porte ouverte sur sa droite. « Si tu y tiens…elle est là. »
Je me dirige à l’endroit indiqué et je constate que derrière la porte se trouvent 2 escaliers, l’un montant, l’autre descendant. Poussé par mon instinct, je commence à descendre. La cave dans laquelle j’arrive doit ouvrir toute la surface de la maison. Les murs sont garnis d’une foule d’objets dont la destination ne fait aucun doute. Les croix de St André, les fouets les godes sont alignés, mais ce qui attire tout de suite mon attention c’est le groupe qui se trouve au fond de la cave. Je dénombre 7 hommes qui me tournent le dos. En m’approchant je découvre ce qui motive leur attention. Une femme est au pilori et je ne vois pas son visage. Derrière elle un gros bonhomme s’active, la pilonnant sans retenue tout en l’insultant. Je contourne le groupe, derrière les autres hommes qui attendent leur tour. Aucun n’est un prix de beauté et je comprends pourquoi ils sont là ; une pancarte indique « Pas partenaire ? Celle-ci est à vous. Servez-vous. » Au passage je note les fesses blanches, zébrées de coups de cravaches, les poids accrochés aux seins qui balancent au rythme de son partenaire. Les bas sont déchirés, maculés de sperme et c’est en les voyant que je comprends. C’est bien Eliane que je découvre, le maquillage se mêlant au sperme qui couvre son visage et ses cheveux. Un autre homme occupe sa bouche et visiblement il n’est pas le premier.
« Tu vois qu’elle a du potentiel !...c’est au moins le trentième qui la baise depuis ce début d’après-midi ». Khaled vient de me rejoindre, l’envie de m’humilier est trop forte. « Dans une demi-heure on lui fera faire une pause et on la rafraîchira…le week-end ne fait que commencer ». Il me regarde en souriant. « Mais peut-être que l’expérience te tente ? Sache qu’à l’étage il y a une salle équipée comme celle-ci mais on y propose des lopes dans ton genre…Ton copain Paulo serait sûrement content de te retrouver…Bon allez dégage, laisse là bosser. »
Je quitte la cave par le même chemin. Je remonte lentement, les pensées se bousculent. Je revois le sexe de Paulo forçant ma bouche et mes reins…et le plaisir que j’ai éprouvé à être humilié. Arrivé sur le palier, je sais déjà que ma décision est prise et c’est avec une boule au ventre que je m’engouffre dans l’escalier montant…
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