Filles peu farouches - histoire érotique

Chapitre 1 - MON DIEU !

Mon dieu ! Quel gode !
C'est sur cette exclamation de surprise que mon ange accueille le cadeau coquin que je lui fait.
Je vois ses yeux pétiller d'envie devant l'énormité de la bête. De sa bouche mutine, elle en lèche le bout, puis bien vite elle gobe et suce tant bien que mal l'objet de plaisir.
Ainsi mouillé, il rejoint l'entre-jambe de ma déesse qui est elle aussi toute humidifiée. L'entrée de la grotte est au début assez difficile tant la grosseur de la chose est disproportionnée, mais la nature est miraculeuse et peu à peu, le va et vient aidant, le gros mandrin se fraye un chemin vers le plaisir.
Mon amour se donne ainsi du plaisir et monte bien vite au septième ciel !

Chapitre 2 - JULIE.

Julie n'est pas farouche, avec son air de Sainte Ni-touche qui pourrait penser que c'est une petite cochonne ?
Étudiante dans la journée, ses amis la trouvent coincée… Pourtant dès le soir venu, la jeune fille rejoint son job qui l'aide à payer ses études.
Julie travaille comme serveuse dans un bar un peu louche et elle adore ça ! Sa tenue de travail est une jupe noire très très courte, un haut très échancré et un petit tablier blanc.
Ainsi vêtue elle affole tous les clients de l'établissement, ses formes généreuses font bander bien dur tout les mâles du troquet.
Les mains baladeuses sont un réel plaisir pour la jeune fille qui adore qu'on la pelote ! De temps à autre, elle accepte des rendez-vous galants avec un seul homme ou à plusieurs, la coquine leur fait alors profiter de ses talents érotiques et prend un gourmand plaisir à s'épuiser à la tache.
Ainsi vont les nuits de Julie étudiante le jour, au service des hommes la nuit !

Chapitre 3 - MA NOUVELLE COPINE.

Ma nouvelle copine est un canon ! Une bombe sexuelle...
Avec ses deux gros obus et sa croupe rebondie, elle a toutes les armes pour me mettre le feu aux poudres !
Quand elle prend mon corps d'assaut, pour moi c'est vite la montée du drapeau !
Tout mes sens sont en alerte maximale. Elle déclenche les hostilités en me mitraillant de baisers et attaque ma place forte des ses mains sensuelles et douces.
Alors loin de rendre les armes et de capituler, je prend la direction des opérations et tout en restant bien sur au garde à vous je pénètre ses défenses.
Je commence alors le pilonnage, je la guerroie d'abord en souplesse puis l'attaque redouble d'intensité, le bombardement est intensif...
C'est alors que la victoire est proche et dans un dernier sursaut on explose tout les deux de jouissance libératrice !

- Chapitre 4 - ALEXIA.

Alexia est une petite coquine ! Depuis plusieurs jours l'immeuble en face de son appartement est en travaux. En ce mois de Juillet il fait très beau et très chaud. Les ouvriers qui travaillent sont torse-nu et Alexia ne perd pas une miette du spectacle.
Les muscles tendus, la peau moite dût à l'effort, le teint halé, ils offrent à la vue de la jeune fille une vision érotique rêvée.
Depuis que les travailleurs se sont installés là il y a une quinzaine de jours, Alexia a pris ses habitudes, tout les jours au lever, elle ouvre les volets se place derrière les rideaux et là discrètement, se masturbe en les regardant.
Elle imagine ce qu'ils lui feraient s'ils pouvaient la toucher, elle aimerait sentir leurs grosses mains sur ses seins et ses formes rebondies. Au plus fort de son excitation ses rêves se font plus cochons, elle se voit avec plusieurs de ces hommes, prise par tous les orifices de son anatomie, elle se voit recevoir leur semence sur tout son corps.
Après avoir bien joui, Alexia va se laver, s'habille de façon sage et réservée pour filer à son travail.
Tout le restant de la journée elle repensera à ses chers ouvriers musclés et il lui tardera la fin du boulot pour retourner à son poste d'observation et replonger ses mains dans sa culotte mouillée.

- Chapitre 5 - LA SANS CULOTTE.

J'adore me promener sans culotte ! Quand le temps le permet je mets une jupe, rien en dessous et vais me promener en ville !
De penser aux passants qui ne se doutent de rien me met dans tout mes états !
Et plus la jupe est courte plus ça me fait de l'effet !
D'où me vient cette perversion ? Un pari avec une copine lors d'un cours d'histoire en terminale lorsque nous étudions justement les sans culottes !
Elle me dit que je n'étais pas chiche de venir en classe le lendemain sans rien dessous !
J'ai bien sur gagné mon pari, mais aussi gagné un nouveau plaisir que de sentir l'air frais sur ma chatte !
C'est un sentiment de liberté intense où se mêle sensualité et peur d'être découverte.
En plein été, je suis même allée jusqu'à mettre des mini jupes ultra courtes sans rien dessous...
Les jours d'orages, juste avant qu'ils ne se déclenchent, je marche lentement devant des inconnus en leur montrant, bien sur sans le faire exprès et grâce à des bourrasques de vent complices, mes charmes les plus secrets...